Comment gérez vous vôtre dépendance ?

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Stelli femme
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Anaya a écrit

J’ai tout arrêté depuis 2 ans et demie.
Avant hier j’ai consommé un verre de vin. J’étais dans une douce euphorie, mais je me suis rappelée de tout ce que j’avais vécu sous l’effet des drogues.
Même si j’ai stoppé, je sens que je ne me suis pas fermé définitivement la porte. Il m’arrive de me dire: « j’ai jamais tenté le LSD… ou je reprendrai peut être de la MDMA en microdosing… »; quand j’ai eu ce verre entre les mains, j’étais soulagée que ma période d’abstinence prenne fin même provisoirement. En effet j’en ai assez de devoir me contraindre en permanence, j’ai l’impression d’être camisolée. Je ne fais pas le deuil car je suis bercée par l’espoir de pouvoir reprendre une consommation raisonnable.

Je n’ai pas de réponse toute faite, mais pour ma part, l’idée d’une abstinence définitive m’a toujours semblée insupportable. Et après un long cheminement, c’est finalement en acceptant qu’on pouvait très bien vivre, être inséré socialement, et prendre des drogues, ne serait-ce que de temps en temps, était tout à fait possible.

Bien évidemment ça ne s’est pas fait du jour au lendemain, j’ai fait pas mal d’erreurs, dont certaines m’ont coûté plus que d’autres, mais le point le plus important c’est que ces erreurs m’ont finalement beaucoup appris. Sur moi-même, sur mes limites, sur ce dont j’avais besoin, ce dont je ne voulais plus... C’est par essai-erreur que j’ai appris à réguler mes consommations. J’ai parfois du faire des pauses dans mes consommations, pour différentes raisons, souvent dans une optique de gestion de cette conso.

Je suis sous traitement de substitution opiacé depuis plus de 15ans, stabilisée depuis plus de 10ans. Je fume du cannabis quotidiennement, et ne vis pas cette addiction comme un problème, car j’en tire plus de positif que de négatif, malgré le risque légal qui reste le plus gros problème.

Après des années de poly-addiction et poly-conso, j’ai réussi à apprendre à consommer sans que ça n’ait de conséquences trop importantes sur ma vie, mon travail, ma vie de famille, mes finances, ma santé...
Je consomme occasionnellement, à des fréquences très variables, de la cocaïne, de la 3MMC, de l’alcool, des opiacés, des gabapentinoïdes (Lyrica), parfois de la MDMA, rarement des champignons hallucinogènes... et éventuellement d’autres substances selon le contexte et l’occasion.

Je reste prudente quand à mon ressenti en période de consommation, en particulier avec la cocaïne, qui a toujours été mon péché mignon, car je sais que je peux facilement déraper, et ce n’est pas ce que je souhaite. Il m’arrive de m’imposer des pauses plus ou moins longues, afin de m’éloigner du produit et de reprendre le dessus si j’en ressens le besoin. Mais savoir que je m’accorde le droit de reconsommer rend les choses beaucoup plus facile à accepter, et ces pauses beaucoup plus vivables. Je diminue ma tolérance, gère mieux le craving, la fréquence de conso, les quantités aussi... et finalement ça me convient très bien.
Si je sens que je suis sur le fil du rasoir, et que je commence à perdre le contrôle (exemple : retourner en acheter plus tôt que prévu ou plus souvent que je ne devrais), je m’impose une pause de quelques semaines à quelques mois selon les fois et mon ressenti. Ces pauses me sont toujours bénéfiques. Elles sont importantes pour mon équilibre. Je ne les ai jamais vécues comme un sevrage mais comme une méthode de gestion de ma/mes consommation(s).

Je n’ai pas la prétention d’avoir le mode d’emploi pour tous, mais je reste persuadée que partager mon expérience peut en aider plus d’un, comme ça a pu m’aider à l’époque d’écouter et de lire celle des autres.

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gestion de la conso,ça existe et ça fait du bien,chacun ses strategies

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kazivol homme
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Inscrit le 12 Dec 2020
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Hello tout le monde!

J'ai 20 ans maintenant et cela doit faire deux ans que je traine une addiction a la kétamine. (sans compté celle du tabac et du thc )

J'ai commencé hyper tot a fumé régulièrement (14 ans)
J'avais toujours été, un peu par curiosité franchement, intéresser par les psychoactifs, les états de consciences et pleins de connerie un peu tout m'intéressais donc quand j'ai eu l'occasion d'y avoir accès et a pouvoir essayer, j'ai directement chercher a le faire.

je faisais mes petites expriences un peu trop tot a mon avis


je réfléchissais beaucoup quand j'étais ados (sens de la vie, un peu sceptique et aimais apprendre ) mais ma personnalité étais du genre très anxieuse socialement, un petit peu "dépressif friendly"

donc rapidement j'ai compris que ça allait permettre de fuir tout ça, de combler le vide que j'avais...
je suis rapidement tombé dans la dépendance et j'ai jamais réussi a arrêter.
j'ai eu énormément de comportement borderline liées a cette consommation
et eu de plus en plus d'angoisse et d'épisode depressif
toute mon adolesence qui fut soupoudrer de connerie
(j'aime le graffiti la techno a l'epoque c'etais n'importe quoi j'etais dans un monde a part et vendais pour financer ma consommation de cannabis )
j'ai découvert les drogue dure j'ai pas hésiter non plus.
la MDMA j'ai accroché un temps et cela m'a value une bonne hospit psy d'en avoir abusé tout les weekend avec mes antécdent, mais bon a l'époque ou je mentais sur le fait d'aller a mes séances psy, ou j'etais mal traité medicalment car je ne voulais pas me soigné la drogue c'etais ma médicine de l'esprit.

je regrette pas  non plus en général ce que j'ai fait et cette hospit a été très bénéfique pour mon morale et j'ai pu m'en sortir a peu prèt après ca sur le plan comportement borderline.

après j'ai découvert les hallucinogène psychédélique et après ca les dissociatif donc la kétamine.

et alors comme pour le thc, mon petit cerveaux d'anxiodépressif a hyper accroché
mais genre vraiment beaucoup
et super une drogue qui ne se voient pas sur le salivaire ou quasiement jamais controlée, moi qui allais pas mal en free c'etais pratique.

j'ai même cru que ça allais me servir a arrêter le cannabis que je pensais etre mon enemie juré vis a vis des angoisse.

mais progressivement ma consommation est devenu incontrolable.
entre mes sessions habituelle pour me sentir bien mes sessions récréative en soirée et mes expériementations sur les effets a plus haute dose et cette recherche d'experience psychédélique je me suis perdu dans l'accoutumence et ma tolérance trop élévé.

j'ai jamais augmenter pour autant les trace au dela d'un certains niveau mais cela ne s'est presque jamais arreter.

tout les jours, tout les matins
l'effet style antidépresseur que ça m'apporter avais complètement disparu les douleurs abdominales commençaient progressivement, problème pour uriner,
cela ne m'arrêtais pas bien que je connaisse les risque..

