Usage récréatif: arrêter

Publié par ,
8666 vues, 10 réponses
avatar
Irene_Adler femme
Nouveau membre
Inscrit le 25 Jan 2014
29 messages
Bonjour!

J'espère ne pas être à  côté de la plaque niveau rubrique!

Je viens vous faire part de mon expérience, certainement bien loin d'être originale, mais je ressens un besoin de m'exprimer auprès de personnes averties et neutres. Depuis environ deux ans, je consomme occasionnellement de la drogue en soirée. C'est hyper courant, à  divers niveaux bien entendu, dans mon milieu professionnel. Et là  est la raison de ma visite: Soit je dialogue avec d'autres consommateurs, ce qui est bien sur intéressant, mais qui sont des personnes proches et je ne peux pas forcément parler librement, soit j'ai affaire à  des gens qui ne sont pas au courant que je consomme et je ne veux pas qu'ils le soient (genre mes parents hmm)

Pour planter le décor: Je suis une jeune fille de 24 ans, indépendante financièrement, fumeuse de cigarettes et buveuse d'alcool modérée. Sinon sportive et plutôt en bonne santé. J'ai compté mes prises de dope en 2013, et elles s'élèvent à  huit: six d'ecsta ou de mdma, une de speed et une de cocaine.
C'est assez représentatif de ce que je consomme en général.. pas mal de MD et du speed de temps en temps. Je ne mélange jamais de drogues différentes et reste raisonnable en matière de quantité, surtout que 100mg à  125mg de MD suffisent largement à  me faire passer une bonne soirée. Au niveau des descentes, rien de bien méchant dans la tête en général mais je ramasse pas mal physiquement: bonnes crampes un peu partout et super facilement déshydratée, même un buvant beaucoup d'eau. Je maille aussi très facilement, ce que j'arrive à  contrôler assez bien, mais il me suffit "d'oublier" un instant et c'est reparti, je me suis déjà  cassé un ou deux petits bouts de molaire.

Depuis quelques mois, tout ça devient de moins en moins marrant pour moi. J'ai peur, à  l'image de certaines de mes connaissances, de ne plus pouvoir faire la fête sans dope. Je suis devenue parano et scrute l'état de mes dents après chaque prise.. parfois même n'importe quand dans la journée. Ma dernière prise de drogue remonte à  une semaine: j'ai tiré de la C (un gramme pour 3) avec deux potes jusqu'à  9h du mat', ensuite sale descente: quelques instants de paranoïa et impossible de fermer l'oeil jusqu'à  la nuit d'après. Malgré la qualité de la drogue qui n'était vraiment pas dégueu, je n'en ai pas retiré grand chose de sympathique.

J'en suis arrivée à  cette conclusion: J'arrête la dope. Surtout à  cause de ce qui se passe dans ma tête.. Je deviens hyper paranoïaque, certaine qu'un jour je commencerai à  manquer à  mes obligations professionelles et à  compter mes dents cassées. En bref, je me suis bien marrée mais je pense que j'ai trop la trouille. Il ne m'est pourtant jamais rien arrivé de grave et ne regrette rien (à  part avoir raconté la vie de mon chat à  une pauvre fille pendant 2 heures tongue), c'est un malaise qui s'est installé progressivement.

J'ai totalement raconté ma vie ici, j'espère ne pas avoir ennuyé mes éventuels lecteurs. En gros même si je me sens vraiment décidée, j'ai évidemment peur de craquer devant un para dans deux mois. Je sais que c'est un peu bizarre d'apporter ce témoignage sans doute banal alors que j'ai pris la décision d'arrêter très récemment, et que je n'ai pas encore vu à  quel point je serai tentée ou non, mais j'avais besoin de partager mes angoisses.
Et surtout: si quelqu'un a ou avait un mode de conso ou des peurs similaires, ou un quelconque conseil à  me donner, c'est avec grand plaisir!

Merci à  tous, c'est déjà  super de pouvoir écrire ici! super

Dernière modification par Irene_Adler (25 janvier 2014 à  16:13)

Hors ligne

 

avatar
Paz homme
Nouveau Psycho
Inscrit le 30 Dec 2013
103 messages
Salut!

