Il ne me semble pas avoir vu cités ces deux films, aux antipodes l'un de l'autre :
- More de Barbet Schroeder 1969 - drame - B.O. de Pink Floyd
- Reefer Madness d'Andy Fickman 2005 - comédie musicale. Un de mes films cultes et pourtant méconnu (il pourrait être tout aussi culte que certains films cités). Adapté d'un musical de Broadway lui-même tiré d'un véritable film de propagande anti-drogue du même nom de 1936 ! À voir absolument !
Dernière modification par Arisen (08 avril 2020 à 03:05)
"Un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche" Audiard
Un pur moment de rock'n'roll aussi (p'tet qu'il a déjà été cité içi)
Yes avec Jako dans le role de l'éduc spé que l'on aperçoit de temps à autres dans des reportages Groland. (c'est lui qui a fourni les pieds de cannabis pour la serre, en l'occurence du chanvre, il fait aussi les effets spéciaux^^)
Salut ! Il y a un nouveau documentaire sur Netflix : Have a good trip , les voyages spychedéliques .
Tous les trip LSD ou champignons racontés par des acteurs, artistes et chanteurs . Lol Sting aime bien triper , c'est marrant de l'entendre décrire ses voyages ...
Ça me donne presque envie de retenter, y a 25 ans j'aimais bien.
hey, y'a la série Cannabis (one-shot, 6 épisodes) dispo sur arte.tv (gratos et sans pub donc) j'suis en train de la terminer et c'est franchement sympa, un bon film de 6h (c'est comme ça que je vois les séries courtes). L'ambiance est bien gérée, l'intrigue bien ficelée, je recommande pour ceux qui ont un peu de temps ces jours-ci. (la série est dispo jusqu'au 8 avril sur le site d'arte)
Alors dans la série Ratched, l'épisode 3 de la saison 1 est assez surprenant.
Un pseudo psychiatre, le doc Hanover, a en consultation privée un ado un peu dérangé. Fort des essais faits en Suisse, il décide de lui donner 20 microns de LSD. Mais le garnement vide la fiole dans le verre du doc, soit 4000 microns....
Et bien au lieu de se placer du point de vue "ouais le lsd lui fait perdre les pédales au doc, il en a trop pris etc", le scénariste prend le parti inverse... C'est le gamin déjà dérangé qui perd encore plus les pédales avec ses seuls 20 microns et le doc qui essaye, mais impuissant car trop perché, de sauver la situation. J'ai trouvé que c'était une façon intéressante de livrer comme message subliminal "non le lsd ne rend pas fou, il révèle juste des failles potentielles ou aggrave celles existantes".
En résulte une scène lysergique dégantée, aux couleurs saturées, et à l'ambiance bien freaky.
Bon week end^^
J'ai pour me guérir du jugement des autres, toute la distance qui me sépare de moi-même
salut, je sais pas trop pourquoi j’écris ça ni même si qlq’un le liras mais bon j’avais besoin d’en parler j’ai 16 ans et jsuis accro au shit depuis qlq temps maintenant j’ai commencé à fumer, boire tout les jours et à proder à 14 ans et ça m’a bien mise dans la merde j’ai pris qlq truc sauf des trucs vrm hardcore mais des trucs du genre coke, speed, L, taz, ké, médocs et bref je sais plus on s’en blc au début c’était pas souvent puis c’est passé à plusieur fois par semaine (la prod) j’ai commencé à perdre la tête étant dépressive j’ai un lourd traitement que je mélanger à tout ça (anxio, benzo, antidep, antipsychotiques..) jsuis tombé dans l’anorexie jfaisais a peine 37kg, j’allais plus en cours ou seulement en étant fonsdé desfois yavais des ptits séjour en hp un jour en teuf j’ai fais un gros bad sous L et amphét ça m’a mis en grosse tarte dans la gueule pourtant à l’heure d’aujourd’hui meme si j’ai diminué mes consommations ma vie tourne toujours autour de ça, y’a deux personnes et la famille qui compte sinon c’est que la drogue j’passe mon temps à fumer des petard ça me fais limite plus rien bref j’ai l’impression que je me plains alors que non jvoulais dire au jeune de faire attention parce que ça détruit tout sur son passage alors oui ça peut être amusant et même instructif desfois mais il faut surtout pas passer du côté d’la dépendance c’est un cercle vicieux j’ai pas pour but d’arrêter d’ailleurs j’aimerais continuer encore longtemps, sauf que quand ça devient une mort lente et une destruction totale c’est déjà trop tard il va falloir du courage pour s’en sortir mais on peut le faire il suffit d’apprécier les choses simple et d’affronter la réalité même si c’est dur enfin bon j’dis un peu d’la merde mais j’aimerais que ça fasse (peut être) prendre conscience à quelqu’un sois fort et n’abandonne pas
