Hépatite C : Des traitements de qualité POUR TOUT LE MONDE

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mikykeupon homme
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Plusieurs firmes pharmaceutiques ont mis au point une nouvelle génération de traitements contre l'hépatite C permettant près de 100% de guérisons sans effets secondaires graves. Une véritable révolution pour des malades jusqu'ici condamnés à  des traitements longs, contraignants, générant de très lourds effets indésirables et n'offrant pas de garantie de guérison. Problème, les prix effrayants pratiqués par ces laboratoires : 91 000 euros pour trois mois de traitement !

Avoir près de 100 % de chance de guérir de son hépatite C en prenant un comprimé par jour pendant 2 à  3 mois, sans avoir à  subir d’effets indésirables graves ? C’est la promesse faite par une nouvelle génération de traitements mis au point presque simultanément par plusieurs compagnies pharmaceutiques : notamment Gilead (sofosbuvir et sofosbuvir/ledipasvir), Janssen ( siméprévir) et Bristol-Myers Squibb (daclatasvir).

De quoi traiter - et guérir - toutes les personnes vivant avec le VHC en France, sans attendre que l’état de leur foie se dégrade ou qu’elles transmettent le virus à  d’autres personnes. De quoi  mettre un terme à  une épidémie méconnue qui touche pourtant 230.000 personnes en France et provoque plus de 3500 décès par an [1] .

Mais la révolution thérapeutique attendue depuis si longtemps par les malades pourrait bien ne jamais arriver jusqu'à  eux carles prix temporaires pratiqués dans le cadre des accès compassionnels [2] défient l'entendement : 56 000 euros exigés par Gilead pour 3 mois de de sofosbuvir, auquel il faudra le plus souvent ajouter 35 000 euros pour le siméprévir ou le daclatasvir. Soit plus de 91 000 euros en moyenne par guérison. A ce tarif, traiter tous les malades en France  représenterait un coût pour l'assurance maladie de... 21 milliards d’euros !
AIDES fait part de ses profondes inquiétudes et appelle à  une réaction forte des pouvoirs publics carIl est impensable que le prix des traitements soit un obstacle supplémentaire à  l'accès aux soins  des PVVHC.

AIDES appelle le groupe d’experts chargé des recommandations françaises, attendues le 19 mai, à  ne penser qu’à  l’intérêt des patients et à  l’intérêt de santé publique dans leurs recommandations de traitement. Qui voudrait des anciens traitements, si lourds et contraignant qu'ils sont incompatibles avec une qualité de vie acceptable ?

AIDES appelle les laboratoires à  la raison, et les pouvoirs publics à  la plus grande intransigeance. Et surtout, nous ne voulons pas être tenus à  l’écart des négociations !
Les malades doivent enfin être représentés au CESP (comité économique des produits de santé, en chargé de la fixation des prix), afin que leur voix et leurs arguments soient entendus. Il est hors de question que la démocratie sanitaire s’arrête là  où sont prises les décisions pour l’accès aux meilleurs soins pour tous !


[1] Source InVS

[2] Ou ATU : Autorisation temporaire d'utilisation. Il s'agit de la mise à  disposition de ces molécules avant la mise sur le marché, à  des malades qui en ont l'urgente nécessité.



[small]Source : Aides[/small]

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y091792k homme
en Fauteuil , RETRAITÉ jusqu'à la Fin .
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Et bien On y arrive , pour avoir vécu le traitement jusqu'au bout , 1 an donc interferon+Ribavirine+ Effets Secondaires , en ce qui me concerne , terribles , à  savoir Dépression , angoisses style attaques de panique et j'en passe et pour me dire à  la fin du traitement qu'on ne savait pas trop si mon virus etait toujours là  , et que  le laboratoire Pasteur ne le détectait plus ...mais que j etais hépatique Chronique....etc... je dois dire , ce sera une vraie promenade de Santé ...ppour se soigner du Vhc.!

la mort ne viendra pas me prendre de mon vivant....
Fumier ....JE suis Toujours Vivant ....!    PAPILLON  .

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mariemeuh femme
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209 messages
Y a-t-il une pétition en ligne? Il me semble qu'une mobilisation intense doit être faite, les labo pharmaceutiques se font des marges démentielles au détriment des malades.... Ce système doit être dénoncé! les vies des malades valent plus que leurs bénéfices!!!!

Je suis Charlie

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mikykeupon homme
Modérateur à la retraite
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9631 messages
Cinq députés ont demandé une baisse du coût de vente du médicament Sovaldi, utilisé pour soigner l'hépatite C et vendu 280 fois son prix. Le président du laboratoire Gilead France assure que la facture va baisser.

