LE HASCHISCH DU 21e SIÈCLE

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filousky homme
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Assortiment de Hash


Le cannabis a été utilisé en toute sécurité pendant des siècles par un nombre incalculable de cultures du monde entier. Les extraits de cannabis, qui sont essentiellement des concentrations des glandes résineuses situées au sommet des fleurs, sont souvent désignés sous le terme de haschisch.

UN PEU D’HISTOIRE

Fumer un joint ou une pipe est la méthode traditionnellement utilisée par les américains pour fumer du cannabis, mais les résines de cannabis extraites sont appréciées dans le monde entier depuis des millénaires. Les hommes ont compris il y a bien longtemps que, s’il était agréable de fumer la fleur, c’est la récolte et la concentration de la résine extraite des fleurs et des feuilles qui produit l’effet le plus souhaitable. Ce que les médias appellent aujourd’hui « Dabs » n’est rien d’autre que le haschisch du 21e siècle.

Au début, les amateurs de haschisch utilisaient des tamis de soie, puis ils se sont tournés vers le criblage mécanique avec des tailles de tamis si précises qu’ils pouvaient séparer les glandes résineuses avec une précision micrométrique. C’est au début des années 1990 que l’idée d’utiliser de l’eau glacée pour extraire la résine des fleurs a fait son apparition et que cette méthode s’est fait connaître sous le nom de water-hash (haschisch à  l’eau) ou de bubble-hash (haschisch à  bulles) si le haschisch était vraiment bon ; en effet, lorsqu’on le met dans une pipe pour le fumer, il fait véritablement des bulles, non pas à  cause de l’eau, mais en raison de sa pureté.

L’eau, tout comme le butane, n’est pas un ingrédient que vous souhaitez voir mélangé à  ce que vous fumez ou vaporisez. En outre, si la résine extraite avec de l’eau n’est pas correctement séchée, elle moisit facilement. Or, la moisissure n’est pas non plus une substance que vous souhaitez voir mélangée à  ce que vous consommez.

Le 1er mai 1999, un auteur nommé Indra a publié sur erowid.com un article intitulé The Boffo Butane-PVC Hash Oil Extractor (le prodigieux extracteur en PVC pour fabriquer de l’huile de cannabis avec du butane) et, par bonheur pour la culture du cannabis, certains cultivateurs courageux et entreprenants se sont chargés de perfectionner cette nouvelle technique d’extraction. Presque 15 ans plus tard, l’huile de cannabis, le BHO, ou l’une de ses nombreuses dénominations telles que « la cire » , « le budder », « l’erl » ou, tout simplement, « l’huile » fait parler d’elle et réveille la paranoïa de la droite dans le débat sur le cannabis. L’extraction au gaz étant devenue un sujet de discussion et les efforts pour obtenir un produit plus propre s’amplifiant, les fabricants de haschisch ont commencé à  réaliser, avec plus ou moins de succès, des essais pour extraire les résines avec du dioxyde de carbone.

USAGE THÉRAPEUTIQUE DES CANNABINOàDES

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Richard Branson & Todd McCormick


Je souffre de douleurs chroniques et j’utilise le cannabis pour atténuer les séquelles neurologiques et la douleur liées à  une fusion de cinq vertèbres, qui a été réalisée sur moi lorsque j’avais deux ans pour traiter une forme rare de cancer. J’ai une grande expérience du cannabis thérapeutique et j’apprécie une grande variété de produits au cannabis, qui m’aident à  gérer mes douleurs chroniques. Au cours des dernières années, j’ai pris goût à  la vaporisation d’huile de cannabis de haute qualité dans le cadre de mon traitement, essentiellement parce que je la trouve plus douce pour mon système respiratoire : ceci est principalement lié au fait que je n’ai plus à  inhaler toutes ces matières végétales que l’on trouve dans un joint ou une pipe. Je me suis aperçu que je pouvais utiliser beaucoup moins de matière première au cours de la journée pour obtenir un effet souhaité identique ; je trouve aussi que les niveaux de cannabinoïdes extraits soulagent mieux et de manière plus instantanée qu’un joint ou une pipe et une fleur.

