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Conso de weed suite à une fracture - un risque ?

Je savais avoir saisi un article sur fracture osseuse et cannabis. Le voilà :
https://www.principesactifs.org/letude- … -osseuses/

L’ÉTUDE SANTÉ DU JOUR – Une nouvelle application médicale du cannabis pour traiter les fractures des os vient d’être découverte par des scientifiques.

De  précédents travaux ont montré que le cannabis a pour effet de stimuler la formation osseuse tout en ralentissant le phénomène de l’ostéoporose. Photo John Chapple / Rex Feat/REX/SIPA



Les connaissances sur les propriétés thérapeutiques du cannabis remontent à l’Antiquité. On l’utilisait déjà à cette époque au Moyen-Orient pour soigner les douleurs, la constipation et certaines maladies infectieuses. Mais son usage a été interdit dans la plupart des pays au XXème siècle. A en croire les conclusions d’une étude publiées dans la revue Journal of Bone and Mineral Research, l’un des composants de la plante contribue de manière significative à guérir les fractures osseuses.

Depuis quelques années, le cannabis fait son retour dans les officines. Et cette découverte vient s’ajouter à la longue liste des applications médicales prometteuses de la plante de cannabis. En France, le premier médicament à base de cannabis, le Sativex, devrait être disponible pour les personnes souffrant de sclérose en plaques d’ici la fin de l’année. En attendant, les études laissant entrevoir de nouvelles applications médicales prometteuses se multiplient

Les scientifiques de l’université de Tel-Aviv avec la collaboration de l’université Hébraïque de Jérusalem ont utilisé de leur côté un cannabinoïde, le cannabidiol (CDB), pour développer un traitement qui contribue de manière significative pour guérir les fractures osseuses. En seulement huit semaines, et sans les effets psychotropes, puisque la molécule responsable, le THC, a été isolée. Les résultats des tests, qui ont été menés sur des souris de laboratoire souffrant de fractures fémorales. Le traitement a permis de renforcer le capital osseux pendant la cicatrisation, tout en renforçant le tissus osseux.

Une fois ressoudé, l’os est plus résistant

Résultat, une fois ressoudé, l’os est plus résistant. De précédents travaux ont montré par la passé que les récepteurs cannabinoïdes ont pour effet de stimuler la formation osseuse tout en ralentissant le phénomène de l’ostéoporose. “Le potentiel clinique des composés liés aux cannabinoïdes est tout simplement indéniable à ce stade”, a déclaré le Dr Gabet, le principal auteur de l’étude. Bien qu’il reste encore beaucoup de travail à faire pour développer des thérapies appropriées, le médicament a un effet anti-inflammatoire, sans provoquer d’effets psychotropes”.

Source : metronews

Une grande partie des cannabinoïdes a des propriétés de stimulants du développement osseux. Le THC, le THCV, Le CBD, le CBDV, le CBC, el CBG, sont tous des stimulants de la croissance osseuse.
Vois ça directement dans le tableau ci-dessous


Je déplace la discussion dans la catégorie "cannabis thérapeutique".

Amicalement

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Les consommateurs de cannabis sont moins affectés par certaines maladies nosocaumiales.
J'espère que tu as eu une bonne info à part ne pas fumer, mais le scaphe est une fracture particulière. En général, avant la fracture tu connais pas cet os, mais après cela peut limiter ton activité sportive ou pro. Cela peut être parfois handicapant si tu casses le droit en étant droitier.

Cannabis use and risk of Clostridioides difficile infection: Analysis of 59,824 hospitalizations.
Adejumo AC1, Bukong TN2.
Author information
Abstract
BACKGROUND:
The prevalence of Clostridioides difficile Infection (CDI), the most notorious hospital acquired disease, and of excessive cannabis use (cannabis use disorder (CUD)) have both been steadily rising. Although cannabidiol, an active ingredient of cannabis, maintains gut integrity and suppresses entero-toxins from Clostridioides difficile, the relationship between CUD and CDI has not been studied.

METHODS:
We selected adult records (age?18 years) from the Nationwide Inpatient Sample 2014, and identified CUD and other clinical conditions using ICD-9-CM codes. We used propensity scores derived from a multivariate logistic model to match CUD to non-CUD in a 1:1 ratio (29,912:29,912). We estimated the relative risk for CDI using log-binomial regression models with generalized estimating equations [SAS 9.4].

RESULTS:
Among the matched hospitalizations (n=59,824), cannabis usage was associated with a reduced prevalence of CDI (prevalence: 455.5 [95% CI: 385.1-538.8] vs. 636.4 [95% CI: 549.9-736.5] per 100,000 hospitalizations), resulting in a 28% reduced risk of CDI (relative risk: 0.72 [95% CI: 0.58-0.88]; p=0002). Non-dependent and dependent CUD respectively had 23% and 80% reduced likelihood of CDI when compared to non-cannabis users (0.77 [95% CI: 0.60-0.95] and 0.20 [95% CI: 0.06-0.54]; p<0.05). Furthermore, dependent users had less risk of CDI compared to non-dependent users (0.26 [95% CI: 0.08-0.88]; p=0.01).

CONCLUSIONS:
CUD was associated with a decreased risk of CDI amongst hospitalized patients. Prospective and molecular mechanistic studies are required to elucidate how cannabis and its contents impacts CDI.

Copyright © 2019 Elsevier Ltd. All rights reserved.

KEYWORDS:
Cannabis; Clostridioides difficile infection; Diarrhea; Nosocomial infection; Risk factors

PMID: 31493498 DOI: 10.1016/j.anaerobe.2019.102095