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NEW101 a écrit
Pour moi après l'arrêt du subu imagine a 0.1mg/j j'ai pris que du tramadol entre 60 et 80 mg bain j'ai eu plains de nuits blanche et beaucoup d'impatience au jambes pendant une vingtaine de jours, en suite j'ai switché sur de la codéine a raison de 5 comprimés/jours aujourd'hui je suis a plus ou moins 3 comprimés /j
Bonjour,
je ne comprends pas pourquoi tu as remplacé le subu par le tramadol et la codéine. Ce sont des opiacés qui agissent sur les memes récepteurs. Donc tu ne descend rien du tout ?
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NEW101 a écrit
la première des choses qui m'a permis la descente, c'est d'oublier l'extra sauf avec de l'alcool ou du cannabis rarement , sinon avec le sub et autre, j'ai arrêter de prendre du plaisir depuis des années, c'est la raison qui m'a beaucoup aidé. par contre dans ton cas je pense que tu va avoir aucun plaisir a prendre les codo, comme dirais Lavoisier « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »
je vais continuer a diminuer le codéine, petit a petit, objectif rien du tout mais sans pression
Merci !
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pierre a écrit
NEW101 a écrit
Pour moi après l'arrêt du subu imagine a 0.1mg/j j'ai pris que du tramadol entre 60 et 80 mg bain j'ai eu plains de nuits blanche et beaucoup d'impatience au jambes pendant une vingtaine de jours, en suite j'ai switché sur de la codéine a raison de 5 comprimés/jours aujourd'hui je suis a plus ou moins 3 comprimés /j
Bonjour,
je ne comprends pas pourquoi tu as remplacé le subu par le tramadol et la codéine. Ce sont des opiacés qui agissent sur les memes récepteurs. Donc tu ne descend rien du tout ?
Salut,
Donc mon objectif a long terme c'est d'arriver a rien du tout, avec le sub j'ai beaucoup souffert, c'est une souffrance permanente, spécialement les 3 dernière années, une descente très difficile, une fatigue, le mâle être, en réalité le subu a changé beaucoup de choses dans ma personnalité et voila qu'aujourd'hui je redeviens moi .....etc
après l'arrêt a 0.1mg/j ==== (tramadol ) j'ai passé plus ou moins 1 mois de manque gérable, mais une forme physique incroyable, un soulagement et une réussite a mon avis, la je suis a 2.5 comprimés de Co doliprane de 20/400 et je continue a diminuer, je suis tellement fière de moi c'est incroyable. voila
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Dernière modification par Caïn (27 février 2021 à 17:32)
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Caïn a écrit
Carambar,
1 mg, franchement tu es proche de zéro. Et l'effet n'est plus que psychologique. Même si le psy c'est aussi réel dans tes sensations.
Et comment fais-tu concrètement, il y a un conditionnement pour 1 mg ?
Salut Cain,
Non, le conditionnement en dessous de 1mg n'existe pas.
D'où la nessité de parfois ouvrir les gélules lorsque l'on est entre deux dosages.
Bon d'accord, ce ne sera jamais précis mais c'est vraiment très facile (la gélule s'ouvre facilement et est marquée à la moitié).
Par ailleurs, et compte tenu de la longue demie vie de la méthadone, j'ai fait des séries un jour sur deux (par exemple) de 30-25-30-25 mg etc... puis 25-25-25 mg, et ainsi de suite. Ça passe crème et on peut adapter l'idée à tous les dosages.
Le plus gros maintenant, c'est la crainte de vivre sans le produit, c'est ça qui est pas évident pour moi.
Pour le reste, je n'avais jusqu'ici guère eu que des insomnies et relativement peu de symptômes.
Bizarrement, c'est plutôt maintenant que ça commence à apparaître.
Je dis comme les autres, c'est à dire qu'au dosage auquel je suis à présent rien n'est encore gagné niveau sevrage pur, il apparaît des chauds et froids de manière aléatoire, des éternuements, un peu d'agitation et surtout pour moi de l'insomnie.
Malgré tout, c'est tout à fait gérable et même après 25ans de metha, ça ne ressemble en rien à un manque d'hero ( certes j'ai pas fini le sevrage, mais le produit ne me tient plus 24h00 depuis belle lurette, j'ai un léger manque quand même comme je vous l'ai dit mais rien de bien méchant ). Je ne travaille plus donc je peux m'arranger avec l'insomnie nocturne.
Et je sens malheureusement qu'il y en a encore pour quelques temps, c'est pas si simple.
J'ai cru aussi qu'en diminuant extrêmement progressivement, même à la fin, je pourrais m'en tirer sans aucune casse.
Or, visiblement il faudra carrément passer en manque à un moment et quelque soit le dosage.
Pour moi ça a l'air de se situer vers 1ou 2 mg, je sens que le seuil est plus dur à passer.
