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Dernière modification par Sufenta (17 juillet 2021 à 09:27)
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cependant a écrit
Salut,
Après il me semble comprendre que les pros (j'en suis pas), me demandent toujours les antécédents familiaux et établissent une corrélation (génétique ? culturelle ?) avec une « prédisposition »...
En gros s'il y a dans la familles de cas de troubles psy, stastiquement on est plus exposés au risque d'en déclarer...mais c'est loin d'être automatique !!
Dans les statistiques, si on connait une personne qui a fait une OD on a plus probabilité d'en faire, car on partage (probablement ?) les mêmes consos, les mêmes Roas, les mêmes plans etc...mais ça se peut très bien qu'on connaisse personne qui a fait une OD et qu'on en fasse et vice-versa qu'on en connaisse plein et qu'on en fait pas...juste être averti de la probabilité statistique peut aider à faire plus gaffe...
Pourquoi tu posais la question ?
J'imagine (peut-être à tort, mais vu le sujet du forum..) que c'est en prévision de la conso de produit ? Lequel t'intéresse ? Pourquoi tu poses la question ? Tu as l'impression de te sentir "prédisposé" ?
personne dans ma famille à de trouble psy donc c'est déjà ça.
oui c'est ça, un peut de tous mes surtout les psychédéliques. je me posais la question car je c'est qu'il y a des risque donc tant qu'à faire autant etre sur de ne pas avoir de risque
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anonyme1000 a écrit
.qu'il y a des risque donc tant qu'à faire autant etre sur de ne pas avoir de risque
Le risque zéro n'existe pas (qu'en traversant une route par ex) mais en effet onnedt pour la réduction des risques...
Si tu fais gaffe
- à ton produit (idéalement en le testant, mais bon moi ça m'est arrivé peu de fois de le faire, mais ça serait mieux cde choper un id test sur le net)
- aux doses que tu prends (tjs commencer petit, d'autant plus si on a pas testé, genre un quart ou un demi carton au gran max) et ne pas redropper même si on a l'impression que ça fait rien (parfois ça prend bien une heure voire plus avant de monter !)
- au set & setting, c'est à dire :
- si t'es bien dans ta tête (pas d'emmerders, idées noires, problemes), reposé
- avec des personnes de confiance
- préférablement avec quelqu'un de sobre en cas de problème, mais pas que pour pouvoir aussi partager l'experience
- dans un endroit sans pression, avec possibilité de changer (ex à l'extérieur mais en pouvant rentrer ou vice versa)
- sans pression pour des trucs à faire dans les heures qui suivent/le lendemain
Il n'y a aucune raison, à priori, que ça se passe mal !!
Je sais que dit comme ça ça fait beaucoup, mais franchement ça a valu le coup pour moi d'en prendre dans ces conditions pour vivre des beaux moments
Gaffe à toi et profite bien
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Dernière modification par LoL2SeC (16 juillet 2021 à 18:39)
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LoL2SeC a écrit
hi il observe la langue, les yeux, les différents pouls des deux poignets
En effet ! Une bonne méthodologie c’est l'assurance d'avoir un bon diagnostic.
Sans parler du traitement.
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Lol2Sec a écrit
rien qu'en observant la langue, on peut savoir si il y a des risques.
Je suis par contre un peu sceptique sur cette méthode...
Non pas que je ne crois pas aux potentialités de la medecine chinoise (qui sont très interessantes notamment pour une approche globale et holistique bien différente de la médecine allopathique occidentale) mais par contre, j'emets quelques doutes sur l'affirmation de diagnostiques psy en observant un organe...je suis désolé mais moi ça me rappelle tristement Lombroso et la phrénologie qui, sur la base de l'analyse des crânes, predictaient les probabilités qu'un individu soit déviant, fou et potentiellement criminel
Bref, moi je ferais gaffe face à un soignant qui avance de telles affirmations...surtout que la médecine chinoise qui se trouve en France, n'est pas forcément riche comme la médecine traditionnelle de Chine (d'autant plus que même cela est moins uniforme de ce qu'on le pourrait croire) et le fait que ce ne soit pas vraiment contrôlée ça laisse parfois place à des derives...
