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Dernière modification par fafefifofu (04 mars 2021 à 23:18)
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Dernière modification par fafefifofu (05 mars 2021 à 21:25)
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fafefifofu a écrit
Pour l'instant ça m'a l'air miraculeux, j'espere que je vais pas le payer autre part mais je continue dans mon optique.
Ouai. Les dissos ont des propriétés un peu miraculeuses j'ai l'impression.
Mais ils sont capables d'engendrer une bonne dépendance psy des familles. Bien réelle. Sans parler de la toxicité, évidemment.
Donc méfie toi.
En tout cas, bon courage, et bonne continuation.
JFD
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Dernière modification par fafefifofu (06 mars 2021 à 12:21)
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Dernière modification par fafefifofu (16 mars 2021 à 09:43)
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*la pupille se rétracte (myosis) parce que le système parasympathique est activé sinon :p Mais je comprends l'image
Oui en plus de la constipation qui rêvele beaucoup sur notre état de santé et mental, je ne ressentais plus mes emotions au niveau du ventre, c'était que des noeuds, j'ai réapris à respiré avec le diaphragme et non avec la poitrine (comme quand on est stresé), j'ai des douleurs de problème de posture que j'aurai réglé, si j'avai su, j'avais pas mal de noeuds dans le dos aussi, fin pour moi c'est claire et net que ça m'a emprisoné à tout les niveau, c'est bien d'ailleur pour ça que j'ai voulu arreter aussi précipitemment.
Après c'est un cheminement qui ne date pas de hier, je pense que c'est parce que j'étais prés que je l'ai fait comme ça, pour moi c'était pas une option 1 jour de plus avec ça ...
Oui clairement les dissos m'ont énormement aidé, ça calme le manque de manière extremement efficace, je pense pas que il y ai un outil plus efficace.
Je n'avais rien consommé depuis 1 ans, mon but n'était pas de fuir, mais de m'en sortir, je le voyais juste comme un outil pour m'aidé à passé le plus gros du sevrage, et j'ai eu des trips d'une clarté san précédent, j'avais même pas l'impréssion de tripé, alors que j'ai un peu poussé les doses à certains moments.
Je me suis senti plusieurs jours comme sous grosse dose de MDMA ou de Cocaine, un rush de dopamine et de serotonine pour la moindre chose agréable, je pense que c'était une sorte de recompensation.
Sans les disso j'aurai pas réussis honêtement se tordre de douleur et d'incofort toute la nuit de 20h à 8h du mat, c'est de la torture, encore 1 ou 2 nuit ça va, mais pas 10 ... ça m'a énormément calmé.
Ca mérite d'être expérimenté, (selon moi), donc sous toutes réserves. Mail existe pléthore d'articles très sérieux sur la question.
C'est pour ça que j'ai décidé de faire ça moi même, car j'ai lu les articles il y a même un témoignage sur le forum d'un sevrage codé avec de la kétamine en hopital, sauf que le médical est trop fermé pour mettre en place ça, dé que j'en ai parlé j'ai bien compris ce que on en a pensé ...
C'est surement pas le plus safe avec les RC, mais on a l'avantage de pouvoir choisir parmis pas mal de molécules et surtout qui dure beaucoup plus longtemps, donc moins de tolérance + after effect super long, donc c'est assez avantageux pour un sevrage long.
Merci pour le message d'encouragement ça fait plaisir :)
Je pense avoir fait le plus dur physiquement, mais les nuits sont encore courte je manque d'énergie, mai j'ai la rage de vivre haha.
Dernière modification par fafefifofu (17 mars 2021 à 08:47)
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Dernière modification par fafefifofu (18 mars 2021 à 11:02)
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Dernière modification par fafefifofu (22 avril 2021 à 19:58)
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C'est vrai que ta conso de dissos devenait préoccupante hmm
Je te souhaite de réussir à traverser le PAWS, tu as la gnaque en tout cas
Ouais j'ai même commencé à avoir pas mal mal aux reins, cqui faisait une douleur qui s’ajoutait supplémentaire et dés que elle revenait je reconsommait ...ce qui me faisait d'autant plus culpabilisé.
Elle est parti direct dés le lendemain de ma dernière prise, sinon rien a signalé du cotés vessie.
Aussi bizarre que cela puisse paraitre, j'été obligé de prendre d'un disso pour réussir à fermer l’œil (alors que en temps normal ça m’empêche de dormir).
Merci c'est gentil !
J'ai cru comprendre que toi aussi tu as arrêter la morphine à petite dose (je sais pas comment tu as fais pour rester à des dosages aussi bas d'ailleurs), je ne sais pas ou tu en es mais bon courage à toi également.
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Faut un peu relativiser l'effet soi disant antidépresseur des dissociatifs. Effectivement sur un individus naïf, y'a un fort effet AD. Mais quand tu abuse du dissociatif, la kétamine deviens dépressive, addictive. Ses dérivés RCs c'est la même chose.
Ha mais je suis complétement d'accord avec toi, je l'ai bien vu les 2/3 fois ou j'ai fait une pause pour voir ou j'en été y a eu une sorte d'effet rebond, car ça met un peu dans du coton enleve toute les douleurs physique également, et enleve l'anxiété chez moi, donc dés que ça s’estompait je supportais encore moins les douleurs et j'hésitais pas à re droper dés le moindre petit inconfort ....
Alors que la solution est d'accepter ces douleurs et pas de les fuir une fois de plus ...
