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Rick a écrit
imho
les morts du ghb sont plus lié à l'overdose ou aux suicides pendant le sevrage que par la rhabdomyolise et tous les effets délétaires somatiques provoqués pendant le sevrage qui nécessite d'énormes doses quotidiennes pendant une très longue periode
là il serait quasi impossible de ne pas se rendre compte qu'il y a un énorme soucis (pupilles dilatées h24, euphorie permanente, somnolence alors que la personne n'était probablement pas narcoleptique/hypersomniaque) après pour le sevrage même si il se passe mal on sait comment le prendre en charge pour sa partie physique et lorsque le patient devient momentanément psychotique et le personnel en réa est très qualifié
le partie la plus difficile à gérer ça va plutôt être l'après, en psychiatrie
Vu comme tu en parles on dirait qu'il faut vraiment que les malchances soient alignés pour mourir d'un sevrage aux gabaergiques (ghb / alcool / benzos). Je n'ai aucune idée de la réalité des chiffres, combien de cas de sont reportés annuellement liés à des sevrages mortels à cause des gabaergiques.
L'une des premières recommandations qui est donnée "d'éviter le cold turkey avec de l'alcool / g / benzos" dans les cas de grosses consos, ne serait pas pertinent pour tant de personnes que ça ? Je vais aller voir si l'OFDT a de la Data sur ce type de stats...
Et ouai quoi qu'il en soit, la partie post-sevrage ça doit être de la rame à ne plus en finir, avec ce genre de pathologie, puisque j'imagine que ça se manifeste dès la naissance.
Dernière modification par Johan89 (27 septembre 2021 à 22:40)
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Dernière modification par Rick (27 septembre 2021 à 23:22)
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Rick a écrit
C'est pas si évident de mourir du ghb sans mélange.
Par contre avec mélange, c'est une belle faucheuse.
C'est pour cela que ce n'est pas une "drogue du viol" réelle, utilisée par les violeurs dans les faits du monde réel.
parfois quelques uns le font , mais à la base il y avait des soumissions chimiques à hollywood uniquement (car ils imaginaient à tort que le ghb était indetectable alors que les cheveux prouvent le contraire des mois après la prise - et le coté drogue indetectable a fait beaucoup fantasmer - en mode lui c'est un prédateur pro il va jusqu'à prendre une molécule indetectable par voie sanguine ou urinaire wow!)
du coup les violeurs se sont inspirés de la fiction pour transformer la soumission chimique au ghb réelle.
et c'est pour ça qu'on a quelques cas par an.
Dans la pratique, si la personne a bu un verre de bière, elle part faire des convulsions et peut mourir. Si elle a pris des opiacés récréatif ou sous traitement. idem pour les benzodiazépines etc. Seule la tolérance pourra faire survivre les victimes ou les aléas du dosage.
Les benzodiazépines sont beaucoup plus accessibles, le ghb ne provoque presque aucun trouble de la mémoire (je me rappel de tous mes milliers de trips) alors que sous benzo alcool on a des blackouts très communs et je n'ai qu'un vague souvenir de ces soirées. Et pour les interactions elles sont bien moins mortelles; Donc en gros les benzo et l'alcool sont de loins les drogues du viol alors que le ghb c'est fantasmer.
On est tout à fait d'accord, je ne crois pas à ces histoires de GHB = drogue du viol, étant moi même consommateur occasionnel de G (même si avec tous les métaux lourd que l'on retrouve en ce moment c'est la dèche), que je consomme sans jamais rien mélanger avec, ou alors tout au plus avec un stim, je n'ai jamais eu de perte de mémoire. A propos des benzos, je n'aime pas ce type de défonce, pour avoir essayé quelques fois je trouves ça absolument pas récréatif, et très inintéressant.
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Johan89 a écrit
Rick a écrit
C'est pas si évident de mourir du ghb sans mélange.
Par contre avec mélange, c'est une belle faucheuse.
