La traduction en français d'un texte de drugs-forum (faite par un utilisateur francophone du forum).
Est ce que cela te dit quelques chose ??
Amicalement
Trouble de la perception : Persistance des Hallucinations.
Le Syndrome Post Hallucinatoire Persistant (
HPPD en anglais.) est un trouble de la perception caractérisez par la présence continuelle de perturbations visuelles similaires à celles produites par l’ingestion de substances hallucinogènes. L’utilisations d’hallucinogènes avant le déclenchement du désordre est nécessaire au diagnostique quoique non suffisant pour le validé.
Aucun autre trouble mental ne peut être assimilé au diagnostique du SPHP. Le SPHP est distinct des phénomènes de
flashback par sa relative permanence, alors que les
flashback sont éphémères, le SPHP est persistant. Le code diagnostique DSM-IV du SPHP est le 292.89.
Symptômes :
Ils y a de nombreux changement de la perception qui accompagne le SPHP. Les symptômes typiques sont : halo entourant les objets, trainées lumineuse suivant les objets en mouvement, difficultés à distinguer les couleurs, changements de texture des objets, illusion du mouvement dans un cadre statique, neige visuelle, altérations dans les dimensions et une conscience indécises renforcé.
Les altérations visuelles expérimentées par les patients atteint de SPHP ne sont pas homogènes, tant par leurs teneurs, intensité, et leurs nombres.
Les aberrations visuelles sont courante chez les individus « sains », par exemple, persistance rétinienne après avoir fixé le soleil, tache de lumières dans une pièce obscure. Cependant chez les patient atteint de SPHP les symptômes sont si prononcés que l’individu ne peut les ignorer.
Le SPHP crée de nouvelles altérations visuelles, il n’augmente pas uniquement celles déjà présentes.
Il est important de préciser que ces visuels ne constitue pas de réelles hallucinations dans le sens clinique du terme, puisque les patients les reconnaissent en tant qu’illusion, elles sont non psychotique et ils sont habilités à déterminer ce qui est réel ou non ( contrairement au patient atteint de schizophrénie ).
Fréquence des SPHP.
On ne sait pas réellement comment les patient développe ce trouble.
Dans leurs articles, J.Halper et P.Harrison écrivent : « les données ne nous permettent pas d’évaluer, même approximativement, la fréquence des SPHP. » Ils ont notés qu’ils ne l’avaient pas rencontré dans leurs évaluations de 500 membres de l’Eglise Santo Daïme qui avaient consommés au moins 100 fois du cactus peytol.
Dans une présentation de résultats préliminaires Matthieu Baggott et ses collaborateurs de Berkeley ont constaté que des symptômes de SPHP-like sont arrivés à 4,1% des participants ( 107 sur 2679 ) dans une enquête basée sur le web d’utilisateurs d’hallucinogènes.
Ces personnes ont reportés des problèmes visuels après l’utilisations de drogues qui étaient assez sérieux pour qu’ils envisagent l’aide du corps médical.
Ce chiffre surestime surement la fréquence des SPHP puisque les auteurs pourraient avoir été intéressés par l’achèvements du questionnaire. Les auteurs ont mentionné que 16,192 personnes ont vu le questionnaire sans le compléter entièrement.
Si toutes ces personnes ont utilisées des hallucinogènes sans développer de SPHP, le chiffre tombe a 0,66%. Ces personnes n’ont pas été formellement diagnostiqué physiquement par un professionnel ( leurs troubles visuels pourraient avoir diverses origines ) mais ce nombre peut fournir un seuil plus raisonnable de fréquence des SPHP.
Il est possible que la fréquence des SPHP est été sous-estimée par les autorités car beaucoup des personnes ayant des problèmes visuels se rapportant a l’utilisations de drogue ne sont pas traiter ou ne reconnaissent pas l’utilisations des hallucinogènes.
Dans l’étude de Baggott, seul 16 des 107 personnes avec SPHP possible avaient cherchés de l’aide, et 2 avaient été diagnostiquer SPHP.
Ainsi il se peut que ces troubles soit rarement détectés par le système de santé.
Causes :
On ne connaît pas encore la cause des SPHP. Il est très clair que la plupart des utilisateurs d’hallucinogène ne développent pas de SPHP. Cela suggère qu’il puisse y avoir un petit sous-ensemble d’individu avec un terrain favorable à facteur inconnu.
Il est possible que le trouble puisse avoir des composantes tant neurologique que psychologique avec les contributions des deux aspects au cas par cas.
Les dernières recherche montre que les symptômes de SPHP sont causées par des anomalies dans la fonction CNS et n’ont aucune origine rétinienne.
