Dépendance psychique

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Mogrador homme
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Salut, de nombreux sites de prévention mentionne une dépendance psychique au psychédéliques. Ca se traduit par une envie d'en reprendre. Or je n'ai jamais pris de psychédéliques mais en voyant les témoignages,  ça a l'air épuisant mentalement.

Est-ce que après la descente , vous sentez une envie de reprendre un buvard ?

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Ocram homme
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Mogrador a écrit

Est-ce que après la descente , vous sentez une envie de reprendre un buvard ?

Bonsoir,

Avec Les psychédélique il n y a pas de dépendance psy ou physique (ou alors pour de très rares personnes mais c est marginale)

Généralement après un trip tu es plutôt très content de ré atterrir sur le plancher des vaches... ça calme généralement pendant un bon moment. De plus il y a une tolérance quasi immédiate avec pas mal de psychédélique qui t oblige à augmenter très très fortement les doses si tu veux retripper le lendemain par exemple...

Donc c est du bullshit de prohibitionniste primaire cette histoire de dépendance aux psyché... ( je pense surtout à l acide, aux champi, les 2Cx etc)

Ocram

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Abracabrantesque homme
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Hello!
Je dirais qu'on peut effectivement comparer un trip à un vrai voyage.
A la fin on est content de rentrer à la maison. Si on a passé un bon moment on aura envie de repartir en voyage.
Mais il n'y a pas d'envie fulgurante de reprendre un trip immédiatement.

A plus!

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NugInLungs homme
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buuuuuuulllsssshhhhiiiiiittttt !!!!!
Les gens qui ecrivent ces articles sont les mêmes qui disent que l'on peut faire une overdose au cannabis .

Ne vous laissez pas influencer et restez safe wink

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janis femme
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Hello Mogrado,

Oui comme les autres je pense qu'une fois redescendue, tu profites d'un after souvent agréable donc l'envie de reprendre un buvard n'est jamais immédiate.

janis

J'ai pour me guérir du jugement des autres, toute la distance qui me sépare de moi-même

A. Artaud

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OfMn homme
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Salut,

Pour le coup je ne suis pas vraiment d'accord avec les réponses du dessus.
Certe tu n'aura jamais une dépendance psychique aussi forte que pour certaines autres drogue, mais tu peux en développer une quand même si tu aimes ça.

De mon expérience, j'ai était complétement obsédé par le LSD sur une période de trois ans. J'en ai pris presques chaques semaines ( parfois plusieurs fois dans la même semaine, mais vu que les effets sont diminué si les prises sont trop rapproché ça m'a vite calmé et poussé à attendre minimum 5jours entre chaques prises ). J'y ai pensé tous les jours pendant 3ans, et ça m'a pris du temps pour m'en détacher. Et pour le coup, comme avec le weed, le LSD aura était pour moi la drogue qui m'aura le plus accroché psychologiquement.

Du coup je dirai que ouai tu peux avoir une dépendence psychique, mais c'est différent,  peut-être pas de l'ordre du "craving" lié à l'état de manque à proprement parlé, mais plutôt d'une quête de sensation forte sans fin ( enfin c'est ce que j'ai analysé pour moi ).

Après chacun est différent :)

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PandaCore homme
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Pas de craving aussi, mais plus une envie du genre une envie de mangez des frites et beh je ressens pareil pour le lsd lol

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Mogrador homme
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Quand je parle de dépendance,  même psychologique,  ce serait quelque chose contre lequel on a du mal à dire non pas une grosse envie même forte que l'on pourrait contrôler

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Heashka
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Pour qu'une dépendance se développe, la molécule doit permettre de vivre au jour le jour avec. Je rejoins Ocram sur le fait que les hallucinogènes dans une grande majorité de cas ne permet pas l'installation d'une dépendance car on ne peut faire ses courses, aller au travail et ranger sa maison tecla au LSD par exemple.