STABILITÉ DU MÉDICAMENT

L’autre avantage d’utiliser un extrait de qualité, qu’il s’agisse d’extraction au butane, à  l’eau ou au CO2, est la stabilité. Les fleurs de cannabis ne sont pas constantes : il existe des différences d’une fleur à  l’autre pour une même quantité de cannabinoïdes, dans le même sachet. Par exemple, si votre grand-mère souffre de nausées à  cause de sa chimiothérapie et qu’elle essaie de les « traiter » en fumant un joint, une tête provenant de son sachet peut marcher à  merveille, mais ça ne sera peut-être pas le cas avec la tête suivante. Alors qu’un gramme, une once ou un kilo d’extrait sera stable et, bouffée après bouffée ou inhalation après inhalation, produira son effet sur les nausées de mamie.

Pour les personnes atteintes de douleurs chroniques qui essaient de gérer leurs journées, les médicaments à  l’efficacité aléatoire ne sont pas une solution ; elles ont besoin de pouvoir compter sur un dosage constant de cannabinoïdes, et le caractère constant présent lors de l’utilisation d’extraits est la principale raison pour laquelle je pense qu’il s’agit d’un sujet brûlant pour la communauté du cannabis : il ne s’agit pas d’une simple mode qui va passer. En réalité, c’est un moyen de traitement très efficace qui met en œuvre un éventail complexe de cannabinoïdes, terpènes et flavonoïdes. C’est également un nouveau médicament, ou devrais-je plutôt dire un médicament très ancien ? Les humains viennent à  peine de prendre conscience du cannabis au cours des 15 dernières années et de comprendre comment extraire des résines d’une fleur commune à  l’aide d’un gaz d’origine organique ordinaire.

LES TECHNOLOGIES D’EXTRACTION ALIMENTAIRE

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Les systèmes d’extraction à  “circuit ferm锝 sont désormais développés afin de maximiser la sécurité et l’efficacité du processus.


Avez-vous entendu parler du BHQT (Butylhydroquinone tertiaire) ? Non ? Alors je vous laisse découvrir vous-même cet ingrédient utilisé dans les aliments surgelés. Seriez-vous surpris d’apprendre qu’il existe un vieux brevet pour décaféiner le café en utilisant du propane et du butane ? Ou que la « démargarination » (wintérisation) est un brevet d’extraction alimentaire encore plus ancien qui vise à  nettoyer la mayonnaise, dont les graisses et l’huile se séparent lorsqu’elle est réfrigérée, ce qui lui donne un aspect disgracieux ; la science est donc intervenue pour éluder ce problème.

Les risques d’inhaler du gaz butane lors de la consommation d’huile de cannabis (BHO) sont très exagérés. Les personnes qui ont grandi dans les années 60, 70, 80 et 90, ont roulé des joints et bourré des pipes avec des fleurs de marijuana, avant de les allumer avec leurs briquets à  gaz bon marché ; ces personnes ont inhalé à  chaque fois bien plus de butane provenant de cette flamme de gaz à  basse température que n’importe qui pratiquant le dabbing n’en inhalera jamais. Ici, en Californie, les laboratoires qui réalisent les tests sur les échantillons de cannabis à  usage thérapeutique refusent un échantillon de BHO si sa teneur en butane dépasse 500 ppm. Selon les résultats des tests en laboratoire, il est clair qu’après la purge en chambre à  vide, il ne reste dans la résine pratiquement rien d’autre que des cannabinoïdes.

Et parlons de ces gens qui se font exploser avec du butane dans des environnements confinés. Darwin a une autre façon de nous emmener au paradis. On pourrait comparer ce que les médias appellent le « dynamitage » au butane des fleurs de cannabis au fait de se servir de l’essence à  la pompe ; ce n’est pas plus dangereux… bien que je ne ferais ni l’un ni l’autre dans ma cuisine ! Tous les jours, dans le monde entier, il y a des explosions près des pompes à  essence, simplement à  cause des émanations explosives. Mais nous ne sommes pas effrayés pour autant et nous n’arrêtons pas de faire le plein de notre voiture seulement parce qu’un imbécile a fait la même chose avec une cigarette allumée à  la bouche et s’est fait exploser. Nous n’incriminons pas non plus la pompe à  essence, ni la station-service ou la voiture ; nous blâmons l’imbécile qui n’a pas su comment se comporter en présence d’une substance inflammable. La même démarche logique devrait s’appliquer à  l’huile de cannabis extraite au butane. Pourtant, il apparaît clairement que les médias préfèrent incriminer la substance plutôt que blâmer l’imbécile et je ne pense pas que ce soit la bonne attitude.

SÉCURITÉ ET EFFICACITÉ

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Cet extrait extrêmement pur est tendre mais solide lorsqu’exposé à  température ambiante, et fondra facilement lorsque chauffé.


