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The study says:
MDMA users reported feeling significantly greater emotional empathy, and computer tasks revealed greater cognitive empathy, compared to people who used multiple drugs not including MDMA (there was little difference between the MDMA group and the alcohol-only group)
All participants showed declines in mood and self-esteem in response to social exclusion, but there were no differences between the three groups.
The levels of empathy and social pain in MDMA users were consistent with "normal psychosocial functioning."
https://www.sciencedaily.com/releases/2 … 115247.htm
Abstract
Background:
3,4-Methylenedioxymethamphetamine (MDMA) is widely known for its positive acute effects on social behaviour, such as increasing empathy, whilst also attenuating the negative impact of social exclusion. However there is a scarcity of research that investigates the long-term impact of recreational MDMA use on these fundamental social processes.
Method:
Sixty-seven individuals were split into three groups based on their drug-use history: poly-drug MDMA users (n = 25), poly-drug users who do not use MDMA (n = 19), alcohol-only users (n = 23), and were tested in an independent groups design. Participants completed both a self-report measure of emotional and cognitive empathy, along with the Multifaceted Empathy Task – a computerised assessment of empathy – and the Cyberball Game – a social exclusion paradigm.
Results:
MDMA users had significantly greater subjective emotional empathy, and greater cognitive empathy on the computer task compared with the poly-drug users who do not use MDMA. There were no significant differences in subjective responses to social exclusion between the groups. Indices of MDMA use did not correlate with empathy.
Conclusions:
Long-term MDMA users in this sample exhibited normal psychosocial functioning in regard to empathy and social pain and had higher subjective emotional empathy. This conflicts with previous suggestions that moderate, long-term MDMA use may cause heightened social distress, and is further evidence of the safety of the drug, which is relevant to considerations of its therapeutic use.
Just say no prohibition !
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- bilou
- Nouveau Psycho
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- Inscrit le 17 Apr 2007
- 179 messages
j'ai souvent envie d'envoyer tout ballader.Le probleme,c'est qu'après,ilfaut tout ramasser
Bilou
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- azertyuiop98765
- Santoryu Oni Giri (adhérent PA)
- 000
- Inscrit le 18 Jun 2018
- 158 messages
Une bonne défonce c’est avec des amis et seulement en teuf ! Il faut que ça reste festif !
Azertyuiop98765
https://www.psychoactif.org/forum/adhes … oactif.php
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Méthode:
67 participants ont été divisé en trois groupes basés sur leur historique d'usage de drogues: Premier groupe: Les "poly usagers" de MDMA (n=25), les poly usagers de drogues qui ne consomment pas de MDMA (n=19), et les usagers d'alcool excusivement. (n=23). Ils ont été contrôlé dans des groupes indépendants. Les participants ont complétés eux mêmes un rapport (genre auto diagnostique) qui mesurait l'empathie cognitive et émotionnelle, ansi qu'une tâche d'empathie à multiple facettes, une évaluation informatisée d'empathie et le "Cyberball Game", qui est un paradigme d'exclusion sociale.
Résultats:
Les usagers de MDMA ont eu de bien meilleurs résultats (subjectifs) au niveau de l'empathie émotionnelle, et une meilleure empathie cognitive sur la tâche informatisée d'empathie, comparé aux poly usagers de drogues qui n'utilisent pas la MDMA. Il n'y avait pas de différences significatives entre les mesures de l'exclusion sociale subjective entre ces deux groupes. L'utilisation de la MDMA n'a pas de corrélation avec l'empathie. (pas sûr de cette phrase, le "indices" me mindfuck un peu)
Conclusions:
Les usagers de MDMA dans cet échantillon ont exposé des résultats normaux au niveau du fonctionnement psychologique lié à l'empathie et l'indice de "social pain" (littéralement: douleurs sociales), et avait un plus grand indice d'empathie émotionnelle subjective. Ces résultats vont à l'encontre des précédents résultats selon lesquels l'utilisation à moyen et long terme pourrait causer une détresse sociale accrue, et constitue une preuve supplémentaire de la sécurité de l'usage de cette drogue, ce qui est pertinent par rapport aux considérations de son usage thérapeutique.
je vous fait kdo de cette trad éco +, mais normalement, le sens reste le même. Va falloir que no repasse par là pour me corriger si nécessaire^^
lost inside the black hole
dropping down the edge
fade away in shadow
is this where it ends?
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Abstrait
Contexte:
La 3,4-méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA) est largement reconnue pour ses effets aigus positifs sur le comportement social, tels que l'augmentation de l'empathie, tout en atténuant l'impact négatif de l'exclusion sociale. Cependant, il existe peu de recherches sur l'impact à long terme de l'utilisation de la MDMA à des fins récréatives sur ces processus sociaux fondamentaux.
Méthode:
Soixante-sept personnes ont été divisées en trois groupes en fonction de leurs antécédents de consommation de drogue: utilisateurs de drogues multiples en MDMA (n = 25), utilisateurs de drogues multiples qui n'utilisent pas de MDMA (n = 19), consommateurs d'alcool seulement (n = 23), et ont été testés dans une conception de groupes indépendants. Les participants ont rempli une mesure autodéclarée de l'empathie émotionnelle et cognitive, ainsi que de la tâche d'empathie à multiples facettes - une évaluation informatisée de l'empathie - et du jeu de cyberbaleu - un paradigme d'exclusion sociale.
Résultats:
Les utilisateurs de MDMA présentaient une empathie émotionnelle subjective beaucoup plus grande et une plus grande empathie cognitive face à la tâche informatique par rapport aux utilisateurs de drogues multiples qui n’utilisaient pas de MDMA. Il n'y avait pas de différences significatives dans les réponses subjectives à l'exclusion sociale entre les groupes. Les indices d'utilisation de la MDMA n'étaient pas corrélés à l'empathie.
Conclusions:
Les utilisateurs de MDMA à long terme de cet échantillon ont présenté un fonctionnement psychosocial normal vis-à-vis de l'empathie et de la douleur sociale et une empathie émotionnelle subjective plus élevée. Cela va à l’encontre des précédentes suggestions selon lesquelles une utilisation modérée à long terme de la MDMA pourrait causer une détresse sociale accrue, et constitue une preuve supplémentaire de la sécurité du médicament, ce qui est pertinent pour les considérations relatives à son utilisation thérapeutique.
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