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Lilas24 a écrit
Ca fait plaisir d'avoir de tes nouvelles, même si tu as un petit moral, ce qui est normal vu ta situation.
J'espère que tu vas tomber sur un bon addicto qui ne se contentera pas d'une réponse toute faite à ton problème.
Je vais étonner Mascarpone mais je n'ai rien à reprocher à une maintenance aux opiacés, loin de là. Si tu souffres physiquement, c'est peut être de cela dont tu as besoin parce qu'on ne peut pas te laisser avoir mal sans solution (j'ai connu ça c'est inhumain et ça conduit à se gaver de ce qu'on a sous la main en se le procurant comme on peut).
L'addiction ça n'est pas un mal dont il faut sortir à tout prix, c'est parfois un passage nécessaire ou utile dans une vie, tant qu'on ne la met pas en danger.
Je croise donc les doigts pour qu'on ne te dise pas au pain sec et à l'eau (subutex ou méthadone) en te proposant de rester avec ta souffrance physique dans ton coin sans broncher ou en te contentant d'anti douleurs du niveau 0 (moi j'appelle ça le niveau 0 car quand une douleur peut être soulagée par de l'aspirine, de l'ibuprofène ou du paracétamol, elle passera toute seule pas besoin de se bousiller le foie, l'estomac ou je ne sais quoi).
Aller, pas de raison que tu tombes sur un pignouf de ce genre. Je crois que comme moi, tu vas avoir la chance de tomber sur un addicto qui va tout prendre en compte tous les paramètres et trouver le traitement adapté. Pour toi l'autre paramètre c'est la douleur, pour moi c'était l'anxiété généralisée.
Persuadée que la codéine s'était placée juste sur ce TAG, elle a poursuivi le sevrage dégressif que je faisais toute seule en le considérant même comme secondaire et elle a eu raison car depuis que ce TAG est soigné par AD, l'envie de codéine a disparu d'un claquement de doigts, même si physiquement j'ai douillé et je continue (de moins en moins quand même) dans ce no man's land qu'on appelle le syndrome post sevrage.
Donc si pour toi la solution c'est de te laisser trouver comment soulager ta douleur avec l'opiacé adapté à tes besoins, avant de s'occuper de ton addiction ou en même temps, je serai enchantée de ces bonnes nouvelles.
Malheureusement le médecin CSAPA m'a placé sous Subutex 8mg sans que j'ai trop le choix. Du coup ma douleur physique se réveille tout doucement et j'ai tous les symptomes du sevrage aux opiacés même en ayant pris le subu. La dose est pas assez forte ?
J'y connais trop rien, tout ce que je sais c'est que je suis en souffrance pour le week-end avec des passages chaud-froids + suer + toilettes et j'en passe. Et pas de chance pour moi, le médecin est absent aujourd'hui
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Dernière modification par prescripteur (23 novembre 2018 à 15:18)
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prescripteur a écrit
La Buprenorphine (Subutex) est un agoniste-antagoniste. ce qui veut dire que, tout seul, il agit comme un opiacé (agoniste) mais sur un corps humain plus ou moins saturé d'opiacés il a surtout un effet antagoniste et crée un état de manque. C'est peut etre ce qui t'arrive si tu n'as pas arrêté tes opiacés assez tôt. D'autant qu'en traitement continu les opiacés restent plus longtemps que ne l'indiquerait leur demi vie. Ainsi pour le passage codéine-> subutex il peut y avoir un état de manque induit par le subutex jusqu'à 48 heures ou plus après l'arrête de la codéine, bien qu'elle aie une demi vie de 4 à 6 heures.
Mais si c'est le cas, ça devrait rapidement se calmer le temps que les opiacés disparaissent complètement.
Amicalement
Merci pour la réponse, je comprend mieux. Je vais attendre Lundi avant de voir s'il y'a un réel problème. Je suis plus rassuré après t'avoir lu :)
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Mascarpone a écrit
Salut,
Pour commencer, je te souhaite que ça aille vite mieux et du courage en attendant.
Je profite de ton thread pour poser cette question, qui me titille depuis longtemps ,à ceux qui voudront bien me répondre:
A chaque fois que je lis le témoignage de quelqu'un qui est mis sous bupré, et on voit encore le cas ici et avec le com de prescripteur aussi, que les gens se retrouvent toujours mal et à "en chier"pendant minimum 2 ou 3 jours avant d'être soulagés par la bupré...Hors, perso, si je dois supporter 3 jours de manque (ou même 2) avant de pouvoir être soulagé, il est + que probable que quitte à en chier je finisse par préférer m'abstenir de m'engager dans la voie du tso au sub...Ya un truc que je pige pas dans le principe avec cette molécule... , en tous cas, si c'est pour se passer d'héro ou de codéine, une fois que tu en as chié 3 jours, physiquement t'as quasi fait le plus gros...Je ne parle pas du psychologique, bien sûr.