j'ai sentie le problème, et ma copine aussi. (oublier le fait de mentionner que j'ai passer tout mon confinement a entretenir ma dépendance avec ma copine enfermer chez moi )
je suis rapidement retourner voir ma psy et j'ai mis un temps monstre a lui avouer,
entre le moment ou j'y suis retourner et le moment ou j'ai commencer réellement a entammer de vrai démarche pour essayer d'avancer, j'ai eu un travail (transfrontalier en allemagne) que j'ai perdu suite a une free a l'etranger ou jai eu une interdiction de rouler en allemagne suite a un controle de stups routier sur le retour

puis la de nouveau dégringolade

une consommation qui explose
suite a l'envie irréflechis de ma copine et moi de vouloir stopper sec le thc (elle est beaucoup moins dépandante que moi et ne comprennais pas trop ma difficulté, j'ai donc suivi en me convainquant que c'etais dans la t^te tout ca)

j'ai completement donc perdu le controle avec la kétamine en remplacant le thc

puis cystite et problème qui s'aggrave en septembre derniers
je retourne voir ma psy et contact mon csapa (il ya de l'attente tout de même)
j'explique en transparence tout mes problèmes

entre temps je fait une surdose de keta (episode tachicardique) j'ai cru que j'allais mourir mais je consomme toujours ,


enfait j'ai enchainer les essaies d'arret brutaux sous la pressions de mes proche (parents amis petites amie) puis craquait de manière autodestructrice quand je faisait des crise émotionnelle a cause de problemes personnelle ou autre
je me suis mis a énormément mentir..


puis on arrive a tout récemment ou j'ai l'impression de rentamer une tendance positive

je  ne parle plus dans les détails de ma consommations a mes proche et gère les quantités seul en etant beaucoup plus raisonnable (mon aller aux urgences suite a ma surdose m'a un peu calmer  )

je me fait suivre par mon médecin psychiatre rigouresement pour essayer d'y voir clair dans les troubles que j'ai et les raisons qui me pousse a consommer tout les jour.

j'ai finis par assumer ma consommation de cannabis car elle m'aide franchement a pas abuser avec le reste et j'arrive maintenant a la controler, fume souvent avec du cbd et fume que le soir et pas tout les jours
j'ai entammer depuis deux semaine un traitement antidepresseurs + benzo et j'essai vraiment de me passer de keta mais c'est très difficile..

j'essaie de ne pas me mettre en danger et de ne pasinquieter mes proche et d'évoluer progressivement mais j'y vais a mon rythme (lentement) et les remarque des autre sont difficile a supportée.


tout comme morning glory plus haut je me cache souvent derrière mes connnaissances dans le sujet, j'aime montrer que je gère les chose alors que ca n'a pas tout le temps été le cas
et j'ai la même vocation qu'elle, je pense en tout cas toujours a m'investir dans la RDR
mais mes angoisse et les remarque de certains me font douter de ma légitimité.. je me perds souvent même si j'ai toujours voulu être trvailleurs social (éducateur plus précisément ) donc bon, mais je me pose toujours beaucoup trop de question et je n'ai toujours pas confiance ne moiet je culpabilise énormément. (question légitimité d'exercer un métier comme ca alors que je suis ce que je suis)


en bref j'ai encore du chemin pour me sentir bien et ne pas culpabiliser de ma propre personne.. et ca pas uniquement a cause de ma consommation mais bien  aussi parce que je n'ai jamais appris a le faire autrement qu'avec les psychoactifs.
pour l'approvisionnement chomage et aide et un amis proche m'en refourgua a bas prix, et c'est hyper facile d'en trouver sur le arché noir dan sma région y'a enormement de revendeur

j' espère ne pas avoir été désagréable a lire, et suis ouvert aux questions si il y'en a.
Je tens a dire que psychoactifs.org est vraiment d'une aide énorme aux quotidiens pour faire des recherche ou trouver un certains réconfort quant au fait de se sentir isoler du reste du monde et seul dans sa spirale

Prenez soins de vous,
ZOLIVAK.

Dernière modification par kazivol (18 janvier 2022 à  22:44)

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Témoignage fort et sincère; je te souhaite de réussir dans ta démarche

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Anonyme69
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Salut tout le monde :)

J'ai lu pas mal de témoignages et c'est vraiment intéressant de voir les différentes approches et expériences de chacun.

Pour ma part, je ne sais pas du tout si je suis dépendante ou non....
J'ai déjà fumé du cannabis mais ce n'est vraiment pas mon truc, le LSD j'ai testé une fois mais ça ne m'a quasiment rien fait c'était assez décevant...

La drogue que je consomme le plus c'est la MDMA que j'ai commencé à prendre en début 2020 à intervalle de 2/3 mois entre chaque conso, maintenant que j'y pense, ça fait quand même pas mal de fois au bout de deux ans...

J'aime beaucoup cette drogue, mais j'en ai pris très souvent chez moi avec mon conjoint ou avec un ou deux amis, mais pour être franche le setting commence à m'ennuyer un peu et je n'ai plus envie d'en prendre pas parce que je n'aime pas la drogue mais parce que je cherche de nouvelles expériences mais j'ai du mal à trouver des gens ou un milieu où je pourrais vraiment profiter de mon trip à fond vu que la majorité de mon entourage ne sont pas vraiment là dedans...

Je pense de temps en temps à la MD, parfois j'aime bien faire des choses que je faisais pendant mes trips ça me procure une bonne sensation... j'essaie parfois de voir comment je pourrais en prendre et de planifier les choses et puis ensuite je laisse tomber à cause des raisons dites avant... je ne saurais donc pas dire si je suis dépendante ou pas j'aimerais avoir votre avis la dessus pour être plus objective.

Dernière modification par Anonyme69 (20 janvier 2022 à  18:56)

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eduardo non binaire
Nouveau Psycho
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Inscrit le 06 Feb 2021
173 messages
Pour ma part je ne sais pas si je gère quoique ce soit
pour l'alcool c'est l'abstinence avec des rechutes plus ou moins espacées...
pour le shitt c'est la catastrophe, le seul truc que je m'impose est de ne pas fumer la journée
pour la coke, je suis largement sevré, même psychologiquement, je m'en tiens éloigné on va dire
pour les benzos, je tente de diminuer, je galère, c'est la dépendance qui me pèse le plus

pour les drogues récréatives genre MD, LSD, j'ai tout arrêté mais j'en ai gobé un paquet et je n'ai jamais ressenti de réelles dépendances

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Anonyme69
Banni
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Inscrit le 10 Nov 2021
32 messages

kazivol a écrit

Hello tout le monde!

