Mayday

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mindwindow homme
Jeune cassé
Inscrit le 15 Nov 2016
71 messages
Bonsoir tout le monde,

Bon, c'est un peu la merde là.

J'étais suivi en CSAPA, au début je pensais que ça se passerait bien, mais ça c'était avant les RDV avec le "médecin". L'infirmière et la psy était très compétentes, voir même rassurantes, je ressortais soulagé et détendu avec elles.
Mais pour le médecin, mon addiction et le grave manque psychologique qui en résulte ne serait qu'une sorte de "caprice" ou une simple faiblesse logique
Selon lui il suffit d'attendre que ça passe, il refuse de me prescrire autre chose que des benzos, et encore il est contre les benzé aussi au premier abord.
Comme je le disais dans un post récent, ces seuls conseils sont de faire un truc qui me change les idées lors des pics de manque (les soirs surtout) sauf qu'il ne comprends pas que ça ne fonctionne pas. Je suis pas con, j'ai bien essayé de remplacer ça par la musique, la cuisine et tout ce que j'aime par dessus-tout, mais ça m'empeche pas de passer mes journées à penser au manque, à penser à la codé, et mes soirées à morfler de ouf et à me retenir méchamment de pas taper si j'en ai chez moi (ma mêre à des migraines mais je peux pas lui bouffer tous ces cachetons quoi), et surtout ne plus rien savourer comme avant

J'ai donc commencé à chercher au marché noir, mais y'a rien, et je veux vraiment pas me mettre à prendre autre chose que ça, j'aimerais juste pouvoir consommer quelque fois par semaine et éventuellement arrêter petit à petit comme je l'avais commencé avant ce putain de 14 juillet.

En attendant il n'y a pas d'autre CSAPA dans ma ville donc je peux oublier la oie légale, sachant également que mon médecin n'est pas du tout ouvert d'esprit. Je me sens bloqué, j'ai pas choisi d'arreter, j'ai pas choisi d'en chier je m'accomodais trop bien de la codé. J'ai recommencé la beuh de manière abusive, et je bois beaucoup plus qu'avant. J'ai que 20 ans putain, ça me gave d'en être là, après j'assumes, j'ai consommé et dévellopé une addiction, mais voilà quoi.

Bon courage aux autres qui galèrent, et bravo à ceux qui s'en sortent surtout ! Si vous avez des idées, des conseils ou quoi, ça ne pourra que m'aider..


Merci heart

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gaspard99 homme
Psycho junior
Inscrit le 12 Sep 2017
480 messages
Salut,

Tu ne peut pas aller voir d'autres medecins dans ta ville?
Tu vas bien en trouver un qui va te prescrire de la buprénorphine!
Je suis un peu "surpris" par le discourt que tiens le medecin de ton csapa, pas de TSO, bizarre comme façon de voir les choses. Tu n'est peut etre pas assé addict pour lui !
Le marché noir c galère tu dépend d'une "source" qui n'est pas fiable, pour la reussite de ton tritement il te faut une régularité dans les posologies, oublie ça a mon avis.
Je suis sur qu'en cherchant un peu (si tu habites une ville) de trouver un toubib qui te prescrive un TSO.
Bon courage.

Gas.

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Daniel homme
Banni
Inscrit le 10 Jun 2017
14 messages
Salut à toi

c'est donc un opiacé ton problème si j'ai bien compris

si les blouses blanches (qui ont toujours l'orgueil de se prendre pour D.ieu) ne te comprennent pas alors je te conseille d'étudier ton addiction à fond et là tu verras que tu pourrais trouver des produits naturels(qui restent dangereux sur le long terme) tel qu'un certain arbre d'Indonésie (K.....m) dont les alcaloïdes tapent exactement sur les mêmes récepteurs du cerveau que les opiacés sans pour autant défoncer aussi fort que de l'héro ou de la morphine.

Je trouve même à MON gout PERSONNEL que cela se rapproche fortement de la codéine.

à partir de là tu as deux choix :

      . soit tu continue avec cet arbre et alors tu y laisseras des neurones à long terme (la codé c'est plutôt court terme).

