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bonsoir les ami(e)s nous avons besoin de votre aides et votre expérience svp
j'expose le problème ...
Suite à une hospitalisation ma femme s'est trouvée avec un traitement de skenan 5mg le soir et tramadol 200 mg matin et midi ( donc 400mg/jour ) cela pendant 1 mois ensuite son médecin traitant lui a arrêté le skenan et lui a ajouté 200 mg de tramadol matin midi et soir ce qui fait 600 mg par jour pendant un mois et demi ensuite elle se sentait trop mal et elle a décidé de prendre 200 mg de tramadol seulement le soir , ayant des effets secondaires et bien évidemment des sauts d'humeur comme avec tout opiacé elle a décidé d'arrêter de prendre le tramadol du jour au lendemain bien évidemment c'est à ce moment-là que l'on s'est rendu compte qu'il y avait une dépendance qui s'était installé états grippaux ect ... De la je lui ai conseillé de continuer à prendre 200 mg par jour , moi étant inquiet pour son état de santé je l'ai orientée vers Le CSAPA ( qui soit dit au passage me suit pour arrêter la benzodiazépine ) à la sortie de son entretien au CSAPA et après évaluation de son taux de dépendance elle se retrouve avec du buprénorphine 8 mg cela fait maintenant 3 jours qu'elle est sous ce traitement Elle a des nausées vomissements elle se sent fatigué le sommeil est troublé elle a un teint très pâle et des céphalées 6 a 7h après la prise du buprémorphine
J'aurais aimé avoir des avis de personnes qui sont passés par le même chemin pour pouvoir lui apporter des réponses car il y a une certaine inquiétude en elle c'est la première fois qu'elle rencontre ce style de problème avec un opiacé sachant que c'est une femme de 45 ans qui ne bois pas d'alcool ne fume pas de cannabis et prends aucune drogue sauf la cigarette malheureusement elle est tombé dans le piège des laboratoires pharmaceutiques et de son médecin généraliste peut sérieux sur la dépendance à la morphine .
Je vous remercie d'avoir pris le temps de lire ce message jusqu'au bout , nous attendons vos réponses avec impatience .
j'expose le problème ...
Suite à une hospitalisation ma femme s'est trouvée avec un traitement de skenan 5mg le soir et tramadol 200 mg matin et midi ( donc 400mg/jour ) cela pendant 1 mois ensuite son médecin traitant lui a arrêté le skenan et lui a ajouté 200 mg de tramadol matin midi et soir ce qui fait 600 mg par jour pendant un mois et demi ensuite elle se sentait trop mal et elle a décidé de prendre 200 mg de tramadol seulement le soir , ayant des effets secondaires et bien évidemment des sauts d'humeur comme avec tout opiacé elle a décidé d'arrêter de prendre le tramadol du jour au lendemain bien évidemment c'est à ce moment-là que l'on s'est rendu compte qu'il y avait une dépendance qui s'était installé états grippaux ect ... De la je lui ai conseillé de continuer à prendre 200 mg par jour , moi étant inquiet pour son état de santé je l'ai orientée vers Le CSAPA ( qui soit dit au passage me suit pour arrêter la benzodiazépine ) à la sortie de son entretien au CSAPA et après évaluation de son taux de dépendance elle se retrouve avec du buprénorphine 8 mg cela fait maintenant 3 jours qu'elle est sous ce traitement Elle a des nausées vomissements elle se sent fatigué le sommeil est troublé elle a un teint très pâle et des céphalées 6 a 7h après la prise du buprémorphine
J'aurais aimé avoir des avis de personnes qui sont passés par le même chemin pour pouvoir lui apporter des réponses car il y a une certaine inquiétude en elle c'est la première fois qu'elle rencontre ce style de problème avec un opiacé sachant que c'est une femme de 45 ans qui ne bois pas d'alcool ne fume pas de cannabis et prends aucune drogue sauf la cigarette malheureusement elle est tombé dans le piège des laboratoires pharmaceutiques et de son médecin généraliste peut sérieux sur la dépendance à la morphine .