J'ai 20 ans maintenant et cela doit faire deux ans que je traine une addiction a la kétamine. (sans compté celle du tabac et du thc )

J'ai commencé hyper tot a fumé régulièrement (14 ans)
J'avais toujours été, un peu par curiosité franchement, intéresser par les psychoactifs, les états de consciences et pleins de connerie un peu tout m'intéressais donc quand j'ai eu l'occasion d'y avoir accès et a pouvoir essayer, j'ai directement chercher a le faire.

je faisais mes petites expriences un peu trop tot a mon avis


je réfléchissais beaucoup quand j'étais ados (sens de la vie, un peu sceptique et aimais apprendre ) mais ma personnalité étais du genre très anxieuse socialement, un petit peu "dépressif friendly"

donc rapidement j'ai compris que ça allait permettre de fuir tout ça, de combler le vide que j'avais...
je suis rapidement tombé dans la dépendance et j'ai jamais réussi a arrêter.
j'ai eu énormément de comportement borderline liées a cette consommation
et eu de plus en plus d'angoisse et d'épisode depressif
toute mon adolesence qui fut soupoudrer de connerie
(j'aime le graffiti la techno a l'epoque c'etais n'importe quoi j'etais dans un monde a part et vendais pour financer ma consommation de cannabis )
j'ai découvert les drogue dure j'ai pas hésiter non plus.
la MDMA j'ai accroché un temps et cela m'a value une bonne hospit psy d'en avoir abusé tout les weekend avec mes antécdent, mais bon a l'époque ou je mentais sur le fait d'aller a mes séances psy, ou j'etais mal traité medicalment car je ne voulais pas me soigné la drogue c'etais ma médicine de l'esprit.

je regrette pas  non plus en général ce que j'ai fait et cette hospit a été très bénéfique pour mon morale et j'ai pu m'en sortir a peu prèt après ca sur le plan comportement borderline.

après j'ai découvert les hallucinogène psychédélique et après ca les dissociatif donc la kétamine.

et alors comme pour le thc, mon petit cerveaux d'anxiodépressif a hyper accroché
mais genre vraiment beaucoup
et super une drogue qui ne se voient pas sur le salivaire ou quasiement jamais controlée, moi qui allais pas mal en free c'etais pratique.

j'ai même cru que ça allais me servir a arrêter le cannabis que je pensais etre mon enemie juré vis a vis des angoisse.

mais progressivement ma consommation est devenu incontrolable.
entre mes sessions habituelle pour me sentir bien mes sessions récréative en soirée et mes expériementations sur les effets a plus haute dose et cette recherche d'experience psychédélique je me suis perdu dans l'accoutumence et ma tolérance trop élévé.

j'ai jamais augmenter pour autant les trace au dela d'un certains niveau mais cela ne s'est presque jamais arreter.

tout les jours, tout les matins
l'effet style antidépresseur que ça m'apporter avais complètement disparu les douleurs abdominales commençaient progressivement, problème pour uriner,
cela ne m'arrêtais pas bien que je connaisse les risque..

j'ai sentie le problème, et ma copine aussi. (oublier le fait de mentionner que j'ai passer tout mon confinement a entretenir ma dépendance avec ma copine enfermer chez moi )
je suis rapidement retourner voir ma psy et j'ai mis un temps monstre a lui avouer,
entre le moment ou j'y suis retourner et le moment ou j'ai commencer réellement a entammer de vrai démarche pour essayer d'avancer, j'ai eu un travail (transfrontalier en allemagne) que j'ai perdu suite a une free a l'etranger ou jai eu une interdiction de rouler en allemagne suite a un controle de stups routier sur le retour

puis la de nouveau dégringolade

une consommation qui explose
suite a l'envie irréflechis de ma copine et moi de vouloir stopper sec le thc (elle est beaucoup moins dépandante que moi et ne comprennais pas trop ma difficulté, j'ai donc suivi en me convainquant que c'etais dans la t^te tout ca)

j'ai completement donc perdu le controle avec la kétamine en remplacant le thc

puis cystite et problème qui s'aggrave en septembre derniers
je retourne voir ma psy et contact mon csapa (il ya de l'attente tout de même)
j'explique en transparence tout mes problèmes

entre temps je fait une surdose de keta (episode tachicardique) j'ai cru que j'allais mourir mais je consomme toujours ,


enfait j'ai enchainer les essaies d'arret brutaux sous la pressions de mes proche (parents amis petites amie) puis craquait de manière autodestructrice quand je faisait des crise émotionnelle a cause de problemes personnelle ou autre
je me suis mis a énormément mentir..


puis on arrive a tout récemment ou j'ai l'impression de rentamer une tendance positive

je  ne parle plus dans les détails de ma consommations a mes proche et gère les quantités seul en etant beaucoup plus raisonnable (mon aller aux urgences suite a ma surdose m'a un peu calmer  )

je me fait suivre par mon médecin psychiatre rigouresement pour essayer d'y voir clair dans les troubles que j'ai et les raisons qui me pousse a consommer tout les jour.

j'ai finis par assumer ma consommation de cannabis car elle m'aide franchement a pas abuser avec le reste et j'arrive maintenant a la controler, fume souvent avec du cbd et fume que le soir et pas tout les jours
j'ai entammer depuis deux semaine un traitement antidepresseurs + benzo et j'essai vraiment de me passer de keta mais c'est très difficile..

j'essaie de ne pas me mettre en danger et de ne pasinquieter mes proche et d'évoluer progressivement mais j'y vais a mon rythme (lentement) et les remarque des autre sont difficile a supportée.


tout comme morning glory plus haut je me cache souvent derrière mes connnaissances dans le sujet, j'aime montrer que je gère les chose alors que ca n'a pas tout le temps été le cas
et j'ai la même vocation qu'elle, je pense en tout cas toujours a m'investir dans la RDR
mais mes angoisse et les remarque de certains me font douter de ma légitimité.. je me perds souvent même si j'ai toujours voulu être trvailleurs social (éducateur plus précisément ) donc bon, mais je me pose toujours beaucoup trop de question et je n'ai toujours pas confiance ne moiet je culpabilise énormément. (question légitimité d'exercer un métier comme ca alors que je suis ce que je suis)


en bref j'ai encore du chemin pour me sentir bien et ne pas culpabiliser de ma propre personne.. et ca pas uniquement a cause de ma consommation mais bien  aussi parce que je n'ai jamais appris a le faire autrement qu'avec les psychoactifs.
pour l'approvisionnement chomage et aide et un amis proche m'en refourgua a bas prix, et c'est hyper facile d'en trouver sur le arché noir dan sma région y'a enormement de revendeur

j' espère ne pas avoir été désagréable a lire, et suis ouvert aux questions si il y'en a.
Je tens a dire que psychoactifs.org est vraiment d'une aide énorme aux quotidiens pour faire des recherche ou trouver un certains réconfort quant au fait de se sentir isoler du reste du monde et seul dans sa spirale

Prenez soins de vous,
ZOLIVAK.

Stop culpabiliser ! Perdre confiance en toi c'est le meilleur moyen de te mettre des bâtons dans les roues. Je suis certaine que tu feras un bon éducateur, il faut te donner des objectifs et te dire que comme n'importe quelle autre personne tu es capable de le faire !!! Tu es addicte à une drogue, et alors ? je pense que si tu commences un nouveau métier tu seras plus concentré sur ça que sur la drogue, même si je suis sure que je ne peux imaginer à quel point ça doit être difficile de résister. Tu as déjà fait un bon bout de chemin ne lâche pas continue comme ça. Et il faut surtout changer cette estime que tu as de toi même. Apres tout personne n'est assez bien placé pour te juger car personne n'a vécu à ta place !