       .soit tu chinoises et tu deviens clean et tu choisis la vie.

je connais pas d'autres produits naturels susceptibles de t'aider pour ce cadre de soucis. Donc n'hésite pas  à faire tes recherches et pousses les le plus loin possible

je suppose que puisque tu as 20 ans et que comme tu le dis tu en as plein le dos alors tu choisiras la vie

dans la rubrique sevrage ils t'expliquent ce qu'est la méthode chinoise

En tout cas que la force soit avec toi

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Daniel homme
Banni
Inscrit le 10 Jun 2017
14 messages
A Gaspard,

Hier c'était la première fois que je voyais un toubib pour un soucis d'addiction il n'a pu me prescrire qu'un benzo

Il m'a aussi expliquer le parcours pour un patient (régulier ou non) qui veut ETRE pris en charge:

     .1°visite médecin qui va orienter vers une centre d'addictologie
     .2°des visites régulières au centre pour mettre en place un protocole viable
     .3°retour chez le médecin avec le protocole du centre et tous les justificatifs qu'il faut pour pas passer pour un camé qui cherche à s'approvisionner aux frais de l'état
     .4°et là seulement une ordonnance de TSO pourra être délivreé

sur ces quatres étapes pourront t'être prescrit des benzo des anti-douleurs et autres trucs pas trop actifs


ceci est la loi Française régissant la gestion de l'addictologie des citoyens si celle-ci n'est pas illégale.

Alors oui je sais j'en entend déjà :" wouaahhhh Daniel c'est un mytho car moi ceci moi cela" sachez bien messieurs dames que si vos médecins enfreignent cela alors en français on appelle ceux-là des hors la loi et si vous faites confiance, pour vous soigner à des hors-la-loi c'est bien votre problème.

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BoilingBlood homme
PsychoHead
Inscrit le 02 Feb 2013
1289 messages
Bah je vais pas dire que Daniel est un mytho, juste qu'il est mal renseigné et un peu crédule d'avoir cru ce que lui a affirmé un médecin et l'a pris pour argent comptant....
Un médecin de ville peut sans problème prèscrire du sub, et ce sans être hors la loi. C'est juste qu'il ne va pas pouvoir initier un traitement à la métha.
Peut être que ton médecin t'a dit ça parce qu'il ne voulait pas te prescrire de buprénorphine, ou même n'est pas très au fait de ce qui se fait dans ce domaine.
Prends plus de sources la prochaine fois Daniel, surtout si ce que te dit la première personne ne semble pas aller dans le sens de ce qui semble exister au premier abord.
La primo prescription est un sujet souvent abordé ici-même, et souvent avec des professionnels. Si on se fourvoyait tous là dessus depuis si longtemps, on aurait fini par le savoir depuis bien longtemps.

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BoilingBlood homme
PsychoHead
Inscrit le 02 Feb 2013
1289 messages

Daniel a écrit

vous êtes que des sales toxicos de merdes ( et surtout RIEN d'autre arrettez de vous racontez des contes de licornes de fées et de magicien) a qui ça fait chier de savoir que quelqu'un va peut être s'en sortir et que cela vous renvoie à votre propre minabilité de pas pouvoir y arriver.

sur ce ce je vous souhaite la mort la plus toxique et dégueulasse qui soit bandes de pourris
[...]
pour les modos et ceci est une MENACE si un jour je vous croise car j'ai commencer à vous cherchez je serais clean et de nouveau sportif alors que ces eespèces de junkies  bons à rien seront toujours dans leur merde alors et je réitère ceci est une MENACE je les laisserai tous sans la possibilité de pouvoir se droguer par eux même ainsi ils seront a la merci de la vindict des blouses blanches et ils se souviendront de cet épisode lamentable. je ferai cela dans a plus grande des barbarie ils peuvent en etre sur ces gros PD de modo.

en gros à tous les utilisateurs du forum lambda comme moi j’adresse toutes mes excuses merci à toi Gaspard de m'avoir fait voir qui ici sont les Enculés les modo et toute leurs ascendances (ceci est de la spiritualité et je ne m'attend à ce que toi pauvre attardé mental de modo ; de pouvoir comprendre le concept de  l'ascendence et la descendance.

