"Le VIH et le sida restent un problème grave en Europe", s'alarme le commissaire européen à la santé Vytenis Andriukaitis. De son côté, l'OMS s'alarme du record de contaminations sur le Vieux Continent.Un porteur du VIH sur sept dans l'Union européenne ignore son état, montre une étude publiée ce mardi par l'UE, tandis que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est inquiète du record de contaminations sur le continent européen dû à la propagation du virus en Russie.
"Le VIH et le sida restent un problème grave en Europe (...) Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) estime que le fait qu'une personne sur sept est atteinte par le VIH sans le savoir est particulièrement inquiétant", a déclaré le commissaire européen à la santé Vytenis Andriukaitis. Un chiffre qui concerne les 28 pays de l'Union européenne, plus l'Islande, le Liechtenstein et la Norvège.
La moitié des cas diagnostiqués tardivementUn porteur du virus du sida sur sept dans l'Union européenne ignore son état de santé, selon une étude de l'UE. (Photo d'illustration)
Reuters/Tim Wimborne
"Le VIH et le sida restent un problème grave en Europe", s'alarme le commissaire européen à la santé Vytenis Andriukaitis. De son côté, l'OMS s'alarme du record de contaminations sur le Vieux Continent.
Un porteur du VIH sur sept dans l'Union européenne ignore son état, montre une étude publiée ce mardi par l'UE, tandis que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est inquiète du record de contaminations sur le continent européen dû à la propagation du virus en Russie.
"Le VIH et le sida restent un problème grave en Europe (...) Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) estime que le fait qu'une personne sur sept est atteinte par le VIH sans le savoir est particulièrement inquiétant", a déclaré le commissaire européen à la santé Vytenis Andriukaitis. Un chiffre qui concerne les 28 pays de l'Union européenne, plus l'Islande, le Liechtenstein et la Norvège.
La moitié des cas diagnostiqués tardivement
"Ceux qui ne savent pas qu'ils sont contaminés ne peuvent bénéficier d'un traitement qui leur sauvera la vie et peuvent continuer à transmettre à d'autres le virus", a souligné Vytenis Andriukaitis.
Près de la moitié (47%) des cas dans ces pays sont diagnostiqués à un stade tardif de la contamination, a précisé l'ECDC. Selon lui, en moyenne, le virus est détecté environ quatre ans après.
Dans ces 31 pays, les rapports sexuels entre hommes est le premier mode de transmission (42% des diagnostics), et le seul qui progresse encore régulièrement. Les relations hétérosexuelles concernent 32% des diagnostics et la toxicomanie 4%.
Nouveau record de contaminations en 2015Un porteur du virus du sida sur sept dans l'Union européenne ignore son état de santé, selon une étude de l'UE. (Photo d'illustration)
Reuters/Tim Wimborne
"Le VIH et le sida restent un problème grave en Europe", s'alarme le commissaire européen à la santé Vytenis Andriukaitis. De son côté, l'OMS s'alarme du record de contaminations sur le Vieux Continent.
Un porteur du VIH sur sept dans l'Union européenne ignore son état, montre une étude publiée ce mardi par l'UE, tandis que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est inquiète du record de contaminations sur le continent européen dû à la propagation du virus en Russie.
"Le VIH et le sida restent un problème grave en Europe (...) Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) estime que le fait qu'une personne sur sept est atteinte par le VIH sans le savoir est particulièrement inquiétant", a déclaré le commissaire européen à la santé Vytenis Andriukaitis. Un chiffre qui concerne les 28 pays de l'Union européenne, plus l'Islande, le Liechtenstein et la Norvège.
La moitié des cas diagnostiqués tardivement
"Ceux qui ne savent pas qu'ils sont contaminés ne peuvent bénéficier d'un traitement qui leur sauvera la vie et peuvent continuer à transmettre à d'autres le virus", a souligné Vytenis Andriukaitis.
Près de la moitié (47%) des cas dans ces pays sont diagnostiqués à un stade tardif de la contamination, a précisé l'ECDC. Selon lui, en moyenne, le virus est détecté environ quatre ans après.
Dans ces 31 pays, les rapports sexuels entre hommes est le premier mode de transmission (42% des diagnostics), et le seul qui progresse encore régulièrement. Les relations hétérosexuelles concernent 32% des diagnostics et la toxicomanie 4%.
Nouveau record de contaminations en 2015
Sur l'ensemble du contient européen (53 pays dans le périmètre retenu par l'OMS), l'année 2015 a vu un nouveau record de contaminations, 153 407, contre 142 000 l'année précédente.