Mais ce que je voulais dire c'est que je pense que ça m'a permis de tenir un petit moment, car je sais pas comment j'aurai géré sans rien... les trips que j'ai fait mon reboosté et redonné envie de faire des choses du moins sur le moment..., j'ai pu aller voir des potes, composer de la musique, aller marcher avoir de bonnes discussion avec ma mere et ma soeur car ça me m'étais de bonne humeur, même gerer un entretien, je sais pas pourquoi mais peu importe la dose j'arrivais toujours à bien marché et a bien parlé, voir encore mieux que d'habitude vu que j'avais zero anxiété.
Le seul bémol c'est que il m'était très dur voir impossible de me mettre au travail et globalement une impréssion de surplace voir de régréssion c'est installé petit à petit j'arrivais pas à me projeter.
Après je ne sais pas si c'est du à mon état de manque, j'avais l’impression que ça ne me défoncais pas comme à "l’époque", je restais relativement lucide h24, les gens disait que ça se voyait même pas que j'étais défoncé, après surement une histoire de tolérance vu les doses que je m'envoyais à la fin mais dés le début j'ai eu cette impression.
Mais le problème dans le fond restais le même car je n'étais capable de rien faire sans dissociatif.
C'était un peu ma bouée de sauvetage avant de remonté dans le bateau, j'avais bien compris que si je restais sur la bouée j'allais me noyer, me fallut juste un petit coup de pouce extérieur (les séance de Reiki), et au final je ne sais pas trop si j'ai gagné ou perdu du temps avec car je n'ai pas fais sans dissociatifs, mais aujourd'hui je me sens presque normal, aucune douleur, j'arrive à m'occuper sainement toute la journée, juste j'ai encore de petites sueur froide/chaude de temps en temps, je n'ai plus mal au ventre, maintenant c'est devenu une sensation de faim presque permanente je sens que je vais prendre un peu de poids haha mais vu que je refais du sport ça devrait aller.
Reste le sommeil qui pour moi n'est pas vraiment du sommeil encore (je rêve éveiller et me retourne des dizaines et des dizaines de fois dans la nuit)mais j'arrive à rester au lit sans me sentir trop mal toue la nuit, et je complète avec une sieste l'aprem.
Faut quand même que je me donne un petit coup de pied au cul pour taffer et pour faire les choses mais c'est normal j'ai compris que jusqu’à la je n'acceptais pas que tout demande un certain effort ...
En plus c'est bête mais le fait d'avoir fini sur une bonne note avec des trips mémorable me réconforte, avant j'aurai juste voulu recommencer encore et encore et la c'est comme si j'étais rassasié.
Ton expérience me fait penser que la meilleure méthode reste la diminution progressive et sans douleur avec des doses décroissantes d'opiacés. Je reste cependant intéressé par le potentiel des dissociatifs pour accélérer le processus de rééquilibre du système opiacé, mais toujours sur une longue période, à faible dose (2x60mg DXM par jour par exemple), avec des produits à demie-vie longue (mémantine) qui sont difficilement utilisable pour tripper.
Je te rejoins et je rejoins l'avis de la plupart des gens et du coups des médecins, que c’était pas la meilleur des idées, mal grès tout ce que j'ai pu lire et ma détermination quand je me suis retrouvé sans rien c'était pas la même ...
En même temps dans la vie les changement sont toujours plus efficace et susceptible de duré quand c'est fait avec douceur ou en prenant le temps à quelques exceptions prêt.
Car en me précipitant comme j'ai fait, j'ai aussi coupé avec les bonnes habitudes que j'avais commencé à prendre sous métha ce qui fais que je n'avais plus rien à quoi me racroché et à surement accentué mon mal être (arrêt du sport etc).
J'ai tenu 2/3 semaine sans rien mais j'étais pas pret à ce que ce soit aussi long...
Putain désolé je blablate beaucoup ...
Dernière modification par fafefifofu (23 avril 2021 à 19:31)
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Anonyme6525 a écrit
J'ai déjà l'imprésion que le plus gros du physique est pasé (je sais ça semble inconvable) mais depuis hier je me sens sur la pente ascendante ou le manque va se mettre à lentement se resorber j'ai l'impréssion que la DCK n'y ai absolument pas pour rien.
Peut-être que c'est possible. J'ai utilisé les antagonistes des récepteurs NMDA (de la mémantine) de façon miraculeuse pour une addiction au GBL il y a plusieurs années. J'avais ressenti une diminution de mon addiction physique puis une baisse de la tolérance sans aucun problème (jusqu'à revenir à ma tolérance quand j'étais naïf au G), aucune douleur, tout naturellement.
Après on a encore beaucoup de choses à comprendre sur ce mécanisme de diminution de la tolérance par les antago. NMDA. Je me suis refoutu au GBL pendant le 1er confinement, en croyant que je pourrai réduire facilement les doses en cas d'abus, j'avais recommandé de la mémantine en parallèle.
Et bah ce coup là ça a pas marché dutout la mémantine c'est le moins que je puisse dire ! C'était l'enfer ça a duré tout l'été mon addiction avant de passer la porte d'un CSAPA et qu'on me foute du valium, tercian et baclofen. Je pense que la mémantine n'as pas marché ce coup-là, car j'étais très fortement tolérant aux dissociatifs, ayant repris le GBL en même temps qu'une consommation de kétamine en IM.
Donc ça peut être presque miracle ce mécanisme, trop beau pour être vrai, mais y'a aussi certaines conditions requises. Tolérance aux effets des dissociatifs, profondeur du déséquilibre initial... Si t'avais été à 120 mg de méthadone, peut être que t'aurai pas du tout senti l'action de la DCK par exemple !
En tout cas tu tiens le bon bout c'est super !