Si elle est extraite avec soin, dans un environnement contrôlé, par des personnes formées qui savent ce qu’elles font, l’huile de cannabis est un produit merveilleux. Elle contient non seulement des cannabinoïdes, mais est également riche en terpènes et en flavonoïdes, qui sont perdus avec l’extraction au CO2 et au solvant universel, c’est-à -dire l’eau : ces deux méthodes éliminent les terpènes tandis que, pour une raison quelconque, la technique de l’extraction au butane les récupère.

Une autre raison pour laquelle, parmi les trois principales techniques d’extraction, l’huile de cannabis au butane est si populaire : les humains aiment les terpènes. C´est également l’extraction au butane qui préserve le mieux les saveurs et les parfums de la fleur. L’huile extraite au CO2 est généralement fade et manque tellement de goût que les fabricants achètent des terpènes synthétiques en ligne et les ajoutent à  leur huile au CO2, afin qu’elle ait meilleur goût. Le haschisch à  l’eau n’est pas autant apprécié, parce qu’il est tout simplement moins puissant et présente des problèmes spécifiques, qui sont le risque de contamination par des moisissures et les problèmes de stockage. Il est également plus difficile de produire du haschisch à  l’eau de qualité supérieure et cela prend plus de temps à  préparer et à  sécher. Certains l’ont appelé le haschisch « sans solvant », dans le but de démarquer leur produit de l’huile de cannabis issue de l’extraction au butane Mais détrompez-vous, il s’agit bien de haschisch à  l’eau et l’eau est bien un solvant qui élimine un grand nombre des précieux terpènes contenus dans la fleur.

UN MOT DE MISE EN GARDE

Aujourd’hui, alors que tant de personnes transforment l’ensemble de leur récolte en une forme quelconque de HASCHISCH, que ce soit par tamisage à  sec, extraction à  l’eau ou au gaz, il y a une chose que je souhaiterais souligner : ce que vous pulvérisez sur vos fleurs, vous le retrouverez dans votre extrait. Les cultivateurs doivent arrêter d’utiliser tous ces pesticides, fongicides et remèdes naturels auxquels ils ont recours depuis longtemps. Le plus gros problème de l’huile de cannabis est la concentration de pesticides dans la résine. C’est un problème sérieux, qui pourrait largement être évité par le biais de la réglementation !

Il faut absolument éviter d’utiliser les pesticides, car il n’est pas acceptable de trouver des concentrations de poisons dans le produit fini, et les laboratoires analysent actuellement des échantillons afin de savoir s’ils sont contaminés. De plus, s’ils sont appliqués sur les fleurs, les vieux outils de jardinage biologiques utilisés pour combattre les insectes et la moisissure, tels que l’huile de margousier, les sels de potassium et le soufre, ruineront le produit, même s’il est transformé par les meilleurs artistes de l’extraction, qui du coup doit être écarté.

Je vous entends presque déjà  vous demander à  haute voix comment traiter les insectes et la moisissure sans utiliser les méthodes de jardinage standard. Et bien, fort heureusement, j’ai une suggestion. Il s’agit d’un mélange de technologie et de simplicité : l’eau ionisée. Ces nouvelles machines qui trouvent leur place sur les plans de travail et séparent par électrolyse l’eau en deux flux, l’un à  PH faible, acide, l’autre à  PH élevé, alcalin, peuvent être utilisées par les cultivateurs pour tout faire : de l’élimination des insectes avec de l’eau acide à  la lutte contre le mildiou poudreux avec de l’eau alcaline, à  PH élevé, sans laisser de résidus et sans nuire à  la plante, puisqu’aucun produit chimique n’est utilisé pour obtenir le PH élevé. L’eau est le meilleur solvant et, lorsqu’elle possède un PH élevé, elle réalise un travail remarquable de nettoyage et de dissolution des cires et des huiles. Par conséquent, soyez prudent lorsque vous pulvérisez des fleurs à  maturité avec une eau dont le PH est très élevé, car vous pourriez perdre vos huiles aromatiques.

LE DOUX PARFUM DE L’AVENIR

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Hash à  la main


Les personnes qui innovent dans le domaine du haschisch parlent aujourd’hui de capturer les terpènes, de les appliquer à  nouveau sur la matière organique, puis de réunir les cannabinoïdes et les terpènes lorsque le processus d’extraction est terminé, tout comme ils le seraient sur la fleur.