L'effort des cinq députés socialistes qui ont envoyé une lettre au président du laboratoire pharmaceutique américain Gilead a payé. Le médicament Sovaldi permet de soigner 90% des cas d'hépatite C chronique de l'adulte en 12 semaines de traitement. Un comprimé de 400 mg par jour suffit. Seul hic : son prix pour la Sécurité sociale, prévu initialement à  56 000 euros par patient, alors qu'il ne coûte que 200 euros à  produire. Cela équivaut à  280 fois son prix de fabrication.

Les cinq députés ont donc rédigé un courrier pour demander à  diminuer la facture. Michel Joli, président du Gilead France a assuré au site Pourquoi Docteur que "le prix de Solvadi va baisser". Il a profité de cette occasion pour s'expliquer sur les raisons du coût élevé du médicament : "On ne peut pas résumer la rentabilité au seul coût de fabrication d'un médicament, cela n'a pas de sens. Il faut prendre en compte l'investissement de la recherche, le nombre de molécules développées et finalement abandonnées. Mais notre souhait est que les patients puissent accéder au traitement. Nous voulons un prix européen, et celui-ci va baisser." Sans donner d'avantage de précisions.

Pour l'un des signataires de la lettre, explique Pourquoi Docteur, la recherche ne serait pas la seule en cause de la hausse des prix, mais plutôt les stratégies d'acquisition des sociétés. Le nombre de patients à  traiter est également en discussion.


[small]Source : RTL.be[/small]

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filousky homme
Modérateur
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12273 messages
C'est de suite que Gilead doit agir et calculer de façon très différente la rentabilisation de sa trouvaille.

Tant que nous sommes dans ces prix énormissimes, les primos traitrés seront  soignés en trithérapie Intreféron/ribavirine + Telaprevir ou Bociprevir sur 6 mois ou douze pour les personnes déjà  traites en bithérapie sans succès.

Attention à  vous si vous êtes en attente de traitement. Les trithérapies en usage sont redoutablement épuisantes comme décrit par y091792k. 

La trithérapie actuelle sur 48 semaines (1 an) coûte : 40893 € en Interféron+Ribavirine+Telaprevit et  51393 € une fois l'EPO ajoutée (pour lutter contre l'anémie en hémoglobine provoquée par la Ribavirine).

On est pas loin du prix actuel de Gilead sur 12 semaines.

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ex bakounine homme
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Ce qui me fait fleeper, c est le discours de mon hepato, qui essaie de relativiser mon enthousiasme ,
Je vais dans les prochaines semaines pouvoir beneficier d une association: sofosbubir+ daclastavir(probablement),ou autre molecule avec sofosbuvir.
Et il me dit qu en tant que non repondeur a une 1er bitherapie, et rechuteur a la tri(incivo), les chiffres annoncés, d une RVS aux alentours de 90% , sont dans mon cas , PROBABLEMENT surestimés......
  Bon , je verrai bien....Déja plus d alcool depuis 1mois, ça pourra pas me faire de mal.

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romain1412
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Salut à  tous mon hepatologue m'as dit que fin 2015 on devrait tous sans exçeption pouvoir en bénéficier il est super confiant pas rapport à  sa et m'as énormément rassuré j'espère juste que c'est pas des paroles en l'aire car sa reste un gros soucis sanitaires ces saloperie d'hépatite c sa reste une maladie ultra violente et on doit garder une certaine hygiène de vie et évitez la clope l'alcool la coco et d'après ce que j'ai lu sur une étude même le cannabis devient hepato toxique quand on est toucher par le VHc mais quand on est pas VHc positif il fait aucun mal au foie du coups je l'ai quasiment arrêter j'en fume un le soir de temps en temps je ne boit pas ou très peu d'alcool à  l'occasion j'ai stopper les shoot de coke à parament le traitement opiacé n'est pas violent pour le foie et je vapot la ecig j'essaie de manger sainement donc déjà  dans mon cas sa devrait aller mon foie ne prend pas trop cher on va dire

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Lea1980 femme
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3 messages
Salut, tu vis en suisse ou France? J'entends un discours complètement différent de mon hépatologue a Genève....

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noibé homme
Psycho sénior
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786 messages
Les l'avis sont des sociétés qui fonctionnent au bénéfice,elles aiment le fric comme toute entreprise et doivent faire du profit pour subsister, on peux s'interroger sur quel % de profit,car dans me cas de ces nouveaux traitements ça parait hallucinant et ça m'étonnerait qu'on en profite tous !!

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mikykeupon homme
Modérateur à la retraite
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9631 messages
Mauvaise nouvelles, les usagers de drogues ne seront pas remboursé pour ces nouveaux traitements.