En tout cas bon courage à toi, ne lâche rien ! GANBARE !!! big_smile

Dernière modification par Anonyme69 (20 janvier 2022 à  19:19)

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Zefy homme
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Je ne la gère pas, c'est elle qui m'emporte. Les benzos j'ai réussi a trouvé une stabilité mais tout ce qui est morphinique c'est plus fort que moi malgré le fait que je me suis correctement sevré. 6 mois plus tard une seule prise m'a fait retomber petit à petit..

Zefy

Dans la vie, j'ai eu le choix entre l'amour, la drogue et la mort. J'ai choisi les deux premières et c'est la troisième qui m'a choisi...
Jim Morrison

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Orel1999 femme
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Bonjour
Perso j'ai eu une dépendance à l héroïne dont j ai pris pas mal de temps à en sortir, j y suis arrivé avec la methadone et 1 cure.
Addict aux benzo et aujourd'hui encore je ne peux pas m en passer et c'est aussi physique.
Depuis 1an avec mon ami on s est remis à prendre de la cocaïne, avant on arrivait à gérer mais là l envie revient sans cesse.... Je n arrive pas à gérer cette addiction... J écris ce commentaire mais je sais que ma prochaine pipe est dans quelques minutes... Ça me rend dingue la c, pour le coup c'est elle qui m'a gère et je ne sais plus comment en sortir

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Aveekijo homme
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A merde désoler pour toi, mais quoi tu la base et tu la fume alor. Et c quoi tes conso de coke ? Tu as deja arrêter lhero c super par contre les benzo c vraiment con tu mroi koï exactement et quel dosage  ... Fais toi aider et documente toi sur le sujet .courage a toi déjà tu te rend compte de tes problèmes d addiction c le début. Tu si consomez avec un pote essaye de couper les ponts si tu veux arrêtez pense à toi si tu as de la volonté tu peu arrêter chaque chose en son temps même si au début tu arrête d'abord de baser et tu tape des petites traces ... Et tu diminue en remplaçant la coke par de la caféine du sport ... C juste des idées .moi perso jetai polytoxicomane depuis les 14 ans ça a durer longtemps je suis passez par plein de phases décadence... Mais jetai un diable et la drogue étai mon quotidien et ma vie ... Depuis plus de 4 ans maintenant j'ai tt arrêter même l'alcool pr dire donc rien ne est jamais impossible courage ?

"L 'enfer est l 'Endroit ou personnes ne peut vous Entendre ni vous Voir , mais vous Entendre et Voir tout le monde "

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Aveekijo homme
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3 messages
Bonsoir , étant espagnol je m escusse d avance pour mon orthographe et ma grammaire? j'ai pour ma part commencer à me droguer jeune 12 ans d'abord le canabis avec les potes de plus en plus je vivais en Andalousie donc c étai banale , fumer des joint et boire de la alcool les fins de semaine et pendant les vacances...Assez vite j'ai essayé la cocaïne en snif  avec mes potes à 13 ans lors de la Feria de ma ville de origine  l'effet produit a été assez violent je n' est pas réussi à dormir pendant 2 jour j'ai pas accroché ca ma fais trop d effet . Avant mes 14 ans je fumais presque quotidiennement des joints toujours en groupes avec ma bande on se pissait dessus de rire c étai la grosse rigolade on était encore des gamins presque aucun souci , insouciant ... On buvais de l alcool le weekend c étai el  botellon tt les jeunes ce retrouvais le long de la plage avant d'aller en discothèque  (pour les moin de 16ans ) a 14 ans on a tester les ecstas  on abuser pas on en prenais quelques uns en plus de l'alcool et les joints cetai la fiesta et que le weekend on aller danser ... A partir de 15 ans on a commencer à taper de la coke de temp en temp avec les plus grands du quartier on rentrais en boîte avec eux on voulais leur ressembler . Pour infos d où je vien le canabis la cocaïne étai quelque chose de banale ,homme femme ,jeune ,vieux   ca circuler partout il y en avait partout ca tapais des rail sur les voitures garer dans les petites rue , les Lavabo des WC ... Normal . Dans chaque foyer famille il y a des consommateurs ... Les joints c est comme la clope .Jai donc taper de plus en plus souvent de coke toujours en snif toujours en soirer puis on a commencer à prendre de la mdma c étai super j'avais jamais autant kiffer une drogue son effet sur moi je me prenais pour Casanova jetai plutôt bogosse ( askip ) et quand jetai sous md mon délire ce tait de draguer danser charmer et ça marchais ????? j'avais plein de copine jetai courtiser je sortais de plus en plus de plus en plus loin je tapais de plus en plus de produit et de quantité ( mdma ,coke ,ecsta,alcool ,joint ) je melangais ça marrivais de taper même en semaine avant d'aller au sport ( boxe ) avant d'aller à un rencart ... Je travailler dans le restaurant familialle depuis 12 - 13 ans  donc j'ai toujours eu mon argent de poche et même plus ... Ca a duré comme ça pendant plusieurs années ... J'ai très vite augmenter les doses 2 gr de mdma par soir pareil pour la coke ... J'ai toujours partager étant donner que jetai jamais seul et que c étai pour faire la fête ... Je n'avais jamais ressenti de manque mais de toute manière il y avais toujours tout ce qu'il fallait. J'ai commencé à dealer a petite échelle histoires de  faire la fiesta a l'oeil et de  vivre sans aucune restriction ... A mes 17 ans je me prenais déjà pour un dure javais déjà fais quelque voyage  en centre de détention pour mineure ma vie tournais autour de la drogue et la fêtes . C a ce moment là que mes parents on décider de m'envoyer en France chez de la famille pour éviter que je ne finisse mal. ( mes grands parents etant des immigrés espagnol dans le année 60 j'avais donc beaucoup de famille d'oncle de cousin .... En France ) quand je suis arriver en France j'ai tout de suite compris que la mentalité ... N avais rien avoir mais j'ai commeme continuer à faire la fêtes je me droguai encore moin quand Espagne Logique mais tt les weekend et souvent même la semaine je consomer de la coke en plus de la fumette et de l'alcool . Vue les prix exorbitant et la mauvaise qualité jaii vite diminue la quantité de joint j'ai stoper ma consommation de mdma net . Je n' est pas senti de manque physique pour ma part ... Psychique oui mais je n' étais pas super heureux a mes débuts en France il fesai toujours gris souvent froid ... La vie de rêve que je mettais faites me manque mes amies... J'ai tout de même très vite rencontrer des personnes qui se drogais au travail au sport... J'ai profité de mes plans et prix d Espagne pour ramener de la coke ... Et des stups en France de plus en plus ...j'ai dealer importer... j'ai connu la Hollande... et la ma vie à basculer sans que je ne m'en rende compte je tien a dire qu a se moment là j'avais déjà 18 ans et que pour moi je n' étais pas un droguer (polytoxicomane polyconsomateur ) je vivais la vie a ma manière je m'amusais , yavais rien de mal pour moi  c étai tout a fait normal.  Donc j'ai connu la Hollande et la came j'ai essayer lhero toujours en snif j'ai kiffer comme toute les drogue jusqu'à la j'ai en même temps rencontrer ma femme qui est et restera l amour de ma vie .elle connaisais rien à tout ça dès drogue traffic ... Elle m'a pris comme jetai c a dire avec tout ça . Je lui est rien cacher  de la vie que je menais . Je ne connaissais pas l amour avant elle et comme par hasard jai eu le coup de foudre a quelques semaines prêt d'avoir tester de l héroïne . C allez très vite petit à petit j'ai commencé à remplacer la coke ... Par lhero cetai facile je dealer de la coke en gros donc j'avais pas mal d'argent en plus de ça j'ai toujours travaille. Bref j'ai taper de plus en plus c'était l amour fous et avec lhero en plus cetai un le Nirvana j'avais jamais ressenti ça c étai magique on c fiancer appart...je taper presque plus de coke mais de lhero tt les jours quand je avais envie allez une trace  . Au bout de quelques mois un soir je me suis senti mal  bref jetai un peu en manque genre le début les 1 manque et la je me suis rendu compte que cetai à cause de lhero jen au pris et hop jetai normal . Ca a durer 5 ans pratiquement avec lhero j'ai presque tout perdu,  ma santé , ma personnalité,ma famille , le travaille, ma liberté ... Je suis finalement rentrer en prison a fond dedans je ne tapper plus que de lhero depuis plusieurs années accro toxico j'avais jamais arrêter jamais pris de substitut... Jai dégringole physiquement et psychiquement je suis devenu
Une très  mauvaise personne . Je consomais en snif , je mettais  déjà piquer fumer .... Mais moi cetai en snif cetai ça mon truc . Je me suis renfermer a l extrême. Les 2 dernière année ça me dégoûter la vie tout ...tout tournais autour de la came du deal de la came ... Javai plus de personnalité ni aucune ambition ni envie j'ai toujours aimer ma  femme ça toujours mais je la toucher même plus .( Sexuellement parlant).j'avais une consommation no limite vraiment . Finalement comme dis précédemment je suis rentrée en prison pendant 4 ans pour stup .... On m a alor proposer la méthadone comme substitution en prison et j'ai pris tout ça comme un nouveau départ j'ai commencé la méthadone a 240 mg en sirop cetai un gros dosage vu ma consommation ... On m'a filer des antidépresseurs   benzo a gogos moi qui avait jamais toucher les médocs ca m'a mis un coup j'ai vite arrêter ça jai diminuer la metha lor de ma 1 année je le suis remis au sport après toute ses anné dans le mal. Petit à petit j'ai repris l envie de rire  j'ai repris des choses tout con comme s'ennuyer, partager, rêver ... Ma femme a toujours été là pour moi et elle en a vue de toute les couleurs (fausses couches , avorter parce je voulais pas être un père toxico genre, règlements de compte, cavale, stress  et angoisse a son paroxysme  et j en passe ....)elle consomme pas de drogue et étudier le droit quand je le connu ...  rien avoir avec moi je veux dire. Et après les 4 ans je suis sorti libre surtout libre dans la tête  plein de projet et je heureu. Aujourd'hui ça fait plus de 3 ans je suis un papa combler . J'ai par la suite refumer des joints pendant une période l'or de ma sortie mais j'ai vite arrêter je le sentais devenir parano et je resaser mon passé de drogue mauvais délire koï. L alcool j'ai arrêter aussi je devenais agressif et ça le fait pas du tout . C est sûrement du à tout mon vécus et mes erreurs et tout le mal que j'ai fait...  La drogue personnellement je c est au jour d aujourd'hui que ce n' est pas pour moi malheureusement j'ai trop exagérer j'avais pas de limite je suis allez trop loin après  il faut jamais dire jamais mais je préfère laisse ça pour les autres . L héroïne par contre plus jamais . Après c l'on point de vue . J'espère je ne vous est pas trop ennuyé j'ai essayé de faire court. Merci peace
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Très beau tempi
 