La Russie, où le sida reste un sujet largement tabou, en concentre à elle seule près des deux tiers (64%). Près de 80% des cas se sont déclarés en Europe de l'Est, 3% en Europe centrale et 18% en Europe de l'Ouest.
La particularité en Russie est que les relations hétérosexuelles sont le premier mode de contamination.
L'OMS préoccupée par l'Europe de l'EstUn porteur du virus du sida sur sept dans l'Union européenne ignore son état de santé, selon une étude de l'UE. (Photo d'illustration)
Reuters/Tim Wimborne
"Le VIH et le sida restent un problème grave en Europe", s'alarme le commissaire européen à la santé Vytenis Andriukaitis. De son côté, l'OMS s'alarme du record de contaminations sur le Vieux Continent.
Un porteur du VIH sur sept dans l'Union européenne ignore son état, montre une étude publiée ce mardi par l'UE, tandis que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est inquiète du record de contaminations sur le continent européen dû à la propagation du virus en Russie.
"Le VIH et le sida restent un problème grave en Europe (...) Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) estime que le fait qu'une personne sur sept est atteinte par le VIH sans le savoir est particulièrement inquiétant", a déclaré le commissaire européen à la santé Vytenis Andriukaitis. Un chiffre qui concerne les 28 pays de l'Union européenne, plus l'Islande, le Liechtenstein et la Norvège.
La moitié des cas diagnostiqués tardivement
"Ceux qui ne savent pas qu'ils sont contaminés ne peuvent bénéficier d'un traitement qui leur sauvera la vie et peuvent continuer à transmettre à d'autres le virus", a souligné Vytenis Andriukaitis.
Près de la moitié (47%) des cas dans ces pays sont diagnostiqués à un stade tardif de la contamination, a précisé l'ECDC. Selon lui, en moyenne, le virus est détecté environ quatre ans après.
Dans ces 31 pays, les rapports sexuels entre hommes est le premier mode de transmission (42% des diagnostics), et le seul qui progresse encore régulièrement. Les relations hétérosexuelles concernent 32% des diagnostics et la toxicomanie 4%.
Nouveau record de contaminations en 2015
Sur l'ensemble du contient européen (53 pays dans le périmètre retenu par l'OMS), l'année 2015 a vu un nouveau record de contaminations, 153 407, contre 142 000 l'année précédente.
La Russie, où le sida reste un sujet largement tabou, en concentre à elle seule près des deux tiers (64%). Près de 80% des cas se sont déclarés en Europe de l'Est, 3% en Europe centrale et 18% en Europe de l'Ouest.
La particularité en Russie est que les relations hétérosexuelles sont le premier mode de contamination.
L'OMS préoccupée par l'Europe de l'Est
L'OMS s'alarme aussi de taux de contamination élevés dans d'autres anciennes républiques soviétiques: Ukraine, Belarus, Estonie, Moldavie, Lettonie et Géorgie.
"Malgré des efforts importants, le VIH reste parmi les principaux sujets d'inquiétude pour la santé publique dans la région Europe de l'OMS, en particulier dans l'Est", a souligné la directrice régionale de l'Organisation, Zsuzsanna Jakab.
Elle a appelé les pays membres à mettre en oeuvre le plan d'action qu'ils ont adopté en septembre, pour améliorer l'accès aux tests et aux moyens de prévention.
De plus en plus difficile de travailler avec le VIH
C'est la double peine. Les personnes infectées par le VIH ont plus de mal à trouver un emploi que les autres. Et ce phénomène tend à s’amplifier depuis plusieurs années dans l'Hexagone, malgré l’amélioration des traitements. C’est ce que montre une étude financée par l’ANRS (1), dans laquelle les auteurs ont comparé le taux de chômage de ces personnes à celui de la population générale entre 2003 et 2011.
Alors que la différence entre les deux groupes était de 7 % en 2003, elle est passée à 10 % en 2011. Pourtant, dans le même temps, la prise en charge des malades s’est améliorée : 95,5 % d’entre eux montraient une charge virale contrôlée en 2011, contre 77,7 % en 2003. « En somme, les progrès médicaux ne se sont pas traduits par une amélioration de la situation d’emploi pour ces personnes », a conclu auprès de l'Inserm Margot Annequin (2), responsable de ces travaux.
(1) L'Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales
(2) Unité 1136 Inserm/UPMC, Institut Pierre Louis d'épidémiologie et de santé publique, Paris M
Sources : http://www.sudouest.fr/2016/11/29/sida- … 6-4696.php
https://www.lexpress.fr/actualite/socie … 55204.html
https://www.pourquoidocteur.fr/Articles … positivite