Joli message c'est de l'énergie positive, et j'espère qu'elle sera maintenue le plus longtemps possible afin de lancer un message à tous ceux qui ne savent pas trop où ils en sont et jonglent avec les molécules de façon parfois dangereuse et inconsciente. Si je puis prendre le relai sur ce que tu disais, les médecins et psychologues préconisent en général d'occuper son esprit au maximum afin de ne pas se recentrer sur le manque.
Faire du sport, voir des amis, faire les boutiques, cuisiner des plats ou que sais-je encore, permettent d'occuper ses journées. Encore mieux s'il y a un travail à côté, qu'il soit studieux ou non, cela donne un cadre de vie, cela permet d'avoir une routine et ensuite, à son retour, de se poser tranquillement chez soi, un peu fatigué et c'est le top.
Je conçois la difficulté de se détacher du cannabis, moi-même je fumais 10 à 15 joints par jour fût un temps récent. L'addiction au cannabis induit un manque psychologique, mais il n'y a pas de manque physique manifeste.
Concernant les benzodiazépines, l'addiction est manifeste, beaucoup plus importante que le cannabis car une benzodiazépine prise régulièrement abaisse le seuil épileptique et ne peut être arrêté sur un coup de tête, si les consommations sont trop importantes. De même, n'arrête jamais un traitement antidépresseur ISRS d'un seul coup sauf si tu as l'aval du médecin psychiatre . Profite de la vie, ne t'interdis rien, mais fixe toi des objectifs. En addictologie il est notoire qu'on ne peut arrêter un traitement d'un seul coup. On peut ralentir au maximum jusqu'à ce que la consommation devienne une exception à une ou deux reprises dans l'année.
L'addiction aux benzodiazépines est difficile à stopper net, ce qu'il faut dans l'idéal c'est baisser progressivement les doses sous le contrôle d'un médecin de préférence. Quand on est sous benzo, on se sent à l'aise, on se croit potable mais tout le monde remarque qu'on est défoncés ... Sauf nous. Et quand je dis cela je m'associe complètement à cela car j'ai été accro aux benzo pendant un certain temps, mais j'ai su m'arrêter à temps avant la dégringolade et les séquelles qui peuvent en résulter. Aujourd'hui je garde toujours une boîte de Diazépam/Valium® de côté, cela aide en cas de descente difficile. Et quand on consomme des stimulants c'est rassurant d'en avoir de côté pour son côté myorelaxant très bien développé dans cette molécule, pour la tachycardie quand la vasoconstriction est à son apogée.
Il faut un suivi, addicto et psy, au moins pour bénéficier des meilleurs conseils et faire cela de la bonne façon, que ce soit consommer ou l'envie de stopper. Je le mentionnais dans un autre poste mais il y a des choses qui ne doivent pas attiser notre curiosité, telle l'injection par voie intraveineuse. Beaucoup on essayé par curiosité et de retrouvent piégés car il n'est pas évident de déconstruire le mécanisme de l'addiction. C'est là où le psychologue intervient et permet de creuser chaque personnalité et comprendre le cheminement de sa pensée. Le psychiatre quant à lui permet, tant qu'une psychothérapie n'a pas été mise en place, de garder le patient dans un état relativement calme où il pourra prendre du recul par rapport à la situation et se poser pour réfléchir à la suite à donner à son train de vie, etc. Et danger avec les cathinones, ce produit assez mal étudié car récent, mais tout de même présent sous tellement de formes différentes au point que l'interdiction couvre aujourd'hui tous ses sels et stéréoisomères. La 3mmc, à mon sens, par voie IV est autant voire plus addictive que l'héroïne même si cela n'a rien à voir. Opiacés à éviter évidemment, ou alors un minimum accompagné avec un kit naloxone à disposition si l'un qui surveille aperçoit une détresse respiratoire.