Je cherche plus d'infos et vous tiens au courant.

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ex bakounine homme
Psycho junior
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360 messages
je sais pas ce que tu entends par ud, mais j ai le ttt accordé/remboursé,(dossier ok), aprés mon hepato n est au jus que de mon passé d ancien ud iv, pas de mes extras(trés reguliers).
extras que je vais stopper 24 semaines.....
D ailleurs, refuser un ttt ,a ceux qui en ont besoin , sans etre juriste , a mon avis c est interdit (genre discrimination) , vu le prix 90000 eu, ils vont dégager peut etre du monde ,mais pas sous ce pretexte, enfin je pense...

Dernière modification par ex bakounine (28 juillet 2014 à  01:10)

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mikykeupon homme
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Hépatite C: de l’injuste prix à  l’exclusion des soins




En cette journée mondiale contre l'hépatite, des d'associations de malades et de solidarité ainsi que des soignants exigent un accès équitable aux nouveaux traitements de lutte contre l’hépatite C, dont le coût risque aujourd'hui d'exclure les plus précaires. « Cette situation impose plus de transparence en matière de fixation de prix des médicaments et démontre l’urgence de repenser l’accès aux nouveaux traitements. »

L’arrivée de nouveaux antiviraux, comme le sofosbuvir (spécialité sovaldi), fonde pour la première fois l’espoir de traiter bien plus efficacement les personnes atteintes par le virus de l’hépatite C. L’histoire récente de la lutte contre les hépatites C risque cependant de conduire à  une exclusion des soins de personnes qui nécessitent un traitement. Cette exclusion concerne désormais également les pays riches en miroir de l’histoire des personnes infectées par le VIH dans les pays en développement. Comme si nous avions oublié que la santé publique est un bien public mondial inaliénable dont dépend notre existence. Comme si nous avions oublié que la France a signé la déclaration de Rio de Janeiro en 2011 pour lutter contre les inégalités sociales de santé. Aux Etats-Unis, l’Etat de l’Orégon vient d’annoncer qu’il ne pourra traiter tous les patients qui le nécessitent du fait du coût des traitements qui grève son budget. Ce prix annoncé par le laboratoire Gilead autour de 50 000 à  99 000 euros, pour 3 mois de traitement, pourrait diminuer de 50% suivant les négociations en cours en France. Ce prix négocié serait jugé satisfaisant par certains à  « seulement » la moitié du prix annoncé par le laboratoire, dans le cadre d’accords confidentiels entre la France et les entreprises pharmaceutiques.

Pourtant, ce prix aura toujours un retentissement conséquent sur notre système de santé. Pourtant, l’utilisation par les laboratoires privés des résultats de la recherche publique est passée sous silence. Pourtant, les procédures de fixation des prix du Comité économique des produits de santé (CEPS) ne sont pas transparentes et ne font pas intervenir les représentants des personnes malades et de la société civile. De même, la Commission de la transparence de la Haute autorité de santé (HAS), chargée d’évaluer le service rendu des médicaments, ne compte pas d’usager du système de santé. Certains, comme le président du CEPS, remettent d’ailleurs en cause l’intérêt de la participation des malades aux instances d’évaluation des médicaments et de fixation des prix, arguant de l’existence de groupes de pression, de conflits d’intérêts, et de la confidentialité à  conserver dans les débats. C’est oublier un peu vite que les experts déjà  membres de ces instances rencontrent les mêmes difficultés. De plus, la loi de santé publique, dite de démocratie sanitaire, du 4 mars 2002 recommande la participation des usagers dans les différentes instances qui traitent des questions de santé. Cependant, pour la première fois le CEPS a auditionné une délégation associative face à  la problématique soulevée par le prix du sofosbuvir. C’est dans ce contexte que le premier rapport d’experts interdisciplinaires, sur la Prise en charge des personnes infectées par le virus de l’hépatite B ou de l’hépatite C en France, publié en mai 2014, fournit des recommandations précises sur les indications médicales de traitement. La HAS a limité en juin dernier ces recommandations, après les avoir pourtant acceptées dans un premier temps.

Malheureusement, l’écart entre les récentes recommandations thérapeutiques du rapport d’experts et celles du collège de la HAS ouvre une brèche en faveur des refus de soin. Or les refus de soins entraînent un retard de recours aux soins, voire un renoncement aux soins, dramatiques en termes de santé publique et individuelle. Seuls les malades prioritaires seraient traités, au stade avancé de fibrose voire de cirrhose, et ceux n’ayant pas répondu aux traitements antérieurs. Les autres personnes devraient attendre que l’état de leur foie se dégrade alors même que le traitement disponible peut stopper cette évolution. Les opportunités de traitement des personnes détenues seraient battues en brèche, parfois au prétexte d’un risque de re-contamination sans aucune preuve scientifique.

