[ Effets secondaires ]

Tramadol: vomi et nausées 17h après la prise?

Chez moi le tramadol me fait effet toute une journée (mais mets très longtemps à  libérer son potentiel !).
De plus, j'ai déjà  eux des vomissements en descente de codéine. Heureusement, ceux-ci ne sont pas très douloureux et durent peu de temps. Avec un gros dosage j'ai également eu des bonnes nausées avec l'héroïne.

Avoir zéro effets secondaires c'est peut-être plus inquiétant finalement je crois comme l'a très bien dit Mas

Lorsqu'on prend des "opiacés" à  un tel dosage, il faut s'y attendre, encore plus si aucune habitude, ni accoutumance. C'est même carrément normal cette situation. La seule solution si tu veux pas que ça recommence, étant de ne pas en prendre autant.

Mais, et cette fois-ci, les avais-tu bien réduis en poudre?
Y 'aurait il un changement dans cette situation par rapport à  tes précédentes prises?
Quelque chose de différent? Alcool? Autres médicaments?

Et idem que pour les autres psycho au dessus, mes 1ères prises d'héroïne je les ai passée aux toilettes... Et même avec la buprénorphine. Donc j'imagine que pour le Tramadol, une personne "naïve", bien c'est pareil.

Lorsque je prenais 2 cachets, faible dosage, ils mettaient du temps à  "monter". Bien qu'au bout d'une heure je ressentais des effets, mais les plus forts, ils arrivaient plus tard. Genre un peu près au bout de 5 heures, 6 heures, 7 heures par contre après c'était la chute, je descendais et au bout de 9 heures une nouvelle prise devenait possible...

Mais mon dosage était vraiment faible moins de 100.

Et j'ai lu ici dernièrement que des personnes non habituées, elles ne prenaient que 100mg de Tramadol, pour une journée entière il me semble... ça leur faisait de bons effets, alors 250mg, oui, ça doit probablement être de trop. Tu n'as pas suffisamment de "récepteurs ouverts" pour prendre une telle quantité... puisque non-habitué.

Bonne Journée à  tous.
Bise.

Dernière modification par Anonyme9404 (12 novembre 2016 à  08:52)

J'oubliais de préciser un "détail". Quand j'avais vomi en descente de codéine, c'était après avoir mangé des oeufs à  la coque, et c'est pas le truc le plus facile à  digérer non plus haha
Depuis je ne prends plus d'oeufs le jour et le lendemain midi d'une prise de drogue
Et une drogue par voie orale, je la prends le plus possible à  jeun ou deux heures après un repas assez léger.

Les opiacés ont tendance à  "relaxer" les muscles, donc aussi bien dans les intestins que l'estomac... C'est une simple supposition mais je pense que les maux d'estom', la constipation et les difficultés à  uriner sont qu'une facette d'un même problème.
Mais du coup je n'explique pas pourquoi la codéine à  haut dosage me fait systématiquement mal en haut du ventre, bien plus que l'héro et le tramadol et l'hydromorphone ne m'ont jamais fait ça

Et bien merci pour l'information. Je n'en avais jamais entendu parler. Peut-être que c'est ça que j'ai eu...
Et en effet, ça m'a déjà  cloué au lit, le moindre mouvement me lançait comme une aiguille tout en haut de mon ventre. Mais souvent c'est juste très gênant et fait se pencher en avant haha. Ca commence 30 minutes après la fin de la montée, parfois avant et ça peut durer à  une intensité moindre durant toute la descente. J'ai d'abord cru au foie qui métabolisait mal, puis j'ai accusé le Néo-codion et ses excipients. Mais le changement de médoc a eu peu d'impact. Du moins, moins que la tolérance qui augmente.... Une dose "potable" de codéine s'accompagne quasi-systématiquement de ce symptôme quelque soit mon niveau de tolérance je crois savoir.

Ca m'a pourrit bien des trips !

Avec l'héro j'ai des nausées et légères douleurs, mais ce n'est pas du tout du même ordre, ce n'est pas du tout systématique et c'est bien plus une nausée "classique" des opiacés.
Je vais aller potasser ton lien.
Par contre j'ai trouvé que certains antihistaminiques agissaient sur ces douleurs... Mais ça doit être tout simplement une de leurs actions de réduire les maux "digestifs".
De toutes façons quand un produit te correspondant pas comme ça, faut savoir abandonner