Mouééé... en fait, Daniel.... comment dire? Bah, tes propos parlent très bien pour toi en fait.

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mindwindow homme
Jeune cassé
Inscrit le 15 Nov 2016
71 messages
Daniel est donc le meilleur spot anti-drogues à ce jour, c'était pas si compliqué à trouver au final

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mindwindow homme
Jeune cassé
Inscrit le 15 Nov 2016
71 messages
Je sais que personne ne peut vraiment m'aider ou quoi mais le fait d'écrire et de mettre des mots sur ce que j'endure (et que d'autres doivent endurer voir pire) me fait pas de mal.

J'oscille entre le craving e la codé qui est très très trop fort, et quelques prises d'autres trucs quand je suis en dèche (Xan' / Myorelaxant / weed de moins en moins, elle ne correspond pas à l'effet qui me manque, même si j'aime toujours autant cette plante)

Je m'en veux même de me plaindre et de souffrir, j'me dis que d'autres vivent bien pire qu'une envie de se défoncer aux cachettons et que ça ne me tuera pas (directement en tout cas) de ne pas en avoir. Je ne sais pas mais quelque chose me renvoie à ma propre image de drogué, que j'aimerais percevoir comme libre de faire ce qu'il veut, responsable malgré tout, mais je pense que ce que l'on nous martelle sur les tox fais que j'ai vraiment du mal à assumer la réalité de mon addiction dans son ensemble. J'ai même pas pu tout dire à l'addicto que je voyais au csapa (déja par manque de confiance en lui mais aussi par peur du jugement, même si c'est très con) donc peut-être ai-je minimisé les faits, et donc moi-même exclu un tso à ses yeux.

Je suis sous Xanax là, ça soulage relativement mon mal à l'être disons, et ça me permet de mettre des mots nouveaux sur mon problème, mais c'est chimique et ne rêgle rien. J'aurais juste aimé pouvoir finir mon sevrage dégressif personnel à la codé. Enfin.

C'est e manque psychologique, ou le fameux PAWS je crois qui semble pointer le bout de son échine. J'oscille entre des périodes de bien-être et des moments/heures/journées instables ou j'ai envie d'me buter, sans raison. C'est une espece de bipolarité, et pourtant tout va mieux en majorité dans ma vie : Mes projets musicaux marchent, j'ai trouvé du boulot, j'ai des potes, pleins de choses. Mais j'aime la codé, et cest une séparation forcée. J'me trouve totalement ridicule en relisant ces lignes mais je m'en tape aussi. Vous êtes bien sympas si vous avez lu aha, au final je veux pas être plaint ou quoi, juste compris. Et je sais que voir des messages de gens dans mon cas ça m'aide, alors peut-être que ça en aidera d'autres de se sentir moins seul face à ses propres démons.

C'est tout pour mon mélodrame larmoyant enrichi aux benzos, tout est fade mais au moins j'ai mis des mots dessus. Courage encore, à tout le monde

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Terson homme
BioHacker
Inscrit le 25 Jul 2014
820 messages
Salut, je pense que le probléme içi c'est que tu as une dépendance psychique très forte a la codo du coup comme tu n'en a plus tu compense par d'autres truc style benzo. Enfin dit moi si je me trompe.

Je trouve que souvent les addictos sous-estiment la dépendance psychologique, "c'est rien ça va aller mieux" une de leurs phrases bateau qu'ils sortent souvent lorsqu'on tente de décrire le mal-être du manque psychique neutral

Selon moi deux voie pour toi :

- Définitivement tourner la page de la Codéine.

- Se bouger et obtenir de la Codéine pour continuer sur le long terme avec.

Mais dans les deux cas ça risque de te demander beaucoup de courage. En tout cas je pense qu'içi on est plus d'un a avoir connus ce genre de phase difficile.