Je cours entre l'hôpital, le laboratoire et les services neuropsychiatriques quand je ne suis pas en conférence à la faculté de médecine pour écouter l'actualité sur l'addictologie.

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Mister No homme
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car on ne peut faire ses courses, aller au travail et ranger sa maison tecla au LSD par exemple.

J'en ai croisés qui n'avaient rien programmé de tout cela, mais qui ne sont pas tombés accrow.
Si on devait arrêter de se droguer uniquement car ces choses ne sont pas envisageable cela ne créérait pas un frein à la dépendance. La raison est principalement liée aux caractéristiques pharma des psychédéliques qui ont peu de chances de se retrouver dans cadre de dépendance à la prise quotidienne.
Même en bourrant sur le dosage, le cerveau n'a pas la capacité de vivre une expérience génératrice de dépendance avec un usage quotidien.
Contrairement à certains stims où l'arrêt de la cession peut faire mal, là atterrissage et la fermeture de la parenthèse intervient quand la phase d'euphorie a cessé et est globalement très attendue.
Avec les psychédéliques, prendre de la drogue et arrêter la prise font du bien^^, c'est aussi ce qui en fait une classe à part.
De nombreuses personnes de ma génération ont testé le LSD dans leur jeunesse, m'ont confirmé avoir vécu des instants merveilleux sans s'être même posé la question de savoir si ils avaient envie d'en reprendre ou pas.
C'est vraiment une classe de molécules à part qui a bien des secrets à nous livrer encore.

Dernière modification par Mister No (09 octobre 2019 à  09:34)


Just say no prohibition !

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Macroscopie homme
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Je me souvient qu’a mon premier buvard dosé a environ 70-80 mics, une fois le trip finis j’avais juste envie de recommencer, donc j’ai repris un buvard le lendemain. Bien sûr sans effet, et j’étais bien frustré.
C’est la seule fois que j’ai eu envie de retripper de suite. Mais franchement après un bon 100 microns déjà, l’envie d’en reprendre n’est plus là pour ma part.
Et après un 200, franchement je peux attendre longtemps big_smile

Dernière modification par Macroscopie (22 octobre 2019 à  14:17)

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Heashka
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Heashka a écrit

Pour qu'une dépendance se développe, la molécule doit permettre de vivre au jour le jour avec. Je rejoins Ocram sur le fait que les hallucinogènes dans une grande majorité de cas ne permet pas l'installation d'une dépendance car on ne peut faire ses courses aller au travail ranger sa maison tecla

Mister No a écrit

Si on devait arrêter de se droguer uniquement car ces choses ne sont pas envisageable cela ne créérait pas un frein à la dépendance.

Même en bourrant sur le dosage, le cerveau n'a pas la capacité de vivre une expérience génératrice de dépendance avec un usage quotidien.

Ce que j'ai dit quoi ahah lol


Je cours entre l'hôpital, le laboratoire et les services neuropsychiatriques quand je ne suis pas en conférence à la faculté de médecine pour écouter l'actualité sur l'addictologie.

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Mister No homme
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Pardon, je me suis mal exprimé.
Ta supposition induit une non propension à générer l'addition en raison des conséquences des effets quotidiens. Je pense que la cause n'est pas la conséquence des effets mais une particularité biochimique commune par exemple aux tryptamines.
Donc pour préciser ma pensée, même en bourrant sur le dosage au quotidien difficile de générer une dépendance.

Just say no prohibition !

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psychodi homme
Pour ma santé :5 weed et j'les fume par jour
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la dépendance "psychique" est une notion vague et relativement subjective
à contrario, comme le souligne Mister No, les dépendances pharmacologiques sont + objectivables (et encore...)

mais là encore, il reste une part subjective quand même :  tous les dépendants à la nicotine ne ressentent pas l'envie/le besoin de fumer de la même manière alors que les "circuits" neuronaux ont bien été identifiés, par exemple...

