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vapoda a écrit
c'est pas vraiment courent mes pas spécialement rare, ils y an a dans beaucoup de cuisine..et plantation, pour arrêté l’odeur c'est un excellent atout, mais il y a d’autre alternative... t’aime pas apprendre des chose toi
c'est quoi ton problème toi MDR ta chopé un mauvais prod
oups c'est de ma faute , excusez moi tous les deux.
j'étais pressé ça avait sonné à ma porte. j'ai répondu comme un barbare. Normalement je voulais mettre un smiley, là c'était beaucoup trop froid/sec, je voulais un ton plus humoristique (raté)
bref ,
pour les ozonateurs quand on m'a parlé de ces appreils vers 2007 on me disait que ça tuait les plantes en inté (pas certain), après il y a peut être des nouveaux modèles ou alors c'était des mensonges. Dans tous les cas on s'en fiche, car cela se branche avant la sortie d'air vers l'extérieur donc les plantes sont pas en contact avec le flux, ça coûte dans les 300/400€ ce qui est plutôt abordable.
UN gros filtre à charbon de 800m3/h en extraction ça coûte 80e par exemple et ça filtre très bien l'air aussi mais on peut utiliser les deux si on est sur de l'optimale (ion+fac). Perso de mon expérience par le passé je dirais que ceux qui cultivent avec un FAC et une bonne extraction d'air, il n'y a aucune odeur dans leur apparte. Parfois une très légère odeur à la sortie d'air, mais pas assez pour avoir des pb de voisinage. Par contre sans FAC , tes voisins te balancent en floraison, même si tu as pas une variété qui sent peu. Il y a des moments genre fin de session 12/12 ou début d'allumage 12/12 il y a des pics d'odeurs. On peut aussi mettre des produit odorant sur les gaines de sortis...genre mentholé..
Tu vois à l'époque où je m'étais renseigné c'était hors de prix et plutôt anecdotique chez les amateurs
le truc c'est que ceux qui ne s'autoprod pas et deal/fournisse, ils font pas de JDC non plus ^^
Au final ça me semble possible, avant d'en acheter un je te conseil de regarder les retours sur les modèles sur les forums sur internet. Sinon l'hydroponique ça fait ptet moins sentir non?
pour les variétés je te conseil de te renseigner à mort sur les gens qui ont utilisé la variété qui t'intérèsse , le truc de la skunk qui sent fort car elle s'appelle putoie c'est pas forcément aussi simple. Déjà la pure skunk c'est pas courant; les breeders les croisent presques tous avec des gross productrice pour avoir le combo classique :"grosse prod + grosse odeur" ce qui ravira petit et grands
il y a des skunk qui sentent pas grand chose à force de s'être bouffé des croisement. Super bud c'est carrément ça yoshi a bien raison là dessus car il y a de la big bud dedans et la skunk N°1 est pas méga forte donc bon..
la critical mass qui est la skunk #°1 x afghane et elle sent pas bcp non plus , + produit énormement. C'est le même concept que la super bud de ghs. Tu auras des phénos un peu odorant et d'autre pas du tout mais pas de grosse infection qui sentent à 15m plus loin comme une warlock...non^^
La big bud c'est là référence et ça enlevera malheureusement le très bon goût de la skunk1 que pourrais avoir une superbud , elle sent franchement pas grand chose la BB et elle produit tellement qu'il y a pas mal de records au m² avec ce machin donc vu que tu débutes ça peut être le meilleur choix. De + facile pour les débutants, comme la NorthernLights. On lui reproche souvent son manque de parfum/goût/odeur mais bon elle est pas dégueulasse hein.. ma première weed en inté snif #nostalgie
AUssi il y a des sites qui regroupent les donnés génétiques comme seedfinder
Chez nirvana , jette un coup d'oeil à la blue mystic ptet... meme si tu as pas bcp de "stabilité" chez eux https://www.icmag.com/ic/showthread.php?t=204119
pour conclure je reste sur ce que je disais niveau variété, en valeur sûr , northern light, chronic ou big bud et dérivés de ces variétés "classiques" .