Je vous remercie d'avoir pris le temps de lire ce message jusqu'au bout , nous attendons vos réponses avec impatience .
Être homme de bien et ne pas chercher à le paraître, c'est le vrai chemin de la gloire
socrate
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- neo
- Nouveau Psycho
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- Inscrit le 10 Dec 2013
- 199 messages
Bonjour,
L induction a la bupré a commencé direct par 8mg?
Les cephalés, vertiges, sudation sont des effets secondaires frequent.
Je suis juste un peu etonné du dosage. Elle est peut etre surdosée. A t elle essayé d en prendre moins? Je serais elle je recontacterais le csapa rapidement pour en parler et peut etre changer de posologie.
Pour Une induction a la.bupré on commence generalement par de petit dosage et on augmente petit à petit. Mais certains addicto comlence direct par 8mg, quitte a descendre. Je ne sais pas pourquoi ils font ça (ca m etait arrivé lors de ma 1ere tentative et ça n avait pas du tout fonctionné).
Bon courage.
L induction a la bupré a commencé direct par 8mg?
Les cephalés, vertiges, sudation sont des effets secondaires frequent.
Je suis juste un peu etonné du dosage. Elle est peut etre surdosée. A t elle essayé d en prendre moins? Je serais elle je recontacterais le csapa rapidement pour en parler et peut etre changer de posologie.
Pour Une induction a la.bupré on commence generalement par de petit dosage et on augmente petit à petit. Mais certains addicto comlence direct par 8mg, quitte a descendre. Je ne sais pas pourquoi ils font ça (ca m etait arrivé lors de ma 1ere tentative et ça n avait pas du tout fonctionné).
Bon courage.
I think it's time to go down!
I scream you scream, we all scream for ice cream
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Salut, j'ai pris de la morphine et juste de la morphine pendant plus longtemps pour mes douleurs et en diminuant progressivement, j'ai pu arrêter très facilement avec du cannabis il faut dire.
Je ne suis pas à la place de ton ami, et je n'ai pas vraiment la compétence des médecins, mais je me demande si le suivi "addicto" est adapté. A mon avis, un centre de la douleur a les compétences.
Rien ne dit qu'il s'agit d'un souci d'addiction, il s'agit simplement d'un problème de dépendance et ça change vraiment tout.
Je demanderais vite un deuxième avis en centre antidouleur sans éluder la difficulté d'arrêt.
A mon avis, ils sont mieux placés pour l'accompagner, mais mon jugement a ses limites, comme je te le dis, je ne suis pas médecin et de toute manière, si je l'étais, à distance...
Tu peux inviter ton ami à venir se renseigner ici.
Bon courage pour la suite.
Je ne suis pas à la place de ton ami, et je n'ai pas vraiment la compétence des médecins, mais je me demande si le suivi "addicto" est adapté. A mon avis, un centre de la douleur a les compétences.
Rien ne dit qu'il s'agit d'un souci d'addiction, il s'agit simplement d'un problème de dépendance et ça change vraiment tout.
Je demanderais vite un deuxième avis en centre antidouleur sans éluder la difficulté d'arrêt.
A mon avis, ils sont mieux placés pour l'accompagner, mais mon jugement a ses limites, comme je te le dis, je ne suis pas médecin et de toute manière, si je l'étais, à distance...
Tu peux inviter ton ami à venir se renseigner ici.
Bon courage pour la suite.
Mais certains addicto comlence direct par 8mg, quitte a descendre. Je ne sais pas pourquoi ils font ça
Le risque d'OD létale à la BHD est moins important que pour la méthadone... Les médecins ont appris que des dosages élevés mettaient à l'abri en diminuant les envies...
Bref, moi aussi, ça m'a fait tiquer, je pense qu'un autre avis est important et pourquoi pas en centre anti douleur.
Les cephalés, vertiges, sudation sont des effets secondaires frequent.
Les nausées signe d'un dosage trop élevé.
Franchement, je crois qu'à trouver trop indécent l'usage de morphine pour la douleur, les médecins se retrouvent à prescrire bien pire d'une certaine manière...