Comme dit dans le post précédent, il ne faut jamais abandonner, il y a toujours des solutions et en cas de doute, ne pas hésiter à poser des questions aux personnes compétentes, ici-meme on trouve pas mal de réponses à ses questionnements.
Bon courage. La volonté est ce qui compte le plus, elle doit être au rendez-vous.
"Tout est poison et rien n'est poison, seule la dose fait le poison" (Paracelse)
Je vois elle a été bannie peut-être puisque elle est mineur, donc interdit de PA. Je crois ça même qu'il faudrait l'aider, elle a 16 ans et complètement perdue
Je vois elle a été bannie peut-être puisque elle est mineur, donc interdit de PA. Je crois ça même qu'il faudrait l'aider, elle a 16 ans et complètement perdue
Ben oui mais c'est la Loi, si on veut que Psychoactif continue d'exister (le forum et l'assos) et que Pierre ne croupisse pas dans un cachot humide, une des conditions principales c'est: "pas de mineurs qui s'affichent"
Elle venait de signer une charte certifiant qu'elle avait 18 ans, dommage d'affirmer avoir 16 ans juste derrière... et vraiment c'est pas de gaieté de cœur que les modos font ce genre de bans, mais ils sont indispensables.
Salut à tous ! J'ai fais une petite sélection pour vous de mes oeuvres cinématographiques favorites Alors je crois qu'elles n'ont pas encore été cité mais si c'est le cas je m'excuse pour le radotage
My Beautifu Boy :
C'est un film récent ou l'on suit la naissance de la dépendance aux drogues d'un jeune garçon appelé Nic, très doué, promis à de "grandes choses" (études prestigieuses blabla) et de sa relation avec son père qui souhaite coute que coute combattre l'addiction de son fils. Leur relation se défait puis se refait, il y a une réel évolution dans le film donc c'est vraiment prenant, traiter intelligemment et c'est super réaliste je trouve, notamment quand il est question de craving/rechute. Le réal est Belge, il a d'ailleurs réalisé un autre film, qui ne parle pas du tout de ça par contre mais que je conseil aussi au passage : Alabama Monroe ou The Broken Circle Down :)
Climax :
Alors pour celui là par contre, ne le regardez pas sous hallu, même si vous savez gérer vos trip, franchement je recommande pas du tout. Bon déjà c'est Gaspar Noé, même réal qu'Enter the Void que je pense vous connaissez déjà j'imagine. Et bien là je trouve personnellement qu'il a frappé encore plus fort avec celui-ci ! C'est simple (no spoil c'est le trailer) : une troupe de danse se retrouve pour passer une bonne soirée, l'ambiance est cool, la musique aussi, puis il se passe quelque chose de bizarre, quelqu'un a mis quelque chose dans la sangria, et ça devient l'enfer. Le trailer est très mignon comparé à ce qu'il se passe pendant le film ! Du coup je me répète mais c'est vraiment pas un film à regarder pendant un trip, déjà sobre ça peut en choquer beaucoup j'pense donc faites gaffe Autrement les plans de caméra sont fou même si ça donne la gerbe à force et tout ce qui se passe est ultra crédible à tel point que ça peut mettre mal à l'aise. Bref, perso il m'a bien remué, d'ailleurs j'ai ce poster chez moi au passage que j'aime beaucoup :
Euphoria :
Tout simplement le meilleur pour la fin. Jamais je ne m'étais autant identifié à quelque chose que ça. J'en ai déjà parlé sur une autre discussion, mais je tenais absolument à la mettre ici également. Une toxicomane de 16ans atteinte de divers troubles, notamment la bipolarité, qui galère avec le simple fait d'exister et qui ne sait foutrement rien de rien. Mais il n'y a pas qu'elle, on suit aussi d'autres personnages en parallèles qui sont tous ultra intéressant. Ce que j'ai aimé c'est à quel point c'est réaliste, c'est tellement une réalité qui est nécéssaire de montrer, qui doit être visible. Je pense que je ne suis pas la seule qui se reconnait ou va se reconnaitre autant dedans, c'est pour ça que je tiens à vous le partager. Puis il y a tellement de sujets hyper bien traiter comme l'addiction (bon ça vous le saviez déjà), mais aussi l'homosexualité, la transidentité, les côtés ultra sombre des êtres humains..bref. Esthétique incroyable, acteurs et actrices merveilleusement bon, textes tellement juste, véritable et si bien écrit. Pour ceux qui ne connaisse pas, foncez, et pour ceux qui connaissent, dites moi ce que vous en pensez, ce sera un plaisir de discuter autour de ce bijoux !
