Je met cette dernière. Pour la bière. Pour les autres, Il n'y a qu'a faire google/image/alcool.
En attente de témoignages.
Soyons réalistes, exigeons l'impossible !!
La majorité des imbéciles reste invincible et satisfaite en toute circonstance. La terreur provoquée par leur tyrannie se dissipe simplement par leur divertissement et leur inconséquence.
Ça m'énerve; mais je me réveille avec le soleil a chaque fois. Je commence a fatiguer un peu.
J'ai fait un break 3 mois avec l'alcool. Rien : Zéro. Je ne suis plus un grand amateur de l'ivresse éthylique et c'est facile maintenant. J'ai en souvenir l'ivresse opiacé et c'est incomparable pour mon ressenti et la c'est bien sur ma difficulté. Le fonctionnement du TSO fonctionne, ce qui n'existe pas pour l'alcool. Depuis une dizaine de jour, il me faut mes 5/6cl de pastis. Il me les faut absolument. Quand je les ais bue je n'ai plus envie de continuer. Et je sent que tous les soirs en vacances, je vais avoir cette petite envie.
Je vais tenter de lui tordre le coup pour voir.
Il faut avouer que j'ai lu que la prise d'alcool raccourcissait la durée de la Méthadone, et ce seul argument ce suffit peut être a calmer mes démons enfouis. C'est quand même curieux ces envies, aussi petite soient elles.
La dessus, rebondissant, je pensais a une copine a ma frangine, un docteur généraliste qui a fait ses études avec elle. Elle boit le soir, pas trop mais assez pour l'ivresse et avoue (a ma sœur) qu'elle ne sort pas le soir si elle n'est pas assurée qu'il y ai du vin. Sinon, elle ne sort pas et le bois chez elle. Je pense qu'une bouteille entière est un extra pour elle, et que c'est plutôt une bouteille pour deux, mais c'est tout les soirs et obligatoire. Pas de manque le matin mais le soir, c'est le premier verre, celui qui vient après le dernier.
RicoSon qui voulait se témoigner un peu.
Dernière modification par Ricoson (29 juillet 2013 à 06:36)
Soyons réalistes, exigeons l'impossible !!
La majorité des imbéciles reste invincible et satisfaite en toute circonstance. La terreur provoquée par leur tyrannie se dissipe simplement par leur divertissement et leur inconséquence.
Salut Je voulais savoir ce qu'est le "sousoum" ? J'ai trouver les messages de Ricoson et ZBW super intéressants, il m'ont fait voyager dans ma tête. Dès le matin ça fait du bien, surtout quand, comme moi, on se réveille avec les bruits d'un immeuble en travaux juste en face de sa fenêtre!
Je ne me considère pas du tout comme un écrivain, mais j'ai toujours eu besoin d'écrire. D'abord pour évacuer les souvenirs, et le mal être, que je me traîne depuis déjà un certains temps, et qui me bouffent doucement de l'intérieur.
Au départ je n'écrivais que quand j'étais sous alcool, coke, ou beuh, je ne faisais pas cela dans un but précis, j'en ressentais juste le besoin. J'ai commencer à fréquenter des associations genre CAARUD, ou CSAPA, j'y ai rencontrer des éducs, des psys ou autres, et certains ont voulu voir ce que j'écrivais. Je n'avais jamais rien fait lire à personne, d'ailleurs je n'en voyais pas trop l’intérêt, mais j'ai quand même commencer à montrer certains textes que j'avais pondu lors de mes soirées de déprime, ou d'insomnies. Les personnes à qui j'ai fait découvrir mes textes m'ont quasiment tous dit que je ne devais pas laisser tomber, qu'il y avait vraiment quelque chose à creuser. J'ai donc continuer, je faisais lire certains textes à une de mes éducs, surtout pour les corriger et aussi pour être sur que l'on comprenne le sens de ce que je voulais partager. Petit à petit j'essayais de faire des textes un peu plus construit et développés.
A côté de ça la défonce (surtout l'alcool à cette période) prenait de plus en plus de place dans ma vie, j'avais environ 25 ans, et on m'a décider à faire une deuxième cure de désintox. Je n'en avais pas envie, d'ailleurs je n'aurais pas du accepter vu que pour moi cela à été une perte de temps, surtout dans le centre en question (je ne sais pas si je dois le citer). Bref, dans la cure j'ai voulu continuer à écrire, mais très vite je me suis rendu compte que ce que j'écrivais en étant clean n'avait rien à voir avec ce que je pouvais sortir en étant dans mon monde. J'en étais dégoûter et cela m'a fait me poser beaucoup de questions.
