Bonjour,
Face à une augmentation de "notoriété départementale" et donc du nombres d'usagers suivis en
RDR (au mminimum)....,
nous sommes en train de nous questionner sur notre capacité à gérer et les horaires d'ouverture de la structure, et des antennes, et des permanences mobiles, et des PEKO,.....avec un directeur, un éducateur, une infirmière à plein temps, une maitresse de maison et une secrétaire à mi-temps....
La structure principale (Chaumont) est ouverte au public les lundi, mardi, jeudi, vendredi de 12 h à 19 h et les samedi de 15 h à 19 h.
Les antennes sur le département sont ouvertes les mercredi à Joinville de 16 h à 20 h, les vendredis de 11 h à 13 h à saint dizier.
Les permanences mobiles ont lieu les jeudis de 16 h à 18 h à Chateauvillain et à Saint-Dizier les vendredis de 10 h à 11 h.
Nous essayons d'etre toujours 2 dans la structure, et dans les antennes et permanences...
Maintenant , il nous faudrait ouvrir des permanences dans les 2 autres villes importantes du département (Langres et Nogent)....
Nous préparons des repas chaque midi, les usagers peuvent se réstaurer dans la structure en plus des missions traditionnelles des
CAARUD...(douche, collations, boissons chaudes,laverie, accès multimédia,accès au soins et dépistages, ...)
Et nous avons assurons une permanence téléphonique d'urgences en 24/24, surtout le directeur..
Comment faire pour garantir une qualité d'écoute et d'accompagnement, une présence, un temps à chacun selon ses besoins tant médicaux, sociaux ou autres...????
Sachant que nous alimentons 17 pharmacies sur le département dans le cadre du PEKO (programme d'échange de kits en officine), et que nous avons l'aide précieuse d'un bénévole ancien usager, et que notre capacité structurelle ne nous permet pas d'augmenter les personnels .
L'ARS nous demande d'intervenir sur l'ensemble du département...sans aide supplémentaire...
Faudrait-il diminuer notre plage d'ouverture au public, comment les usagers vont ressentir cette diminution ?
Nous sommes aussi un lieu ressources et de repos et de chaleur, et nous souhaitons garder ces acquis...la précarité est réelle dans un département rural comme le nôtre.
Merci de vos réponses et des idées que vos allez apporter ...