Dernière modification par Terson (21 novembre 2017 à  00:27)


Sautez dans l'urinoir pour y chercher de l'or.
Je suis vivant et vous êtes morts - Philip K. Dick

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mindwindow homme
Jeune cassé
Inscrit le 15 Nov 2016
71 messages
C'est aussi mon auto-diagnostic aha, d'autantque comme beaucoup j'utilisais la codéine comme antidepresseur, pour avancer et ça fonctionnait pas mal. Après je me le caches pas, j'aime les effets opiacés physiques ET mentaux (j'ai eu l'occasion d'avoir du tramadol une fois)

Mais bon, je vais essayer de me trouver un médecin conciliant, qui m'aide à sortir de ce marasme ou je m'englue dans l'envie de me défoncer, et qui plus largement m'obsede
Continuer ou stopper je sais même pas ce que je veux, juste ne plus souffrir inutilement et me sentir perdu.

Haan mais cette phrase résume pourquoi j'ai arrété le CSAPA.. "C'est une période normale à accepter gnégnégné" Doctissimo aurait fait ça plus proprement


merci de ta réponse en tiut cas

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Lilas24 femme
Bavarde
Inscrit le 31 Jul 2017
344 messages
Bonjour,

Il est regrettable que tu sois tombé sur un addicto aussi naze. Je n'en reviens pas qu'il n'ait rien à de proposer de sérieux dans ta situation, alors qu'il existe plusieurs types de suivi qui ne passent pas par un sevrage sauvage avec juste un chouia d'anxiolytique pour tenir un minimum le coup (TSO, sevrage dégressif, sevrage sec avec beaucoup beaucoup d'anxiolytiques pour gérer le manque et des mix entre ces diverses solutions car on peut passer de l'une à l'autre).

Est-ce qu'il y aurait un autre médecin dans le centre ?

Tu pourrais voir aussi si l'hôpital n'a pas un service d'addictologie ou si à tout le moins il n'accepteraient pas de te suivre (je connais quelqu'un qui a tellement été mal reçu au CSPA de sa ville qu'il a pu se faire suivre en psy à l'hôpital, mais je me doute que cela n'est pas possible partout vu la pauvreté ne nos services psy).

Un bon médecin de ville ou un psy pourraient aussi t'aider mais en toute franchise, l'addictologie c'est un peu particulier et peu sont formés à toutes les solutions (il faut d'ailleurs croire que certains addicto ne sont pas formés eux-même). Tu ne pourrais pas aller dans une autre ville pour essayer de trouver un addicto sérieux ?

Ce que tu dis Mind me touche beaucoup je suis devenue dépendante de la codéine pour étouffer des angoisses devenues épouvantables au fil du temps. Si je n'avais pas eu la codéine, j'aurai fini "handicapée sociale", toute seule chez moi à jouer à Destiny en ligne sur ma PS4 des journées entières comme le font beaucoup d'adultes très mal dans leur tête et dans leur peau, finissant par jouer 12 heures par jours avec leurs amis virtuels au lieu de vivre leur vie (j'ai joué 3 mois à ce jeu génial mais quand j'ai vu que les adultes étaient souvent des gens malades, au chômage et profondément dépressifs ou angoissés , j'ai tout arrêté pour ne pas finir addict).

C'est une image, mais l'isolement social dans lequel j'ai fini par m'enfermer doucement (travail- maison, maison-travail, point barre !) parce que tout et tout le monde me faisait souffrir a fini par créer une envie de révolte pour en sortir. J'ai fini par admettre que la codéine étouffait sans rien régler et j'ai donc entamé un sevrage dégressif toute seule, avant d'être suivie en CSAPA en juillet dernier.

J'ai eu la chance de tomber sur une addicto géniale qui a poursuivi mon sevrage dégressif sans me coller la moindre pression (elle me prescrit le codoliprane au dosage que je prends pour 15 jours). Je gère la codéine comme je veux et je peux (point de départ: 24 cachets par jour, aujourd'hui: 4) et elle a réglé la question de mes angoisses. Je souffrais depuis des années d'un trouble anxieux généralisé (j'en savais rien) et j'ai été instinctivement vers la codéine car elle me soulageait. Je prends désormais un antidépresseur efficace qui a mis fin à mes angoisse comme on ferme la lumière et du coup je n'ai plus envie de codéine.

