Dernière modification par TekA (04 juin 2018 à 11:30)
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Dernière modification par Mascarpone (04 juin 2018 à 14:17)
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Mammon Tobin a écrit
Un nouveau qui écrit comme un troll & qui ouvre un thread sur un sujet qui divise toujours, le dopage; pas étonnant que certains se méfient ^^' Spoiler
Hello Mammon
Moi je vote Troll, sans hésiter une seconde (le type de demande + le sujet + le ton employé, tout ça, ça fait quand même beaucoup quoi...)
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Dernière modification par TekA (04 juin 2018 à 16:52)
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Mia a écrit
Je suis d accord qu'il y aura toujours des gens qui prendront des produits pour performer.
N empêche que sur un site RDR, je trouve quand même bien qu on aborde les risques de ce type de consommation.
Et de la part des modérateurs je trouve limite de ne parler que d exemples ou des gens ont réussi leurs études tout en consommant.
Les risques on en a parlé en long en large et en travers. Mais ça me fend le coeur de voir ce mépris anti col blanc, comme si l'auteur était le loup de wall street... vive les préjugés. Au moins il a été honnête, il veut carburer, il tente de trouver le meilleur sans plomb 98 et on l'a tous mis en garde ou presque. Malheureusement sa demande est hors charte, il aurait parlé d'un produit qui l'intéressait, il aurait eu des réponses mais demander à ce qu'on lui conseil sa liste de course, là ça non!
on parle de réussites dans l'équipe car on combat les préjugés, pour l'instant on ne citait dans ce topic que des défaites, mia! Or des personnes comme Sufenta ont réussi héroïquement avec leur d'addiction, c'est un pied de nez à la Doxa de la guerre contre la drogue et ça fout les boules à tout ceux qui ont assimilté au plus profond d'eux même qu'on ne peut pas mener une tâche aussi difficile que la sienne en étant injecteur. Zazou aussi...et d'autres.
oui le monde est complexe, gris, il y en a beaucoup qui ont raté, beaucoup qui ont réussi.. d'où l'intérêt d'un site comme PA. Au moins on voit que c'est possible de réussir ainsi, de trouver un équilibre dans son addiction et parvenir à la réussite. C'est le seul endroit que je connaisse où l'on entend ça. Car la propagande antidrogue a fait des ravages, on mélange stupéfiant et médicaments, on ne comprend pas que l'un peut être l'autre et que les drogues peuvent nous faire un bien fou (ex: crise de panique, douleur, etc).
si on prend cette voie là, on commence a maîtriser/connaitre le produit et éviter ses pièges.
Je fais partie des modos alors je réponds, cher mia :
Pourtant j'avais dans mon post #38 mis en évidance que c'est un pari risqué, souvent perdant car on ne connait pas ses limites et ses faiblesses face aux addictions avant d'en développer. Et le sentier empoisonné est souvent casse gueule.
JE crois qu'on en a fait des tartines, comme quoi se droguer au travail peut faire du mal et finalement j'ai presque l'impression que nous sommes une minorité à penser que oui c'est possible d'avoir une grosse addiction et pourtant d'y arriver :)
avoir une/des addictions et réussir ses objectifs, son quotidien , savie de famille, sa vie pro, sa vie amicale....
A en entendre certain, c'est un jeu perdant-perdant la prise de prod, c'est du plaisir et de la souffrance; ça me fait gerber le nombre de topic 'l'enfer de la drogue' ; La drogue c'est l'enfer. La drogue ça mène forcément à la souffrance. On ne peut être parent et usager. on ne peut être usager et heureux. On est des losers.
1+1=2 ; addiction+ vie pro= efficacité amoindrie alors que non ce n'est pas toujours comme ça ! Parfois c'est le contraire et les antalgiques en sont une preuve formelle.
A la conférence où j'ai été, 4 intervenants handicapés (thème de la conférence: le handicap et bousculer ses aprioris), 3 étaient sous morphine et ils menaient des activités grâce à cet antalgique car sans ; la douleur était si forte qu'ils ne peuvent plus rien faire. Et là leur handicap devient lourd. Même se lever du lit devient un chemin de croix.
J'hallucine vraiment quand je vois autant de témoignage indiquant "drogue+travail=défaite" , sans rentrer dans les détails de fréquence,tolérance, choix de la molécule, posologie, , c'est une généralité abjecte. Et si X ou Y n' y sont pas arrivé, ça ne veut pas dire que ABCDEFGH ne vont pas y arriver, eux.
Après on est parti sur le HS de la drogue au travail, je met de coté le cas de l'auteur et sa demande hors charte (nous ne sommes pas prescripteur/médecins.
Et toi Mia, si la codéine était resté en accès libre, gratuite, distribué automatiquement (sans pharmacien, comme ceux à capote) peut être que tu aurais gardé ton addiction, peut être que tu n'aurais pas eu tes déboires avec la psychiatrie "bien dchez nous, allez hop neuroleptique".
Tu as eu une passe difficile, peut être que la continuité de ton traitement à la codéine t'aurais aidé ou inversement, mis la tête dans la merde. On pourra jamais le savoir. En tout cas moi j'ai une addiction ; l'insuline et sans je crève, je souffre et au fond entre l'insuline et la codéine il n'y a pas tant de différence. Quand j'arrête d'en prendre je subis des effets secondaires lourds (manque vs hyperglycémie) ;mon addiction m'expose à des hypo qui peuvent me tuer , coma etc. Qui me pèse prof' avec la tremblotte, la confusion, le malêtre des hypers etc... Pourtant personne ne considère l'hormone comme une drogue, ça reste un élément psychoactif et finalement la différence est beaucoup plus tenue que ce que vous imaginez.
Et parfois, je me demande si ma volonté à une réelle influence. Là où je n'ai jamais choisi d'être diabétique de type 1 adolescent, peut être que je n'ai jamais eu le choix d'essayer les produits et devélopper des addictions (faiblesses génétiques? fréquentation sociales dû à ma classe sociale, production des désirs qui est incontrôlable chez tous les êtres humain *production pas choix*).
Peut être êtes vous cartésien, vous pensez que vous choisissez de consommer. Et peut être que vous êtes Spinoziste et qu'on ne fait aucun choix, on se laisse porter par la vie et nos addictions.
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