Je sais pas qui a fait la liste mais chronic dans odeur forte, elle a pas cette réputation, je la connais pas mais bon...Déjà que le breeder a mis sur la decription que si on la met en sachet , elle perd ses odeurs en quelques heures...ça donne le topo sur la finesse du produit ...car une grosse puante, tu la laisse dans le pochon de ta veste 6mois , elle puera encore.. du coup je sais pas qui dit des bétises (le breeder ou les gars qui ont fait la liste)
bon je m'arrête là définitivement je me suis foulé les doigts mdr regardez moi ces pavés, bonne chance pour ta culture !
pavé césar , ceux qui n'ont pas lu te salut !
++
Dernière modification par Viegroo Senior du turfu (04 juin 2016 à 02:26)
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Snoop' a écrit
juste une suggestion, surement connue des planteurs amateurs de cannabis ET d'autres plantes, il paraittrait que faire pousser des plantes aromatiques style menthe, thym, laurier etc (qui sentent assez fort) pourraient couvrir certaines odeurs de plantations de beuh (a verifier par de plus connaisseurs que moi)
Si t'as un champ de menthe pour couvrir l'odeur de trois pieds je dis pas, mais sinon non, la weed pue plus que tout.
Quand je faisais de l'inter avec certaines variétés ça sentait dans un rayon de 10M autour de ma baraque^^
Dernière modification par yoshinabis (04 juin 2016 à 20:04)
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Dernière modification par Viegroo Senior du turfu (04 juin 2016 à 20:23)
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Dernière modification par yoshinabis (04 juin 2016 à 20:22)
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Dernière modification par Viegroo Senior du turfu (04 juin 2016 à 20:34)
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Dernière modification par yoshinabis (04 juin 2016 à 20:41)
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Dernière modification par vapoda (06 juin 2016 à 03:05)
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pour le filtre fait maison ça marche aussi bien?
Logiquement, ça doit le faire aussi bien, mais si tu foires le remplissage avec le charbon actif, tu te retrouves avec des frais et rien d’efficace. Tu dois pouvoir trouver un filtre adapté sans te ruiner.
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Dernière modification par Mister No (13 juin 2016 à 16:55)
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Dernière modification par Mister No (13 juin 2016 à 18:29)
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Dernière modification par mikykeupon (14 juin 2016 à 15:25)
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Dernière modification par ya-man (31 août 2016 à 19:02)
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Le problème avec beaucoup de cannabis synthétique c'est qu'il n'ont pas de produit anti-psychotique
C'est le cas de pas mal de weed qui ne contiennent pas de CBD ou des traces simplement. Le soucis des noids, c'est davantage leur mode d'action sur les récepteurs. Certains sont agonistes, voire agonistes et antagonistes. La saturation des récepteurs peut être beaucoup plus forte, beaucoup plus durable au point de ne pas sentir les effets d'une bonne weed longtemps après l'arrêt.
A de rares exceptions, le cannabis végétal ne sature pas les récepteurs comme peuvent le faire les noids. Cela explique en partie la plus forte toxicité des noids de synthèse et le risque mortel en cas d'overdose.
Leur structure moléculaire est radicalement différente des cannabinoides de la plante ou des cannabinoides produits par notre organisme, les endocannabinoides ; le cannabis de synthèse n'existe pas. Il s'agit de cannabinoides de synthèse.
Raphael Mechoulam a dit :
Synthetic cannabinoids' are compounds different than those in the plant (or the brain) and may be toxic. A person should be crazy to test on himself a compound of this sort.
Les cannabinoides de synthèse sont des molécules différentes de celles de la plante ou du cerveau et peuvent être toxiques. Il faudrait être dingue pour tester sur sa personne de telles molécules.
