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Dernière modification par PLUZZZZ (19 novembre 2015 à 00:36)
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PLUZZZZ a écrit
Salut BORDERLINE,
Ces symptômes, cette sensation, est-elle présente uniquement lors de l'endormissement?
Si oui, est-elle apparue lors du début de ta post cure? Ou bien avais-tu déjà ressenti ou vécu une expérience plus ou moins similaire préalablement dans ta vie?
Ce n'est qu'une hypothèse, mais, ayant eu de nombreuses crise d'angoisses récurrente à une certaines époque de ma vie, et, j'y trouve un certains parallélisme: "impression de tomber dans les vapes" "une sensation très intense" "des fourmillement dans tout le corps", "la tête le cerveau qui bourdonne", "comme ci je n'avais plus de repère fixe, plus de support" "mon corps par en avant en arrière" "impression de tomber dans le néant", ect...
c'est exactement ca, rien qu'a te lire je sais que l'on parle de la même chose... Oui j'en ai parlé mainte et mainte fois au infirmiers et médecin... Leur seul réponse a été de stopper la série walking dead et boire des infusions genre " camomille" en soirée, il remette en cause mon hygiène de vie bref rien de concret a les yeux.... j'avais quelques soucis de sommeil avant mais je dirais que les vrai premiers sympthome sont apparue quelques jours précédent mon entrée en cure
Etait tu épuisé a ton réveil le matin?
Oui je suis sous traitement je viens tout juste de changer d'ailleur je viens de passer a la métha ( sub) j'ai du tercian et du miansérine
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Dernière modification par PLUZZZZ (20 novembre 2015 à 00:11)
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et j'ai comme l'impression de tomber dans le néant
C'est pas aussi lié à une chute de tension ou une phase de léger dérèglement de la tension orthostatique ?
Il me semble avoir plusieurs fois ressenti la même chose surtout après des anesthésies générales... je pensais que cela se produisait chez tout le monde et sans forcément de prodz.
Je tombe dans le néant, en général je me réveille en tentant de crier ( je glousse ou tente de gémir ^^ car paralysé, mon corps dort encore) comme si je tombais dans une chute sans fin. Des fois, je pousse un cri, c'est toujours sympa au réveil.^^
C'est pas super agréable à vivre, mais en ce qui me concerne ça arrive peu souvent, ça ne me préoccupe même pas.
J'ai trouvé ce lien wikimerdia qui cadre bien avec tes chutes libres. Je crois que je pars de dos. C'est un peu flippant sur le coup, je me réveille un peu en panique, comme si on venait de me pousser de l'avion sans parachute, dans le noir, de dos, avec mon corps paralysé qui ne parvient même pas à crier mon désespoir. Sur le coup, c'est flippant, mais d'y repenser, ça me fait plutôt marrer. On doit se réveiller avec une bonne dose d'adré, j'imagine que cela peut-être perturbant.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Secousse_hypnique
Dernière modification par Mister No (19 novembre 2015 à 10:51)
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j'ai pris ma tension quelques minutes aprés une " crise" et elle était parfaite - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2037 … =d#p203764
La tension orthostatique pour faire court, c'est la régulation de notre tension dans des courts moments où elle change "naturellement". Par exemple, des fois, si tu te lèves trop vite, tu peux ressentir une légère baisse voire un malaise le temps que la tension se régule de la station couché à debout. Peut-être que ce phénomène est lié à des changement de cette nature dans une phase de réveil en plein sommeil paradoxal ?
Tiens nous au courant, je crois que ça sert pas à grand chose de cogiter là dessus. Je pense que c'est "bénin" à partir du moment où tu en souffres pas... au cas où, je suis sur que tu pourras en reparler et trouver une oreille attentive auprès de tes médecins.
Bonne journée
et du téranel
Maintenant que ça me revient, une de mes dernières fois, je devais avoir pris un antihistaminique, un médicament de la même famille que le théralène. D'ailleurs, on ne donne/donnait pas aussi des antihistaminiques pour certaines anesthésies générales ?
Le peu de fois où j'ai pris un somni antihistaminique dont j'ai oublié le nom, j'ai fait aussi un peu de chute libre... en fait dès que je commençais à m'endormir !
Dernière modification par Mister No (19 novembre 2015 à 12:55)
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Dernière modification par prescripteur (19 novembre 2015 à 12:21)
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Hypnic jerks or sleep starts are benign myoclonic jerks that usually occur on falling asleep. Various factors like excessive caffeine intake, physical, and emotional stress can increase their frequency. Here we report a case of a female who suffered from hypnic jerks with use of selective serotonin reuptake inhibitor drug escitalopram and responding to treatment with clonazepam.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK374/
Dizziness is a common and often confusing complaint, meaning different things to different people. It is especially critical to ascertain if the patient has a sensation of movement, since vertigo is usually the result of a labyrinthine disorder. Associated symptoms of tinnitus or hearing loss also suggest a "peripheral" labyrinthine problem. Most patients with acute vertigo prefer to lie still, since minimal movement exacerbates their discomfort. Nausea, vomiting, and ataxia often occur. Among the many causes of recurrent "peripheral" vertigo are Ménière's disease, vestibular neuronitis, and benign positional vertigo. Vertigo is occasionally associated with TIAs involving the cerebellum or brainstem. By generally accepted convention, however, isolated vertigo should not be considered due to brainstem dysfunction unless other brainstem symptoms or signs are present. The cause of nonspecific dizziness or "fuzzy-headedness" is often difficult to elucidate. Anxious patients may have a feeling of floating, detachment, or lightheadedness that is described as dizziness and may be associated with chronic hyperventilation. The onset is usually gradual, and the feeling often lasts for long periods of time. Patients with presyncope may complain of lightheadedness, which sometimes progresses to syncope. Finally, patients with posterior column disturbance or peripheral neuropathy may complain of dizziness, which is better characterized by unsteadiness, or "dizziness in the feet."