témoignage sincère et fort ; je te souhaite le meilleurs pour la suite

"L 'enfer est l 'Endroit ou personnes ne peut vous Entendre ni vous Voir , mais vous Entendre et Voir tout le monde "

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billcrps32 homme
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Examples of risk reduction are medical care, fire departments, night security guards, sprinkler systems, burglar alarms—attempts to deal with risk by preventing the loss or reducing the chance that it will occur.

Je traduis (google). Je me demande tout de même l'utilité de ce genre de declaration. Amicalement

Des exemples de réduction des risques sont les soins médicaux, les services d'incendie, les gardes de sécurité de nuit, les systèmes de gicleurs, les alarmes antivol - les tentatives de faire face au risque en prévenant la perte ou en réduisant le risque qu'elle se produise.

Dernière modification par prescripteur (31 janvier 2022 à  15:13)

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Dans un coin d'ombre homme
Nouveau Psycho
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190 messages
Salut,

Perso je gère à peu près ( je dis bien " à peu près " ) mes " dépendances/envies " mais au delà des mes propres dérapages, abus etc...il y a une chose, par ailleurs largement commentée, débattue ici qui peut me mettre des bâtons dans les roues pour gérer mes consos...la prohibition, même avec des bons plans etc, y a toujours un moment ou ça se passe pas comme on veut, le plan arrive à 23h alors que c'était sensé être bon à 20h...un truc servi un poil moins bien que d'habitude, la frustration arrive vite et on prends deux fois plus que prévu à la finale parce que bon, tant qu'à faire...
Là elle est super bonne, mais bientôt y a plus et recharger pour de la super qualité comme ça se sera pas avant deux semaines, du coup j'en prends plus pour pas " louper le coche ", j'en filerais/vendrais aux potes ou je garderais pour plus tard...et puis finalement tu exploses ta conso en trois jours...roll

C'est plein de petites conneries comme ça qui parfois, me font déraper, et finalement, c'est bien lié à la prohibition...le mec qui me fait la cc me dit parfois on déconnant " bon c'est le biz frérot, c'est pas comme les courses à Carrefour, y a des imprévus parfois et pas d'horaires fixes..."   Certes...
Et c'est bien là tout le problème, le gars aurait sa petite boutique avec pignon sur rue, contrôle qualité des produits, des quantités etc...sachant que lorsque je le décide je vais faire mes petites courses, dans des périodes ou je me sens un peu borderline sur le sujet, ça m'aiderait grave à gérer, patienter et choisir le bon moment, tranquillement...

Bon, le sujet c'est " Comment arrivez vous à gérer votre dépendance " et là je parle plutôt de comment je ne la gère pas...mais vraiment, au delà des mes propres contradictions/faiblesses, toutes ces contraintes liées au côté illégal de l'affaire rends TOUT plus compliqué à gérer, et pas que pour ma petite tronche, c'est vrai pour mon dealer, pour mes acolytes de soirées etc...
Bref, je trouvais ce point intéressant à exposer, parce que parfois, c'est vraiment ça qui me donne envie soit de faire n'importe quoi, soit carrément d'arrêter pour une durée indéterminée, parce que ça me saoule de me prendre autant la tête pour un peu de poudre, parce que je me trouve con et puéril de mettre autant d'énergie mentale là dedans...mais bon, j'y reviens toujours parce que me mettre un peu ( beaucoup ) la tête par périodes, ça fait partie des mes petits plaisirs dans la vie, tout comme la lecture, la musique, un bon repas..

