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Dernière modification par pierre (19 juin 2021 à 21:25)
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Dernière modification par prescripteur (19 juin 2021 à 20:57)
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Junon a écrit
J'entendais un directeur d'association qui préconnisait à la place d'une politique de répression comme font actuellement la police de faire actuellement comme le Portugal : à chaque fois qu'un consommateur est pris en train de consommer sur la voix publique il est pris en charge et immédiatement redirigé vers une structure qui traiterai son addiction et sa situation.
Faut-il démocratiser les salles de shoot ? Faut-il changer les textes de lois auprès du législateur ?
Faut-il continuer la politique répressive ? Faut-il donner plus de moyens aux associations de terrains ?
J'aimerais bien avoir votre avis la dessus :)
Je doute que les envoyer en cure forcée soit la solution et en plus , bon courage à ceux qui devraient les prendre en charge pour les désintoxiquer car une bonne partie ne veulent pas etre désintoxiqués ou en tout cas , pas etre envoyés de force en cure du jour au lendemain !
Ce n'est que mon opinion mais comme le dit prescripteur , la plupart sont totalement désocialisés et dans le crack depuis tellement longtemps qu'il me parrait compliqué de leur faire arreter du jour au lendemain et surtout , en leur proposant quoi à la place
?
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pierre a écrit
Les solutions, on les connait depuis plus de 30 ans ! Notamment aux pays bas.
C'est des salles d'inhalation de crack ou il y a un coin de toléré pour que les usagers achètent leur crack au dealers.
Et des hébergements adaptés pour les usagers de crack qui tolèrent aussi la consommation de crack.
Tu fait cela, tu as résolu le "problème" du crack à Paris. Ca fait longtemps qu'il n'y a plus d'attroupement de crackers à Rotterdam !
À croire qu’ils ne veulent pas le régler, le problème....
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Dernière modification par sakado (11 août 2022 à 04:53)
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Chers amis, je vous encourage à garder vivant et à diffuser le patrimoine d’action ecclésiale et sociale du vénérable Giorgio La Pira ; en particulier son témoignage intégral de foi, l’amour pour les pauvres et pour les personnes marginalisées, le travail pour la paix, la mise en œuvre du message social de l’Église et la grande fidélité aux indications catholiques. Autant d’éléments qui constituent un message valide pour l’Église et la société d’aujourd’hui, confirmé par l’exemplarité de ses gestes et de ses paroles.
Son exemple est précieux, en particulier pour ceux qui œuvrent dans le secteur public, qui sont appelés à être vigilants à l’égard des situations négatives que saint Jean-Paul II a définies comme « structures de péché » (1). Celles-ci sont la somme des facteurs qui agissent dans le sens contraire de la réalisation du bien commun et du respect de la dignité de la personne. On cède à ces tentations quand, par exemple, on recherche exclusivement son profit personnel ou celui d’un groupe plutôt que l’intérêt de tous ; quand le clientélisme l’emporte sur la justice ; quand l’attachement excessif au pouvoir empêche de fait le renouvellement générationnel et l’accès à de nouvelles recrues. Comme le disait Giorgio La Pira : « La politique est un engagement d’humanité et de sainteté ». C’est donc une voie exigeante de service et de responsabilité pour les fidèles laïcs, appelés à animer de façon chrétienne les réalités temporelles, comme l’enseigne le concile Vatican II (2).
Frères et sœurs, l’héritage de Giorgio La Pira, que vous préservez dans vos différentes expériences associatives, constitue pour vous comme une « poignée » de talents que le Seigneur vous demande de faire fructifier. Je vous exhorte donc à valoriser les vertus humaines et chrétiennes qui font partie du patrimoine immatériel et aussi spirituel du vénérable Giorgio La Pira. Ainsi, vous pourrez, dans les territoires où vous vivez, être des acteurs de paix, des artisans de justice, des témoins de solidarité et de charité ; être un ferment de valeurs évangéliques dans la société, surtout dans le monde de la culture et de la politique ; vous pourrez renouveler l’enthousiasme de se dépenser pour les autres, en leur donnant la joie et l’espérance. Dans son discours, votre président a prononcé deux fois le mot « printemps » : aujourd’hui, il faut un « printemps ». Aujourd’hui, il faut des prophètes d’espérance, des prophètes de sainteté, qui n’aient pas peur de se salir les mains pour travailler et aller de l’avant. Aujourd’hui, il faut des « hirondelles » : c’est vous.
Dernière modification par prescripteur (11 août 2022 à 10:37)
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Dernière modification par prescripteur (11 août 2022 à 14:26)
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