Le coin des cinéphiles de Psychoactif

LLoigor a écrit

En tant que "Nolan fan"   j'ai vu "Dunkerque" avant hier.

Et encore un chef d'oeuvre pour Nolan :)

Tout comme dans "the dark night" et "rises" "inception" "le prestige" et "interstellar" la musique joue ÉNORMÉMENT sur le ressentie du film.

Dans Dunkerque une même musique (oppressante) est joué durant toute une scène parfois pendant 15min si bien qu'elle nous plonge complètement dans le stress de l'action.

Après niveau scénario c'est different d'inception et interstellar y a pas de twist final ou de multiples interprétations  (l'opération dynamo de la 2eme guerre mondiale est un scénario simple).

En revanche on se sent vraiment plus que spectateur notamment grace au talent de Nolan sur l'angle des plans et la musique.

Niveau acteur on retrouve des acteurs qui onr déjà joué avec Nolan (tom hardy : Bane ou l'épouvantail)



(La musique de la BA durant chaque debut de scène la musique arrive doucement et dure encore et encore bref très immersif on a l'impression que le Stuka en piquet viens nous faire peter le salon )

Bref a voir et revoir

Je suis une grande fan de Nolan aussi ! Merci pour ton avis, je dois le voir aussi mais je ne m’étais pas encore décidée, du coup pour sûr je le regarde prochainement !

J’ai regardé énormément de films (j’adore ça, grande passion pour la culture cinématographique)
Il y a un film français qui me vient à l’esprit c’est « l’Astragale » joué avec Leïla Bekthi et Reda Kateb, c’est l’histoire d’Albertine de Sarazin (le livre qu’elle a écrit). Elle parle de son séjour en prison, la prostitution, la rencontre avec l’homme qui a changé sa vle un hors la loi... bref une femme extraordinaire le livre est mieux, mais quand même !

D’ailleurs si vous avez des films à me conseiller je suis toute ouïe !

Vampires en toute intimité (2014) En VO :  What We Do in the Shadows

Comment fait-on quand on est vampires depuis des siècles et qu’on doit discrètement vivre en coloc en 2015 dans la banlieue de Wellington ? C’est ce que nous propose de découvrir une équipe de documentaire, en partageant l’intimité d’une bande de potes suceurs de sang !

Mon avis perso: Super comédie tournée en Nouvelle Zélande, on voit que l'équipe est complice et qu'ils se font plaisir. Je vous recommande la VOST, les créateurs de la VF ont fait le choix de changer les prénoms et la ville où se passe le "documentaire".

Dernière modification par joe-la-taupe (16 novembre 2018 à  11:45)

Je sais pas si ça a été dit,

Dope: Histoire d'un ado non consommateur qui se retrouve avec un paquet de drogue...

Limitless: Histoire d'une drogue "miracle" qui vous transforme en génie trés intelligent.


Bonne nuit

J’ai vu un film il y a quelques temps qui est passé plutot passé inaperçu vu que c’est un film australien, ce qui est drôle ou peut-être terrifiant c’est que c’est presque la copie conforme d’une période de ma vie, ou je mêlais Amour et drogue, peut-être l’alchimie ultime du bien être. Et aussi la descente aux enfers
Comme quoi chaque action entraîne une réaction
Je suis nostalgique de cette période, a l’epoque, j’ étais plein de vie et maintenant je vais sur mes 35 balais et je suis surpris de rien.



Malheureusement ce film n’est pas disponible en français, d’après mes recherches, si vous le trouvez en V.F faite moi signe

Hello ^^

je viens de regarder la b.a de Subutex, le film tunisien. Avant je m'en moquais un peu des modifications faites aux dialogues par la traduction. je remplissais les trucs un peu branlants avec la "vraie" signification que j avais en tête.

