Nouveau test salivaire belgique

zozoled a écrit

J'ai jamais eu le très grand déplaisir de devoir passer une tige dans ma bouche ce viol bucal quoi .

mais est ce que si t'es sous méthadone tu risques des embrouilles et valiums ?

et aussi leur test detecte les nps ? si oui on risque quoi...

parce que chaque fois que je prends le volant ce qui est rare utlra rare j'ai peur de tout ça et veut même pas imaginer de me faire chopper je vais attirer la volaile mais je veux connaitre vos expériences négatives et expériences tout court et vos connaissances.

vu que la loi a été modifiée et que les test salivaire seront plus fréquent qu'avant.

avis à tout ceux du plat pays qui est le notre qui lentement agonise bref tu connais la suite

Salut,

Les tests salivaires (languettes) de la police détecte 5 classes de drogues: cocaïne, amphétamines (speed, mdma meth) LSD, opiacés (héroïne, morphine) et cannabis.

Le tramadol et la methadone ne donnent pas de résultats positifs aux opiacés.

Les benzodiazepines ne sont pas détectable par leurs languettes, même si des languettes existent pour le dépistage des bzd.

Dans l’ancien test, il fallait qu’une ligne apparaisse pour connaître la substance consommée. À présent, c’est le contraire ! C’est la ligne du produit qui n’apparaît pas qui détermine ce que le conducteur a utilisé. Avant, si le contrôle s’avérait positif, il fallait le faire suivre d’un prélèvement sanguin. À présent, la salive récoltée suffit, car avant en pratique, durant le contrôle, la personne ne doit pas bouger et garder la tigette sous la langue. Un sachet contenant la salive était ensuite envoyé au laboratoire.

Les avancées sont multiples : une équipe de police ne devra plus se rendre disponible pour conduire les personnes « positives » à l’hôpital pour y subir une prise de sang, un médecin ne devra plus être mobilisé pour le prélèvement et les services hospitaliers seront dès lors désengorgés. Le coût sera également différent pour le contrevenant, qui ne paiera plus la prise de sang mais uniquement l’analyse salivaire. Une analyse en laboratoire sera néanmoins toujours nécessaire afin de chiffrer la consommation.

L’usager devra néanmoins se montrer coopératif. Si la personne ne reste pas calme ou refuse le contrôle, on procédera alors au prélèvement sanguin