Allez savoir pourquoi dans notre société ou on tolère des choses parfois absurdes ( mais bref je ne développerais pas ici ), le simple fait d'évoquer une conso de " drôgueeeeeuh " comme un petit plaisir, voir même un hobby, pas forcément dangereux ou malsain, peut nous exclure de tant de choses dans l'esprit d'autres personnes...

Je pense, sans chercher à me cacher derrière quelque chose, que c'est mon plus gros problème pour gérer tout ce bordel...

Bonne journée à vous...
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très juste trol
 
Texte mis dans les morceaux choisis de Psychoactif. (plotchiplocth)

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Samshark homme
Banni
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Personnellement j’essaye de sortir une fois par 2 semaines et j’apprécie mes soirées

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Littleboy homme
Glouglou
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pierre a écrit

Bonjour,

c'est un thème que nous aimerions développer dans les prochains mois.

En effet, si il est admis ici qu'on peut être usager (récréatif) et avoir une vie tout a fait "heureuse", il en est souvent autrement de la dépendance....

Hors, nous sommes nombreux à nous rencontrer à travers Psychoactif et à faire le constat de notre dépendance à une drogue, mais en même temps que nous le vivons bien, et même plus que cette dépendance nous apporte quelque chose.

Premier volet de cet appel à témoignage, la gestion de la dépendance.

Pour bien vivre une dépendance, il faut apprendre à la gérer.  Gérer la quantité, gérer les approvisionnements, gérer les outils pour la consommer, gérer sa culpabilité, gérer les relations avec l'entourage...

Et vous, comment gérer vous votre dépendance ? Avec quel(s) produit(s) ? Qu'est ce que vous avez mis en point ? Comme êtes vous sur de ne jamais manquer ? En avez vous parler avec votre entourage ? Est ce que les outils pour consommer votre produit sont une problématique ?

Hello ! Pour gèrer une dépendance il n'y a pas 36 chemins malheureusement mais le plus important à mes yeux c'est de gèrer la dose du produit, éviter le redrop dans la même soirée et surtout les jours suivant et se fixer une limite de dose ou de budget. Pour moi ces points sont importants pour pouvoir gèrer sa dépendance et éviter des dépendances physiques/psychiques qui sont mauvaises à moyen/long terme en terme de santé, d'argent et socialement parfois les amis ou proches ne sont pas très ouvert au prods et quand ils l'apprennent on baisse beaucoup en "estime" à leur yeux... Ça été le cas malheureusement pour moi avec ma famille alors que je voulais me sortir ( sevrage en HP ). Bref sur ceux drogue-peace Little


Louable de surveiller la circulation de drogue dans les HLM, mais ne devrait-on pas également se préoccuper de la consommation de pastis dans les commissariats ? Guy Bedos

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Cub3000 homme
Plantigrade psychonaute
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Alors perso, je gère mes addictions grâce à la weed wink

...and we got to get ourselves back to the garden.

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Aspic homme
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Témoignage perso, ayant des troubles psy (anxiété, bipolarité et TDA/H), j’ai très tôt consommé dans l’excès. D’abord de l’alcool, puis du cannabis en mode automédication.

J’ai arrêté le cannabis il y a 11 ans, et ai enchaîné plusieurs phases de consos de produits différents pour trouver ce qui me permettrait d’aller mieux.

Je précise que j’ai un traitement AP + benzos depuis une dizaine d’années

Du coup périodes DXM, codéine, un peu de RC et cocaine. Je suis bien tombé dans la c, c’était incontrôlable, mais j’ai fêté mes un an d’abstinence il y a un mois.

L’an dernier j’ai fait une post-cure de six mois sans rien consommer à part mon traitement, qui compte désormais de la ritaline en plus, pour mon TDA/H et comme substitut à la c.

Et cette dernière me pose bien des problèmes, c’est devenu ma nouvelle coke, j’arrive pas vraiment à me mettre de limites.

Du coup ma stratégie pour revenir à un usage raisonnable va être de changer de médoc pour plus pouvoir le détourner, et éventuellement de demander une délivrance deux fois par semaine.

C’était intéressant de vous lire en tout cas, on voit qu’on est pas tous armés pareil niveau volonté pour s’astreindre des règles !

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Spirit homme
WW2 Historian
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@Aspic : Tu peux même demander pendant quelques temps une délivrance quotidienne, si ça peux t'aider, pourquoi pas après tout!

C'est un peu HS comme demande, mais tu lui trouve vraiment un fort effet stimulant au Méthylphénidate?

''L'humanité se divise en trois catégories : ceux qui ne peuvent pas bouger, ceux qui peuvent bouger, et ceux qui bougent.''

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Aspic homme
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Spirit a écrit

@Aspic : Tu peux même demander pendant quelques temps une délivrance quotidienne, si ça peux t'aider, pourquoi pas après tout!

C'est un peu HS comme demande, mais tu lui trouve vraiment un fort effet stimulant au Méthylphénidate?

L’effet stimulant aux doses thérapeutiques n’est pas si puissant que ça, mais est quand même bien présent. Après ça dépend vraiment des gens, et surtout il y a le problème de la tolérance qui, en tout cas chez moi, pousse à monter régulièrement les doses.

Par contre, en surdosage récréatif, l’effet est puissant, oui : pas de sommeil, confiance +++, et surtout hyper focalisation : tu te mets à un truc qui demande attention ou concentration, et tu décuples ton potentiel. (De concentration hein, pas d’intelligence !).

Enfin, quand tu pousses le dosage trop loin, l’effet est contre-productif et te met dans une sorte d’apathie avec pensées confuses.

Tout un art de trouver la dose qu’il te faut du coup, dépend beaucoup du but de ta consommation.

Espérant t’avoir répondu,

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Spirit homme
WW2 Historian
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Effectivement, tu m'a répondu, merci beaucoup! big_smile

''L'humanité se divise en trois catégories : ceux qui ne peuvent pas bouger, ceux qui peuvent bouger, et ceux qui bougent.''

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Ambrouille femme
Nouveau Psycho
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Je ne suis dépendante à aucune drogue. Hormi, la cigarette. Que je ne classifie pas comme étant une drogue, tant les symptômes de sevrage sont dérisoires et que la vie sociale et morale n'altère pas l'individu dépendant.


Mais je vais souvent sur ce forum, je me documente et je voulais juste souhaiter du courage à tout les membres qui passent par une période sombre, qui tente de réduire leur consommation et / ou d'arrêter.

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Morning Glory femme
Ex modo
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La clope est une drogue qui lorsqu'abusée suffisamment longtemps, est mortelle. Une pote de 50 balais y est restée, je suis allée sur son lit de mort pour lui dire adieu...
Pour moi la clope est une drogue car est un xenobiotique psychoactif, qui en plus rend potentiellement dépendant. Et c'est même une drogue assez néfaste sur le long terme!