Ton histoire me fait un peu penser à  la mienne ou à  celles de personnes de mon entourage.
J'ai pas mal consommer en soirée, au début une fois de temps en temps, puis tous les samedis, puis les vendredis et samedi, jusqu'à  en prendre en semaine. Une sale descente qui m'a mis dans une sorte de (légère) "dépression" m'a fait comprendre qu'il était temps de calmer un peu tout ça.

Aujourd'hui, j'ai réduit ma conso à  une fois par mois, et je compte même espacer de plus en plus. Je vois des amis qui continuent à  en prendre tous les week-end, et pour qui s'imaginer sortir sans un peu de md ou de C leur parait inconcevable! Et puis ils ont commencé à  changé : changement d'humeur, moins la forme en dehors du w-e, problèmes de concentration ou mémoire (notamment pour une amie lituanienne qui parle couramment français. Un lendemain de prod, elle ne retrouve plus ses mots en français), qui s'énervent pour rien...

Bref, si je devais te donner un conseil, ça serait de limiter tes sorties où tu tapes pour un temps (Ou genre une semaine sur deux), et éventuellement de ne pas trop suivre ton entourage qui tape si ça te fait trop envie.
Sinon, fais un gros travail sur toi. Tu sais que tu veux arrêter, prends ton courage à  deux mains, et si on t'en propose, ne cède pas. Soit kiffe le son si t'es dans des soirées sonores, sinon va découvrir des gens, fais un tour...

Pour ma part, c'est je fais un mixe des deux (limiter mes soirées à  des soirées que je cible vraiment et qui me font envie; et j'ai appris à  dire non). Parfois je craque, et je me prend un para. Une petite gourmandise on va dire, mais j'accepte ce craquage, et je le limite de plus en plus.
Donc voilà , je kiffe mes soirées sans rien prendre, pour l'amour du son ou des gens qui m'entourent!

N'hésite pas à  venir parler de tout ça, tu devrais trouver des conseils ici, même si le plus gros travail viendra de toi même :)

Bon courage!

La nature humaine est insaisissable, tout comme sa capacité à  créer ou à  détruire.

"L'espoir fou."

Hors ligne

 

avatar
Irene_Adler femme
Nouveau membre
Inscrit le 25 Jan 2014
29 messages
Salut Paz merci pour ta réponse!

Effectivement, le coup des amis qui sortent difficilement (voire pas du tout) sans prendre quelque chose, j'y reconnais beaucoup de potes, beaucoup de sensations. Il m'est arrivé de m'ennuyer à  une soirée, de réaliser que je n'ai rien le lendemain, et de finir par chercher des yeux quelqu'un de défoncé pour trouver de la drogue alors que ce n'était pas du tout prévu et que j'aurais pu faire les deux choses que j'aurais faites avant: aller ailleurs ou rentrer :rallyes:

Un peu comme dans ton cas, malgré une consommation visiblement moins importante, l'envie de calmer le jeux est venue d'expériences de moins en moins agréables, d'observation de soi-même vis à  vis de l'entourage et d'une sale descente ^^ De plus on n'est vraiment pas tous égaux face à  ça, et physiquement je n'ai pas l'impression de faire partie des résistants!
D'une certaine manière je ne regrette pas ces expériences, ça m'a bien sur mené à  une meilleure compréhension du "pourquoi" la drogue en soirée, de ce que c'est bêtement. Il n'y a pas longtemps, je me suis retrouvée face à  une fille ayant trop pris de md, en plus visiblement pour la première fois. Elle avait vraiment la tronche en vrac et elle ne devait plus voir grand chose, j'ai cru qu'elle allait faire un énorme bad trip. J'ai passé une heure à  lui rouler ses clopes en lui filant des chewing-gums et de l'eau, alors qu'à  l'époque je n'aurais pas su comment réagir, je serais peut-être lâchement partie sad

J'ai eu une discussion encourageante avec mon ancien patron sur l'attirance ressentie en présence de gens qui se droguent alors qu'on a arrêté (toujours dans le cadre d'un usage dit occasionnel): Consommateur de C en soirée pendant plus de 5 ans, à  raison de 2 fois par mois en moyenne, il a fini par arrêter après avoir eu je ne sais plus quel problème au nez et en apprenant qu'il allait devenir père. Il a lutté comme un malade pendant des années dès qu'il se trouvait en présence de consommateurs de c et s'était fait à  l'idée qu'il devrait combattre l'envie toute sa vie. Or, près de 10 ans après, l'envie s'est faite de moins en moins violente et a fini par disparaître. (évidemment, ça pourrait revenir).