Ajd'hui, je tolère de moins en moins. je me dis que c'est trop facile de faire passer un personnage pour un dupont Lajoie en utilisant des mots de pécore que dans la version originale l'auteur a choisi qqch de bien plus subtil (en plus c'est de notoriété publique que l'arabe, au même titre que le farsi ou le sanskrit est une langue subtile et nuancée..)

bref, je sais pas pourquoi je râle (je me suis tjr reconnue comme la fille cachée de Mascarpone, ben voilà, en voilà encore une flagrante preuve........)

nan cest juste que ça m'a agacée quand il dit "ces seringues que vous utilisez là, c'est plein de microbes !!" . je voulais être sure que "microbe" était le mot voulu par le réal, sinon, ca fait vachement "toi petit bicot pas savoir dans peupon ya maladies, OK ?"

je ne sais pas.... cela me gêne, un petit peu.. l'aspect Amour entre hommes m'intéresse et me touche bien plus, et c'est cela que je regarderai en visionnant le film..

jai une amie bilingue en Arabe, j'étais censée apprendre les bases, voilà l'occasion rêvée

bises, merci du partage

Huck Finn

Je vois pas bien pourquoi

Au US ou ailleurs d'ailleurs on peut écouter du rap même si on est surfeur. (Le Rap même dans les vidéos de skate est assez rare, hormis chez Baker)

Après dans Bully a part Marty et Bobby personne ne fait de surf, et tous les protagonistes n'écoutent pas forcément du rap je pense, la jeunesse US (que Larry Clark connais assez bien) dans sa grande majorité écoute plus ou moins du rap (dans Bully les 2 titres d'Eminem si mes souvenirs sont bons sont assez connus) de toute façon.

Après l'histoire se passe sur une station balnéaire US, donc le surf est plus accessible.

Et peut-être que cela renforce justement la demande que Marty fait a ses parents en voulant déménager (quitte a devoir ne plus pouvoir surfer) pour ne plus être la victime de Bobby.

Après je suis fan de skate donc ça m'aurait pas dérangé non plus, mais remplacer 2min de surf par 2min de skate, moé

Un peu de légèreté.
Un vieux film britannique qui je l'espère ne te fera pas faire de cauchemars, avec un "tripé" avec un combo hallucinogène croyant prendre un valium... une comédie qui m'a bien embarqué :

Dernière modification par Mister No (29 janvier 2019 à  09:50)

Vus dernièrement :

1 BOHEMIAN RHAPSODIE

un chef d’oeuvre

https://www.youtube.com/watch?v=27zlBpz … gs=pl%2Cwn

2 BREXIT

film terrible qui fait découvrir toutes les ficelles et acteurs du Oui et du Non
L’intervention de généreux donateurs. Du coté des conservateurs. De l’autre, je ne sais plus.
Le lobbying à l’oeuvre des 2 cotés.
Du recours à des sociétés particulières qui travaillent plutôt avec des logarithme qui ciblent le quasi tiers des désabusés de la politique qui ne votent plus et ne sont pas, à ce jour répertoriés.
Tout mettre en oeuvre pour les récupérer et les convertir au « non » à l’Europe.
Les ciblés, un par un, et les bombarder de slogans et d’idées, (1 milliards de communications sur le temps de la campagne, précisent-ils dans le film...)
C’est monstrueux d’envahir médiatiquement 30 millions de personnes.
C’est toute la campagne des conservateurs, ceux partisans du Brexit, et ce, pendant des mois, à l’aide de tous médias possibles.
C’est le nerf de cette guerre.
Ce n’était pas une question de budget.
L’acteur qui joue Dominic CUMMINGS, le mec qui dirige le clan Brexit est hallucinant. Il joue super bien, incarne le personnage et c’est une totale tronche en communication et innovations. Bien soutenu par les pré-cités.
Ca déchire comme film et c’est très didactique en ce qui concerne les malversations, coups tordus réalisé au plus haut, dans les sphères nauséabondes du Pouvoir, par des hommes nostalgiques de l’impérialisme de la Grande Bretagne, «  Great Britain uber alles ! »  et du contrôle pointilleux de l’immigration, pour certains.
Il y a aussi des hommes ouvert à l’Autre et à la mondialisation.
Cummings qui dirige un des 2 camps, l’équipe conservatrice, est ouvert, il y’a une sorte de paradoxe ou alors une certaine ambivalence chez lui.
Il se décolle nettement du positionnement des conservateurs « intégristes », et il imagine, crée, il a le cognitif au taquet, et l’imagination en effervescence.
Il met en place son bébé, cette arme pour gagner le vote des indécis et non-votants. IL conçoit son « attaque » informatique aidé par des pros.
Et il gagne.
Précisons qu’ils se sont aussi donné la peine de rencontrer les électeurs sur le terrain, à l’ancienne en complément de leur stratégie informatique.
Il a accepté d’être l’instrument de cette campagne pour raisons financières et peut être un peu revanchardes.
Mais il a aussi,  il me semble été instrumentalisé par les ténors conservateurs.
Il ne brigue aucun poste, il les quitte après la « victoire » du brexit.