Salut J’aimerais me sevré de mes 30 mg de metha et je sais pas du tout comment avoir de la memantine ou même le tussidane mon doc il est pas du genre facil...y’a des doc qui en prescrive ou alors je vais a la pharma direct ?
Dernière modification par Mista (10 mai 2022 à 18:33)
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fafefifofu a écrit
Faut un peu relativiser l'effet soi disant antidépresseur des dissociatifs. Effectivement sur un individus naïf, y'a un fort effet AD. Mais quand tu abuse du dissociatif, la kétamine deviens dépressive, addictive. Ses dérivés RCs c'est la même chose.
Ha mais je suis complétement d'accord avec toi, je l'ai bien vu les 2/3 fois ou j'ai fait une pause pour voir ou j'en été y a eu une sorte d'effet rebond, car ça met un peu dans du coton enleve toute les douleurs physique également, et enleve l'anxiété chez moi, donc dés que ça s’estompait je supportais encore moins les douleurs et j'hésitais pas à re droper dés le moindre petit inconfort ....
Alors que la solution est d'accepter ces douleurs et pas de les fuir une fois de plus ...
Mais ce que je voulais dire c'est que je pense que ça m'a permis de tenir un petit moment, car je sais pas comment j'aurai géré sans rien... les trips que j'ai fait mon reboosté et redonné envie de faire des choses du moins sur le moment..., j'ai pu aller voir des potes, composer de la musique, aller marcher avoir de bonnes discussion avec ma mere et ma soeur car ça me m'étais de bonne humeur, même gerer un entretien, je sais pas pourquoi mais peu importe la dose j'arrivais toujours à bien marché et a bien parlé, voir encore mieux que d'habitude vu que j'avais zero anxiété.
Le seul bémol c'est que il m'était très dur voir impossible de me mettre au travail et globalement une impréssion de surplace voir de régréssion c'est installé petit à petit j'arrivais pas à me projeter.
Après je ne sais pas si c'est du à mon état de manque, j'avais l’impression que ça ne me défoncais pas comme à "l’époque", je restais relativement lucide h24, les gens disait que ça se voyait même pas que j'étais défoncé, après surement une histoire de tolérance vu les doses que je m'envoyais à la fin mais dés le début j'ai eu cette impression.
Mais le problème dans le fond restais le même car je n'étais capable de rien faire sans dissociatif.
C'était un peu ma bouée de sauvetage avant de remonté dans le bateau, j'avais bien compris que si je restais sur la bouée j'allais me noyer, me fallut juste un petit coup de pouce extérieur (les séance de Reiki), et au final je ne sais pas trop si j'ai gagné ou perdu du temps avec car je n'ai pas fais sans dissociatifs, mais aujourd'hui je me sens presque normal, aucune douleur, j'arrive à m'occuper sainement toute la journée, juste j'ai encore de petites sueur froide/chaude de temps en temps, je n'ai plus mal au ventre, maintenant c'est devenu une sensation de faim presque permanente je sens que je vais prendre un peu de poids haha mais vu que je refais du sport ça devrait aller.
Reste le sommeil qui pour moi n'est pas vraiment du sommeil encore (je rêve éveiller et me retourne des dizaines et des dizaines de fois dans la nuit)mais j'arrive à rester au lit sans me sentir trop mal toue la nuit, et je complète avec une sieste l'aprem.
Faut quand même que je me donne un petit coup de pied au cul pour taffer et pour faire les choses mais c'est normal j'ai compris que jusqu’à la je n'acceptais pas que tout demande un certain effort ...
En plus c'est bête mais le fait d'avoir fini sur une bonne note avec des trips mémorable me réconforte, avant j'aurai juste voulu recommencer encore et encore et la c'est comme si j'étais rassasié.Ton expérience me fait penser que la meilleure méthode reste la diminution progressive et sans douleur avec des doses décroissantes d'opiacés. Je reste cependant intéressé par le potentiel des dissociatifs pour accélérer le processus de rééquilibre du système opiacé, mais toujours sur une longue période, à faible dose (2x60mg DXM par jour par exemple), avec des produits à demie-vie longue (mémantine) qui sont difficilement utilisable pour tripper.
Je te rejoins et je rejoins l'avis de la plupart des gens et du coups des médecins, que c’était pas la meilleur des idées, mal grès tout ce que j'ai pu lire et ma détermination quand je me suis retrouvé sans rien c'était pas la même ...
En même temps dans la vie les changement sont toujours plus efficace et susceptible de duré quand c'est fait avec douceur ou en prenant le temps à quelques exceptions prêt.
Car en me précipitant comme j'ai fait, j'ai aussi coupé avec les bonnes habitudes que j'avais commencé à prendre sous métha ce qui fais que je n'avais plus rien à quoi me racroché et à surement accentué mon mal être (arrêt du sport etc).
J'ai tenu 2/3 semaine sans rien mais j'étais pas pret à ce que ce soit aussi long...
Putain désolé je blablate beaucoup ...
fafefifofu a écrit
Faut un peu relativiser l'effet soi disant antidépresseur des dissociatifs. Effectivement sur un individus naïf, y'a un fort effet AD. Mais quand tu abuse du dissociatif, la kétamine deviens dépressive, addictive. Ses dérivés RCs c'est la même chose.
Ha mais je suis complétement d'accord avec toi, je l'ai bien vu les 2/3 fois ou j'ai fait une pause pour voir ou j'en été y a eu une sorte d'effet rebond, car ça met un peu dans du coton enleve toute les douleurs physique également, et enleve l'anxiété chez moi, donc dés que ça s’estompait je supportais encore moins les douleurs et j'hésitais pas à re droper dés le moindre petit inconfort ....