Ça doit dépendre des gens. J'ai déjà eu des moments de manque parce qu'impossible d'avoir le produit car en voyage (et rien de prévu, erreur que je n'ai jamais réitéré). 14 jours de vacances, j'ai eu 14 jours de symptômes physiques. J'ai rien pu faire la première semaine (carrément bloqué au lit) et en début de deuxième ça commençait seulement à aller mieux mais on était loin du compte.
Perso je pourrais pas le refaire, surtout avec le boulot et tout ce qu'une personne adulte doit faire dans sa semaine, c'est pas gérable. La bupré même si c'était horrible les 3 premiers jours, je le pense toujours, j'ai quand même pu travailler.
Y'a donc forcément une différence entre en prendre et ne pas en prendre.
'Fin bref, je vais demander de la méthadone à mon rendez-vous de ce matin car ma douleur à la cheville n'est plus tenable. Celle du poignet, elle, est gérable.
Dernière modification par Désemparé (26 novembre 2018 à 07:38)
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J'ai même trouvé ça mieux qu'une bonne came dans la mesure où l'effet durait 24 heures, pour un petit cachet !
Evidemment mon expérience vaut ce qu'elle vaut mais elle n'est pas unique.
Je ne conteste pas l'efficacité et le confort de vie que certains trouvent avec sub et suboxone et il me semble que Mas est loin de vouloir faire de même.
Après, il est permis de s’interroger sur la pertinence in fine d'un TTT, ou plutôt le schéma de soins qui fait passer l'usager par la case repentance, même si c'est un confort que Mas et moi n'avons pas connu l'époque où le sub existait.
Dernière modification par Mister No (26 novembre 2018 à 10:44)
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Dernière modification par Désemparé (26 novembre 2018 à 12:06)
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que les gens se retrouvent toujours mal et à "en chier"pendant minimum 2 ou 3 jours avant d'être soulagés par la bupré...
Je dis juste que pas forcément. Tout dépend le niveau de conso. Mais oui, en effet, si le gars ou la nana étaient de gros consos, il faut en chier pour éliminer les traces des dernières prises. Pendant trois jours peut-être pas mais je crois que le minimum recommandé est de 24 heures (pour éviter les interactions). Mais là aussi tout dépend des métabolismes. En fait les instructions donnent une durée approximative selon chacun(e) mais elles disent surtout d'attendre les signes " bien marqués" de manque. En gros si tu es en chien au bout de 10/12 heures, tu peux prendre ton sub. Voilà.
En effet, c'est là sans doute un avantage de la métha, tu n'as pas besoin d'être en keum pour prendre ta gélule. Mais ça a des inconvénients aussi, tu as un risque d'OD par accumulation d'opiacés. J'ai un pote à qui c'est arrivé (il a pris trop de métha et surtout trop tôt après sa dernière prise d'héro), il s'est retrouvé à l'hosto. Et il m'a dit ensuite que c'était moins une.
Donc voilà, chaque TSO a ses spécificités.
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Ben justement en fait, le plus dur c'est le psychologique. Dans mon cas, en effet, je n'étais plus en keum quand j'ai été voir l'addicto. Selon ma méthode, j'avais réduit progressivement avant de ne plus rien avoir. Rien du tout. J'avais même prévu des néos si c'était trop hard à gérer mais j'en ai pas eu besoin (et surtout je me disais que ça ne ferait que repousser le keum). Donc après arrêt progressif, je n'avais plus rien dans le sang depuis une semaine (6 jours pour être précis). Plus de symptôme de keum, plus de nez qui coule, de transpiration excessive, de chiasse (mais j'avais la chance d'être peu touché de ce côté-là) ni même d'insomnie. J'avais pas la grande forme non plus mais ça allait revenir, en plus les vacances approchaient.
Donc franchement, ce n'est pas par peur du keum, à cause du keum que j'ai été voir ce toubib. Et d'ailleurs lui même, le toubib, l'a constaté, j'étais pas en manque.
Et franchement là où j'en suis de ma réflexion, en tout cas pour ce qui me concerne, je pense que le manque, c'est une problématique secondaire par rapport au reste.
Le manque c'est juste un signe, un symptôme aisément identifiable d'un problème plus profond. C'est difficile de mettre des mots sur ce problème plus profond mais je le définirai comme une impossibilité de vivre en étant normal.
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Dernière modification par prescripteur (29 novembre 2018 à 12:40)
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Caïn a écrit
...Ben justement en fait, le plus dur c'est le psychologique. ...
Caïn a écrit
Donc franchement, ce n'est pas par peur du keum, à cause du keum que j'ai été voir ce toubib. Et d'ailleurs lui même, le toubib, l'a constaté, j'étais pas en manque.