Les refus de soins font partie des obstacles à  l’accès aux droits et aux soins des personnes infectées par le VHC, cumulant souvent les facteurs de vulnérabilité (personnes en situations de précarité, usagers de drogues, migrants, personnes incarcérées). Dans son dernier rapport, le défenseur des droits s’alarmait que « les situations de refus de soins persistent à  un niveau élevé ». Les justifications invoquées par certains professionnels de santé sont les contraintes administratives ou économiques mais aussi, de façon inquiétante, la condition sociale de la personne et les stéréotypes et préjugés qui s’y rattachent. Dès lors comment ne pas s’inquiéter aussi que le prix des thérapeutiques puisse être invoqué pour refuser des soins à  des populations vivant en situation de précarité, plus marginalisées, plus éloignées du soin, et créer ainsi un dangereux précédent en ne basant pas la délivrance de médicaments vitaux sur les besoins en santé des personnes mais sur des critères non médicaux : mode de vie, situation administrative ou socio-économiques.

Nous, associations de malades ou de représentants des usagers, de solidarité, soignants, refusons toute stratégie de rationnement qui remettrait en cause le principe même d’accès fondamental à  la santé. Nous exigeons la garantie d’un accès équitable à  tous aux nouvelles molécules sur la base des recommandations telles que définies collégialement dans le rapport d’experts sur les infections par le VHB ou le VHC. Nous considérons que l’intérêt de santé publique et les menaces pesant sur notre système de santé appellent légitimement à  soumettre le sovaldi au régime de la licence d'office. Ce mécanisme permet aux autorités publiques d’autoriser l’exploitation du brevet par un tiers à  un moindre coût. Cette situation impose plus de transparence en matière de fixation de prix des médicaments et démontre l’urgence de repenser l’accès aux nouveaux traitements et les soins au-delà  des hépatites.

Signataires : Michel Bonjour, président de SOS Hépatites
                      Bruno Spire, président de l’association Aides
                      Dr Thierry Brigaud, président de l’association Medecins du Monde
                      Estelle d'Halluin, vice-présidente du Comité pour la santé des éxilés
                      Estelle d'Halluin, vice-présidente du Arcat, collectif Traitements et recherche thérapeutique TRT-5, Collectif hépatites virales
                      Yann Mazens, coordinateur du collectif Traitements et recherche thérapeutique TRT-5


[small]Source : Mediapart[/small]

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thierry97 homme
Nouveau Psycho
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91 messages
Bonjour a tous ,

Voila, je vais vous raconter une histoire , mon histoire .
J'ai 53 ans et j'ai appris il y a 25 ans que j'étais contamine par le VHC , comme beaucoup d'héroïnomanes de ma génération .

Il y a un peu moins de 10 ans je me suis tape le fameux traitement interféron + ribavirine sur un an . Malheureusement comme j' étais porteur du génotype 1 ,le plus résistant mon tacitement s'est solde par un échec . Sur les conseils de mon hépato j'ai repris le traitement 2ans apres , toujours en bitherapie , seule l'interféron avait change . Au bout de 2 mois j'ai arrete mon traitement , je ne supportais plus les sautes d'humeur que ce dernier m'occasionnait . Les dernières analyses que j'ai passées ont montre une fibrose de stade 1 et une activité virale de niveau 2 ,ce qui embêtait quand meme mon gastro puisque le virus restait actif .

Bref , je suis reste comme ça sans traitement jusqu'au jour ou en vacances a Maurice j'ai consulte un médecin Indien qui pratiquait la médecine Ayurvedique . Vous me croirez ou non mais juste en prenant mon pouls il m'a diagnostique une maladie hépatique et m'a prescrit des gélules a base de plantes a prendre pendant 3 mois . J'étais sceptique mais je me suis dit que je n'avais rien a perdre . Puis le temps passant je suis retourne voir mon gastro afin de refaire un bilan et voir l'évolution de mon hépatite . Et la surprise les analyses ont montre une fibrose comprise entre 0 et 1 et meme chose pour l'activité virale ,c'est a dire que le virus n'était plus virulent . Devant l'incompréhension de mon spécialiste je lui ai explique ce que le médecin Mauricien m'avait prescrit . Il m'a refait faire les analyses et les résultats étaient identiques . Compte tenu du fait que le virus n'était plus actif il m'a explique qu'il était pour l'instant inutile d'entreprendre un nouveau traitement .