Alors que la solution est d'accepter ces douleurs et pas de les fuir une fois de plus ...
Mais ce que je voulais dire c'est que je pense que ça m'a permis de tenir un petit moment, car je sais pas comment j'aurai géré sans rien... les trips que j'ai fait mon reboosté et redonné envie de faire des choses du moins sur le moment..., j'ai pu aller voir des potes, composer de la musique, aller marcher avoir de bonnes discussion avec ma mere et ma soeur car ça me m'étais de bonne humeur, même gerer un entretien, je sais pas pourquoi mais peu importe la dose j'arrivais toujours à bien marché et a bien parlé, voir encore mieux que d'habitude vu que j'avais zero anxiété.
Le seul bémol c'est que il m'était très dur voir impossible de me mettre au travail et globalement une impréssion de surplace voir de régréssion c'est installé petit à petit j'arrivais pas à me projeter.
Après je ne sais pas si c'est du à mon état de manque, j'avais l’impression que ça ne me défoncais pas comme à "l’époque", je restais relativement lucide h24, les gens disait que ça se voyait même pas que j'étais défoncé, après surement une histoire de tolérance vu les doses que je m'envoyais à la fin mais dés le début j'ai eu cette impression.
Mais le problème dans le fond restais le même car je n'étais capable de rien faire sans dissociatif.
C'était un peu ma bouée de sauvetage avant de remonté dans le bateau, j'avais bien compris que si je restais sur la bouée j'allais me noyer, me fallut juste un petit coup de pouce extérieur (les séance de Reiki), et au final je ne sais pas trop si j'ai gagné ou perdu du temps avec car je n'ai pas fais sans dissociatifs, mais aujourd'hui je me sens presque normal, aucune douleur, j'arrive à m'occuper sainement toute la journée, juste j'ai encore de petites sueur froide/chaude de temps en temps, je n'ai plus mal au ventre, maintenant c'est devenu une sensation de faim presque permanente je sens que je vais prendre un peu de poids haha mais vu que je refais du sport ça devrait aller.
Reste le sommeil qui pour moi n'est pas vraiment du sommeil encore (je rêve éveiller et me retourne des dizaines et des dizaines de fois dans la nuit)mais j'arrive à rester au lit sans me sentir trop mal toue la nuit, et je complète avec une sieste l'aprem.
Faut quand même que je me donne un petit coup de pied au cul pour taffer et pour faire les choses mais c'est normal j'ai compris que jusqu’à la je n'acceptais pas que tout demande un certain effort ...
En plus c'est bête mais le fait d'avoir fini sur une bonne note avec des trips mémorable me réconforte, avant j'aurai juste voulu recommencer encore et encore et la c'est comme si j'étais rassasié.Ton expérience me fait penser que la meilleure méthode reste la diminution progressive et sans douleur avec des doses décroissantes d'opiacés. Je reste cependant intéressé par le potentiel des dissociatifs pour accélérer le processus de rééquilibre du système opiacé, mais toujours sur une longue période, à faible dose (2x60mg DXM par jour par exemple), avec des produits à demie-vie longue (mémantine) qui sont difficilement utilisable pour tripper.
Je te rejoins et je rejoins l'avis de la plupart des gens et du coups des médecins, que c’était pas la meilleur des idées, mal grès tout ce que j'ai pu lire et ma détermination quand je me suis retrouvé sans rien c'était pas la même ...
En même temps dans la vie les changement sont toujours plus efficace et susceptible de duré quand c'est fait avec douceur ou en prenant le temps à quelques exceptions prêt.
Car en me précipitant comme j'ai fait, j'ai aussi coupé avec les bonnes habitudes que j'avais commencé à prendre sous métha ce qui fais que je n'avais plus rien à quoi me racroché et à surement accentué mon mal être (arrêt du sport etc).
J'ai tenu 2/3 semaine sans rien mais j'étais pas pret à ce que ce soit aussi long...
Putain désolé je blablate beaucoup ...
Salut filou, je me reconnais vachement dans ton discours, je suis pareil bcp d'émotion et de sensibilité, je suis maintenant a 30 mg de metha et j’aimerais en finir avec cette merde de camisole qui me déconnecte complet, j’étai au sub ya encore 2 mois et je pensai qu’en passant à la metha ça serait plus simple pour moi mais en fait c’est limité pire j’ai 0 libido, c’est ouf genre 1 mois que j'ai pas eu la faute bordel. J’ai 31 ans et pas envie de me retrouver à 40 pige encore dans cette merde si ta des conseil’ des piste je suis preneur surtout comment on fait pour trouver , par le dark Web ? Moi c’est surtout la memantine et le tussidane qui m’intéressent mais les molécule que tu as tester on l’aire assez efficace donc si ta des pistes je suis preneur.
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fafefifofu a écrit
Salut Mista,
Alors on a pas le droit de donner des plans ni de conseiller des produits.
Tout ce que je peux te dire c'est que les produits que je cite se trouvent facilement sans passé par le darknet (en cherchant un peu tu trouveras des pistes sois sur le forum soit sur google).
Ceci étant dit je préfère te mettre en garde ce sont des produits extrêmement puissant dont certains se dosent aussi bas que 10/20 mg et envoient très loin pour plusieurs heures avec des after-effect se faisant ressentir jusqu’à 48 h après la prise.
A usage prolongé comme je l'ai fait il peuvent amené des états psychotiques, dépressif et sont très mauvais pour la vessie,reins (j'avais des douleurs aux reins sur la fin).