Caïn a écrit
Et franchement là où j'en suis de ma réflexion, en tout cas pour ce qui me concerne, je pense que le manque, c'est une problématique secondaire par rapport au reste.
Le manque c'est juste un signe, un symptôme aisément identifiable d'un problème plus profond. C'est difficile de mettre des mots sur ce problème plus profond mais je le définirai comme une impossibilité de vivre en étant normal.
je m'immisce dans cette conversation passionnante...et me permet de relater les propos de Caïn car ils signent bien la question FONDAMENTALE qui est celle...du manque !!
j'ai un poster dans mon bureau.
Dessus, il y a marqué "En réalité, de quoi je manque ?"
parce que la question du manque, souvent ramené à celle du manque de prod et donc à ses conséquences physiques (ce qui est incontestable)...ne doit pas nous faire perdre de vue que la question du manque est celle de la condition humaine...parce que l'humain, seul être vivant doué de parole (le "parlêtre" de Lacan) a le manque comme point central
je m'explique : le langage, la parole, ça "rate" toujours ce qu'on essaye de décrire...il y a toujours "un manque" dans la parole...nos mots ne peuvent jamais tout dire...si je dis "une table", ça renvoie bien à une image mentale de table, qui sera différente pour chacun et qui, invariablement, ne pourrai jamais totalement décrire de quelle table on parle même si je mets plein d'adjectifs pour la décrire...celui qui va m'écouter dire "table" aura dans sa tête d'autres représentations de celle-ci, ça renverra pour lui/elle à d'autres tables...et donc forcément, il y aura une forme de manque dans ce que je dis...
être addicté à un produit /comportement, c'est aussi trouver un forme d'adaptation à ce manque inhérent à notre condition humaine...
je dis souvent à mes collègues que les UD, au moins, savent de quoi ils manquent !
mais dès qu'il n'y a plus de produit, qui est "l'objet" qui vient colmater le manque indicible pour tout le monde ..il reste quand même ce manque qui peut faire souffrir...
(les non addict s'arrangent autrement, il y en a même qui finissent psychanalystes, addictés à l'analyse on va dire et donc à une espace de parole qui vient border le trou dans la parole, donc ce fameux manque...)
petite digression psychomachintruc mais j'adore ce post
amicalement
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psychodi a écrit
je m'immisce dans cette conversation passionnante...et me permet de relater les propos de Caïn car ils signent bien la question FONDAMENTALE qui est celle...du manque !!
j'ai un poster dans mon bureau.
Dessus, il y a marqué "En réalité, de quoi je manque ?"
parce que la question du manque, souvent ramené à celle du manque de prod et donc à ses conséquences physiques (ce qui est incontestable)...ne doit pas nous faire perdre de vue que la question du manque est celle de la condition humaine...parce que l'humain, seul être vivant doué de parole (le "parlêtre" de Lacan) a le manque comme point central
je m'explique : le langage, la parole, ça "rate" toujours ce qu'on essaye de décrire...il y a toujours "un manque" dans la parole...nos mots ne peuvent jamais tout dire...si je dis "une table", ça renvoie bien à une image mentale de table, qui sera différente pour chacun et qui, invariablement, ne pourrai jamais totalement décrire de quelle table on parle même si je mets plein d'adjectifs pour la décrire...celui qui va m'écouter dire "table" aura dans sa tête d'autres représentations de celle-ci, ça renverra pour lui/elle à d'autres tables...et donc forcément, il y aura une forme de manque dans ce que je dis...
Lacan fait encore des ravages!!
Si ça rate, ça peut manquer, mais ça peut aussi déformer ou ajouter. Ce n'est plus un manque alors, mais une déformation ou un surplus. Serait-ce également inhérent à notre condition humaine?
Quant aux animaux qui ne parleraient pas, ils seraient exempts de ce manque?
http://www.college-de-france.fr/video/c … 181019.mp4
Ceci dit, En réalité, de quoi je manque?, me parle énormément.
Spoiler
Un peu comme lorsqu'on est invité à dîner, que tout commence bien, qu'on tient à l'eau durant la moitié de l'apéro qui s'éternise, avant de céder, et lorsqu'arrive le moment de passer à table, qui manquait peut-être un peu, ceci pouvant expliquer cela, il s'avère qu'on manque encore plus lorsqu'on capitule devant la bouteille de vin.
Pourquoi pas un souci de perfectionnisme? Serait-ce plus absurde que les lacaneries sus-mentionnées?
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Quant aux animaux qui ne parleraient pas, ils seraient exempts de ce manque?
Pour juger de l'action de Lacan, il faut prendre un peu de recul ; il n'avait pas vu la vidéo virale de dauphins qui se font tourner un poisson globe comme on fait tourner un joint.
