[ Salle de shoot ]

Rétrospective sur le "Kreiz 5" de Zurich

Interessant comme reportage

salut punkielove
alors je peux te rèpondre car j ai très bien connu les lieux
une majorité des usagé qui ne pouvaient pas se passer de l hèroine sont maintenant inclus dans des cure de substitution à  l hèroine et ils sont en bien meilleur santé qu avant .Certain sont passé a la methadone .Ceux qui n étaient pas résident du canton on été mis dans des centre de renvois et d autre canton se sont mis a l image de zurich
Inséré , ils travaillent  .les scène ouverte on disparu.et à  la place du letten il y a des bain publiques et aucune trace de ce chaos
le prix de revient des distributions est de 6 franc  suisse  le gramme d hèroine (pris de revient pour les assurances )sans dire de connerie je crois que 1500 personne bénéficie  de ce traitement en suisse
la distribution se fait en deux fois le matin a 7 heure et le soir à  16 heure
bale , zurich , st gall , bienne, genève  ...de multiples  canton on ouverts des  centre et le 4 ième pillier  (distribution d hèroine ) a été inscrit dans la législation suisse au 1 janvier 2010.
c est a dire que tous les canton on le droit de distribuer de l hèroine médicale (si il le désirent ) au usagé qui ne supporte pas la methadone ou qui on échoué dans plusieurs tentative de sevrage
il faut être domicilié au minimum 2 ans dans le canton et être suisse

Seul le canton de vaud  et  le valais refuse cette distribution .  leur  usagé  vont alors   sur d autre canton ce qui pose problème  .
beaucoup de mes amis vaudois qui allait au letten sont mort , faute de ne pas avoir été inclu dans ces programmes , décédé pour beaucoup dans des conditions ignobles.Sans avoir pu profité des mesure de distributions .s injectant des mèdicement et buvant de l alcool par dessus leur hèpatites ...faute d autre chose

Si cette politique était de tous les cantons , il serait alors possible de lutter contre le marché noir plus efficacement et ainsi protéger la jeunesse future.

un lien   vidèo sur ce qui se passe sur bienne et sur vaud avec l interview d un mèdecin

Le quatrième pilier de la politique nationale en matière de drogues reste extrêmement sensible. A Lausanne, l´Ecole d´études sociales et pédagogiques et la Fondation Accueil à  bas seuil – Le Passage relancent le débat sur la prescription médicale d´héroïne.

C´est un documentaire qui ne dure que 13 minutes, mais qui pose 36 questions. Le film que la Fondation d´accueil à  bas seuil (ABS) – Le Passage* a réalisé pour ses dix ans d´existence à  Lausanne donne la parole à  deux consommateurs qui, sous méthadone, ont continué l´héroïne.

Boris, 49 ans, estime qu´il parvient à  « bien maîtriser l´héroïne ». Clairement conscient de ses fragilités, il explique comment la méthadone calme ses manques physiques mais n´agit pas sur son psychisme. L´héroïne, en revanche, est le « médicament idéal » pour lui. Elle le calme, lui donne de l´énergie et lui permet de mieux gérer son hypersensibilité. Aujourd´hui à  l´aide sociale, il confie qu´il lui est arrivé de dépenser le jour-même tout le montant de son indemnité en héroïne.

Livio, 44 ans, ferblantier-couvreur puis chauffeur poids lourds, évoque ses détresses et ses appels à  l´aide. Lui aussi sous méthadone et consommateur d´héroïne, il plaide comme Boris pour la prescription médicale d´héroïne dans tous les cantons suisses (actuellement, une dizaine de cantons ont introduit cette politique).

Le documentaire se poursuit avec l´interview de Vincent Studer, directeur du centre Suprax à  Bienne, un centre de prescription d´héroïne médicale. Il évoque la vie quotidienne de ses patients, les scènes ouvertes, les rapports de force politique et conclut sur le constat – très pragmatique !– qu´il est meilleur marché pour la société (1200 francs par mois environ, pris en charge par l´assurance maladie) de prescrire de l´héroïne médicale plutôt que d´assumer les coûts de la consommation illégale dans la rue, les interventions de la police, les overdoses, les traitements médicaux des personnes atteintes de sida ou d´hépatite.

La dépendance nous concerne tous – Réalisé par la Fondation ABS – Le Passage Lausanne IMG/flv/Ladependancenousconcerne.flv

la vidèo
http://www.reiso.org/revue/spip.php?article565





source de la vidèo
http://www.reiso.org/revue/spip.php?rubrique16

Dernière modification par reskaper (16 août 2010 à  15:15)

En Suisse, c'est de l'héro sous forme liquide, dans des flacons d'environ 500ml (vu une photo dans Asud journal). Je pense qu'elle tourne autour de 95% de pureté.

C'est de la numéro 4, donc de la "blanche".

je savais bien que la france ne me convenait plus !!!!!