Le meilleur du meilleur du haschisch sera toujours tamisé à  sec, composé de glandes résineuses souvent séparées mécaniquement, qui n’ont jamais été touchées par autre chose que l’air. Mais, dans le contexte actuel de prohibition, il n’est pas facile d’assurer un approvisionnement médical constant de glandes résineuses tamisées à  sec.

Le haschisch du 21e siècle est là  pour rester. La légalisation et la réglementation sont nécessaires pour que cette industrie naissante se développe en toute sécurité. Le danger ne vient pas du produit, puisque la science a montré que les cannabinoïdes sont sûrs quelle qu’en soit la concentration ; le danger vient de la prohibition du cannabis qui, à  l’image de la prohibition de l’alcool dans les années 20, déplace la fabrication des extraits des environnements sûrs et contrôlés tels que des laboratoires vers les arrière-cours des maisons. Or, dans l’industrie des spiritueux, les alcools concentrés sont courants : l’Everclear est un alcool à  95 % vol., extrêmement inflammable et hautement toxique. Ironiquement, c’est tout le contraire de l’huile de cannabis extraite au butane, qui est non inflammable et non toxique, même si les deux devraient être fabriqués dans un environnement contrôlé.

Soyez prudent, faites des recherches et si vous vous apprêtez à  utiliser les résines extraites de cannabis, apprenez à  identifier les différentes variétés et à  détecter les problèmes, comme un haschisch à  l’eau contaminé par la moisissure ou une huile de cannabis dont le butane n’a pas été correctement éliminé. Votre santé en dépend.

Todd McCormick a écrit « How To Grow Medical Marijuana » (Comment cultiver de la marihuana à  usage thérapeutique) et « GrowMEDICINE » (Médication végétale), qui sera bientôt publié. Il apparaît également dans le documentaire : « The Union: The Business Behind Getting High » (L’entente : derrière l’effet planant, les affaires) et a publié la 12e édition du classique de Jack Herer « The Emperor Wears No Clothes » (L’empereur est nu). Il est actuellement chef de la production du documentaire « The Culture High » (La culture High), qui sortira prochainement

Todd McCormick on August 27th 2014



Source : Sensiseeds

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MicHAZE
Nouveau Psycho
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Bonjour, simple question sans ironie
C'est du copier/coller ou vous l'avez écrit ?

Quoi qu'il en soit très bon article, y'a pas mal de "revue" mais c'est bien ecrit donc ca passe tout seul ;)merci!

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prescripteur homme
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Filou indique bien la référence (source= sensiseed) et la signature (Todd Mc Cormick).
Notons que Filouski n'est PAS Todd Mc Cormick
Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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MicHAZE
Nouveau Psycho
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74 messages

prescripteur a écrit

Filou indique bien la référence (source= sensiseed) et la signature (Todd Mc Cormick).
Notons que Filouski n'est PAS Todd Mc Cormick
Amicalement

J'ai remarqué par moi même, j'allais juste pas ecrire pour ça mais merci quand meme

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sud 2 france homme
problème traitement
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l'extrait tel que montré en photo est disponible dans certains socios espagnols...

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MicHAZE
Nouveau Psycho
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74 messages

sud 2 france a écrit

l'extrait tel que montré en photo est disponible dans certains socios espagnols...

C'est très simple a faire soit même aussi, juste c'est important de pas foirer la purification du butane restant, étape a prendre très au serieux...
Pour le reste faut juste acheter un tube adapté, du gaz de briquet et un filtre a café.
Faire ça à  l'extérieur aussi pour les émanation...

Comme je le disais ailleurs, perso, ça fait longtemps que je ne fume plus de shit sauf quand je le fais moi même, du temps des Shops en Hollande, j'y allais limite plus pr le tout bon hash que pour la Weed hors variété assé rare...
Du coup j'ai déjà  essayé pas mal de façon différente pr le faire, sec, à  l'eau, au gaz, etc...
Et perso le meilleur de tous les hash que l'on peut fumer (selon moi encore une fois...), c'est une extraction type BHO et ensuite mélanger le produit avec du Pollen du Weed qui a beaucoup de saveur, comme les Cheese par exemple. A noter qu'il est tout aussi important de faire une extraction avec de la très bonne Weed, meilleur aura été la plante, meilleur sera la futur qualité du l'oil bien sur wink
Le tout mélangé vous obtiendriez cela:
http://www.alchimiaweb.com/blogfr/wp-content/uploads/2014/01/jelly-hash-mix1.jpg

Pour moi c'est le top du top, après le tout prend du temps, entre la culture et la finalisation du morceau... Y'a qcq mois...
Après je pense que comme tout smoker, le kiff irréaliste serait de gouter du tout bon Aia artisanal mais bon ça... C'est la presse spécial que le producteur ce gardera donc malheureusement je crois que je n'en fumerai jamais, le gout doit être magique...