Voila ,je ne sais pas trop quoi penser de cette histoire si ce n'est que la nature a ses secrets et que la science et la médecine peuvent aussi avoir leurs lacunes et leurs faiblesses .
Intrigue je me suis quand meme renseigne et j'ai lu pas mal de choses sur les secrets de la médecine Indienne et j'ai découvert que les autorités Indiennes s'inquiétaient du pillage de leur patrimoine naturel a savoir plantes , herbes , par les laboratoires pharmaceutiques occidentaux et que pour se faire elles avaient dépose de nombreux brevets visant a protéger leur savoir ancestral . Étonnant non ?

Thierry97

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Mister No homme
Pussy time
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8598 messages

Vous me croirez ou non mais juste en prenant mon pouls il m'a diagnostique une maladie hépatique - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2034 … =d#p203444

Le véto de feu mon cleps lui ouvrait la gueule et sniffait littéralement son haleine fétide ; il était en mesure de savoir si l'odeur était liée à  sa mauvaise hygiène bucco-dentaire ou à  un problème hépatique... (les chiens à  qui on file du sucre font des crises d'acétone, et cela peut arriver aux humains, c'est une odeur très caractéristique.)
Je ne dis pas que tu as mauvaise haleine, mais les 5 sens ont toujours été utile dans la médecine, moderne ou ancienne. Quand tu ne peux pas pratiquer des anlyses de sang, c'est une des options pour aider au diagnostique. Les problème hépatiques peuvent peut-être aussi se lire par la couleur de la peau...

Voila ,je ne sais pas trop quoi penser de cette histoire - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 49#p203649

Effectivement, tu es en droit de te poser des questions. J'essaierais de comprendre de quelles plantes il s'agit et de rechercher des liens sur les principes actifs... D'un autre côté, j'essaierais de savoir si après traitement la charge virale peut diminuer dans certains cas avec un décalage.
Après, je comprends que le travail des labos soit discutable, mais il faut signaler aussi que n'importe quel escroc peut exploiter la souffrance des gens et leur extorquer de l'argent en leur faisant croire qu'ils sont guéris grâce à  leurs "soins" ou leurs prétendus pouvoir magiques.

Dernière modification par Mister No (18 novembre 2015 à  11:14)


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JeRe homme
bugcore life
Inscrit le 18 Sep 2015
838 messages
j'avais maté un reportage sur arte ou effectivement en inde des entreprises pharmaceutiques pillaient la flore indienne et certaines devenaient proprieté du dit labo. Mais l'inde commence a se mettre a l'abris de ce pillage de leur culture.

Je vous met un ptit lien
http://www.univers-nature.com/actualite … 56018.html

Moi je veux bien croire que des pays millenaires comme l'inde ou la chine arrive peut etre pas a soigner completement mais au moins arreté un peu le processus de la maladie.
Reputation de ce post
 
Merci de ne pas etre fige dans tes certitudes comme d 'autres .

Je suis uniquement maitre de ma vie mais domestique de ce qui reste.
quand on sait pas ou l'on va  il faut y'aller et le plus vite possible !! proverbe shadok !

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Mister No homme
Pussy time
Inscrit le 04 Aug 2014
8598 messages
Les plantes offrent malheureusement un intérêt commercial limité pour les labos ; quand ils peuvent mettre au point une molécule sans passer par l'agriculture et son lobbby, ils ont beaucoup moins à  partager.
A mon avis, un médicament comme le dextropropoxyphène dans feu le diantalvic est arrivé sur le marché pour remplacer l'opium. L'opium crée moins d'emplois dans le domaine des labos qui seront obligés de sous traiter ne serait-ce qu'avec les semenciers. Le diantalvic a été finalement retiré car il présente des effets secondaires grave, bien plus graves à  mon avis que le recours à  de l'opium pharma. Je pense effectivement que nous payons parfois les pots cassés de notre système économique.
Un des  premiers "rc" ou plutôt "designer drugs" a été créé pour contourner une loi commerciale sur la production d'opium aux states au début du 20 ème siècle. A cette époque sont apparus certains opioïdes de synthèse destinés à  supplanter les opiacés. D'un point de vue législatif, tout a été entrepris pour freiner l'usage de l'opium qui de nos jours a malheureusement disparu des pharmacies.
Après, je ne suis pas un fondamentaliste ; les opioïdes des synthèse ont permis de créer des médicaments contre la douleur, l'addiction ou pour une anesthésie. Ce qui m'emmerde, c'est que l'usage des opiacés disparaisse uniquement pour une histoire de profit. Ils me paraissent complémentaires aux opiacés.