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cependant a écrit
Salut,
Les mots de prescripteur me semblent comme toujours très pertinents...Lol2Sec a écrit
rien qu'en observant la langue, on peut savoir si il y a des risques.
Je suis par contre un peu sceptique sur cette méthode...
Non pas que je ne crois pas aux potentialités de la medecine chinoise (qui sont très interessantes notamment pour une approche globale et holistique bien différente de la médecine allopathique occidentale) mais par contre, j'emets quelques doutes sur l'affirmation de diagnostiques psy en observant un organe...je suis désolé mais moi ça me rappelle tristement Lombroso et la phrénologie qui, sur la base de l'analyse des crânes, predictaient les probabilités qu'un individu soit déviant, fou et potentiellement criminel
Bref, moi je ferais gaffe face à un soignant qui avance de telles affirmations...surtout que la médecine chinoise qui se trouve en France, n'est pas forcément riche comme la médecine traditionnelle de Chine (d'autant plus que même cela est moins uniforme de ce qu'on le pourrait croire) et le fait que ce ne soit pas vraiment contrôlée ça laisse parfois place à des derives...
hi ça rien avoir avec la phrénologie, de ce que je sais quand on oscule un patient, la langue permet aussi de confirmer un diagnostique avant que les troubles deviennent des maladies. tu vas sur google et tu tapes en mot clé "langue diagnostique mtc" tu trouveras plein de site qu'il t'expliquera correctement de quoi ça retourne. Dire que en chine ils sont plus en avance que en Europe ça c'est pas vrai, les facultés en france et les écoles privées ont des partenariats avec les universités et les hôpitaux chinois.. je viens de me renseigner. c'est controlé en france pour pratiquer la médecine chinoise il faut au minimum un diplome de medecine generaliste et avoir fait 3ans d'études complementaire en medecine chinoise.. mais c'est pas suffisant, il y a des medecins qui pratiqueront la medecine de maniere tres hasardeuse ça c'est un problème que tu trouveras même en Chine.. pour eviter de tomber sur une personne incompétente, vaut mieux poser les bonnes questions, sur ses diplôme ou sa capacité a traiter un trouble spécifique par exemple. se renseigner avant d'aller consulter. mais c'est sur que si tu veux soigner un trouble quelqu'il soit avec la mtc vaut mieux tomber sur praticien qui est a jour dans la recherche medicale. j'ai de la chance dans ma ville j'ai deux medecins qui ont etudier en chine donc l'un des deux qui est professeur en mtc dans une faculté.
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Dernière modification par Skofil (22 juillet 2021 à 13:01)
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Skofil a écrit
Salut !
J'ai créé un compte pour pouvoir répondre à cette question. Je suis psy et il existe effectivement un test projectif pour déceler une éventuelle structure de personnalité "à risque" (grosses guillemets hein).
Le Rorschach, le fameux test des tâches d'encre, a été créé pour ça. On compare les réponses du sujet aux réponses communément données. C'est un test statistique qui permet donc de déterminer si la personne a une structure de personnalité névrotique, borderline ou psychotique. Ca n'est pas si sujet à l'interprétation que ça, la cotation est stricte et très détaillée.
À mon niveau (je n'ai pas la science infuse et donc je peux me tromper), je ne pense pas que ce soit si parfaitement délimité. Les structures de personnalités se recoupent un peu les unes les autres selon les expériences de l'individu. Et les mécanismes de défense mis en place aussi diffèrent grandement selon les individus, leur background familial, social, culturel, physiologique ...
Un enfant élevé par une personne ayant un système représentationnel psychotique et un style d'attachement non sécure va se développer en partageant ces représentations et donc être considéré comme étant "à risque". Mais c'est un sujet ultra complexe et multimodal qu'il est impossible de détailler là sans faire d'erreur ou de manquements.
Prescripteur a raison d'appuyer sur l'importance de l'environnement et des représentations des acteurs autour des personnes diagnostiquées ou non. C'est pour ça que contrôler le set & setting est important dans la prise de psyché. L'environnement joue un rôle important. Cependant a tout dit ! (dur de citer ce nom sans risquer d'être confus ahah)
Le top étant des entretiens psy pour déterminer si tu es à risque ou pas.