Μόρνηνγγ Γλωρύ
I <3 5-HT & DA ~

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Ambrouille femme
Nouveau Psycho
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98 messages

Morning Glory a écrit

La clope est une drogue qui lorsqu'abusée suffisamment longtemps, est mortelle. Une pote de 50 balais y est restée, je suis allée sur son lit de mort pour lui dire adieu...
Pour moi la clope est une drogue car est un xenobiotique psychoactif, qui en plus rend potentiellement dépendant. Et c'est même une drogue assez néfaste sur le long terme!

Bien sûr, c'est une drogue. Mais je ne veux pas la comparer aux autres. La cigarette ne détruit pas les valeurs socials, ni morals et l'addiction a la cigarette ne change rien à notre vie. D'abord car c'est légal, donc l'addiction n'a pas lieu à être caché des autres et en second lieu, elle ne va pas altérer notre vie sociale, professionnelle, ni personnelle. C'est pour cela que je ne veux pas m'estimer dépendante d'un produit autre qui, détruira ou altérera plusieurs facteurs personnels et sociaux.

De plus, je ne la représente pas comme une drogue insurmontable, insupportable à arrêter. Le sevrage peut se faire aisément sans que le corps ne souffre au point de nous rendre malade.

La cigarette est une drogue difficile à arrêter car avec ou sans, le changement ne se ressent pas sur notre vie.

J'ai arrêtée un temps. Hormis le fait de retrouver subtilement l'odorat, je n'ai pas vu et ressenti les effets subtils que ça impliquait. C'est là, le piège. Quand une drogue ne semble pas destructrice d'un point de vue extérieur.

Dernière modification par Ambrouille (24 février 2022 à  15:31)

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prescripteur homme
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La cigarette ne détruit pas les valeurs socials, ni morals et l'addiction a la cigarette ne change rien à notre vie.

Elle ne change rien à la vie... sauf à la raccourcir en moyenne de 7 ans, favoriser les maladies cardiaques et respiratoires, colorer les dents et la peau etc...
Quant aux valeurs sociales et morales la plupart des consommations de psychotropes ne les détruit pas. C'est encore une idée reçue "à la con".
Ne confondons pas les causalités. Les psychotiques et les délinquants sociopathes ont une appétance pour la drogue, ce qui donne un argument fallacieux sur la destruction par la drogue des valeurs sociales et morales. En fait c'est la maladie qui entraine leurs problematiques psychiques et leurs troubles du comportement, y compris les addictions.
L'alcool est consommé par une grande majorité de français mais n'est consommé en excès que par 10 à 20% d'entre eux (selon les définitions).
Dirais tu à ta grand mère qui consomme un petit verre de vin le soir qu'elle détruit les valeurs morales et sociales ?
Quand on connait les faits médicaux, on sait que la plupart des psychotropes ne sont pas différents de l'alcool pour le pourcentage de consommateurs abusifs et/ou problématiques.


https://trustmyscience.com/classement-9 … ins-nocif/

Les Allemands ont consommé par millions la methamphetamine (Pervitine) pendant la guerre et la perte de leurs valeurs morales avait plus à voir avec le régime Nazi qu'avec leur consommation.


https://journals.openedition.org/lettre-cdf/288

Alors essaie de reflechir et ne viens pas insulter les consommateurs dans un site d'autosupport. Il y a des sites trash pour ça, si tu ne peux pas t'en empêcher.

Dernière modification par prescripteur (24 février 2022 à  17:38)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Ambrouille femme
Nouveau Psycho
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prescripteur a écrit

La cigarette ne détruit pas les valeurs socials, ni morals et l'addiction a la cigarette ne change rien à notre vie.

Elle ne change rien à la vie... sauf à la raccourcir en moyenne de 7 ans, favoriser les maladies cardiaques et respiratoires, colorer les dents et la peau etc...
Quant aux valeurs sociales et morales la plupart des consommations de psychotropes ne les détruit pas. C'est encore une idée reçue "à la con".
Ne confondons pas les causalités. Les psychotiques et les délinquants sociopathes ont une appétance pour la drogue, ce qui donne un argument fallacieux sur la destruction par la drogue des valeurs sociales et morales. En fait c'est la maladie qui entraine leurs problematiques psychiques et leurs troubles du comportement, y compris les addictions.
L'alcool est consommé par une grande majorité de français mais n'est consommé en excès que par 10 à 20% d'entre eux (selon les définitions).
Dirais tu à ta grand mère qui consomme un petit verre de vin le soir qu'elle détruit les valeurs morales et sociales ?
Quand on connait les faits médicaux, on sait que la plupart des psychotropes ne sont pas différents de l'alcool pour le pourcentage de consommateurs abusifs et/ou problématiques.


https://trustmyscience.com/classement-9 … ins-nocif/

Les Allemands ont consommé par millions la methamphetamine (Pervitine) pendant la guerre et la perte de leurs valeurs morales avait plus à voir avec le régime Nazi qu'avec leur consommation.


https://journals.openedition.org/lettre-cdf/288

Alors essaie de reflechir et ne viens pas insulter les consommateurs dans un site d'autosupport. Il y a des sites trash pour ça, si tu ne peux pas t'en empêcher.

Peut tu me citer ou j'ai insulte les consommateurs ? A l'inverse, je leur ai montré du soutien. Je pige vraiment pas ta phrase de fin.

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Stelli femme
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Ambrouille a écrit

Peut tu me citer ou j'ai insulte les consommateurs ? A l'inverse, je leur ai montré du soutien. Je pige vraiment pas ta phrase de fin.

Insinuer que nos valeurs morales sont détruites c’est insultant, en plus d’être faux.

Sous entendre que nos vies sont altérées, c’est insultant.

Dernière modification par Stelli (24 février 2022 à  18:00)

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Ambrouille femme
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Stelli a écrit

Ambrouille a écrit

Peut tu me citer ou j'ai insulte les consommateurs ? A l'inverse, je leur ai montré du soutien. Je pige vraiment pas ta phrase de fin.

Insinuer que nos valeurs morales sont détruites c’est insultant, en plus d’être faux.

Sous entendre que nos vies sont altérées, c’est insultant.

Non, alors ce que je cite, est entre autre pour dire qu'on n'a pas lieu à comparer à une addiction à la cigarette à une addiction à l'héroïne, par exemple.

Généralement parlant, et c'est un fait avéré, une addiction lié à la cigarette n'alterera pas l'aspect social : pourquoi ?

Au travail, le fait de fumer entre collègues c'est un moyen de communication, en soit, et il n'y a pas à se cacher de cela.

Parce que toi, par exemple, si tu es accroc à l'héroïne, tu penses vraiment que la situation serait la même et que tu pourrais faire pareil que si tu fumais juste des cigarettes ? C'est donc sur cet aspect là que je cite que l'aspect social et morale n'est pas altéré de la même façon, et c'est vrai, c'est tout.