Certains ont suggéré que le SPHP peut être semblable à un désordre de stress post traumatique qui implique la reviviscence d’expérience désagréable vécu par le passé. Cependant plusieurs cas de SPHP ne mentionne pas de «
bad trip » avant le début des symptômes. De plus un certains nombres de médicament psychiatrique se sont relevés causer des symptômes similaire, cela semble suggérer que le SPHP n’est pas relaté a une mauvaise expérience mais à un mécanisme pharmacologique ou neurologique inconnu.
Une autre théorie est que le SPHP induit une hyper sensibilité aux phénomènes visuels ordinaire qui existent chez tous le monde, mais qui sont normalement ignoré. Sous cette interprétations le trouble transforme les effets de la perception du monde en détresse. [Pas sûr de la trad. !!!] C’est pourquoi certains ont soutenu qu’il fallait considérer le SPHP comme une « désinhibition du traitement visuel ».
Cependant cette théorie n’explique pas les simili-symptômes chez les sujets sains ( trainé de lumières, etc…).
Beaucoup de patient indique qu’ils n’avaient vécu aucun phénomènes visuel avant le déclenchement de la SPHP.
Dans quelques cas , il semble que le trouble est eu un début soudain après une expérience d’utilisations de drogues, suggérant que la substance ai joué un rôle direct dans le déclenchement des symptômes. Dans d’autres cas, l’augmentation des symptômes est graduelle a la suite d’une consommation.
Les substances qui y ont été associés incluent :
LSD,
2C-I, 5-meo-DIPT,
MDMA,
psilocybine,
mescaline ;
scopolamine, et l’utilisation de haute dose de
DXM.
Problèmes coexistant :
Les problèmes visuels induit par les SPHP peuvent être le résultat d’autres maladies mentales.
De ceux ci les plus en vus sont l’anxiété, les attaques de panique, la
dépersonnalisation, la dépression.
Dans l’échantillon de Baggott, les utilisateurs d’hallucinogènes avec persistance des problèmes visuels majeurs allaient plus probablement annoncer des diagnostique de dépression que chez les utilisateurs d’hallucinogènes sans problèmes visuels sérieux.
Par exemple, 25,9% d’utilisateurs d’hallucinogène avec des problèmes visuels ont annoncé le diagnostique présent ou passé de dépression. Alors qu’il est difficile ( voir impossible ) d’établir une relation claire entre les symptômes visuels et mentaux, les patients atteint eux témoignent souvent qu’une connexion existe. L’anxiété renforcer la persistance des images, et vice versa.
Cependant il y aurait des cas de SPHP ou aucun autre désordre ne coexiste.
Traitement :
Il n’y a aucun remède disponible pour les SPHP.
Les traitement principaux cherchent à réduire les symptômes et la détresse sans traiter les causes sous jacentes.
Benzodiazepines, incluant
clonazepam,
diazepam,
alprazolam sont prescrit avec un certains succès.
Certains médicament ont été contre indiquées sur la
base de leurs effets sur les SPHP.
Le
neuroleptique Risperidone est connu pour induire des symptômes proches des SPHP lors du traitement chez certaines personnes.
On conseille souvent aux patient atteint de cesser toute utilisations de drogues, qui augmente souvent les visions sur le court terme. Il y a aussi des facteurs moins concrets qui peuvent augmenter les symptômes, comme la privation de sommeil et le stress. Cependant aucune études sérieuse n’a été publié a ce sujet.
Il n’y a aucun temps universel de rétablissement. Les effets psychologiques défavorable des SPHP ( désordre, conscience indécise ) diminuent plus rapidement que les altérations visuels. Le rétablissement peut être facilité par une accoutumance psychologique aux visuels. Le patient ne réagissant plus négativement à leurs égards.
Les conséquences délétères des visuels peuvent donc être réduit sans pour autant guérir le SPHP.
Il n’y a actuellement que peu d’informations fiable sur les personnes ayant récupérer complètement de SPHP . Il n’y aucun rapport de retour complet a une perception « normale ». Le petit nombre de cas étudiés et détaillé rendent difficile l’analyse sur les conditions de guérisons.
Autres désordres avec symptômes similaires :
Il faut souligner que des individus sans SPHP noteront parfois des anomalies visuelles. Celles ci incluent des objets flottant dans le champ visuel, en tant qu’objet foncé, particulièrement évident en regardant le soleil, ou un mur blanc. De même, les lumières dans un environnement sombre peuvent se munir d’un halo, ou de trainées. La plupart des personnes ne noteront pas ces effets car ils y sont habitués.
Une personne craintive d’avoir une SPHP sera surement beaucoup plus sensible a n’importe qu’elle perturbation visuelle, même si elle n’est pas atteinte.
En outre, des problèmes visuels peuvent être provoqués par des infections ou des lésions du cerveau ( par ex : démence, schizophrénie, maladie de Parkinson…). Pour qu’un individu soit diagnostiquer SPHP, ces causes potentielles doivent être écartés.
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