Deux pages
La difficulté est cette accrue de sensibilité et de sentiments violents, incontrôlable.
Cette merde me permet(tait) une anesthésie totalement partielle.
Totalement pour la sensibilité envers l'amour,
Partielle pour la rage qu'elle nourrie.
Partagé entre deux mondes, un chaud et un glacial.
Avoir vécus certaines choses facilite la compréhension.
Mais je voudrais tant ne plus avoir tout ces ressentis, le cœur dans un étau, libérant son jus dégueulasse; la tête à 100.000 lieux dans les airs..
En fait si, je voudrais avoir tout le temps la tête dans les étoiles,
Mais des étoiles lumineuses, pas des étoiles noires.
Je perds mes marques, je suis perdu dans ce monde.
Ce monde ou l'on prend sans regrets ses propres amis à revers.
Ici, rien pour soulager la douleur de vivre
Ici rien pour soulager la souffrance.
La mort sur mesure, sur commande, rien ne vient, rien ne va.
Passé amplement marqué et qui nous hante.
La page est fraiche pour moi et est bien ancré dans mon sang.
Espérant un courage quelconque pour n'importe quelle issue.
Le train de tes injures roulent sur les rails de mon indifférence