avec le LSD ou les psylos (pour mon expérience perso), je dirai que la qualité de l'expérience vécue, l'appétence de la personne pour les expériences singulières, le contexte de "la première fois", la réflexion "après-coup" et l'intégration de l'expérience, la possibilité de la réitérer ou non, la capacité à "lâcher prise" durant le trip...tout cela participe du renouvellement de la consommation ou pas...donc tu vois, Mogrador, que ça reste bien plus complexe (si on accepte la complexité) que de dire de façon lapidaire : les psychédéliques, ça induit des dépendances psychiques...
toute expérience bénéfique pour soi n'amène pas systématiquement au fait de la recommencer
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Je trouve ton message PARFAIT ! Tout est dit. Lito

il y a des jours étranges
il y a des jours, j'm'étrangle
Surtout...ne pas se biler sur la route...
Psychoactif ? Faut s'abonner là, vite !!

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PaRaLLeL homme
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Vu que tous le monde a l'air d'accord, je vais me permettre de partager un peu mon vécu, qui va a l'encontre de ce qui est dit.

J'ai pensé pendant des années que les psyché ne provoquaient pas de dépendance, aucune. Et puis j'ai constitué une telle habitude de ces drogues, que j'ai commencé à les banaliser de plus en plus.

Lors d'une sortie au bar entre copain, je n'y allais même plus pour tiser, mais pour "m'amuser" à me coller un para de 60mg de 2C-C par exemple. Et tout se passait bien. J'étais donc capable de gérer un psyché en société en ayant l'air moins con que ceux qui ont tisé de l'alcool. Tout bénef'

Je pars petit à petit de plus en plus en couille, et commence a consommer de plus en plus souvent de la Proscaline pour allé au taff. Et tout se passe bien.

Et puis j'en arrive à une consommation totalement dingue de psyché, au quotidien. Déjà, je tiens à préciser que s'il y a une tolérance élevée aux effets hallucinogène, les effets stimulants/réhaussement d'humeur sont toujours d'actualité. Et c'est ce que j'ai fini par rechercher. Notamment avec la classe des phénéthylamines, -Proscaline/Escaline/3C-P/3C-E/2C-iP/2C-E/2C-C/2C-D/2C-B-FLY pour les principaux-, les lysergamides sont également intéressant au quotidien, en particulier ALD-52/ETH-LAD/1P-ETH-LAD/LSM-775, mais aussi des tryptamines comme la DPT/4-HO-DPT/EPT/5-MEO-MiPT et j'en passe. Côté dissociatifs, j'ai beaucoup consommé de 3-MEO-PCP/3-MEO-PCE/3-HO-PCP/3-HO-PCE/2-FDCK/Deschloroketamine/O-PCE... Dans mon niveau de tolérance le plus haut, je pouvais combiner pas mal de ces produits ensemble. Et si ça partais en "trop psyché" un coup de Diazepam/Alprazolam et on repartait de plus belle.

Tout ça pour dire que quand on en a beaucoup trop pris depuis des années, et qu'on sait comment hacker son cerveau en maniant une tolérance adaptée, il devient possible de "binger" des psyché comme on le ferait avec des stimulants ou opiacés.

Et j'ai démarré mes conneries avec le micro-dosing, m'apercevant du bien être que ça m'apportais au quotidien, j'ai continué et les doses sont montées petit à petit sans jamais me retrouver totalement perdu en société.

Et je ne conseille à personne de se lancer là-dedans, je viens de passer presque une année à me remettre de ces abus.

Dernière modification par PaRaLLeL (31 octobre 2019 à  16:14)

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Merci pour ce partage d'expérience hors norme. Abraca.
 
Texte mis dans les morceaux choisis de Psychoactif. (Agartha)
 
étonnant et intéressant

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Rick
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Aussi on doit prendre en compte que les molécules on ne connait pas tout d'elle , notamment lorsqu'il y a une utilisation hors norme.

Par exemple : les personnes qui consomment +300 cartouches de chantilly par jour et qui ont abîmé leur moelle épinière.