Ça se fait où ces entretiens ? Psychiatre ? Psychologue/Psychothérapeute ?
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Skofil a écrit
Salut !
J'ai créé un compte pour pouvoir répondre à cette question. Je suis psy et il existe effectivement un test projectif pour déceler une éventuelle structure de personnalité "à risque" (grosses guillemets hein).
Le Rorschach, le fameux test des tâches d'encre, a été créé pour ça. On compare les réponses du sujet aux réponses communément données. C'est un test statistique qui permet donc de déterminer si la personne a une structure de personnalité névrotique, borderline ou psychotique. Ca n'est pas si sujet à l'interprétation que ça, la cotation est stricte et très détaillée.
À mon niveau (je n'ai pas la science infuse et donc je peux me tromper), je ne pense pas que ce soit si parfaitement délimité. Les structures de personnalités se recoupent un peu les unes les autres selon les expériences de l'individu. Et les mécanismes de défense mis en place aussi diffèrent grandement selon les individus, leur background familial, social, culturel, physiologique ...
Un enfant élevé par une personne ayant un système représentationnel psychotique et un style d'attachement non sécure va se développer en partageant ces représentations et donc être considéré comme étant "à risque". Mais c'est un sujet ultra complexe et multimodal qu'il est impossible de détailler là sans faire d'erreur ou de manquements.
Prescripteur a raison d'appuyer sur l'importance de l'environnement et des représentations des acteurs autour des personnes diagnostiquées ou non. C'est pour ça que contrôler le set & setting est important dans la prise de psyché. L'environnement joue un rôle important. Cependant a tout dit ! (dur de citer ce nom sans risquer d'être confus ahah)
Le top étant des entretiens psy pour déterminer si tu es à risque ou pas.
Merci beaucoup pour toutes vos réponses, d'accord mais donc si je demande à ma psy d'avoir un entretien sur ceci et donc elle me demande pourquoi et que je lui dis la raison elle risque pas de m'en dissuader et de bien me faire chier nan ?
Dernière modification par anonyme1000 (30 juillet 2021 à 00:06)
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prescripteur a écrit
Bonjour, cet article est intéressant sur ce sujet
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articl … -06944.pdf
Amicalement
Merci malheureusement je ne suis vraiment pas douée en anglais donc j'irais traduire ça sur Google trad en espérant que le texte soit compréhensible
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Résumé
La recherche du plaisir chez les clubbers et les amateurs de discothèque implique souvent l'usage de drogues. Pourtant,
La question de savoir si la consommation de substances peut représenter un facteur de risque pertinent contribuant au développement de symptômes psychiatriques et de maladie mentale reste débattue. Les objectifs de cette étude étaient d'évaluer le pourcentage de sujets ayant développé des symptômes psychiatriques de longue durée dans un échantillon de sujets déclarant avoir consommé des substances en boîte de nuit, et d'évaluer le rôle d'un diagnostic psychiatrique antérieur chez ces sujets. Les données ont été collectées pendant trois années consécutives dans des unités de soins dédiées à l'intérieur de toutes les boîtes de nuit d'Ibiza, dans les salles d'urgence de l'hôpital Can Misses et à l'intérieur du service psychiatrique.
Au total, 10 163 sujets ont nécessité une assistance médicale à l'intérieur des discothèques des unités médico-infirmières, dont 223 ont nécessité des transferts aux urgences des hôpitaux. Parmi ceux-ci, 110 ont nécessité une hospitalisation psychiatrique ultérieure. Quatre-vingt-onze (82,7 %) de ces patients avaient des antécédents psychiatriques positifs, que l'on retrouvait également chez 31 des 113 sujets (27,4 %) ne nécessitant pas d'hospitalisation psychiatrique.
Les antécédents psychiatriques négatifs étaient négativement associés à l'hospitalisation (coefficient = -2,574 ; p = 0,000) et pour les sujets ayant des antécédents psychiatriques négatifs, la probabilité d'être hospitalisé a changé d'un facteur de 0,076.
Le sexe, l'âge, l'état civil et la nationalité n'étaient pas des prédicteurs significatifs d'hospitalisation. Globalement, le nombre de sujets ayant développé des troubles psychiatriques majeurs semblait limité. Cependant, la présence d'une histoire psychiatrique a joué ici un rôle crucial.
