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Bon, pour le moment, j'ai pas envie d'arrêter.
ça se respecte, no problemo, pourtant il parait important que tu consultes pour ton estomac.
Il n'y a qu'en allant chez un généraliste et ensuite en faisant un petit bilan que tu pourras connaitre ta marge de manœuvre. Tu as peut-être une irritation de l’œsophage qui devient chronique car tu rallumes le feu chaque jour.
Faut dire que je ne bois pas de bons pinards, pas les moyens.
Je comprends par expérience que la mauvaise qualité des boissons augmente les "désagréments".
Mais même avec des grands crus "bio", au bout d'un moment, l'alcool va "cuire" ton système digestif.
A partir d'une certaine quantité, la qualité ne pourra jamais être protectrice.
Désolé de ne pas t'apporter d'astuce ou de remède miracle, tu as des solutions qui passent avant tout par une consultation.
Tu as le droit de dire au médecin que tu n'as pas envie d'arrêter. Il doit aussi le respecter, mais je pense qu'il va te demander d'essayer au moins de modérer ta conso.
Après, si tu n'es pas exclusif, évite le vin, because trop de souffre pour arrêter la fermentation de raisins gorgés de sucre.
Perso, je ne bois pas ou disons, plus, presque plus, parfois un apéro velu le week end avec mon amoureuse ou des amis et toujours dans des quantités qui ne me donnent même pas la gueule de bois.
Velu pour moi, c'est 3 à5 sky maison. Parfois le week end et encore une seule soirée.
Un psy m'a bien aidé mais ça a pas toujours été facile.
J'ai du me sevrer à grands coups de benzos et autres joyeusetés en cure, puis j'ai rechuté avec les médocs par dessus, mais l'alcool est redevenu un plaisir sans nuisances.
Ce qui à mon avis a permis aussi de trouver cet équilibre, c'est l'usage du cannabis.
Là aussi le mieux est de trouver un médecin qui te soutient dans cette démarche en te dissuadant de fumer. (teintures mères, vapo)
Il est possible d'utiliser des préparations qui ne procurent pas d'ivresse et peuvent vraiment t'aider à diminuer.
Je te déconseille en tout cas d’arrêter l'alcool... tout seul sans accompagnement médical.
Au cas où, il te faut toujours un accompagnement.
Le sevrage sec d'alcool est potentiellement mortel ou peut causer de sévères dégâts irréversibles au cerveau.
J'ai réalisé une thérapie comportementale avec un psy et grosso merdo j'ai appris à utiliser l'alcool d'une manière qui me convient tout en respectant ma carcasse et ce qui reste de mon cerveau.
Prends soin de toi, tiens nous au jus même si tu continues à te mettre le feu au tuyau, je sais très bien ce que c'est.
Tu prends des anti-inflammatoires au fait ?
Juste pasque les anti-inflammatoires, avec ou sans alcool, ça peut gravement bruler aussi.
Faut imaginer également que tes brulures soient dues à autre chose que l'alcool, c'est possible également, le mieux est de commencer par voir un bon généraliste qui te mettra pas la pression.
Diminue l'alcool pas trop rapidement en attendant d'avoir une consultation.
A la limite, tu peux appeler un CSAPA ou un CAARUD pour être certain d'être orienté vers un médecin qui ne te jugera pas et respectera le fait que tu ne veux pas arrêter qui comprends ta souci sans te juger.
Donne des news, ici ya pas de problèmes juste des solutions.
Dernière modification par Mister No (12 juillet 2018 à 15:46)
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Bon, pour le moment, j'ai pas envie d'arrêter.
C'est ton droit le plus absolu et personne n'a le droit de vouloir t'enlever cette liberté.
Restent les faits: tu commences à avoir des problèmes physiques liés à ta consommation.
La consommation de vin que tu décris correspond à environ 150 g d'alcool pur doit te faire monter (si tu fais 80 kg, plus si tu pèses moins, et le contraire si tu pèses plus) à environ2,5 g d'alcool par litre de sang. Il te faut environ 16 heures pour éliminer tout ça. Tu es donc alcoolisé au réveil et les 2/3 de la journée.
A ce rythme tu abîmes déjà ton corps. A toi de voir si tu veux attendre qu'il ait des dégâts irréparables ou si tu te donnes une chance qu'il retrouve sa forme.
Chance, dans un premier temps le foi régénère ses cellules... dans un premier temps seulement.
Si tu veux savoir ou tu en est pour pouvoir décider de ta consommation (maintien, réduction, arrêt) avec des arguments objectifs en main il suffit d'aller voir un médecin et de faire les analyses de sang qu'il va prescrire.
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