Aujourd'hui je ne peux pas dire que je suis clean, je fume beaucoup de shit, je prend de la coke environ une fois tous les deux mois, et je m'autorise deux verres dans une soirée, mais j'espace le plus possible ces fameuses soirées. Pourtant j'ai l'impression de ne plus arriver à écrire de la même façon qu'avant. Pourquoi? Je n'en sais rien.
Ce qui est sur c'est que je ressens toujours ce besoin d'écrire, je crois que c'est d'ailleurs pour ça que j'apprécie Psychoactif, je peux écrire sur des sujets qui m’intéressent et surtout je partage ce que j'écris avec d'autres personnes, et ça pour moi c'est devenu important.
C'est vraiment une bonne idée d'avoir créer ce fil j’espère que d'autres personnes vont venir le compléter avec leur témoignages, ça vaut le coup.
Soum Soum, ou SS. Nom donné à l’alcool produit clandestinement et obtenu après fermentation de la pulpe de la pomme de cajou, ou d’un mélange de sucre, d’eau et de levure. C'est assez fort, plus fort que le vin de palme. Le vin de palme est une boisson alcoolisée obtenue par fermentation naturelle de sève de palmier. Vin de Palme. lien wikipédia.
Écrire et parler, j'ai appris tout seul, sans beaucoup de bases. J'ai pas fait d"études et a 18ans, poniatovsky ayant voté la majorité a 18 ans pour ainsi dire en meme temps, on m'a lourdé du bahut et je n'y ai jamais plus remis les pieds. Je redoublais ma première.
Pour l'écriture, Psyco, il faut que tu pratiques et pratiques. Le plaisir que tu y trouveras ne sera pas dans l'objectif sans fin, mais dans l'effort et le temps que tu y passera. Attention aux produits, qui peuvent nous faire passer des vessies pour des lanternes.
Il y a très longtemps, j'avais testé écrire sous CC et alcool. Lorsque je me relisais le matin, c'était poubelle tellement c'était du "n'importe quoi". Ne joue pas aux poètes maudits..
Deleuze en parle au début du file. Il ne pouvait plus travailler, et pour lui, travailler c'est faire de la philosophie. Cours magistraux, livres, invention de concepts.......Il buvait trop.....
Sinon, je trouve que tu t'exprime clairement et par écrit.
Ma devise au boulot pour mon équipe. J'écris ce que j'ai dit, et je fais ce que j'ai écrit. L'équipe a adhéré.
Rico
Dernière modification par Ricoson (29 juillet 2013 à 09:08)
Soyons réalistes, exigeons l'impossible !!
La majorité des imbéciles reste invincible et satisfaite en toute circonstance. La terreur provoquée par leur tyrannie se dissipe simplement par leur divertissement et leur inconséquence.
Ce qui est sur c'est que je ressens toujours ce besoin d'écrire, je crois que c'est d'ailleurs pour ça que j'apprécie Psychoactif, je peux écrire sur des sujets qui m’intéressent et surtout je partage ce que j'écris avec d'autres personnes, et ça pour moi c'est devenu important.
C'est vraiment une bonne idée d'avoir créer ce fil j’espère que d'autres personnes vont venir le compléter avec leur témoignages, ça vaut le coup.
Tu écris plutôt clairement, tu sais. Je crois que quand le besoin d'écrire vient, ce dernier vient d'un désir puissant (dont je ne peux affirmer où se trouvent les racines pour chacun). Des fois, j'ai des passages de plusieurs mois pendant lesquels je n'écris plus, le verbe devant venir de lui-même. Et puis, à l'occasion d'un heure de libre comme ce matin, vos lignes m'émeuvent et les mots viennent, comme portés par un véhicule interne qui ronronne de bon réglage.
Les mots, on apprend de façon instinctive à raffiner leur l'usage avec le temps et la pratique. Au tout début de mon bénévolat en tant que modérateur (il y a trois ou quatre ans), mon égo me faisait me relire et parfaire mes mots afin de bien présenter. Maintenant, cette phase est finie.
Continues de nous écrire psychoniac.
Bon lundi
Fil
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Si tu pisses contre le vent, tu vas mouiller tes sandales !
Moi aussi certains soirs j'écrivais quand j'étais sous prods, mais moi aussi le lendemain quand je relisais, je ne comprenais que quelques passages. Pendant longtemps je me forçais à écrire, pour produire absolument, et j'ai finis par comprendre qu'il fallait que ça vienne tout seul, alors aujourd'hui j'ai tendance à me balader avec un carnet et un stylo, et quand quelque chose me vient en tête je le note, car vu le peu de mémoires que j'ai dorénavant je ne peux pas faire autrement..