Je l'ai fait parce que j'ai une assez grande affinité avec ces produits là que j'ai beaucoup expérimenté par le passé.
Renseigne toi bien avant de te lancé la dedans et si par la suite tu as des questions j'y répondrai avec plaisir !
Sinon par rapport à ce que j'ai fait ça a marché pour moi certes mais maintenant que c'est fait je reste persuadé que ce n'était pas la meilleur façon de s'y prendre ...
Déjà je pense que il faudrait que tu réduises tes dosages de méthadone progressivement le plus bas possible avant de tenter un sevrage sec (si jamais tu veux vraiment stoper net au bout d'un moment).
Et surtout il faut savoir que la manque physique et tes consommations passés ou actuels ne sont que la partie visible de l'iceberg ...
Clairement même si j'ai passé des moment HORRIBLE ! en manque ce n'était clairement pas le plus dur.
Je me suis tapé presque 1 ans de dépression, aucune énergie, un vide profond, des sensations de manque physique qui me revenait régulièrement également, j'ai recommencé à consommé tellement je me sentais pas bien (pas d'opiacé mais des dissociatifs et stimulants surtout).
J'ai vraiment cru que ça n'en finirait jamais, aujourd'hui ça va vraiment beaucoup mieux mais il faut faire énormément d'efforts.
La métha en dehors du manque physique venais couvrir bien d'autres choses dans ma vie et ça je ne m'en suis rendu compte qu'en arrêtant.
j'ai également changé de regard par rapport à elle, certes il y a beaucoup d'inconvénient, mais c'est surement grâce à la métha que j'ai pu faire ce cheminement également, et c'est un cheminement qui prend du temps, donc un conseil ne précipite pas trop ça, arrêter la métha n'est pas une fin en soit.
Je ne pense pas que je puisse conseillé de se sevrer à la dure avec des dissociatifs comme je l'ai fait à qui que ce soit.
Je pense que je n'aurai pas supporter le manque physique sans les dissociatifs mais de s'auto géré sur ça c'est super casse gueule, il n'y a aucun cadre ... je finissais vraiment par prendre les dissociatifs pour un oui ou pour un non du matin au soir.
Par contre un chose est sur contre le manque physique c'est extrêmement efficace.
Mais il faut savoir que par la suite je me sentais toujours en manque physique dés que j’arrêtais de consommé les dissociatifs et cela même plusieurs mois après l'arrêt de la méthadone.
Parce que (c'est ma vision des choses) une fois passé l'état de manque physique initial, il reste le mal être psychique qui se répercute sur le physique, et celui là si il est là c'est pour te faire réagir, et de prendre un autre produit pour le masquer n'est en aucun cas la solution c'est juste repoussé l’échéance ...
A toi de voir mais il faut savoir que si jamais tu as déjà mis des choses en place qui vont dans ce sens c'est super, mais ça pourrais te couper dans ton élan ou cassé l'équilibre que tu as trouvé pour le moment.
Je veux pas paraitre moralisateur j'imagine que ce n'est pas forcément le discours que tu es venu chercher mais vraiment encore un fois réfléchi bien.
Quoi qu'il en soit je te souhaites du courage dans ton parcours !
Si tu as des questions plus précises n'hésites pas.
Super merci beaucoup pour ta réponse,
j’avais déjà essayé d’arrêter les opiacé mais avec la ketamine pour le coup et ça m’à pas réussi j’était dans un malsain H24 puis misère vu que ça redescend toute les 45 min du coup j’était obligé de me taper une trace toute les heure et en jonglant entre trip k hole et manque physique. Rendu à un point où j’ai été obligé d’appeler les pompiers. Et repartir sur du sub.
Par contre j’avais pu tester quelque fois la dxm en très faible dosage je devait être à peine au palier 1 et franchement j’était pas si mal. Surtout que la durée de vie est longue et c’était une bonne béquille sauf que je pouvais pas m’en procurer plus que ça vu que c’était passer sous ordonnance.
C’est pour ça semblerai que les molécule dont tu parle on aussi une demi vie longue et c’est ce qui m'a intéressé.
Comme je disait j’été sous subutex il ya un mois, j’ai fait un switch à la metha car je prenais mon sub en 5 prise (4x0.4mg et 0.8mg le soir) 2.4mg/j
je prenais toute les 4h parce que chaque 4h je commençais à me sentir en manque.
Et comme on m’à dit que la metha a une durée de vie plus longue je me suis dit que ça serait peut être mieux.
Sauf que depuis 1 mois que je suis sous metha j’ai l’impression d’être complètement à la ramasse, depressif, plus de libido, plus de confiance et plus de motivation à rien sauf regarder des films.
Je me sent complètement emprisonné. Et je veut retrouver ma joie de vivre quoi.
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Ça par exemple. Plus le déséquilibre est grand, plus revenir à un état d'équilibre est long. D'ailleurs même si des addiction à l'héroïne peuvent potentiellement être écrasée par une flood dose d'iboga, pour la méthadone et sa plus grande puissance/demie-vie, c'est moins évident.
Je ne pense pas que je puisse conseillé de se sevrer à la dure avec des dissociatifs comme je l'ai fait à qui que ce soit.
Je pense que je n'aurai pas supporter le manque physique sans les dissociatifs mais de s'auto géré sur ça c'est super casse gueule, il n'y a aucun cadre ... je finissais vraiment par prendre les dissociatifs pour un oui ou pour un non du matin au soir.