C'est pour cela que ce n'est pas une "drogue du viol" réelle, utilisée par les violeurs dans les faits du monde réel.
parfois quelques uns le font , mais à la base il y avait des soumissions chimiques à hollywood uniquement (car ils imaginaient à tort que le ghb était indetectable alors que les cheveux prouvent le contraire des mois après la prise - et le coté drogue indetectable a fait beaucoup fantasmer - en mode lui c'est un prédateur pro il va jusqu'à prendre une molécule indetectable par voie sanguine ou urinaire wow!)
du coup les violeurs se sont inspirés de la fiction pour transformer la soumission chimique au ghb réelle.
et c'est pour ça qu'on a quelques cas par an.
Dans la pratique, si la personne a bu un verre de bière, elle part faire des convulsions et peut mourir. Si elle a pris des opiacés récréatif ou sous traitement. idem pour les benzodiazépines etc. Seule la tolérance pourra faire survivre les victimes ou les aléas du dosage.
Les benzodiazépines sont beaucoup plus accessibles, le ghb ne provoque presque aucun trouble de la mémoire (je me rappel de tous mes milliers de trips) alors que sous benzo alcool on a des blackouts très communs et je n'ai qu'un vague souvenir de ces soirées. Et pour les interactions elles sont bien moins mortelles; Donc en gros les benzo et l'alcool sont de loins les drogues du viol alors que le ghb c'est fantasmer.On est tout à fait d'accord, je ne crois pas à ces histoires de GHB = drogue du viol, étant moi même consommateur occasionnel de G (même si avec tous les métaux lourd que l'on retrouve en ce moment c'est la dèche), que je consomme sans jamais rien mélanger avec, ou alors tout au plus avec un stim, je n'ai jamais eu de perte de mémoire. A propos des benzos, je n'aime pas ce type de défonce, pour avoir essayé quelques fois je trouves ça absolument pas récréatif, et très inintéressant.
Dernière modification par Rick (28 septembre 2021 à 14:36)
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Rick a écrit
C'est quoi ces histoires de métaux lourds, développe amigo
Johan89 a écrit
On est tout à fait d'accord, je ne crois pas à ces histoires de GHB = drogue du viol, étant moi même consommateur occasionnel de G (même si avec tous les métaux lourd que l'on retrouve en ce moment c'est la dèche), que je consomme sans jamais rien mélanger avec, ou alors tout au plus avec un stim, je n'ai jamais eu de perte de mémoire. A propos des benzos, je n'aime pas ce type de défonce, pour avoir essayé quelques fois je trouves ça absolument pas récréatif, et très inintéressant.
Je ne sais pas si t'a question est purement rhétorique parce qu'il me semble que tu consommes du G, et que tu en as une bien meilleur connaissance que moi , mais pour faire simple quand je tope du GHB, je me démerde un peu comme tout le monde, ca passe par GBL (d'une qualité pas forcément la plus contrôlée) -> nettoyage au charbon et transfo en GHB
https://www.psychoactif.org/forum/2019/ … 794_2.html
Le truc c'est que déja j'ai aucune idée du % d'impureté dans le gbl que j'achète, et ensuite pendant que tu le transforme / nettoie tu peux générer des sels "toxiques" comme le dit snap2 ici: https://www.psychoactif.org/forum/2020/ … 232_1.html je sais pas si on peut qualifier ça de "métaux lourds" c'est en partie à quoi je pensais. Et enfin même quand tu l'as nettoyé au charbon, tu as 0 moyen d'avoir un test qualitatif sur la quantité de substances qui n'est pas du G , restant dans ta solution et qui peuvent très bien être apportées par les réactifs utilisés pour la transfo également A moins qu'il en existe un et que je sois passer à côté pendant tout ce temps. Donc en théorie avec tout ce process tu as dégagé un maximum de sels / métaux indésirables mais aucun moyen de savoir combien...
Dans mon cas je pense qu'objectivement y'a pas lieu de s'inquiéter vu ma fréquence de conso, je n'ai pas de tolérance et un soft point tout à fait raisonnable, mais je ne peux m'empêcher de culpabiliser de savoir que ça pourrait être plus propre que ça ne l'est.
Bref, je ne sais pas si ma terminologie de métaux lourds était la bonne mais en espérant que ça ait détaillé ce que je voulais dire.
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