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Caïn a écrit
Non Ile,
sans nécessairement chercher Lacan à la rescousse je pense que Psychodi a bien défini notre situation humaine, qui est de toujours manquer de quelque chose. En cela l'UD il oppose une réponse sensée, moi oui je suis en manque mais au moins je sais de quoi. Toi, Ile tu dis que l'on peut être dans le "trop" plutôt que dans le "pas assez". Je dirais que d'abord c'est quand même plus rare (en ce moment il y a des dizaines ou centaines de Gilets Jaunes qui manquent de l'essentiel) et que dans ce cas on manque de simplicité, de frugalité, d’authenticité.
Je me souviens que quand je prenais de la came, j'aimais me répéter que "la réalité est notoirement insuffisante", c'est la raison que je me donnais.
Donc je rejoins Psychodi, on est toujours en manque de quelque chose, même si l'on ne sait pas de quoi.
Comme je l'ai dit, cette histoire de manque me parle énormément - ce qui, ceci dit en passant, m'amuse assez sachant que j'ai déjà témoigné ici de mon addiction ou de mon inclinaison pour certains produits et que je me les représentais plutôt comme des réhausseurs de vie ou d'expérience, sans compter l'aspect relâchement de pression. Mais finalement peut-être est-ce juste une question de point de vue ou de repère, combler un manque ou ajouter à une quantité positive, ça va dans le même sens.
Ce que je conteste c'est de retracer l'origine du manque à la parole ou au langage. L'idée d'ajout dans ce cadre correspond au fait qu'on exprime parfois des choses qu'on ne pense pas, ne serait-ce que par l'emploi de mots dont on ne maîtrise pas ou mal le concept sous-jacent, et qui peuvent largement dépasser la pensée. On peut donc se rater et toucher bien en-deçà ou à côté, mais aussi bien au-delà. Je ne sais pas si je suis claire...
Mister No a écrit
Quant aux animaux qui ne parleraient pas, ils seraient exempts de ce manque?
Pour juger de l'action de Lacan, il faut prendre un peu de recul ; il n'avait pas vu la vidéo virale de dauphins qui se font tourner un poisson globe comme on fait tourner un joint.
Je ne sais pas si les dauphins sont un bon exemple car ils sembleraient qu'ils parlent. Mais les souris de laboratoire dont on teste l'appétence pour l'alcool, le sucre ou la cocaïne après période d'exposition, pourraient être opposées à Lacan. :)
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Anonyme1756 a écrit
...
Ce que je conteste c'est de retracer l'origine du manque à la parole ou au langage. L'idée d'ajout dans ce cadre correspond au fait qu'on exprime parfois des choses qu'on ne pense pas, ne serait-ce que par l'emploi de mots dont on ne maîtrise pas ou mal le concept sous-jacent, et qui peuvent largement dépasser la pensée. On peut donc se rater et toucher bien en-deçà ou à côté, mais aussi bien au-delà. Je ne sais pas si je suis claire...
je trouve que ce petit passage illustre au contraire parfaitement ce que je tente d'expliquer avec mes mots à moi...on est jamais totalement "clair", on ne peut par essence qu'être approximatif... c'est peut-être là notre drame commun mais aussi ce qui nous unis, autour du "trou" formé par le langage...
...après, le "manque" chez les psychanaystes est une notion assez foutraque et compliquée...avec Lacan, en plus, on se perd assez vite (au début de mes études de psycho, on nous avait passé une de ses conférences...j'avais cru à une présentation de psychotique...en fait, il était juste hystérique...mais sans symptômes...et c'est lui même qui le disait !)
et puis la psychanalyse, de toute façon, c'est surfait, haha !!
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psychodi a écrit
je trouve que ce petit passage illustre au contraire parfaitement ce que je tente d'expliquer avec mes mots à moi...on est jamais totalement "clair", on ne peut par essence qu'être approximatif... c'est peut-être là notre drame commun mais aussi ce qui nous unis, autour du "trou" formé par le langage...
Oui, je ne peux pas dire que ce soit totalement faux, mais on n'en est pas nécessairement conscient, et on ne reçoit pas toujours la rétroaction qui permettrait d'en être conscient, et de ressentir une forme de frustration. Est-ce vraiment un drame? Il y a tellement de gens qui s'en accomodent.
Je ne suis pas familière de la notion de manque chez les psychanalystes. Hystérique, c'est encore un terme récupéré par les psychanalystes, et qui ne veut plus rien dire communément. Pour moi il était psychopathe, et grandiose dans son genre :
prescripteur a écrit
A propos de rats de laboratoire je rappelle
http://www.stuartmcmillen.com/fr/comic/parc-aux-rats/
Clairement les rats de laboratoire manquent de relations "humaines", et quand
on leur en donne leur comportement change radicalement !!!
Amicalement
Cela marche dans un sens comme dans l'autre, pour les rongeurs et pour les hommes, il faut trouver le juste milieu:
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