Dernière modification par Mister No (18 novembre 2015 à  12:29)


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thierry97 homme
Nouveau Psycho
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Ce qui est drôle c'est que j'ai été visiteur médical chez Hoecsht Marion Roussel avant que ça ne devienne Aventis ,il me semble et j'ai présente le di-antalvic ainsi que le tramadol (une belle merde) pendant des années . Je connais assez bien le milieu de l'industrie pharmaceutique ,pour l'avoir pratique .
Mister nô ,décidément , la médecine Ayurvedique est ancestrale , elle a fait ses preuves . De nombreux médecins diplômes de nos facultés de médecine occidentales vont en Inde pour en découvrir et en apprendre les rudiments. La médecine n'est pas une science exacte malheureusement , il faut le comprendre au risque de mettre a mal tes certitudes .
Le diagnostic par le poul n'a absolument rien a voir avec la couleur de la peau , ça s'appelle un ictère ,ni avec les odeurs . C'est justement la un des principes etonnant de la pratique Ayurvedique . Ça n'a rien a voir avec du charlatanisme , c'est une réalité médicale . Je comprends que l'on soit sceptique je l'ai été aussi mais rien n'interdit de se documenter avant de vouloir ramener sa science !  D'ailleurs le post suivant le tien, vient confirmer en partie ce que j'ai dit . Et puisque tu as l'air de croire en une médecine allophatique universelle et scientifique tu devrais t'interroger sur les bonnes pratiques de nos bons médecins qui ont prescrit des antibiotiques a titre de prophylaxie a des générations entières d'enfants atteints de pathologies virales benines . La oui je suis d'accord pour parler de charlatanisme .
Ce qui est ridicule c'est de condamner ce que l'on ignore . L'humilité n'a jamais tue personne , l'ignorance ,si.

Paroles de scout.

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Mister No homme
Pussy time
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8598 messages

D'ailleurs le post suivant le tien, vient confirmer en partie ce que j'ai dit - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 51#p203651

Alors tout va bien. Ne t'emballe pas.

Je comprends que l'on soit sceptique je l'ai été aussi - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 51#p203651

Tu continues à  donner des leçons... non mais big_smile Je doute si j'en ai envie et pis c'est tout....
Le doute m'est utile. Je l'applique aussi bien pour l'industrie pharma, d'autres approches de la médecine ou pour les "prétendus" guérisseurs. Je considère plutôt que le risque est de tomber dans un système de croyances. Je ne dis pas que la pratique de la médecine ayurvédique est une escroquerie ou que les labos œuvrent uniquement pour se faire du pognon comme tu le suggères. Certaines approches doivent être complémentaires.

le tramadol (une belle merde)

Je n'ai pas la science infuse contrairement à  toi, je ne rejette pas en prétendant que c'est de la merde. Dire que le tramadol est une belle merde... désolé, mais je n'en sais pas assez pour donner un jugement définitif comme le tien. C'est aussi un manque de respect pour ceux qui kiffent le tram ou qui l'utilisent pour soulager des douleurs chroniques. Le tram a certainement des avantages ou des inconvénients par rapport aux opiacés. Relativise un peu. Tout n'est pas forcément noir ou blanc ou de la merde comme tu le prétends...


La oui je suis d'accord pour parler de charlatanisme - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 51#p203651

Je n'ai pas assimilé la médecine ayurvédique au charlatanisme. Tu dois lire super vite en posant un avis définitif en interprétant de travers mes paroles. fache-non-non

Ce qui est ridicule c'est de condamner ce que l'on ignore - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 69#p203669

Bien entendu c'est ridicule, mais tu confonds le doute avec une condamnation ferme et définitive.
Le doute, faire preuve d'esprit critique ne revient pas à  condamner ou juger sur pièce, au contraire, il peut permettre de se débarrasser d'un système de croyances pour les reléguer en savoir qui se transmet. C'est aussi ce qui permet de se remettre en question. Ceux qui n'ont plus de doutes dans la vie sont dans la même démarche que certains fondamentalismes religieux.

j'ai été

Un marchand de merde, c'est toi qui l'affirme... Pourtant, je ne le pense pas du tout contrairement à  toi. Ce n'est pas la commercialisation du tramadol qui est à  remettre en cause à  mon avis, c'est le fait qu'il bénéficie de l'exclusivité alors que les opiacés ont leur place dans la pharmacopée. cela n'en fait pas de la merde pour autant ou dans tous les cas.

Au fait, selon toi, pourquoi le tram serait une belle merde et pas le di-antalvic ? surpris
Je ne suis pas d'accord avec cela, mais je trouve incohérent de condamner le tram et pas le di-antalvic. (pourtant pour le retrait de ce dernier, il existe des arguments difficilement discutables)
J'espère que tu ne m'en voudras pas en plus de ne pas être d'accord, de ne pas te trouver cohérent sur cette condamnation singulière.