J'ai regardé et ce n'est pas trop mal mais il ça manque de RDR concret ! et je le regrette.
J'ai l’impression que dans le documentaire les gens prenaient des buvards comme on prend des bonbons, aucune conscience du dosage et du reste et vu les trips que relate certaine ce n'était pas 50 microgrammes.
Il y a cependant des conseils sérieux et d'autres un peu plus limitent, genre, ne pas se regarder dans le miroir (j'espère qu'une partie du docu est ironique). Je me suis déjà regardé plein de fois dans le miroir et pour ma part ça ne fait rien de spécial.
Mais dans l'ensemble ça reste intéressant. Et il y a des passages où je me suis quelque peu reconnu et il y a des passages sympathiques dans ce documentaire.
C'est un documentaire qui dans un sens dédramatise la prise du LSD.
Le LSD est une drogue très à part je trouve, je suis d'accord avec le documentaire que ça peut changer sensiblement sa perspective de soi et du monde.
Dernière modification par supermario64 (19 janvier 2021 à 01:05)
Ca fait assez cliché parfois, tu as raison. Mais j'ai trouvé ça grave intéressant. J'ai moi-même été confronté à des bad plus ou moins intenses, sans pour autant partir en psychiatrie. Et j'ai bien kiffé la palette de témoins : certains qui ont kiffé, certains qui auraient pu s'en passer.
Je dirais que c'est plus un documentaire initiatique, faisant découvrir la substance et évoquant les légendes urbaines qui lui sont liées (le fameux coup du miroir). Assez léger et ça se regarde bien ^^
D'ailleurs j'avais pas vu mais qqn en parle quelques messages plus haut...
Oui j'ai bien aimé également, c'est fun, c'est léger et la palette des témoignages est intéressant et ça déconstruit certaine rumeur et stéréotype qui on la vie dur! du genre se jeté par la fenêtre, c'est un stéréotype qui à la vie dur alors que sous LSD on ne devient pas psychotique. On a conscience que l'on des pseudos hallucinations, ça doit arriver les gens qui délire mais ça reste des épiphénomènes. Et si il y a délire c'est que peut-être il souffrait d'une maladie psychiatrique qui était latente avant la prise de la substance psychédélique... ^^
Film de Guillermo Navarro Avec Catherine Zeta-Jones, Raúl Méndez, Matteo Stefan, José Julián, Jenny Pellicer
CANEVAS DU FILM: Portrait de Griselda Blanco (interpréter par Catherine Zeta-Jones) Trafiquante de drogue colombienne. Surnommée La Reine de la coca, La Madrina ou encore La Veuve Noire .l'une plus grande figure des cartels dans les années 1970 et 1980.