Qui est R Mechoulam ?
«J’ai demandé au directeur de mon institut s’il connaissait quelqu’un à la police qui pouvait me procurer de la marijuana. C’était le cas. J’ai reçu 5 kilos de joli libanais de contrebande, de quoi travailler. Plus tard, on m’a fait remarquer que c’était illégal, que le policier et moi-même encourrions la prison, que j’aurais dû demander une autorisation spéciale. Ce que j’ai toujours fait, ensuite, bien sûr.» En 1963, première percée, Raphael Mechoulam et son collègue Yuval Shvo révèlent la structure moléculaire du cannabidiol isolé par le Nobel et son confrère. La découverte permet d’étudier l’action de cette substance. Elle passe alors inaperçue. Aujourd’hui, elle est le fondement de centaines de publications scientifiques. «Il apparaît que le CBD est un anti-inflammatoire qui réduit notamment les symptômes de l’arthrite rhumatoïde. Il a aussi un effet sur le diabète de type 1, relève le professeur. On ne comprend pas encore comment il agit mais on sait que sa toxicité est très faible.»
En 1964, rebelote. Le chimiste isole une demi-douzaine d’autres substances présentes dans le cannabis, qu’il baptise «cannabinoïdes», et découvre enfin, avec Yechiel Gaoni, la structure de la molécule psychoactive dont regorgent les boutons floraux de la plante : le THC. L’article, cette fois, sera remarqué. «C’est bientôt l’époque des hippies, le haschich devient un phénomène social en Occident. Les NIH [instituts de la recherche médicale publique américaine, ndlr], qui ne travaillaient pas sur la marijuana, s’intéressent soudain à nos recherches. Ils n’ont jamais cessé, ensuite, de soutenir mon laboratoire.»
«On a fait un gâteau»
Désormais, la molécule «planante» de la marijuana pouvait être purifiée, produite par synthèse, dosée, expérimentée. «Comment agissait le THC sur le cerveau ? C’était un mystère. On l’a testé sur nous-mêmes, raconte l’octogénaire. On était dix amis. Cinq avaient déjà fumé, cinq jamais. Ma femme a fait un gâteau avec 10 mg de THC pur. Les effets ont été très différents. Moi, j’étais "high" ; elle, rien. Un député n’arrêtait pas de parler, une personne très réservée est devenue anxieuse. On a essayé à nouveau, avec une dose plus forte. Deux sont devenus, quelques instants, très paranoïaques. C’était surprenant de constater qu’un même produit avait des effets psychiques si différents selon les individus, selon leur expérience de la drogue et selon la dose. On n’avait aucune idée de la façon dont le THC parvenait à agir sur le système nerveux.»
L’énigme est restée entière vingt ans durant, jusqu’au milieu des années 80, quand une équipe américaine découvre, sur des cellules du cerveau des mammifères, et des humains, des «récepteurs» activés par le THC. Lumière, et nouvelle question. «Si l’évolution avait doté notre organisme de tels récepteurs, ce n’était évidemment pas pour percevoir les effets de la marijuana. Mais parce que le corps lui-même produit, en réponse à un besoin précis, des molécules similaires au THC, des "endocannabinoïdes".» A quoi peuvent-ils servir ? En 1992, l’équipe de Mechoulam isole le premier du genre, fabriqué en réponse à un signal de douleur : «On l’a baptisé "anandamide", anan pour joie en sanscrit, une langue qu’étudiait un chercheur de l’équipe.» La publication sera citée 3 000 fois par des articles scientifiques. Il y a deux ans à peine, le laboratoire de Mechoulam identifiait un second type de récepteur aux cannabinoïdes. Sa présence dans des organes importants pour l’immunité éclaire, au moins en partie, l’effet anti-inflammatoire de la plante.
Dernière modification par Mister No (01 septembre 2016 à 09:11)
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Dernière modification par yoshinabis (01 septembre 2016 à 21:16)
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