Dernière modification par Mister No (18 novembre 2015 à  16:09)


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thierry97 homme
Nouveau Psycho
Inscrit le 23 Oct 2015
91 messages
Mister nô ,

Bon je vois que tu as change de discours ,tant mieux , rangeons les gants et essayons d'avoir un discours plus apaise et constructif . Inutile de dire qui donne des leçons a l'autre cela n'a aucun intérêt tu en conviendras et nous savons très bien tous les deux ce qu'il en est .

Alors déjà  de quoi parle t-on . Moi je parle du point de vue médical c'est a dire de l'intérêt du di antalvic et du tramadol dans la prise en charge de la douleur et non de leur usage détourne .

Concernant le di antalvic , il n'a jamais été retire du marche . C'est une molécule qui a plus de dix ans et qui donc est tombée dans le domaine public . Les pouvoirs publics considèrent que lorsqu'une molécule a été commercialisée pendant 10 ans le laboratoire a eu le temps d'en amortir le cout de la R&D et donc elle tombe dans le domaine public et tous les labos qui le souhaitent peuvent la commercialiser . Le di antalvic n'est plus commercialise mais la molécule le dextroproxyphene  l'est toujours par différent labo . C'est devenu un générique .

Maintenant pour le tramadol je me rappelle très bien comment ça s'est passe . C'était lors de la fusion du Français Roussel Ucclaf , de l'Americain Marion et de l'Allemand Hoecsht parce que meme a nous ils nous l'ont présente comme une véritable révolution dans la prise en charge de la douleur ,alors qu 'en fait c'était deja une vieille molécule issue de la recherche Japonnaise et développée par Hoecsht en Allemagne .  Tout ça c'était en 2000/2001. Donc on a lance le tramadol en France sous le nom de Topalgic . On nous a dit de le présenter comme un antalgique de niveau 2 , meme classe que le di antalvic et que l'association paracetamol/codeine . Bref les premiers retours ont été catastrophiques . La quasi totalité des médecins ne le trouvait pas plus efficace mais par contre beaucoup plus mal tolère par les patients . Voila pourquoi je dis une belle merde . .parce que les médecins eux meme l'ont juge ainsi . Et ils ont eu bien raison parceque un an apres HMR ,le groupe a abandonne sa commercialisation en France . Et comme c'était deja un générique d'autres labos l'ont remis sur le marche .

Tu vois il n'y a pas de jugement de valeur dans ce que j'ai dit ,tout ça c'est du vécu et du mal vécu d'ailleurs parce que ça m'a coute ma place . Je ne voulais plus faire le forcing auprès des médecins comme me le demandait mon directeur régional de l'époque , un jeune con qui voulait faire du chiffre a tout prix ,quitte a décrédibiliser le labo ..

Pour finir il n'y a pas d'exclusivité du tramadol et du dextro par rapport aux opiacés  tout simplement parce qu'ils ne sont pas classes de la meme manière . Les opiacés sont des antalgiques de niveau 3 . Il y a une échelle dans la prise en charge de la douleur et tous y ont une place . J'espère que ça répond a ta question .

Bon voila et puis cool maintenant . Je sais que des fois je parle de choses qui sortent un peu de l'ordinaire mais c'est pas évident d'apporter sa Pierre a l'édifice sur des sujets ou tout ou presque tout a deja été dit .

Thierry.

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Concernant le di antalvic , il n'a jamais été retire du marche . C'est une molécule qui a plus de dix ans et qui donc est tombée dans le domaine public . Les pouvoirs publics considèrent que lorsqu'une molécule a été commercialisée pendant 10 ans le laboratoire a eu le temps d'en amortir le cout de la R&D et donc elle tombe dans le domaine public et tous les labos qui le souhaitent peuvent la commercialiser . Le di antalvic n'est plus commercialise mais la molécule le dextroproxyphene  l'est toujours par différent labo . C'est devenu un générique . - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2036 … =d#p203682

On m'aurait menti ? big_smile

A la suite de la procédure européenne de réévaluation du rapport bénéfice/risque de tous les médicaments contenant du dextropropoxyphène, la Commission Européenne, dans sa décision du 14 juin 2010, demande le retrait dans l’Union Européenne des autorisations de mise sur le marché de toutes les spécialités en contenant, dans un délai maximum de 15 mois.

Par décision du 14 juin 2010, la Commission européenne (CE) a confirmé l’avis défavorable de l’Agence européenne des médicaments (EMA) au maintien sur le marché des médicaments contenant du dextropropoxyphène (DXP).
En France, le retrait des autorisations de mise sur le marché (AMM) des médicaments contenant du DXP (20/07/2010) application/pdf (62 ko) devra intervenir dans un délai maximum de 15 mois.
Au delà  de ce délai, les spécialités contenant du DXP ne seront plus disponibles en France.