En trip, je dessinais beaucoup, dont un portrait de mon frère "hallucinant"; Sinon, écrire est un exutoire, mais je suis trop bordélique, trop "cassé" de ces 15 dernières années, pour compiler. Si je comprenais ce que je pondais sous acide à postériori, sous alcool, c'était plus dur, plus sec avec de la haine parfois; Oui l'alcool rend parfois très con!
"SOLA DOSIS FACIT VENENUM." Paracelse (Seule la quantité fait le poison). -------------------------------------------- Ex "hard-droguiste"
Écrire, parler, jouer ou peindre sont des exutoire comme tu dis. Il doit y en avoir d'autres.
Mais, il ne faut quand même pas se leurrer. C'est un peu comme le dopage en Vélo. Si tu es une brelle, c'est pas le dopage qui te rendra champion. A la rigueur, tu feras le lapin avant d'abandonner, mort de fatigue, pour donner un avantage aux champions de ton équipe, mais on ne devient pas bon en vélo avec seulement du dopage. La métaphore me semble valable pour tous produit.
Je continue. Un pochtron n'est pas Verlaine. Verlaine était un pochtron.
Les produits ne peuvent mettre en avant que des savoir faire, et je parle de savoir faire au sens large.
Je bastonne et j'aime ca. La CC ou le speed ca marche. L'alcool, moins. C'est pour ceux qui voudraient mais qu'ont un peu peur. Et puis si t'es trop fait, t'assure plus et tu tombes tout seul.
L'alcool et l'écriture, les poètes maudits l'ont fait. Mais certains y ont trépassé. Comme dit Deleuze, c'est très dangereux. C'est un sacrifice alors.
Je crois q'un con qu'il boive, sniff, shoot, n'importe qu'elle produit restera con, voir le deviendra encore plus.Et puis, on a tous un peu de "con" en soit et je trouve que l'alcool le fait a chaque fois bien ressortir.
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Je suis sous, sous, sous Sous ton balcon Comme Roméo Oh Oh Marie-Christine Je reviens comme l´assassin Sur les lieux de son crime Mais notre amour n´est pas mort Hein? dis-moi que non
Depuis que l´on s´est quitté Je te jure que j´ai bien changé Tu ne me reconnaîtrais plus Et d´abord je ne bois plus
Je suis rond, rond, rond Rongé d´remords J´suis un salaud Oh Oh Marie-Christine Je t´en prie encore une fois Montre-toi magnanime Donne-moi une chance encore Dis! recommençons
En moi il y a du bon aussi Ne m´fais pas plus noir que j´suis!
J´suis bourré, bourré, bourré De bonn´s intentions J´ai trouvé du boulot Oh Marie-Christine C´est sérieux, j´ai balancé Mon dictionnaire de rimes Je n´écris plus de chansons Non! J´travaille pour de bon
Mes copains que tu n´aimais pas Maintenant ils rigolent sans moi D´ailleurs je t´les ai amenés Tu n´as qu´à leur demander
On est sous, sous, sous Sous ton balcon Comme Roméo Oh Oh Marie-Christine Ne fais pas la sourde oreille A ce cri unanime Je t´en supplie, mon trésor Réponds! Réponds! Marie-Christine Ne me laisse pas seul
Bon! Puisque c´est ça J´vais me saoûler la gueule!
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MÉGILLOS Tout cela est vrai, semble-t-il, et je ne trouve pas de mots pour y répondre. Cependant il me semble que le législateur de Lacédémone a bien fait de nous ordonner de fuir les plaisirs. Pour les lois de Cnossos, notre camarade les défendra, s'il veut ; mais pour celles de Sparte, je crois qu'on n'en pouvait établir de plus belles en ce qui touche les plaisirs; car les plaisirs, les violences et les sottises de toute sorte auxquelles les hommes sont le plus exposés, tout cela a été banni de tout le pays par notre législation, et tu ne verras, ni dans les campagnes ni dans les villes qui dépendent de Sparte, ni ces banquets, ni ce qui en est la suite et qui excite au plus haut point le goût de toutes sortes de plaisirs, et il n'est personne qui, rencontrant un citoyen ivre qui parcourt les rues en chantant et dansant, ne lui inflige le plus sévère châtiment ; il a beau alléguer les Dionysies pour excuse, il ne peut y échapper. Ce n'est pas comme chez vous, où j'en ai vu sur des charrettes, ni comme à Tarente, une de nos colonies, où j'ai vu toute la ville plongée dans l'ivresse aux Dionysies. Chez nous, on ne voit rien de tel.
