1
Dernière modification par harmony (08 novembre 2018 à 18:53)
Hors ligne
après de longues discussions, pas eu besoin de beaucoup forcer d'ailleurs, il a décidé d'essayer de baisser.
(en fait, c'est surtout moi qui gère sa baisse, il me fait confiance ^^)
je pensais encore réduire le rythme de la baisse.
Quand on réduit
Il serait sans doute mieux qu'il puisse gérer son sevrage en fonction de son ressenti, de ses envies et de ses possibilités et sans que tes attentes ne lui mettent une pression trop importante.
Pas facile, je sais, mais dis toi que c'est la galère pour lui aussi
Bon courage pour vous deux.
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Dernière modification par hyrda (09 novembre 2018 à 20:15)
Hors ligne
Hors ligne
hyrda a écrit
vous êtes donc bien compréhensifs avec Harmony je dois manquer d'empathie
Premier contact, nous avons été plusieurs à répondre gentiment, ce n'est pas irréversible.
Ayant écrit l'essentiel en ce qui concerne la baisse de la méthadone, voilà le deuxième post qui contient la deuxième couche.
Harmony, comment se fait-il que tu n'ai pas posté une deuxième fois après ce long texte interrogateur ? Je vais développer un peu ce post très court d'Hydra qui a raison.
Sur Psychoactif, nous n'aimons pas des masses dialoguer avec un conjoint ou toute autre personne de l'entourage proche de l'intéressé, privilégiant l'intéressé.
Tu parles de ton conjoint comme si c'était toi qui devait descendre ton dosage. Notre expertise (du fait que nous soyons aussi consommateurs de TSO) ne peut "parler"
qu'à une personne qui comprend nos mots dans la profondeur de ses tripes. Lorsque le dialogue s'instaure sur un tel sujet avec une personne ignorante du bordel que vit une personne dépendante des opiacés à chaque descente de TSO, l'incompréhension est un résultat quasi systématique.
Tu ne peux pas ressentir le désarroi qu'entraine ces baisses et pourtant tu te places devant lui en annonçant que le médecin de son Csapa est plutôt opposé à cette baisse en vue du sevrage. Bizare, nous aussi ...
L'Italien est un des rare battants capable de se sevrer momentanément des opiacés en passant de gros dosages à zéro. Ce n'est pas donné à tout le monde de faire du rodéo. Respect l'Italien.
"Seul contre tous" est une devise que j'ai trouvé sur une plaque de cheminée et c'était la devise de rois de France.
Pour conclure, donnes la main à ton homme sur le forum sinon, rien de constructif ne va ressortir de ce thread.
Fil
Hors ligne
Hors ligne
Dernière modification par cependant (11 novembre 2018 à 10:35)
Hors ligne
Je profite du message pour une question à laquelle je n'ai pas trouvé de réponse et en lien avec le sujet : y a t il un phénomène de PAWS même après un arrêt très très progressif ?
L'arrêt progressif diminue la probabilité de la survenue d'un PAWS mais ne l'annule pas.
Il faut comprendre que le PAWS , même s'il a une définition unique (syndrome après sevrage aigu) ne correspond pas à quelque chose d'unique. Il y a plusieurs mécanismes, le manque "physique" du produit mais aussi le deuil du produit ou le retour aux difficultés psychologiques qui ont expliqué le recours au produit.
C'est pourquoi la prise en charge doit etre adaptée à la nature des difficultés.
Pour les opiacés il semble qu'il existe pour faire simple (et même simpliste) un "déficit de récepteurs opiacés"
qui met du temps à se corriger et c'est pourquoi la prise prolongée de petites doses de méthadone (5 mg environ) peut etre proposée dans certains cas.
Amicalement
Hors ligne
Dernière modification par hyrda (11 novembre 2018 à 20:24)
Hors ligne
prescripteur a écrit
L'arrêt progressif diminue la probabilité de la survenue d'un PAWS mais ne l'annule pas.
Il faut comprendre que le PAWS , même s'il a une définition unique (syndrome après sevrage aigu) ne correspond pas à quelque chose d'unique. Il y a plusieurs mécanismes, le manque "physique" du produit mais aussi le deuil du produit ou le retour aux difficultés psychologiques qui ont expliqué le recours au produit.
C'est pourquoi la prise en charge doit etre adaptée à la nature des difficultés.
Pour les opiacés il semble qu'il existe pour faire simple (et même simpliste) un "déficit de récepteurs opiacés" qui met du temps à se corriger et c'est pourquoi la prise prolongée de petites doses de méthadone (5 mg environ) peut etre proposée dans certains cas.
Merci prescripteur pour ces infos
Et merci à cependant pour ton témoignage.
Dernière modification par harmony (12 novembre 2018 à 01:25)
Hors ligne
Hors ligne
[ Forum ] Interaction & Mélange - Petit extra de came sous métha : baisse de la methadone ?
|
11 | |
[ Forum ] Arrêt & Sevrage - Baisse metha et deprime
|
10 | |
[ Forum ] Arrêt & Sevrage - Baisse méthadone aprés 15 ans
|
2 | |
[ PsychoWIKI ] Méthadone et grossesse | ||
[ PsychoWIKI ] Méthadone et transpiration | ||
[ QuizzZ ] Risquez vous une overdose d'opiacé ? (heroine, morphine, methadone)
20035 personnes ont déja passé ce quizzz ! |
||
[ QuizzZ ] Testez vos connaissances sur les overdoses d'opiacés
20154 personnes ont déja passé ce quizzz ! |