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Mister No homme
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Et perso le meilleur de tous les hash que l'on peut fumer (selon moi encore une fois...), c'est une extraction type BHO

Je vais t'expliquer pourquoi je ne suis pas du tout d'accord et pourquoi je n'apprécie pas le BHO même si ton "jelly" a de la gueule.  fume_une_joint
Certes, ton concentré sera presque dépourvu d’éléments adultérant végétaux. Mais le gout ? Les terpènes dans l'opération ? Ok pour la concentration, mais est-ce le plus important ? (je me dis que si je trouve poussif mon bubble, je change de génétiques, mais en général, j'ai de quoi glacer le sang tellement c'est déjà  assez nettement puissant)
Faire pousser longuement de la weed afin qu'elle exprime également son potentiel aromatique et niquer les arôme en quelques instants ? A quoi ça sert que Ducros, il se décarcasse ?





Perso, le meilleur hasch est obtenu sans utilisation de solvant et se doit de conserver au maximum les arômes et saveurs( peut-être comme là -bas dis !), donc bubble ou extraction à  sec.

J'ai l'air de râler, mais ton hasch est très jouli.

Dernière modification par Mister No (20 janvier 2015 à  15:45)


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filousky homme
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Dis moi, Mister No, je ne fais pas de BHO pour la raison que tu invoques.

Je fais  de l'iceolator pour m a prope consommation, donc avec un solvant qui est l'eau froide. J'obtiens quelque chose de délicieux mais sans goût très fort. Ça dépote sévère. Et c'ets d'une douceur à  dabber incroyable, alors que j'ai des souvenirs de quintes de toux monstruseuses avec du BHO.

L'eau vire t'elle aussi les arômes ?

Pour moi, j'ai toujours pensé que mes deux petites passes de 5 minutes me donnaient un des plus beau bubble hasch du monde (une nuit à  sécher dans un placard et le lendemain le résultat est déjà  compressable et malaxable bien collant).

Renseignes moi sur ma méthode car d'après Alchimia, le Bubble s'obtient avec les sacs et l'eau glacée.

Fil

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Mister No homme
Pussy time
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J'ai l'intuition que l'extraction à  l'eau et glace permet de conserver au mieux les arômes qu'à  sec. Quand tu passes au tamis à  sec, tu te rends compte que tu vaporises dans l’atmosphère un max de terpènes.
Après, gaz ou alcool, tu massacres les efforts pour avoir une plante gouteuse. Les solvants sont efficaces pour les cannabinoides par contre niquent les terpènes. (en dehors des process industriels complexes zé couteux type co² hypercritque et/ou de réintroduction de terpènes dans l'extrait)

J'obtiens quelque chose de délicieux mais sans goût très fort.

Cela doit vraiment dépendre des génétiques que tu utilises car je crois bien que c'est le top car l'eau n'est pas un solvant, juste un support d'extraction. Même si tu cultives bio des tomates, elles ne seront pas forcément top en matière de gout, même si tu bénéficies de conditions de cultures et de récoltes idéales. La plupart sont créées pour être belles sur les étalages, résistantes aux ravageurs et aux transport, pouvant même parfaire leur couleur lors du voyage. Rouges, fermes lontemps après récolte, assez sucrées, mais pas de gout ou si peu. C'est un peu pareil pour le cannabis qui est aussi régi par le désir des consommateurs/producteurs/revendeurs d'avoir des ganja précoces, productives, résistantes et avec beaucoup de THC.
En terme de gout, certaines landrace ou IBL de landraces, voire des cross avec de landrace donnent parfois des goûts plaisants et d'antan. Il faut éviter les plantes qui dégagent déjà  une odeur chimique ou de solvant type diesel, pasqu'après ce sera amplifié. Pas dit que certaines plantes modernes donnent du hasch goutu même si celles-ci sentent particulièrement fort. Elles n'ont pas été forcément breedées pour le hasch, contrairement aux landraces du Maroc ou d'Asie longuement sélectionnées à  cet effet.
Certains breeders hollandais ont été récompensés dernièrement pour leur hasch d'import à  la cannabis cup. Je me méfie des concours organisés par les gagnants, mais c'est peut-être la tendance ultime du marché...