Merci pour tes conseils, ça semble évident mais c'est toujours bien de l'entendre! Les semaines à  venir j'aurai pas mal de travail et ce sera certainement pas si difficile de dire non aux grosses soirées et à  la drogue, mais c'est une fois que je serai plus disponible et que mon "dégoût" sera peut-être moins fort que ce sera certainement plus éprouvant!

Comme dans ton cas, avoir une consommation qui passe presque de l'occasionnel à  l'exceptionnel, ça a évidemment l'air idéal pour moi. Comme un ex fumeur de clopes qui se ferait plaisir avec un cigare de temps en temps. Mais vu les crises de paranoïa de plus en plus fréquentes que je me tape (même sans drogues) et ce que mon instinct essaie de me dire, c'est décrocher totalement qui semble s'imposer.

merci! merci-1

Hors ligne

 

avatar
mortfine homme
NO P@S@R@N
Inscrit le 31 Dec 2013
200 messages
salut Irene

je vais tenté de te mettre en garde sur les effet de la MD que j'ai pu constater sur un bon amis
perso je n'aime pas trop cette "défonce"

on l’appellera "hug" donc ce gars "un type super qui gère une assoc. et prépare des installes en vu d'y accueillir des artiste peintre en live pendant des concert +expo d’œuvre"
ca fais plus de huit ans que je bosse avec lui et il y a maintenant deux il a fais la connaissance avec la MD
(ce gars qui ne bois pas fume quelque bédo mais rien de méchant )
le premiers été, il c'est bien éclater , je le voyais sautant partout ,semblant "aimer avec enthousiasme" a peu près tous le monde..etc
il n'en reprenais que rarement pendant l'hiver.
mais c'est la deuxième année ou ca a ripé..il recommence en début de "saison" puis petit a petit il ne peut s’empêcher de rapprocher les prises et deviens de moins en moins abordable.
ce gars,qui ne touchais pas aux came et qui me prenais la tête chaque jour pour que j’arrête mes connerie tombais dans la came et je n'arrivais pas a l'en dissuadé .
l’expression que j’emploie pour en parler c'est "il c'est replier comme un cocon dans son parachute"
il y est toujours et mes tentative pour l'aider son de plus en plus violemment repousser
je pense sincèrement que le pire problème d'addiction dans la MD n'est pas physique mais psychique
depuis l'asso. a fermer il ne fais plus grand chose,je ne veut pas appliquer cette expérience a tous le monde bien sur,mais vu la rapidité et la violence avec la quel ca l'a mis aux tapis je me méfie vraiment de cette molécules!

je ne veut pas te faire peur non plus il ya moyen de ne pas trop abuser des bonnes chose aussi ,en tous cas je ne peut que te conseiller d’être prudente
et de continuer a faire la fête ,parque ca c'est en faite le plus important
M.

Dernière modification par mortfine (26 janvier 2014 à  12:59)


réagir bêtement a un acte stupide, crée une situation idiote
Pierre Dac.


Hors ligne

 

avatar
Paz homme
Nouveau Psycho
Inscrit le 30 Dec 2013
103 messages

Effectivement, le coup des amis qui sortent difficilement (voire pas du tout) sans prendre quelque chose, j'y reconnais beaucoup de potes, beaucoup de sensations. Il m'est arrivé de m'ennuyer à  une soirée, de réaliser que je n'ai rien le lendemain, et de finir par chercher des yeux quelqu'un de défoncé pour trouver de la drogue alors que ce n'était pas du tout prévu et que j'aurais pu faire les deux choses que j'aurais faites avant: aller ailleurs ou rentrer :rallyes:

C'est l'aspect traitre de cette drogue. Elle apparait vite pour ses consommateurs comme un élément essentiel pour passer une bonne soirée.
Hier, j'étais à  une soirée hardtek et trance, j'ai bu quelque bière, sans proder, mais j'ai passé une putain de soirée et les artistes ont envoyé du lourd. Par contre, à  5h, c'est clair que je commençais à  fatiguer des jambes, mais aucun regret, j'ai passé une bonne soirée!