Si je te dis tout cela c'est que j'ai mis près de 10 ans avant d'être prête à me prendre en charge sérieusement. Ta confusion actuelle, je l'ai vécue pendant des années mais la codéine était en vente libre alors je pouvais gober mes cachous en attendant de murir ma décision, ce qui est devenu compliqué. L'addicto a permis de comprendre que je souffrais d'une maladie qui se soigne et rien que pour ça la démarche vaut le coup.

Je suis effarée et en colère que la situation que tu nous a décrit n'ait pas incité l'addicto à t'aider à la fois dans le sevrage et pour le problème de fond. Tu ne dois surtout pas rester seul à ruminer car tu vas t'en rendre malade.

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4lex homme
Nouveau Psycho
Inscrit le 17 Jun 2017
56 messages

Daniel a écrit

à partir de là tu as deux choix :

      . soit tu continue avec cet arbre et alors tu y laisseras des neurones à long terme (la codé c'est plutôt court terme).

D'ou ça sort ça ? roll

On dirait une phrase de grand père à sont petit fils qui joue aux jeux vidéo " nia nia nia c'est pas bien et ça te rends débile".

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prescripteur homme
Modérateur
Inscrit le 22 Feb 2008
12147 messages
A Mindwindow (comme je suis un enculé de modo je ne répondrai pas aux HS),
Le subutex peut etre prescrit par n'importe quel généraliste , donc il y en a certainement dans ton entourage (même si c'est à quelques km). Tu as probablement interet à consulter une fois ou 2 un CSAPA ou un psychiatre dans la ville la plus proche pour "rassurer" ce généraliste.
A tous, spécialistes et généraliste, je pense que tu as interet à leur expliquer les choses telles que tu nous les décris pour qu'il y ait une relation de confiance. quand

sachant également que mon médecin n'est pas du tout ouvert d'esprit.

il est temps d'en changer à mon avis. Je ne juge pas ce médecin que je ne connais pas mais il est clair que votre relation est mauvaise. Et il est important d'avoir une suffisamment bonne relation avec son médecin traitant, que ce soit pour les opiacés comme pour tous les autres problèmes de santé.
Amicalement


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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mindwindow homme
Jeune cassé
Inscrit le 15 Nov 2016
71 messages
Ouaip, mon addicto malheureusement m'a totalement dégouté du CSAPA, j'avais pourtant confiance en l'infirmière, et surtout la psy qui était top, mais le doc malgre sa gentillesse me donnait l'impression de n'être que très peu concerné, et surtout de minimiser mon problème, donc bon..
Y'en avait d'autres, mais y'a un autre CSAPA dans ma ville, donc je vais aller les voir, demander à être anonyme et tout raconter, sans cacher ou enjoliver les chses comme j'ai pu l'faire.
Sinon j'ferais le tour des médecins jusqu'a ce qu'un me propose un TSO ou dans l'idéal de terminer sereinement mon servrage dégressif à la codé sous contrôle médical, parce que n'avoir que cela en tête constamment et loucher sur les pharmacies des gens chez qui l'on est c'est vite la bonne merde.

Merci de vos conseils et tout, c'est cool d'être soutenu et de se sentir entouré, même d'inconnus :*

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MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 14 Nov 2016
601 messages
Perso ça été ma méthode : rester anonyme et tout exposer sans détour.

Résultat une prise en charge vraiment axée sur ce que je voulais.

J'avais besoin de prescription.

J'ai été cash: je veux une prescription de codeine pour éviter de me tourner vers des méthodes illégales.  Mais si j'ai pas ma codé j'ai peur de péter un câble et de me foutre en l air.

Jamais j'aurai osé exposer les faits et mon ressenti si je n'étais pas restée anonyme.

En tout cas perd pas espoir. Il en existe des médecins biens !!

Bises Mia

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