Les drogues de club sont donc capables d'induire des séquelles psychiatriques nécessitant une hospitalisation principalement chez des sujets déjà vulnérables d'un point de vue psychopathologique.
Discussion
Dans cette étude réalisée au cours de trois saisons touristiques consécutives, nous avons rapporté une faible nombre de sujets qui ont signalé des conséquences psychopathologiques après l'utilisation de substances, telles que l'obligation d'hospitalisation en psychiatrie.
Étant donné que le nombre de touristes à Ibiza atteint une moyenne de 3 109 630 par an avec une prévalence nombre de clubbers parmi eux [15,16] nous pensons que le nombre de sujets développant un les hospitalisations psychiatriques soient limitées (Figure 2) malgré la diffusion de substances qui
sont puissantes d'un point de vue pharmacodynamique avec des effetspsychotomimétiques documentés.
La faible incidence des conséquences psychiatriques pourrait avoir été déterminée par la résilience de cet échantillon spécifique de sujets. Festivaliers et clubbers en villégiature—environnements dans lesquels les fêtes hédonistes sont socialement acceptées et les drogues sont généralement facilement
disponible - pourrait être moins susceptible de développer des conséquences psychiatriques en raison d'un faible prévalence des antécédents psychiatriques. Les caractéristiques de notre échantillon, avec de forts niveaux d'éducation et de bons taux d'emploi, diffèrent du profil typique de la substance
abuseurs, qui se caractérisent souvent par le chômage, un faible niveau d'éducation, un faible qualité de vie, des conditions de logement précaires, un faible niveau socio-économique et la présence de comorbidités psychiatriques [18–20].
Une explication de ce phénomène pourrait être que les caractéristiques des clients toxicomanes ont changé au cours des dernières années, les toxicomanes diffèrent grandement des « toxicomanes » du passé [21,22].
L'abus de drogues utilisé pour représentent un moyen d'échapper aux normes sociales, alors qu'aujourd'hui est largement intégré parmi les
rituels culturels post-modernes, en particulier dans les groupes d'adolescents et de jeunes adultes [23].
Le toxicomane dans le scénario club et discothèque est souvent très intégré dans le contexte social, de une tranche socio-économique élevée, avec un bon niveau d'éducation et placé dans un groupe de pairs capable de fournir un soutien.
Ces facteurs peuvent contribuer à rendre le sujet plus résilient et capable de résister, au moins à court terme, aux éventuels conséquences dérivées de l'utilisation de certaines substances.
Il est à noter que dans notre échantillon, l'usage de substances a entraîné de nombreux cas à usage multiple, parfois inconnu de l'utilisateur. Des recherches antérieures ont établi que les personnes souffrant de troubles liés à l'utilisation de substances et d'une maladie mentale concomitante sont plus susceptibles
s'engager dans des comportements à haut risque, tels que la consommation de polysubstances [24].
Notre étude montre que le polyabus est plutôt un comportement typique, indépendamment de la présence de comorbidités, et représente vraisemblablement une typologie typique d'usage en relation avec le contexte et ses aspects [23].
Le deuxième point majeur qui est ressorti de cette étude est le rôle de l'histoire psychiatrique qui a joué un rôle crucial dans le développement ultérieur de conséquences à long terme
Ce résultat est cohérent avec ceux d'autres études sur des sujets à double
troubles, avec des niveaux plus élevés de symptômes psychiatriques signalés chez les sujets avec un antécédents psychiatriques préexistants exacerbés par la consommation de substances [25,26].
Les troubles psychiatriques, et plus particulièrement les troubles de l'humeur et l'anxiété, semblent être répandus dans les populations vulnérables et les symptômes psychiatriques comorbides sont restés significativement associés à la persistance de symptômes psychotiques après ajustement pour la sévérité de la dépendance à la méthamphétamine [28].