En tout cas comme tu dis, y'a pas de regret à  avoir connu ça, ça a pu te faire découvrir certaines choses, en comprendre d'autre.
Le fait que tu veuilles par toi-même stopper cet usage récréatif et que tu te rendes compte de tout ça t'aidera à  apprendre à  te maitriser par rapport au produit

je pense sincèrement que le pire problème d'addiction dans la MD n'est pas physique mais psychique

Tout est résumé dans le post de Morfine merci-1



N'hésite pas à  continuer à  en parler ou chercher des conseils si ça peut t'aider, mais tu verras déjà  que si tu résistes pendant un mois, ça sera un grand pas pour toi, et ça te permettra de prendre du recul sur ta consommation passée, les gens qui en prennent autours de toi, etc...


La nature humaine est insaisissable, tout comme sa capacité à  créer ou à  détruire.

"L'espoir fou."

Hors ligne

 

avatar
Irene_Adler femme
Nouveau membre
Inscrit le 25 Jan 2014
29 messages

mortfine a écrit

je pense sincèrement que le pire problème d'addiction dans la MD n'est pas physique mais psychique

Comme Paz je suis entièrement d'accord avec toi! J'ajouterai également que j'ai l'impression que cette drogue peut être "sous-estimée" à  cause du cadre festif. D'ailleurs je me souviens très bien (comme beaucoup) de mon premier taz, et ce qui m'a le plus marquée, plus encore que le fait d'avoir aimé ça, c'est la puissance du produit. Le fait d'être à  côté de mes pompes avec seulement un quart de taz, les litres de transpiration, le goût des clopes, le besoin de danser, l'énorme fatigue après la descente...

ça n'engage que moi, mais entre les crises de parano et tout ce que j'ai déjà  décrit, je paie trop cher les quelques heures de magie. J'ai l'émail sensible et je pèse 46kg, je ne sais pas si ça compte réellement mais ça ne doit pas jouer en ma faveur tongue

Je suis contente d'en parler avec vous car mes amis consommateurs accueillent ma décision d'arrêter avec joie mais aussi avec étonnement, étant une de celles à  en prendre le moins fréquemment et gérant plutôt bien question pas d'alcool, pas d'autres substances etc.
C'est cool de parler à  des gens ayant plus de recul et surtout sans l'aspect sentimental!

Je vous dirai comment je me débrouille :)

Hors ligne

 

avatar
stella femme
Psycho junior
Inscrit le 25 Sep 2007
363 messages
Salut à  toi.
Personnellement j'ai touché un peu à  toutes les drogues, comme beaucoup ici. Il est clair que la première fois que j'ai pris de la MD ou encore taz et LSD, je me suis dis "ouahouuuu mais c'est génial ce truc, quelles sensations intenses!!" Et puis arrive les descentes et alors là  j'en ai jamais autant chié de toute ma vie. Ça m'est arrivé d'en reprendre 2 ou 3 fois mais sincèrement je n'ai JAMAIS ressenti le bonheur de la première fois et les descentes étaient de plus en plus difficile à  gérer.
J'ai donc décidé d'arrêter tout ce qui était excitant/hallucinogène y compris coke, crake et speed. J'ai également vite laissé tomber la ketamine quand je me suis retrouvée en pleine rue assise sur le trottoir à  ne plus pouvoir bouger.

Je pense qu'il y a des drogues qui ne nous conviennent pas et on le sait, on le sent. Je pense que c'est ce que tu as ressenti. Tu as pris conscience que tu pouvais basculer. Et si tu l'as ressenti et bien je te dirai de bien le garder en mémoire les soirs de fête.

Bon courage miss!

Hors ligne

 

avatar
Irene_Adler femme
Nouveau membre
Inscrit le 25 Jan 2014
29 messages
Salut Stella! Moi aussi j'ai testé une fois le LSD, et la descente m'a vaccinée malgré le trip incroyable. C'est assez similaire avec la C, j'en ai pris rarement parce que déjà  c'est difficile d'en trouver de la pas trop pourrave, et en plus les descentes sont pénibles. Ce qui a été pervers avec la MD, c'est que malgré les conséquences physiques que j'ai décrites, les reste ça allait (au début du moins): Une bonne douche, pas mal d'eau, un gros dodo et fini la descente. Mais c'était avant roll

stella a écrit

Je pense qu'il y a des drogues qui ne nous conviennent pas et on le sait, on le sent. Je pense que c'est ce que tu as ressenti. Tu as pris conscience que tu pouvais basculer. Et si tu l'as ressenti et bien je te dirai de bien le garder en mémoire les soirs de fête.