Ça aussi je plussoie. Ça peut ne pas paraître important, mais à mon sens, il y a un monde entre ne serai-ce que choper de la métha sur le marché noir et avoir une prescription d'un médecin + suivi du même produit. On parle de set and setting pour les psychédéliques, bah je pense que pour un sevrage ou un TSO, il faut tout aussi soigner le set et un médecin donne un cadre. Tenter les dissos pour se sevrer, c'est vraiment très très très expérimental.
j’avais déjà essayé d’arrêter les opiacé mais avec la ketamine pour le coup et ça m’à pas réussi j’était dans un malsain H24 puis misère vu que ça redescend toute les 45 min du coup j’était obligé de me taper une trace toute les heure et en jonglant entre trip k hole et manque physique. Rendu à un point où j’ai été obligé d’appeler les pompiers. Et repartir sur du sub.
Oui ça n'est pas viable dans le sens ou la kétamine toutes les 1 h ça déséquilibre aussi. Lorsque j'ai réussi à arrêter le GBL avec la mémantine, j'ai essayé de penser un schéma de dose et je m'y suis plus ou moins tenu. J'ai essayé d'utiliser la plus grande douceur. Cad 5 mg / jour pdt 1 semaine, puis 10 mg, 15, 20 pour finir à 40 (donc 5 semaines pour le "traitement" puis arrêt, tout en sachant que la mémantine a du rester active 1 ou 2 semaines facile une fois l'arrêt). Je n'étais pas fortement dépendant du GBL (c'était tout de même mon pic de plus haute tolérance ou il me fallait 3.2 mL par doses), et surtout je n'étais pas tolérant aux dissociatifs. Ce schéma ne m'a provoqué aucun effet dissociatif en soi à aucun moment, j'étais très loin d'alterner Khole ou manque. Je n'avais que l'effet du GBL que j'ai continué à prendre sans arrêter brusquement, en fait sans vouloir diminuer ma conso. Et dans ce cadre précis, ma tolérance a chuté progressivement dans une période d'un mois pour revenir à une tolérance nulle. Donc 1 mois d'un effet dissocatif très très légers (subperceptif) pour un produit avec une demie-vie de 1h à tout casser. Combien de temps pour un produit avec une demie-vie de 24 h comme là méthadone ? Si on peut faire la comparaison (ce qui est surement inexact), il faudrait tabler sur un traitement à la mémantine de 24 mois !
Je pense que tenter le coup avec autre chose que de la mémantine ou du DXM à très faible dose est voué à l'échec. J'ai aussi tenté de me sevrer à la kétamine lorsque j'ai replongé dans le GBL pendant le confinement, et effectivement ça me permettait d'arrêter 24h ma conso et pousser à 48h avec un peu de valium, mais dés le sachet de ké fini, je replongeais illico dans le H24. Et je pense que d'avoir fait ça plusieurs weekends d'affilée m'as plus fragilisé qu'autre chose. La ké a haute dose de façon répétée sur un organisme pas en forme, c'est pas vraiment thérapeutique.
Un organisme est en particulier déréglé par des changements brusques dans sa physiologie. ROA rapides, consommations répétées. Pour revenir à un état antérieur et de façon durable, les TSO nous montrent que la façon la plus efficace de procéder est dans la plus grande douceur.
Sauf que depuis 1 mois que je suis sous metha j’ai l’impression d’être complètement à la ramasse, depressif, plus de libido, plus de confiance et plus de motivation à rien sauf regarder des films.
Ces symptômes peuvent venir d'une atteinte de la métha à ta production de testostérone. Je te recommande de te faire tester au niveau hormonal pour vérifier ça. Ces symptômes sont peu spécifiques et pourraient venir d'autre chose, mais certaines personnes sous opiacés forts sont sensibles à cet effet-là. Avec un traitement de substitution à la testostérone si c'est bien de ça dont il s'agit, tu pourrai bénéficier à 100% du TSO sans les effets secondaires que tu décris.
Et je finierai par dire que si tu es limite niveau hormonal, rajouter des dissociatifs (en tout cas à dose dissociative, des dérivés du PCP, des trucs fort et rapide comme la kéta) sera nécessairement plus négatif que positif, étant donné qu'ils défoncent bien l'axe hypothalamo-hypophysaire (perturbation LH/FSH ce qui provoque toute une cascade de merde). C'est prouvé scientifiquement qu'un antago NMDA a la capacité de reréguler un système glutamaergique déréglé (ce qui est le cas dans la plupart [toutes ?] les dépendances physiques), mais ce n'est qu'une variable dans l'equation. Peut être pour ça que la médecine a conclu qu'ils n'apportaient pas un avantage thérapeutique significatif dans le traitement des dépendances.
Anonyme6525 a écrit
Je plussoie les très bonnes réflexions de faf sur le sujet, qui sont en total accord avec ce que je pense du truc.
Ça par exemple. Plus le déséquilibre est grand, plus revenir à un état d'équilibre est long. D'ailleurs même si des addiction à l'héroïne peuvent potentiellement être écrasée par une flood dose d'iboga, pour la méthadone et sa plus grande puissance/demie-vie, c'est moins évident.
Je ne pense pas que je puisse conseillé de se sevrer à la dure avec des dissociatifs comme je l'ai fait à qui que ce soit.
