1
Dernière modification par kendall (10 août 2013 à 18:49)
Hors ligne
Hors ligne
Dernière modification par ZombyWoof (11 août 2013 à 00:39)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Dernière modification par Ricoson (11 août 2013 à 08:11)
Hors ligne
Ricoson a écrit
A la séparation d'avec me femme, elle allait pas très bien, d'autant plus que j'avais trouvé une autre copine, et qu'elle ne supportait pas que celle ci puisse influencer notre fils.
La Psychiatre l'avait mis sous DepaKote, en lui diagnostiquant un trouble Bipolaire, alors qu'elle était tout simplement en déprime et stresse.
Ahh les psychiatres qui voit des pathologies partout ...
En fait j'ai eu le malheur une fois dans ma vie de consulter un psychiatre (idem pour une déprime, en fait c'est mon psychologue qui m'avais prit un rendez vous avec lui, mais pour discuter d'un autre sujet : le LSD, bref) et je suis tombé sur le type qui pense que tout le monde a des pathologies, etc ... (sans parler de la manière dont il conduit ses entretiens, bref).
Je le raconte tout en détail ici pour ceux que cela intéresserai : http://www.psychoactif.org/forum/viewto … 113#p59113
Et malgré mon opposition a prendre un neuroleptique alors que je faisais une dépression, il insiste, me met en confiance en me disant que si cela ne va pas j'arrête, etc ...
L'Abilify a était mit sur le marché en 2004, j'en ai prit en 2007, bref c'est un médicament assez jeunes.
Bilan : J'ai passé 3 semaines a ne pas pouvoir lire ou regarder la télévision, avec la sensation d'avoir un grain de sable derrière un oeil, être obligé de resté dans le noir, j'ai fait un fond d'oeil chez un ophtalmo : rien, si cela aurai continué j'avais dans l'idée de voir un neurologue...
Heureusement, c'est parti comme c'est venu ...
Le psychiatre m'avais lui laissé tombé depuis longtemps (je l'avais appelé car il m'avais dit que si ca n'allais pas je pouvais le contacter, il m'as gentillement dit qu'il n'avais pas le temps).
Et tout cela avec seulement "une prise" d'Abilify.
C'est ensuite quand j'ai lu les centaines de témoignages sur les effets secondaires que certaines personnes avais eu avec ce médicament, que j'ai mieux compris ce qui m'arrivais (pour certain c'était vraiment pire que moi).
Bon bien évidemment je ne doute pas que chez certaines personnes (la grosse majorité j'espère) ce médicament soit bénéfique et sans ce genre d'effets secondaire.
Mais a l'époque (peut être la formule a était modifié entre temps ?) le médicament n'était pas vieux, donc peu de recul sur les effets secondaire, et en cherchant sur google, y avais des centaines et des centaines de témoignages de personnes souffrant d'effets secondaire lié a la prise d'Abilify, mais des effets secondaire franchement pas jojo ...
Mais je le répète, ma petite mésaventure ne vaut que pour "moi" ! A chacun son organisme.
LLoigor
Hors ligne
A vrai dire, là vous posez des questions tellement pointues que je ne sais pas s'il y a beaucoup d'experts qui peuvent répondre avec des arguments solides à l'appui. Beaucoup d'addictologues en sont encore à l'opinion que le sevrage de la methadone est IMPOSSIBLE. Les modalités du sevrage à court terme sont à peu près connues mais l'effet à partir du sevrage physique jusqu'au "sevrage total" (avec reequilibration des neuro-transmetteurs, attention ce n'est qu'une image, ce n'est pas un avis scientifique) qui peut prendre des mois ou des années est à mon avis peu connu.
En attendant, je crois que le seul conseil solide est de se faire suivre par des médecins, psychiatres et psychologues "solides" pour les symptomes qui sont présents, sans necessairement de reference au produit (je ne veux pas dire qu'il faut l'oublier mais qu'il faut traiter la depression largement comme on le ferait sans antecedent de consommation) . C'est du moins un avis personnel qui va peut etre rzlancer la discussion.
Amicalement
Sur les idées spécifiques à ce post, je pense que la psychiatrie est encore assez "artisanale" avec de bons et de mauvais "artisans" psychiatres. Toutefois, globalement je trouve la psychiatrie officielle pas très à l'écoute de l'avis des patients (probablement parce qu'ils sont "fous"). Du coup l'emploi massif des neuroleptiques, qui sont rarement plébiscités par les patients. De plus dans l'ensemble, il faut dire que les médicaments psychiatriques sont rarement "parfaits", on ne peut que souhaiter que de meilleurs médicaments soient développés. Mais cela risque d'etre difficile car le vide juridique qui avait permis à l'époque d'expérimenter de nombreux médicaments sans trop de précautions est comblé. C'est bien pour les patients, mais peut etre un frein pour la recherche. Peut etre le mouvement des RC et des legal highs sera t il moteur dans ce sens ?? Mais avec des "cobayes volontaires", ce qui n'est pas le top !
Pour le diagnostic de bipolarité je crois qu'il faut distinguer le diagnostic et la thérapeutique. La thérapeutique est peu efficace et avec des médicaments assez mal tolérés (le lithium restant au dessus du lot) ce qui fait que le diagnostic de bipolarité + la thérapeutique (je souligne le +) sont probablement sur-utilisés. Par contre, le diagnostic seul me parait souvent sous utilisé , beaucoup de patients ont des antécédents familiaux et des alternatives de dépression et de "vitalité", sans que le dg de bipolarité soit "inscrit" dans le dossier (c'est du moins mon expérience). Mais ce non diagnostic est probablement bien justifié par l'efficacité médiocre des conséquences en terme de traitement.
Amicalement
PS le depakote est probablement pas très conseillé chez les femmes qui peuvent devenir enceintes.
ci joint la notice du depakote sur ce sujet
Grossesse
Vous ne devez pas prendre ce médicament si vous êtes enceinte ou en âge de procréer sauf indication contraire de votre médecin.
Si vous êtes en âge de procréer, vous devez utiliser une contraception efficace pendant le traitement.
Contactez immédiatement votre médecin si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant votre traitement par DEPAKOTE.
Votre médecin pourra adapter votre traitement et programmer une surveillance particulière de votre grossesse.
L’utilisation de ce médicament chez les femmes enceintes peut entraîner des malformations fœtales (de la colonne vertébrale (spina bifida), de la face, du crâne, des membres, du cœur…).
Si le traitement s’avère indispensable pendant la grossesse, une surveillance prénatale spécialisée de votre grossesse sera menée en vue de détecter d’éventuelles anomalies.
A la naissance, une évaluation de la coagulation sanguine et de la glycémie (sucre dans le sang) du nouveau-né pourra être effectuée.
A distance de la naissance, des retards du développement psycho-moteur et des troubles autistiques ont été observés chez les enfants des femmes traitées.
Dernière modification par prescripteur (11 août 2013 à 12:27)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
3 | ||
[ Forum ] Sevrage de methadone en deux fois
|
59 | |
4 |