Je l'ai vu en streaming en VF , il y a 2ans , j'ai bien aimé. Un bon film. Toujours dispo sur certains sites de streaming
BA en VO
Dernière modification par Meumeuh (11 février 2021 à 17:57)
si des personnes qui passent par ici kiffent le cinéma documentaire, je ne peux que recommander vivement "Dans la chambre de Vanda" de Pedro Costa, grand cinéaste documentariste de ces dernières années.
"A Fontainhas, les résidents assistent, impuissants, à la démolition du quartier cap-verdien de Lisbonne. Un an durant, le réalisateur portugais Pedro Costa a filmé, en caméra numérique, la vie de Vanda Duarte, une vendeuse ambulante de fruits et légumes, dans l'enfer de la drogue."
J’ai bien aimé Candy avec Heath Ledger, peu connu et pas énormément de budget, cela n’en reste pas moins un très bon film à mes yeux, et surtout très réaliste.
Vu que touts les excellents films ont déjà été cités, je te propose une série de podcasts arte radio que j'ai adoré!
Merci pour le partage, c'est passionnant malgré tout !, j'y connais rien à ces milieux. C'est chaud.
Mais qu'est ce qu'il fout dans ce milieux, le mec dit lui même qu'il vient d'une famille haute bourgeoisie.
Qu'est ce qu'il fout à vivre comme un marginal alors qu'il est née une cuillère en or dans la bouche et qu'il pourrait prod tranquille chez lui pénard.
Dernière modification par supermario64 (20 février 2021 à 07:14)
Certainement déja dit mais rien que pour le niveau d'addictions des 3 loulous. Et de voir comment ça peut finir, pour nous les cocaïnomanes ou héroinomanes. On a tous commencé par une trace et voyez le résultat aujourd'hui ca peut vite mal délirer si on est seul et qu'on a le fric Moi personnellement je serais mort si il n'y avait pas eu le problème de l'argent
Je plains les gens ayant énormément de thune à leur disponibilité (grand patron, héritié, gros gagnant du loto) et qui tombe dans certaine prod, il y a moyen de complètement pété un câble sachant qu'on peut subvenir allégrement à sa frénésie de consommation.
Je l'avais vu il y a plus de dix ans requiem for a dream et ce film ma ''traumatiser'' si je puis dire à l'époque.
Fin du HS.
Dernière modification par prescripteur (21 février 2021 à 17:35)
Le film est franchement mauvais je trouve mais le scénario était cool pourtant.
En gros ça raconte l'histoire de deux ambulancier qui font sur des interventions ou de jeune gens meurt et il se trouve que cela est dû à une drogue hallucinogène.
Un chimiste qui fabrique des NPS à inventé un produit qui imite la DMT et celle ci agis dans le cerveau sur la glande pinéale et en gros ça fait revenir les utilisateurs dans le passé et les adolescents à la différence des adultes peuvent faire des voyages complet là ou les adultes ils ne peuvent faire que des voyages partiel car la glande pinéale est encore en construction chez les ados alors que ce n'est pas le cas des sujets adultes.
Deux agents des services ambulanciers de la Nouvelle-Orléans voient leurs vies chamboulées lorsqu'ils découvrent une série de morts liées à une drogue expérimentale aux effets secondaires paranormaux.
Dernière modification par supermario64 (22 mars 2021 à 01:34)
De Nicholas Jarecki Avec Gary Oldman, Armie Hammer, Evangeline Lilly 1h58 ( thriller )
Synopsis :
Sur fond de drogues, trois histoires se confrontent.
- Un trafiquant de drogues organise un trafic de Fentanyl entre le Canada et les États-Unis.
- Une architecte se bat contre sa dépendance à l’OxyContin et cherche à découvrir la vérité sur l’implication de son fils auprès de narcotrafiquants.
- Un professeur d’université découvre que son employeur, une société pharmaceutique, lance un nouvel antidouleur non addictif sur le marché.
Je l'ai vu hier soir , c'est basé sur des faits réels. J'imagine un peu romancé. C'est pas le film de l'année mais j'ai bien aimer , sauf qqe Petits passages ( mais bon en Amérique du Nord , c'est particulier.. avec cette crise d'opis oxy , Fentanyl ... )
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