Je pense que je n'aurai pas supporter le manque physique sans les dissociatifs mais de s'auto géré sur ça c'est super casse gueule, il n'y a aucun cadre ... je finissais vraiment par prendre les dissociatifs pour un oui ou pour un non du matin au soir.Ça aussi je plussoie. Ça peut ne pas paraître important, mais à mon sens, il y a un monde entre ne serai-ce que choper de la métha sur le marché noir et avoir une prescription d'un médecin + suivi du même produit. On parle de set and setting pour les psychédéliques, bah je pense que pour un sevrage ou un TSO, il faut tout aussi soigner le set et un médecin donne un cadre. Tenter les dissos pour se sevrer, c'est vraiment très très très expérimental.
j’avais déjà essayé d’arrêter les opiacé mais avec la ketamine pour le coup et ça m’à pas réussi j’était dans un malsain H24 puis misère vu que ça redescend toute les 45 min du coup j’était obligé de me taper une trace toute les heure et en jonglant entre trip k hole et manque physique. Rendu à un point où j’ai été obligé d’appeler les pompiers. Et repartir sur du sub.
Oui ça n'est pas viable dans le sens ou la kétamine toutes les 1 h ça déséquilibre aussi. Lorsque j'ai réussi à arrêter le GBL avec la mémantine, j'ai essayé de penser un schéma de dose et je m'y suis plus ou moins tenu. J'ai essayé d'utiliser la plus grande douceur. Cad 5 mg / jour pdt 1 semaine, puis 10 mg, 15, 20 pour finir à 40 (donc 5 semaines pour le "traitement" puis arrêt, tout en sachant que la mémantine a du rester active 1 ou 2 semaines facile une fois l'arrêt). Je n'étais pas fortement dépendant du GBL (c'était tout de même mon pic de plus haute tolérance ou il me fallait 3.2 mL par doses), et surtout je n'étais pas tolérant aux dissociatifs. Ce schéma ne m'a provoqué aucun effet dissociatif en soi à aucun moment, j'étais très loin d'alterner Khole ou manque. Je n'avais que l'effet du GBL que j'ai continué à prendre sans arrêter brusquement, en fait sans vouloir diminuer ma conso. Et dans ce cadre précis, ma tolérance a chuté progressivement dans une période d'un mois pour revenir à une tolérance nulle. Donc 1 mois d'un effet dissocatif très très légers (subperceptif) pour un produit avec une demie-vie de 1h à tout casser. Combien de temps pour un produit avec une demie-vie de 24 h comme là méthadone ? Si on peut faire la comparaison (ce qui est surement inexact), il faudrait tabler sur un traitement à la mémantine de 24 mois !
Je pense que tenter le coup avec autre chose que de la mémantine ou du DXM à très faible dose est voué à l'échec. J'ai aussi tenté de me sevrer à la kétamine lorsque j'ai replongé dans le GBL pendant le confinement, et effectivement ça me permettait d'arrêter 24h ma conso et pousser à 48h avec un peu de valium, mais dés le sachet de ké fini, je replongeais illico dans le H24. Et je pense que d'avoir fait ça plusieurs weekends d'affilée m'as plus fragilisé qu'autre chose. La ké a haute dose de façon répétée sur un organisme pas en forme, c'est pas vraiment thérapeutique.
Un organisme est en particulier déréglé par des changements brusques dans sa physiologie. ROA rapides, consommations répétées. Pour revenir à un état antérieur et de façon durable, les TSO nous montrent que la façon la plus efficace de procéder est dans la plus grande douceur.Sauf que depuis 1 mois que je suis sous metha j’ai l’impression d’être complètement à la ramasse, depressif, plus de libido, plus de confiance et plus de motivation à rien sauf regarder des films.
Ces symptômes peuvent venir d'une atteinte de la métha à ta production de testostérone. Je te recommande de te faire tester au niveau hormonal pour vérifier ça. Ces symptômes sont peu spécifiques et pourraient venir d'autre chose, mais certaines personnes sous opiacés forts sont sensibles à cet effet-là. Avec un traitement de substitution à la testostérone si c'est bien de ça dont il s'agit, tu pourrai bénéficier à 100% du TSO sans les effets secondaires que tu décris.
Et je finierai par dire que si tu es limite niveau hormonal, rajouter des dissociatifs (en tout cas à dose dissociative, des dérivés du PCP, des trucs fort et rapide comme la kéta) sera nécessairement plus négatif que positif, étant donné qu'ils défoncent bien l'axe hypothalamo-hypophysaire (perturbation LH/FSH ce qui provoque toute une cascade de merde). C'est prouvé scientifiquement qu'un antago NMDA a la capacité de reréguler un système glutamaergique déréglé (ce qui est le cas dans la plupart [toutes ?] les dépendances physiques), mais ce n'est qu'une variable dans l'equation. Peut être pour ça que la médecine a conclu qu'ils n'apportaient pas un avantage thérapeutique significatif dans le traitement des dépendances.
Wow merci pour toute ces précieuse informations.
J’aurais peut etre la possibilité de me procurer du bromidrate de dxm est ce que c’est pareil ?
Le médicament s’appelle "Bissoltussin 10,5mg comprimé" disponible au portugal.
Le dosage correspond a quoi et est ce que le bissoltussin serait comprable a du tussidane ?
Merci
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Sauf que depuis 1 mois que je suis sous metha j’ai l’impression d’être complètement à la ramasse, depressif, plus de libido, plus de confiance et plus de motivation à rien sauf regarder des films.
Par rapport à ça, il se peut aussi qu'il y ai un temps d'adaptation de ton organisme.
As tu pris le temps d'ajuster le dosage avec ton doc ?
Perso passé la première semaine de lune de miel avec la métha (j'ai eu un gros dosage par rapport à ce dont j'avais besoin réellement) par la suite, ça m'a rendu assez amorphe, je ne me sentais pas particulièrement bien, mais je m'endormais tout le temps et j'avais la flemme et zero libido.
Peut être un dosage trop haut ?
Sinon pour le dxm quel est ton but du coups?