L’avis défavorable de l’EMA faisait suite au réexamen de l’ensemble des données d’efficacité et de sécurité disponibles sur le DXP. L’EMA avait en effet considéré que les preuves d’efficacité thérapeutique du DXP seul, ainsi que les preuves de la supériorité de l'association paracétamol-DXP par rapport au paracétamol seul, étaient insuffisantes au regard du risque de décès en cas de surdosage accidentel ou volontaire. Elle avait estimé qu’aucune mesure complémentaire de minimisation du risque ne pourrait être suffisante pour éviter les conséquences graves d’un surdosage.

En juin 2009, l’Afssaps avait exprimé ses réserves, craignant un éventuel impact négatif de ce retrait en termes de santé publique en France, compte tenu notamment des résultats des études comparatives effectuées sur les effets indésirables et les décés enregistrés avec les principaux antalgiques de pallier II. Les résultats faisaient ressortir que l’association DXP/PC n’était pas le type de produit qui présentait le risque le plus élevé au regard du niveau de consommation, sur la base des données françaises. De plus, on disposait d’un recul important en pratique clinique sur ces médicaments (25/06/2009) application/pdf (83 ko), utilisés de longue date.

Dans l’attente du retrait, l’Afssaps rappelle aux professionnels de santé :

qu’ils ne doivent plus prescrire de médicaments contenant du DXP à  de nouveaux patients ;
qu’il est nécessaire de reconsidérer la prise en charge antalgique des patients actuellement traités par DXP.
Les patients sont invités à  contacter leur médecin, sans urgence, par exemple dans le cadre du renouvellement de leur ordonnance, afin que leur traitement soit reconsidéré.

Afin d’aider les médecins à  déterminer la solution alternative thérapeutique la plus adaptée à  leur patient, l’Afssaps a mis en place un groupe d’experts chargé d’émettre de nouvelles recommandations sur la prise en charge de la douleur dans ce nouveau contexte.
Ces recommandations seront disponibles à  l’automne 2010.

Enfin l’Afssaps reste attentive à  l’évolution des données d’utilisation et de sécurité d’emploi des solutions alternatives thérapeutiques en France, particulièrement dans le contexte d’un surdosage.
L’ensemble de ces mesures permettra à  l’Agence d’adapter les conditions de retrait des médicaments contenant du DXP, afin d’assurer la meilleure prise en charge de la douleur après leur retrait du marché.

http://www.ansm.sante.fr/S-informer/Pre … Communique

Dernière modification par Mister No (19 novembre 2015 à  10:26)


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thierry97 a écrit

Concernant le di antalvic , il n'a jamais été retire du marche . C'est une molécule qui a plus de dix ans et qui donc est tombée dans le domaine public . Les pouvoirs publics considèrent que lorsqu'une molécule a été commercialisée pendant 10 ans le laboratoire a eu le temps d'en amortir le cout de la R&D et donc elle tombe dans le domaine public et tous les labos qui le souhaitent peuvent la commercialiser . Le di antalvic n'est plus commercialise mais la molécule le dextroproxyphene  l'est toujours par différent labo . C'est devenu un générique .

On mentirai à  moi aussi ! Pourtant en 2011, la molécule de Dextropropoxyphène a été retirée du marché européen.

Extrait de Wikipédia identique à  la fiche du Vidal :

"L'avis de l'EMA (Agence Européenne du médicament) de 2011 a été finalement suivi par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), qui a décidé qu'à  partir du 1er mars 2011, les médicaments contenant du dextropropoxyphène feraient l'objet d'un retrait d’autorisation de mise sur le marché."

Lien avec un article du Vidal Actualités : Retrait en 2011 du dextropropoxyphène : quel impact sur l'utilisation des autres antalgiques ?

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Fin du Hors sujet qui est, je le rappelle : Etude - Hépatite C : Des traitements de qualité POUR TOUT LE MONDE


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Effectivement, il ne faudrait pas dévier de la route du scandale ;
ce n'est pas le fait qu'un traitement performant existe qui est scandaleux, c'est qui aboutit au calcul du prix de vente qui va priver l'accès à  de nombreux malades. Pour combien de temps ? Les pouvoirs publics semblent ne pas vouloir/pouvoir réagir.

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Pour revenir au sujet de départ, j'ai vu mon hépatologue vendredi dernier.
Et bien la bithérapie de Gilead, elle m'a été refusée il y a un an et à  nouveau refusée ce mois-ci pour la raison : trop cher pour un trop bien portant !

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