oui, ça me semble bien résumé :)

Hors ligne

 

avatar
Irene_Adler femme
Nouveau membre
Inscrit le 25 Jan 2014
29 messages
Trois semaines après ce post, et un peu plus d'un mois après ma dernière prise, un premier compte-rendu:

Le samedi premier février: Grosse tentation (racontée dans un post de mon blog le 5.02). Une soirée chez des potes et un ami qui débarque avec des super tazs, déjà  testés auparavant. Mes potes, au courant de ma décision d'arrêter, ne me proposent rien, mais je sais que si je demande je pourrais en avoir. J'ai passé toute la soirée à  essayer de détourner mon attention en faisant la conversation, mais trop difficile. Je finis par rentrer en hésitant jusqu'au dernier moment. Mais le lendemain je suis super contente!

Le jeudi qui suit: Je passe voir un pote dans son atelier, il y a un peu de monde et quelques personnes se font un apéro cocaïne. On m'en propose par politesse mais je dis non, sans être tentée. En même temps ce n'était pas très difficile, je ne suis pas fan de C et connaissant ce qui tourne "dans le coin", je sais qu'il s'agit plutôt de paracétamol pilé.

Le samedi je sors à  nouveau, et un ou deux amis se font des paras. Je ne suis pas tentée, car je sais que j'ai beaucoup de boulot la semaine qui suit, et j'ai visiblement réussi à  bien me le mettre en tête à  l'avance.

Durant les jours qui suivent, je fais quelques apéros avec des potes, sans que le sujet soit abordé et j'y pense très peu.

Vendredi passé (le 14), je suis au bar avec des amies. L'une d'elles proposent d'aller chez elle se faire quelques paras. Une partie de mon cerveau trouve tous les arguments pour (il est tôt, tu as congé le matin etc.), mais je reste avec les copines qui refusent la proposition, tandis que deux autres partent en soirée (avec détour mdma bien sur). Une fois qu'elles sont parties, je ne pense plus à  les rejoindre et me marre bien avec les autres.

Conclusion: Pour le moment, le plus difficile c'est "l'imprévu", l'envie qui débarque d'un coup en pleine soirée et essaie de balayer toutes les "bonnes résolutions", pouvant limite tourner à  l'obsession.
D'un autre côté, les point encourageants, c'est les moments à  s'être tout autant amusée sans avoir rien pris, ainsi que le soulagement le lendemain. J'ai aussi été très contente de constater que je n'ai aucune peine à  communiquer et à  ricoler avec mes potes défoncés alors que je suis nette smile(même si nos conversations ne finiront certainement pas dans les registres de l'Académie Française ^^)

Hors ligne

 

Gaspardo
Nouveau Psycho
Inscrit le 10 Sep 2013
154 messages
Super et bravo.
Ca fait plaisir de voir que tu arrives à  résister aux différentes envies et propositions.
Tiens bon

Hors ligne

 

avatar
Synapse homme
Nouveau membre
Inscrit le 12 Feb 2014
10 messages
Je cromprend mieux ton blog après avoir lu ce post.

Je suis d'accord avec toi le plus dur reste "l'imprévu", l'appel inattendu du samedi soir pour un plan...

Bon courage pour la suite ! :-)

Dernière modification par Synapse (19 février 2014 à  22:05)

Hors ligne

 


Remonter


Pour répondre à cette discussion, vous devez vous inscrire

Sujets similaires dans les forums, psychowiki et QuizzZ

logo Psychoactif
[ Forum ] Contexte (set & setting) - Arrêt opiacés en récréatif et prise de poids
par cependant, dernier post 29 juin 2022 par Syldar
  7
logo Psychoactif
[ Forum ] Contexte (set & setting) - Besoin d'arrêter où aller, que faire ?
par JigSaw, dernier post 07 mai 2019 par Viaflie
  2
logo Psychoactif
[ Forum ] Arrêter la methadone
par dima12, dernier post 15 mars 2016 par Pipops
  9
logo Psychoactif   [ PsychoWIKI ] Arrêter la méthadone
logo Psychoactif   [ PsychoWIKI ] PAWS, le syndrome prolongé de sevrage

Pied de page des forums