Donc bon les gens ils disent "oui , le N²O c'est pas addictif, c'est pas toxique". Puis après tu lis dans le journal des trucs comme ça

C'est difficile de prévoir si une personne va développer une addiction avec telle ou telle molécule... elles ont presque toutes le potentiel d'être consommé à outrance au point de gêner le quotidien.

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Heashka
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PaRaLLeL a écrit

Vu que tous le monde a l'air d'accord, je vais me permettre de partager un peu mon vécu, qui va a l'encontre de ce qui est dit.

J'ai pensé pendant des années que les psyché ne provoquaient pas de dépendance, aucune. Et puis j'ai constitué une telle habitude de ces drogues, que j'ai commencé à les banaliser de plus en plus.

Lors d'une sortie au bar entre copain, je n'y allais même plus pour tiser, mais pour "m'amuser" à me coller un para de 60mg de 2C-C par exemple. Et tout se passait bien. J'étais donc capable de gérer un psyché en société en ayant l'air moins con que ceux qui ont tisé de l'alcool. Tout bénef'

Je pars petit à petit de plus en plus en couille, et commence a consommer de plus en plus souvent de la Proscaline pour allé au taff. Et tout se passe bien.

Et puis j'en arrive à une consommation totalement dingue de psyché, au quotidien. Déjà, je tiens à préciser que s'il y a une tolérance élevée aux effets hallucinogène, les effets stimulants/réhaussement d'humeur sont toujours d'actualité. Et c'est ce que j'ai fini par rechercher. Notamment avec la classe des phénéthylamines, -Proscaline/Escaline/3C-P/3C-E/2C-iP/2C-E/2C-C/2C-D/2C-B-FLY pour les principaux-, les lysergamides sont également intéressant au quotidien, en particulier ALD-52/ETH-LAD/1P-ETH-LAD/LSM-775, mais aussi des tryptamines comme la DPT/4-HO-DPT/EPT/5-MEO-MiPT et j'en passe. Côté dissociatifs, j'ai beaucoup consommé de 3-MEO-PCP/3-MEO-PCE/3-HO-PCP/3-HO-PCE/2-FDCK/Deschloroketamine/O-PCE... Dans mon niveau de tolérance le plus haut, je pouvais combiner pas mal de ces produits ensemble. Et si ça partais en "trop psyché" un coup de Diazepam/Alprazolam et on repartait de plus belle.

Tout ça pour dire que quand on en a beaucoup trop pris depuis des années, et qu'on sait comment hacker son cerveau en maniant une tolérance adaptée, il devient possible de "binger" des psyché comme on le ferait avec des stimulants ou opiacés.

Et j'ai démarré mes conneries avec le micro-dosing, m'apercevant du bien être que ça m'apportais au quotidien, j'ai continué et les doses sont montées petit à petit sans jamais me retrouver totalement perdu en société.

Et je ne conseille à personne de se lancer là-dedans, je viens de passer presque une année à me remettre de ces abus.

Mais mdr vraiment tous les psychonauts ont migrer ici en faite ! La dernière fois qu'on se MP tu étais plutot branché 3-FMA ahah


Je cours entre l'hôpital, le laboratoire et les services neuropsychiatriques quand je ne suis pas en conférence à la faculté de médecine pour écouter l'actualité sur l'addictologie.

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PaRaLLeL homme
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Tu es le frère caché Bogdanov ?

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Heashka
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PaRaLLeL a écrit

Tu es le frère caché Bogdanov ?

Non non non mon petit fumeur de teushi. Si je te dit plan à trois entre une des membres de l'époque avec ma meuf de l'époque ça te rappelera peut être des conversations IRC ahah

Dernière modification par Heashka (01 novembre 2019 à  13:04)


Je cours entre l'hôpital, le laboratoire et les services neuropsychiatriques quand je ne suis pas en conférence à la faculté de médecine pour écouter l'actualité sur l'addictologie.