Cette étude présente plusieurs limites :
(1) l'évaluation des antécédents psychiatriques
reposait sur une évaluation psychiatrique sans entretien structuré ;
(2) l'échantillon des sujets évalués à l'intérieur de la discothèque pour une évaluation sanitaire et ne nécessitant pas d'autres
l'hospitalisation n'a pas été évaluée par des psychiatres mais par des infirmières qualifiées ;
(3) quelques sujets nécessitant une hospitalisation aurait pu bénéficier de services de santé et de services privés ultérieurs , contournant ainsi le décompte proposé ;
(4) les effets à long terme des nouvelles et les substances traditionnelles n'ont pas été adéquatement évaluées, ainsi qu'une analyse approfondie des
l'utilisation antérieure de substances; et
(5) une analyse d'urine précise et l'historique des médicaments de
patients qui n'ont pas nécessité une admission ultérieure en psychiatrie n'était pas possible dans le milieu d'urgence, ne permettant ainsi pas une comparaison adéquate avec le groupe de patients par la suite admis en psychiatrie.
Dans les études futures, les points suivants seront abordés :
(1) une meilleure discrimination des
effets psychopathologiques de substances spécifiques, y compris les NPS, en relation avec les dosages et voies de prise ; et
(2) un regard prospectif sur les effets à long terme des substances.
5. Conclusions
Dans notre échantillon de clubbers et de disco-goers, le rôle d'une histoire psychiatrique positive s'est avéré être un facteur crucial pour déterminer une hospitalisation ultérieure après un épisode d'abus de substances, avec des cas de niveaux élevés de symptômes psychiatriques nécessitant également des
contraintes.
Les substances psychoactives nouvelles et anciennes sont donc en mesure de déterminer des séquelles psychiatriques à long terme principalement chez des sujets déjà préalablement compromis et vulnérable d'un point de vue psychopathologique.
Par conséquent, l'évaluation de la santé mentale doit être effectuée systématiquement dans un contexte d'urgence et dans les premiers stades de
traitement [27]. Grâce à ces données, des stratégies de réduction des méfaits et des campagnes de prévention dédiée aux sujets ayant des antécédents psychiatriques positifs pourrait représenter une option intéressante.
Dans le même temps, et aussi au vu du pourcentage relativement faible de sujets nécessitant une admission à l'unité psychiatrique, cette étude suggère qu'un fort accent sur les modèles d'intervention prohibitionnistes ne pouvaient pas avoir d'impact clinique. Des études prospectives sont justifiée afin de comprendre l'impact à long terme de la consommation de substances dans les scénarios de club.
Deux images associées montrant le faible taux de complications à long terme
ibiza2.pdf
ibiza.pdf
Dernière modification par prescripteur (30 juillet 2021 à 08:55)
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anonyme1000 a écrit
[...]Test de Rorschach
Bonjour Anonyme1000,
Pour le test de Rorschach je ne te conseille pas un psy le pratiquant car :
Le test n’a pas fait les preuves de son efficacité et comme tel l'utilisation de ce test a presque disparu de la recherche scientifique en psychologie ou psychiatrie
et de manière générale pour les test dits "projectifs" :
le test de Rorschach (tout comme la plupart des autres tests projectifs) fait l'objet de nombreuses critiques et controverses. Ces critiques portent notamment sur le fait que les recherches psychométriques échouent à démontrer la validité du test pour ce pourquoi il est utilisé, les mesures psychométriques.
source1et source2
Je vais appuyer de manière personnelle les conseils de prescripteur en te conseillant un professionnel (je dirigerais même plus vers un psychiatre qui est médecin et remboursable par la sécurité sociale). En trouvé un qui te conviendra ne sera pas forcément aisé mais une fois fait ça aide (de mon expérience personnelle). J'ai en effet réussi à trouver un psychiatre qui comprend mon envie de consommer des psychotropes et qui peut même me donner des conseils (déconseiller des mélanges ou m'avertir des effets secondaires auxquels je n'aurais pas forcément penser, etc.)
Et je me permets de t'avertir sur un sujet : la psychanalyse qui peut être considéré comme une pseudo-science et qui pose des problèmes variés. Reportages intéressants ici et là sur ce sujet. (ici je parle de mon point de vue mais je pense qu'au vu des données existantes c'est limite de la RDR de déconseiller la psychanalyse)
Bon courage à toi
Dernière modification par Aleph1 (31 juillet 2021 à 16:15)
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