Cela dit, ce que je crois il faut retenir, c'est qu'une diminution non douloureuse et toujours possible si elle est bien bien organisée, pour des personnes stabilisées (sur tous les points), au clair avec leur consommation de drogue et suffisamment motivées.
Il faut appliquer la diminution comme avec un horaire de chemin de fer, et s'y tenir. Faire des tranches de 10%, c'est pour moi une des meilleures méthodes.
La question est aussi de savoir si l'on doit s'imposer une limite sur la durée du sevrage, et aussi s'il existe une formule qui permettrait de calculer cette durée théorique en partant du paramètre de posologie initiale de l'usager, la constante de durée du pallier de diminution. et le taux de 10% qu'on connaît tous. Ça doit se faire avec des logarithmes ou des formules d'intérêts composés. Y'a pas un matheux pour aider ? C'est pas très important, c'est juste par curiosité.
Bref, c'est très long, et tout le monde ne verra pas l'utilité de se lancer dans un sevrage qui peut durer plusieurs années, selon l' usager.
Bien à vous,
Bye "
Dernière modification par Carambar (02 mars 2021 à 16:24)
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Dernière modification par Caïn (03 mars 2021 à 10:40)
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Caïn a écrit
Carambar,
Personnellement j'ai du mal avec cette notion : "Il faut appliquer la diminution comme avec un horaire de chemin de fer, et s'y tenir." +
Effectivement je me suis mal exprimé. Il ne faut pas forcément faire cela.
Ce que je voulais dire, c'est qu'une diminution de 10% ou plus pour une période donnée , ça peut être très long si l'on part de haut.
Après, tout dépend du temps qu'on se donne pour le sevrage, si l'on s'en donne un.
Comme je disais plus haut, ça se calcule (mais j'ai pas le courage de le faire, ce calcul ). J'ai tout de même compris qu'à ce rythme le sevrage est très long, et c'est pourtant la position que j'adopte, n'étant pas du tout partisan des sevrages radicaux.
Je l'ai adoptée car j'ai cru comprendre qu'il y avait plus ou moins concensus à ce sujet, chez les usagers comme chez les addictos. On en parle souvent sur Psychoactif. Il y a même des "méthodes" (Ashton pour les benzos).
Ce système m'a parlé et m'a assez bien réussi pour l'instant.
Cela ne veut pas dire que je l'applique à la lettre, j'ai passé des périodes plus longues sur un même dosage et je suis parfois remonté temporairement de quelques milligrammes.
Je comprends bien ton point de vue, et en matière de sevrage et de drogues, tu as bien raison de penser que c'est l'usager l'expert. Passé un certain stade de connaissances et d'expérimentations, chacun fera comme il voudra.
Ce que je voulais juste dire, c'est que lorsque j'ai eu envie d'en finir avec mon TSO, je me suis demandé combien de temps ça pouvait prendre. Ça n'aura peut-être pas d'importance pour beaucoup, mais ça en a pour moi.
Ça m'est arrivé de faire des pallier de 3 mois, et j'ai fini par trouver que dans l'optique dans laquelle je me trouve, ça revient au même. L'essentiel c'est pour moi d'éviter le plus gros des désagréments physiques comme psychologiques. Je dis bien le plus gros parce que je sais qu'il y en aura. Par contre, avec 10% sur un mois, l'impact des dégâts a été presque nul jusqu'à 2mg et c'est ce que je voulais dire. Je n'ai donc pas (généralement) ressenti le besoin de faire des palliers plus longs, ça a bien marché comme ça.
Eh oui tu as raison, 1 mg de metha ça doit pas être loin de 0,1 de bupré,soit 10 mg de morphine si j'ai bonne mémoire. Ça fait pas bezef mais je t'assure qu'au bout de 25 piges il faudrait pas croire que ce soit facile d'en terminer, c'est la fin qui est la plus pénible pour moi, et même à ce dosage. Ça peut sembler bizarre, c'est difficile à expliquer. C'est peut-être ça le "mystère de la dépendance" dont parlent les addictos, je sais pas.
Bref pour finir, bien sûr qu'il n'y a pas de vrai modèle de sevrage, je pense que ça se saurait.
Des protocoles sûrement, mais en hôpital.
Par contre, partir du principe qu'on fait 10% par mois, adapter s'il le faut, ça peut donner une sorte de structure à ceux qui en auraient besoin.
Tu as raison de dire qu'il faut faire comme on le sent, mais tout de même en s'assurant de rester motivé sur la durée, qui est déjà assez longue comme ça. Sur plus de 3 ans, je crois que je perdrais patience, et puis je pense sincèrement qu'il n'y a pas de plus-value à faire aussi long. C'était le sens de l'horaire de chemin de fer, une expression malheureuse, j'en conviens. Car en matière de sevrage, il y a rarement urgence.
Bye' et prenez bien soin de vous !
Dernière modification par Carambar (03 mars 2021 à 13:24)
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