C'est la l'égalité du produit qui me fait dire que effectivement, la cigarette n'a pas le même impact sur l'aspect social d'un individu. Cest tout. J'ai jamais insultée. C'est juste un fait véridique. C'est pour cette raison que, je ne me permettrais pas de dire que la cigarette représente davantage de destruction morales et sociales que les autres drogues qui sont illégales et qui, donc, indirectement influent la vie d'un individu d'une différente façon. Effectivement, si je dis que je suis accroché à l'héroïne à mon entourage, ou à des gens, n'y connaissant rien, les réactions seront bien différentes de si je dis que je fume des clopes, seulement. Donc, oui, socialement ça n'a pas le même impact. Et donc, la morale aussi n'est pas atteinte de la même façon.

Bonne soirée.

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kaneda homme
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Ambrouille a écrit

Bien sûr, c'est une drogue. Mais je ne veux pas la comparer aux autres. La cigarette ne détruit pas les valeurs socials, ni morals et l'addiction a la cigarette ne change rien à notre vie.

Je prend de la came depuis 20 ans et ça n'a pas détruit mes valeurs sociales et morales.

Ambrouille a écrit

Parce que toi, par exemple, si tu es accroc à l'héroïne, tu penses vraiment que la situation serait la même et que tu pourrais faire pareil que si tu fumais juste des cigarettes ?

Qu'est ce qu'il ne faut pas lire...
Tu sais moi a une époque j'allais fumer mes dragon dans les toilettes, et ensuite j'allais fumer une clope avec les collègues. Ni vu ni connu. Et oui ca existe !

kaneda

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Ambrouille femme
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kaneda a écrit

Ambrouille a écrit

Bien sûr, c'est une drogue. Mais je ne veux pas la comparer aux autres. La cigarette ne détruit pas les valeurs socials, ni morals et l'addiction a la cigarette ne change rien à notre vie.

Je prend de la came depuis 20 ans et ça n'a pas détruit mes valeurs sociales et morales.

Ambrouille a écrit

Parce que toi, par exemple, si tu es accroc à l'héroïne, tu penses vraiment que la situation serait la même et que tu pourrais faire pareil que si tu fumais juste des cigarettes ?

Qu'est ce qu'il ne faut pas lire...
Tu sais moi a une époque j'allais fumer mes dragon dans les toilettes, et ensuite j'allais fumer une clope avec les collègues. Ni vu ni connu. Et oui ca existe !

kaneda

Donc, allez, c'est pareil fumer une clope et prendre de l'héroïne alors puisque vous le dites. Je peux donc my mettre alors selon ce que je lis. Ben, okai, alors, mettons nous tous à l'héroïne. Je vois que ce forum, semble presque mettre en avant le fait que ce n'est pas insidieux ni dangereux, peu importe.

Surtout que de base, mon message était bienveillant. Aucune réaction quand j'ai souhaité courage aux gens mais 4 à la fois suite à ma réponse, parfait.

Donc pour conclure, boh, on s'en fout, chacun gère comme il peut et tant pis.



Bonne soirée.

Dernière modification par Ambrouille (24 février 2022 à  18:40)

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kaneda homme
Animateur PsychoACTIF
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Ambrouille a écrit

Ne déforme pas mes propos, je n'ai jamais dis ça. Et la je trouve que l'on pollu de post d'origine...

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kazivol homme
Nouveau Psycho
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Ambrouille a écrit

kaneda a écrit


Je prend de la came depuis 20 ans et ça n'a pas détruit mes valeurs sociales et morales.


Qu'est ce qu'il ne faut pas lire...
Tu sais moi a une époque j'allais fumer mes dragon dans les toilettes, et ensuite j'allais fumer une clope avec les collègues. Ni vu ni connu. Et oui ca existe !

kaneda

Donc, allez, c'est pareil fumer une clope et prendre de l'héroïne alors puisque vous le dites. Je peux donc my mettre alors selon ce que je lis. Ben, okai, alors, mettons nous tous à l'héroïne. Je vois que ce forum, semble presque mettre en avant le fait que ce n'est pas insidieux ni dangereux, peu importe.

Surtout que de base, mon message était bienveillant. Aucune réaction quand j'ai souhaité courage aux gens mais 4 à la fois suite à ma réponse, parfait.

Donc pour conclure, boh, on s'en fout, chacun gère comme il peut et tant pis.



Bonne soirée.

J'espère que tu ne t'es pas braquer,  mais je pense que si il y'a eu de la critique vis a vis de ton post c'est notamment parce que tu fais des raccourcis,  et que tu prends pour acquis des choses qui ne font pas consensus comme l'affirmation : "La cigarette est une drogue difficile à arrêter car avec ou sans, le changement ne se ressent pas sur notre vie."

ou celle ou tu dis qu'elle n'influe pas sur notre vie sociale.

La ou t'a raison je pense, c'est que oui le contexte légale et encadrée de la cigarette joue sur l'aisance des consommateur a assumer leur consommations
mais de la a dire que ca exempte de toute répercussion sur la vie sociale et/ou par le biais de la santé aussi car la santé influe aussi sur notre vie social je pense que c'est faux
et l'argument de kaneda mets en exemple le fait que lorsque l'on est dépendant cela ne nous empêche pas forcement d'voir une vie social bien remplis un travail etc, c'est une sorte de mythe que les addict sont toujours tout seul dans leur coins  se piquer etc etc
et la réaction des gens avais pour objectif je pense de te faire remarquer que ces mythe et idées reçues sont nocive pour les consommateurs...
de manière générale, je pense que les stigmate sociaux de ce genre joue sur justement l'aspect comme tu disais de changer tes "valeurs morals" personnellement j'aurais plutot dit "marginalisation" , "désocialisation"

mais bon je ne suis ni sociologue ni psychologue ni quoi que se soit donc ces propos n'engagent que moi.

mais voila je voulais surtout aussi dire que ca n'avais rien avoir avec la bienveillance dont tu a fait preuve mais bien que en nous exposant tes idées elles se sont faites critiquer et c'est bien et je t'invite a te renseigner donc davantage sur les addictions, les psychoactifs et pour le coup ce site est une mine d'or

merci en tout cas pour ta bienveillance
je ne pense pas

Dernière modification par kazivol (24 février 2022 à  21:58)

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AnonLect homme
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Ambrouille a écrit

En fait le problème c'est ça : "détruisent les valeurs sociales et morales".

Que veux tu dire par la ? Que les individus dépendant nuisent à la société et choquent (à raison) sa morale à cause de leur vilaine addiction ? Sauf toi et ta petite cigarette c'est ça ?
Si tu trouves pas ça insultant et approximatif...

En fait, comme tu l'expliques justement, c'est les valeurs morales et sociales ambiante qui détruisent l'individu dépendant, en le jugeant par principe péjorativement, en le stigmatisant et en l'excluant, pas l'inverse.
Et attention, la cigarette est de moins en moins acceptée...

Enfin, je vais pas te faire la liste de ce que la clope impact concernant "les valeurs sociales" .... et "morales" , quoi que ça veuille dire (thinking). Mais me dit pas que ça impacte absolument pas ta vie, c'est faux.

drogue-peace

Dernière modification par AnonLect (25 février 2022 à  00:19)

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