Ce film nous apprend beaucoup sur les ressorts de la campagne.
Apparait, bien sur, la diplomatie étrangère, le lobbying, les détenteurs de capitaux, les gens qui possèdent un quasi monopole de certains moyens de communication, et l’équipe de cerveaux qui a mis au point l’algorithme permettant de cibler les oubliés de l’électorat britannique.
Tous ces éléments sont très bien mis en scène, avec noms de structure, activité déclarée geek-nébuleuse des 2 sociétés intervenantes.
Ces hommes cultivent le silence. Ces codeurs écoutent la Toile et l’Espace et influent totalement sur le déroulement d’une telle campagne.

En même temps, les conditions socio-culturelles étaient réunies depuis 25 ans pour que le Brexit voit le jour et soit adopté.

https://www.youtube.com/watch?v=E5S1EMm … gs=pl%2Cwn

Dernière modification par bloodistory (23 février 2019 à  14:18)

Moi qui suis passionné du conflit indochinois puis vietnam/usa je n avais encore jamais vu ce film "Entre ciel et terre d'Oliver Stone.
Ça ne parle pas uniquement de la guerre mais une leçon de vie, l'auteur étant justement Marine's et sur place.
Je n'ai trouvé que ce petit extrait en streaming il doit être facilement trouvable.
Il m a tellement plus que je l ai vu 2 fois d affilié.
A voir.

C'est juste un extrait peu être déjà diffusé, mais pour les connaisseur d'acide et hallucinogène, au dela du marrant, je trouve que la vision extérieur d'une perche est drôlement bien interprété. Parce que "NOUS"(je ne parle pas du commun des mortel lol) savons se qu'ils voient ou ressent.

Dernière modification par Gloryvert (11 septembre 2019 à  14:29)

Il y a peu de temps, j'ai vu un film sur Arte, donc bien après son passage au ciné. Boyhood. Il a été tourné su 12 ans et l'on voit les protagonistes vieillir au fil du temps. L'histoire est centrée sur un petit garçon dont les parents sont divorcés et on voit son évolution jusqu'au départ à l'université. C'est une histoire simple certes mais
Ce film est pour moi, l'un des seuls parvenant à transcender ce dit statut pour devenir une œuvre d'art à part entière. Peu de films peuvent se targuer de nous renvoyer à nos propres souvenirs et, mieux encore, combler ceux que nous avons juste eu l'occasion d'effleurer. Superbe, boulersant, ambitieux, universel, puissant. Tous ces termes conviennent à Boyhood mais un seul le définit parfaitement : unique.
La beauté tragique de Boyhood est de voir le film défiler au cinéma comme la vie, sans bouton pour revenir en arrière. Il nous renvoie à notre propre image, à notre propre parcours.

Et puis franchement, le casting est trois étoiles avec Patricia Arquette, Ethan Hawke et surtout ce petit garçon devenu grand : Ellar Coltrane.