L'ATHÉNIEN Étranger lacédémonien, tous ces divertissements n'ont rien que de louable, quand on y met une certaine réserve ; ils n'énervent que lorsqu'on s'y abandonne entièrement, et des gens de chez nous se défendraient vite et te riposteraient en te jetant à la face le relâchement des femmes lacédémoniennes. Enfin à Tarente, et chez nous et chez vous, il n'y a, je crois, qu'une chose à répondre pour montrer que ces usages, loin d'être répréhensibles, sont fondés en raison. Chacun, en effet, peut répondre à l'étranger qui s'étonne de voir un usage auquel il n'est pas habitué : "Ne t'étonne pas, étranger, telle est la loi chez nous ; peut-être est-elle chez vous différente sur ce point." Mais nous, en ce moment, mes amis, nous ne discutons pas sur les hommes en général, mais sur les défauts ou les qualités des seuls législateurs. Entrons donc dans quelques détails au sujet de l'ivresse en général ; car c'est un point de grande importance et ce n'est pas à un législateur médiocre qu'il appartient d'en juger. Je ne discute pas la question générale de savoir s'il faut ou non boire du vin ; je ne parle que de l'ivresse et je me demande s'il faut en user à cet égard comme les Scythes, les Perses et aussi les Carthaginois, les Celtes, les Ibères et les Thraces, toutes races guerrières, ou comme vous en usez vous-mêmes. Chez vous, on s'en abstient entièrement, à ce que tu dis, tandis que chez les Scythes et les Thraces, les femmes comme les hommes, boivent le vin tout à fait pur et en versent sur leurs habits, persuadés que c'est un rite honorable et qui porte bonheur. Les Perses aussi en font un grand usage, ainsi que des autres plaisirs sensuels que vous rejetez, mais ils sont en cela plus réglés.
Ça date.........Il y a aussi la version Grec pour ceux qui ont fait grec au Bahut.
Dernière modification par Ricoson (04 août 2013 à 08:32)
Soyons réalistes, exigeons l'impossible !!
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J'ai trouvé deux règles d'or (comme le vieux Hippy de Ziggy) pour ne pas retomber dans le gouffre. A: Jamais avant 19h00 (ca je le fait depuis longtemps et ca ne suffit pas) B: Le premier verre est a la fois le dernier. J'y met ce que considère avoir envie de prendre, je mesure, et c'est pour la soirée.
C'est mon truc maintenant, et ca n'engage surtout personne d'autre. C'est bien: J'AI ET POUR MOI.
Rico
Dernière modification par Ricoson (04 août 2013 à 08:37)
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bonjour Rico, non Platon ne m'a pas cassé les burnes:D mais avec la chaleur, j'ai le cerveau un peu ramollo... tu dis que A/ ne pas boire avant 19h n'est pas suffisant. en quoi ce n'est pas suffisant ? merci
Parce que a partir de 19h00, je pouvais boire beaucoup sans dépasser minuit. En Cind heures, il y a de quoi faire.
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Maintenant, Oui. Et je break des fois. La dernière fois, il y a un peu près 4 mois,j'ai breaké 3 mois. La, je suis en vacances, et l'apéro le soir me sera proposé. Je verrai si la règle peut être d'or. Je verrai aussi a faire. Non, merci. Pas ce soir. Je fais attention. J'ai un traitement. Merci beaucoup.
Le fiston est avec moi (14ans), et je crois beaucoup a l'éducation par le "faire" et le "savoir être"
Dernière modification par Ricoson (04 août 2013 à 09:38)
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Ce matin en me baladant et prenant mon café noir, j'ai attrapé ces deux pubs et les noms des bières. Je ne connaissais pas, et les noms m'ont frappés.
"Embuscade" et "kekette"
Dernière modification par Ricoson (05 août 2013 à 16:56)
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Promenade matinale. Pour commencer, une invitation a se torcher 1 jour entier. Pub.....
Un peu HS, mais pour ZBW, je n'ai pu m’empêcher de la prendre.
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Ca t'a tellement plus ZBW que je zoom sur kekette.
Dernière modification par Ricoson (08 août 2013 à 13:44)
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Tellement que j'en ai pris deux a ta santé vieux frère....
Le premier verre, suivi du dernier verre.
Dernière modification par Ricoson (11 août 2013 à 08:51)
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