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fafefifofu a écrit
Sauf que depuis 1 mois que je suis sous metha j’ai l’impression d’être complètement à la ramasse, depressif, plus de libido, plus de confiance et plus de motivation à rien sauf regarder des films.
Par rapport à ça, il se peut aussi qu'il y ai un temps d'adaptation de ton organisme.
As tu pris le temps d'ajuster le dosage avec ton doc ?
Perso passé la première semaine de lune de miel avec la métha (j'ai eu un gros dosage par rapport à ce dont j'avais besoin réellement) par la suite, ça m'a rendu assez amorphe, je ne me sentais pas particulièrement bien, mais je m'endormais tout le temps et j'avais la flemme et zero libido.
Peut être un dosage trop haut ?
Sinon pour le dxm quel est ton but du coups?
Ouai alors je me suis dit pareil qu’il fallait le temp que mon corps s’habitue et tout. Je suis pareil que toi flemme de tout bah du coup j’ai diviser la dose en 2 prise dans la journée 20mg matin et 10 le soir. Ca va un peu mieu.
Deja les trois 1ere semaine j’arrivais meme pas a faire ma crotte puis la depuis que j’ai commencer la metha j’ai pas le souvenir d’avoir eu la gaule une fois (naturellement) en forcant la chose avec un film ou une go j’y arriverai mais genre les gaules matinale c niet de niet. Haha dsl pour les details
Franchement la je pense pas etre surdoser j’ai enlever 3 mg et j’ai senti la difference.
Le docteur que j’ai il est pas terrible il me dit qu’il a le droit de rien faire vis a vis de mon traitement je crois que je vais changer. J’ai etait en cure pour faire le switch sub metha. Et mon medecin traitant je lai vu 2 fois depuis mais comme je dis il m’a pas l’aire tres ouvert, ca fait 4 ans que je suis sous subutex j’ai arreter de shooter ya 3ans et il pinaille pour pas me donner en gellule alors que je suis censé partir en vac dans 2 mois (donc pas d’ordonnace de 28j) . Ca me gave.
Niveau relationnel pareil j’ai l’impression de pas etre present avec les gens de pas avoir d’energie.
Du coup je reflechi de plus en plus a accelerer mon arret de metha en faisant des gros palier genre je baisse de 10 au debut pui 7 puis 5puis 3 et une fois a 5 mg je fais un arret sec en m’aidant d’un peu de dxm (vraiment des mini dose) et du valium autan que necessaire.
Parce que la je vois ma vie qui file et j’en ai marre de plus etre maitre de moi et libre surtout.
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Dernière modification par fafefifofu (11 mai 2022 à 20:24)
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fafefifofu a écrit
Salut,
J'ai décidé de me sevré de mes 16mg de métha qui me pourrissent littéralement la vie, j'ai déjà pu remarqué et j'ai également lu quelques témoignage comme quoi les disso aidaient beaucoup pour le manque opiacé.
J'ai pris ma derniere dose de métha hier matin, donc aujourd'hui j'ai pu goutter au joie du manque qui été déjà pas mal développé pour le premier jour.
Après a 16mg j'étais pas tout à fait confort et je pense que je métabolise relativement vite la metha qui a toujours eu du mal à me faire 24 h donc ceci explique peut être le fait que le manque à déjà bien avancé en 1 journée.
Bref je passe les détails la journée fût extrêmement longue (en plus c'était mon anniv ...) et là il y a 2h j'ai pris je dirai environ 10 mg de DCK, presque tout mes symptomes se sont envolé.
Je me sens quand même un petit peu bizarre (ça a calmer à 90% je dirai) mais vraiment ça n'a plus rien avoir, juste avant j'étais entrain de greloter sous la couette à osciller entre chaud froid envie de gerber qui pointais son nez, à moitié entrain de comater mais impossible de s'endormir bien sur.
Après même si à la description ça peut sembler vener c'est que le premier jour don ce n'est pas un manque force 10 non plus, est-ce normal que ça me calme autant ?
Quelqu'un à t-'il eu des éxperiences de sevrage aux disso, ou même remarqué une efficacité telle ?
Ou serait-'il possible que la dck ou l'o-pce ai une action sur les recepteur opiacé ?
Si quelqu'un à des infos ou juste des anecdotes n'hésitez pas.
Si ça vous intéresse je vous tiendrai au courant de l'avancé de ce sevrage, ce qui me fait le plus peur c'est le manque de sommeil ...
A voir si ça sera efficace quand les symptomes seront beaucoup plus fort également.
PS. je sais que c'est pas la meilleur des idée un sevrage "à la dure" pour commencer encore moins en compensant avec d'autres drogues, et encore moins des rc ...
Pour ce qui ai du sevrage ça a été murement réfléchi, j'ai mis le taff, ma mère, les médecins au courant, d'ailleurs j'ai trouvé un médecin qui accepte de me suivre la dedans (bon il est pas au courant pour les disso), et j'ai choisis les rc car je n'ai pas accés à d'autres substance (ketamine) et que celle ci a une durée très limité, et une tolérance énorme qui s'installe très vite (et c'est pas donné pour les quantité).
Et le but est juste de me rendre le gros du sevrage moins dur, pas de tripé.
Salut à toi ! oui les dissociatifs NMDA (ketamine/pcp et dérivés) ont une action prouvée sur les recepteurs opiodes sur les animaux et donc potentiellement pour les humains.
Ton témoignage est encourageant! j'espere arreter la metha bientot... pour l'instant j'utilise les analogues pcp pour potentialiser les effets des opiaces euphorie etc
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