Patients with conversion reactions, hyperventilation syndrome, panic attacks, or depression may complain of complex neurologic symptoms. In addition to dizziness, patients may complain of intermittent sensory symptoms (tingling or numbness), weakness, or memory loss. Patients with conversion symptoms can usually be identified by the dramatic and sometimes bizarre nature of their intermittent symptoms. The history is often related with surprising detachment and unconcern called "la belle indifference." The patient usually has no insight into the psychiatric basis of the symptoms or the unusual nonphysiologic findings that often are present on the neurologic examination. Many patients have a previous history of conversion reactions, and a few patients have Briquet's syndrome, a history of multiple conversion reactions involving multiple organ systems over time, and often a history of multiple surgical procedures by well-meaning surgeons. The acute hyperventilation syndrome is usually recognized by anxiety, acro-oral paresthesias, a feeling of "not being able to take a deep enough breath," and, in its most severe form, carpal-pedal spasm. At times, the symptoms can be reproduced by asking the patient to hyperventilate for several minutes. Some patients with panic attacks can identify uncomfortable situations that precipitate their spells, but most cannot. Patients usually complain of severe apprehension, dizziness, chest discomfort, palpitations, or fear of "losing control." The onset is usually under age 40, the course is chronic and fluctuating, and many patients also have phobias. Occasionally patients with what appear to be panic attacks are actually having paroxysmal tachycardia, or autonomic dysfunction associated with pheochromocytoma, hypoglycemia, or complex partial seizures. Neurologic symptoms also occur in depressed patients, but are often more constant than episodic. Nondescript symptoms such as tiredness, weakness, or dizziness predominate
Dernière modification par prescripteur (19 novembre 2015 à 16:42)
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Quant aux traitements chimiques pour les crises d'angoisse et les attaques de panique, perso, je suis totalement contre. C'est un cautère sur une jambe de bois que les gens se traînent leur vie entière dans les 3/4 des cas.
En un sens, je suis d'accord avec toi Mascapone. Dans un autre, il faut bien concevoir que les dites crises sont vraiment vécue comme traumatisantes. Dans l'instantanéités premièrement, par l'intensité de ses dernières, puis de manière plus ou moins constante par la suite, par phénomène d'anticipation.
Après, je pense en effet qu'au long terme, des thérapies plus axées sur la psychologie, le comportement, ou bien encore toute autre médecine "immatérielle", serait plus adéquat. Et surtout, comme tu le soulignes, régleraient le problème dans le fond!
Reste que, sur le moment, la crise ne pouvant être contrôlée, il faut bien quelque chose de type anxiolytique ou autre molécule "apaisante" pour aider la personne qui la subit... Surtout qu'en post cure, la sensation, d'expérience très désagréable, doit être amplifiée. On pourrait sérieusement presque apparenter cela à une certaines forme de torture! Donc bon...
Je pense que l'avis de Prescripteur par rapport à la question du traitement médicamenteux nous permettra d'y voir plus clair, sur ce point tout au moins!
Dernière modification par PLUZZZZ (20 novembre 2015 à 18:26)
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Dernière modification par prescripteur (20 novembre 2015 à 08:22)
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A côté de cela, je connais au moins une dizaines de personnes, dont mon propre père, qui elles ont accépté l'offre des médecins (benzo, AD) et qui depuis plus de 20 ans n'ont vu aucune amélioration de leur état, voire même une aggravation et qui même avec leurs petits cachetons en sont toujours au même point, avec en plus, l'impossibilité de s'en passer.
Tout simplement car ces traitements ne font que soulager, ils ne traitent pas proprement dit. S'ils sont utilisés de la sorte, sans faire un travail de fond en annexe, forcement, en résulte ce genre de situations. Jamais un traitement ne remplacera un thérapie, on est bien d'accord.
Mais comme l'a dit Prescripteur, les anxiolytiques sont une bénédiction pour ceux qui éprouvent des symptômes vraiment gênants. Et si on fait les chose de manière consciente par rapport à leurs potentiels de danger, et qu'on prend les dispositions nécessaires, je ne vois pas ou est le problème...
Le problème serait de souffrir inutilement, en 2015, alors que la médecine à clairement des moyens pour soulager les dites douleurs, d'ordre psychique dans le cas ci présent, mais aussi physique.
Les benzodiazépines sont en quelques sortes la morphine du cerveau.
Dernière modification par PLUZZZZ (20 novembre 2015 à 19:09)
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