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Agartha homme
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Attention au hors sujet/private joke les gars^^ vous avez les mp pour ça :p

Dernière modification par Agartha (01 novembre 2019 à  16:27)


lost inside the black hole
dropping down the edge
fade away in shadow
is this where it ends?

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Rick
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Les psychonautes devraient être stérilisés, ils se multiplient. Je vais les attirer avec un nouveau RC et de la tektonik.
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+1,P.S : J'ai dis moins méchant que ça y a 2 ans tu m'avais mis un jaune/L'Apo
 
Second degré ou nom, j'aime

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Hugodelia femme
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Il y a un truc que je ne comprends pas dans cette discussion.
Pourquoi dire que pour qu'il y ait addiction il faut qu'on puisse le faire au quotidien?
Si quelqu'un consomme un truc un jour sur deux par exemple, le soir au lieu de dormir, et qu'il ne peut pas diminuer sa consommation, alors je suppose qu'on peut déjà parler d'addiction. Pourtant c'est hors de son quotidien.
J'ai tort?

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Heashka
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Ahah

Rick a écrit

Les psychonautes devraient être stérilisés, ils se multiplient. Je vais les attirer avec un nouveau RC et de la tektonik.

Ahah bande de p'tit salopio heart

Hugodelia a écrit

Il y a un truc que je ne comprends pas dans cette discussion.
Pourquoi dire que pour qu'il y ait addiction il faut qu'on puisse le faire au quotidien?
Si quelqu'un consomme un truc un jour sur deux par exemple, le soir au lieu de dormir, et qu'il ne peut pas diminuer sa consommation, alors je suppose qu'on peut déjà parler d'addiction. Pourtant c'est hors de son quotidien.
J'ai tort?

C'est très résumé mais l'idée sous-jaccente c'est qu'un des facteurs de risque pour le potentiel d'addiction d'une molécule c'est sa capacité à être consommer tout en te permettant de continuer ton train de vie, sans que celui-ci en soit trop impacté.

Je vais prendre deux exemples : la prise de DOM et la prise de cocaïne. Je prend exprès des extrêmes. L'idée c'est qu'il sera plus compliqué d'adapter ton quotidien si tu prends tous les jours du DOM plutôt que de la cocaïne. Le premier va tellement altérer ta perception du monde que l'expérience est difficilement ajustable à tes obligations professionnelles, affectives, sociales, etc.

De manière insidieuse, il te sera plus facile de tomber dans l'addiction à la cocaïne qui elle te permet au jour le jour de faire ce que ton entourage et tes propres routines te demandent.

Je sais pas si c'est très claire ce que je souhaites dire ?


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Hugodelia femme
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Très clair, merci pour la réponse!

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Heashka
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Hugodelia a écrit

Très clair, merci pour la réponse!

Super alors je suis content :)


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Psychokouille homme
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OfMn a écrit

Salut,

Pour le coup je ne suis pas vraiment d'accord avec les réponses du dessus.
Certe tu n'aura jamais une dépendance psychique aussi forte que pour certaines autres drogue, mais tu peux en développer une quand même si tu aimes ça.

De mon expérience, j'ai était complétement obsédé par le LSD sur une période de trois ans. J'en ai pris presques chaques semaines ( parfois plusieurs fois dans la même semaine, mais vu que les effets sont diminué si les prises sont trop rapproché ça m'a vite calmé et poussé à attendre minimum 5jours entre chaques prises ). J'y ai pensé tous les jours pendant 3ans, et ça m'a pris du temps pour m'en détacher. Et pour le coup, comme avec le weed, le LSD aura était pour moi la drogue qui m'aura le plus accroché psychologiquement.

Du coup je dirai que ouai tu peux avoir une dépendence psychique, mais c'est différent,  peut-être pas de l'ordre du "craving" lié à l'état de manque à proprement parlé, mais plutôt d'une quête de sensation forte sans fin ( enfin c'est ce que j'ai analysé pour moi ).

Après chacun est différent :)

Totalement d'accord avec toi

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Déterrage de vieux post...

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