Renseignes moi sur ma méthode car d'après Alchimia, le Bubble s'obtient avec les sacs et l'eau glacée.

J'ai dit le contraire ? alors s'en m'en rendre compte. fume_une_joint Et je pense que c'est mieux que l'extraction à  sec pour conserver les terpènes. Chais pas ce qu'en dit Alchimia (mais faut les croire), mais d'après mes lectures et mes expériences, c'est ce qui ressort.
Le "jelly" pour moi, c'est le mélange de popop et d'huile ou de BHO que je considère davantage comme une huile que comme un hasch malgré le nom. Depuis quand il faut des hydrocarbures pour sortir du hasch ? big_smile

Dernière modification par Mister No (20 janvier 2015 à  18:07)


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MicHAZE
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Mister No a écrit

Depuis quand il faut des hydrocarbures pour sortir du hasch

Depuis jamais je crois... Tsais dans ce cas là  on fait tous du Double Marocain à  la main avec un briquet... Je crois juste qu'il en faut pour tous les gouts et que le "meilleur" n'existe pas vu qu'il sera toujours au gout du consommateur qui le fume et l'apprécie pour ce qu'il est...

Je suis content d'avoir ecris "personnellement"

Après je vois que vous connaissez le site Alchimia, Vincent et sont équipe on réalisé un article sur les types, il parle d'arome entre autre, je vous invite aussi à  lire les commentaires/réponses riche en information mais vous connaissez je suppose... https://www.alchimiaweb.com/blogfr/type … -cannabis/


Ca aurait le mérite d'avoir un article sur les différents shit avec origine... Pour les fabrications, alchi existe déjà  mais ce serait pas mal d y comparer les différentes variété marocaine comparé au népalais, pakistanais, afghan etc...

Bonne lecure

Dernière modification par Meumeuh (20 août 2021 à  00:59)

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filousky homme
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MicHAZE, Quiconque s'intéresse un peu au cannabis connait Alchimia et les gens de l'équipe. Perso, je m'entends bien avec "Le Marcel" qui publie des articles super bien foutus (mise en page, infos, etc.).

Bon, merci Mister No, j'avais un léger doute, mais c'est bien du pur Bubble que je fais avec mes extractions à  l'eau. Et c'est quand même le top quand ça passe la gorge. Rien d'autre qu'une caresse fruitée suivie dans les 5 minutes d'une bonne toux expectoriante, bien utile sur ma bronchitte actuelle.

J'en profite pour parler des vertus expectoriantes du THC (pas du CBD, non du THC). Cela fait déjà  quelques années que j'applique la méthode en cas de bronchites.
La bronchitte, on tousse un peu, puis les poumons deviennent très encombrés (les glaviots verdâtres ...). On passe par la case antibiotiques qui tuent bien les bactéries mais l'accumulation de globules blancs morts que constitue ce que nous crachons reste au fond de nos bronches.
Personnellement, le mucomyst® et les autres médicaments expectoriants  ne me font pas grand chose et il me faut des jours et des jours pour débarasser mes poumons des résidus de l'infection.

Depuis que j'ai des vaporisateurs, la donne a changé. Un ballon normal de cannabis me fait remonter mes miasmes à  vitesse grand V. Donc, maintenant, à  chaque bronchitte, au quatrième jours d'antibios, je me prépare un gros mélange de Thym rouge bio + Lavande Bio + Cannabis que je vaporise avec un Volcano réglé sur température maximum. Et là , c'est le balai des aller-retours vers les toilettes pour cracher tout ce qui remonte sans problème.

Nettoyage garanti. Comme avec WC Net, Toilettes propres et haleine fraîche !!!

Après ce bel exercice illégal de la médecine je vous souhaite bonne continuation à  tous.

Fil

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Mister No homme
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du Double Marocain

A l'ancienne big_smile
On parlait de 00 double zéro pour les tamis industriels au dessus de 100 µ et 000 triple zéro pour les tamis en dessous de 100 µ. D'où les appellations de certaines presses ou cartes de coffeeshops. M'enfin l' AOP et le shit... c'est en train de venir. fume_une_joint

Dernière modification par Mister No (21 janvier 2015 à  10:53)


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