Le tram en plus de trois semaines peut impacter de la même manière qu'un antidépresseur les récepteur à serotonine et corser un sevrage opi ce qui n'est pas rien.
Dernière modification par Mister No (23 novembre 2018 à 12:39)
Just say no prohibition !
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- polux08
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Bonsoir les amis 
Merci pour vos reponse !
C'est le CSAPA qui a calculé ça consommation morphinique et la évaluée et comparé a l’équivalent a 4 ans de consommation d’héroïne alors je sais absolument pas comment ils travail cela dit la voila avec 8mg de BHD je trouve aussi la méthode a contre courant du protocole habituelle aujourd’hui ça fais 4 jours et elle va un peut mieux ( enfin disons plutôt elle et moins dans le mal ) apparemment il lui faudrait 1 an pour " décrocher " de la buprémorphine .
Ce matin elle a téléphoné au CSAPA ils lui on dit de rester a 8mg jusqu'au rdv de mardi ( ça fera 1 semaine qu'elle consommera 8mg mardi ) .
Sachant que quand elle et sortie de l’hôpital en septembre ils lui on donnée rdv au centre anti-douleur pour avril ( nous sommes des Ardennes et il y a pas de réel centre anti-douleur a proprement parler mais un bureau au 3iem étage avec les soins palliatifs . ce matin je leurs et tél pour qu'ils ce bouge pour la prendre en charge avant avril car c'est loin !
Jusque la je suis rester distant des décisions de ma copine ou des médecins son parcours médicale et difficile elle a rencontrée des problèmes de santés assez grave dans le passé que je ne peut vous exposé car je ne lui est pas demandé si elle m'autorisé d"en parlé ici , cela dit elle et fatiguée des hôpitaux medecins ect ... je la comprend mais je me doit de faire bouger les choses je pense qu'elle a plus la force de le faire seule ce que je comprend bien je lui ai toujours apporté mon soutiens moral mais maintenant je suis obligé par amour pour elle de mettre le nez dedans le soutiens moral ne suffit plus , surtout que ça complique notre vie de couple .
Est ce qui faut dire surtout c'est que malgré l'hospitalisation de septembre pour des douleurs ( désolé je peut pas tout expliqué ici moi même j'ignore des choses certainement je pense qu'elle en sait plus que moi enfin je sait pas trop je suis un peut perdu a ce niveau la , enfin bref ... )
Tout ça pour dire que en plus des douleurs ( évaluation au quotidien de ses douleurs 7 sur 10 ( c'est une moyenne ) aujourd'huit la voila sous BHD .
Moi je trouve que ça craint comme situation ça me déstabilise pas mal !!!
Voila le fond du problème , si vous trouvé quelque chose a dire je vous lirais avec attention , je vous remercie déjà d'avoir répondus et d'avoir pris le temps de lire ce poste jusqu'au bout .
Namasté les ami(e)s :)
Paul
Merci pour vos reponse !
C'est le CSAPA qui a calculé ça consommation morphinique et la évaluée et comparé a l’équivalent a 4 ans de consommation d’héroïne alors je sais absolument pas comment ils travail cela dit la voila avec 8mg de BHD je trouve aussi la méthode a contre courant du protocole habituelle aujourd’hui ça fais 4 jours et elle va un peut mieux ( enfin disons plutôt elle et moins dans le mal ) apparemment il lui faudrait 1 an pour " décrocher " de la buprémorphine .
Ce matin elle a téléphoné au CSAPA ils lui on dit de rester a 8mg jusqu'au rdv de mardi ( ça fera 1 semaine qu'elle consommera 8mg mardi ) .
Sachant que quand elle et sortie de l’hôpital en septembre ils lui on donnée rdv au centre anti-douleur pour avril ( nous sommes des Ardennes et il y a pas de réel centre anti-douleur a proprement parler mais un bureau au 3iem étage avec les soins palliatifs . ce matin je leurs et tél pour qu'ils ce bouge pour la prendre en charge avant avril car c'est loin !
Jusque la je suis rester distant des décisions de ma copine ou des médecins son parcours médicale et difficile elle a rencontrée des problèmes de santés assez grave dans le passé que je ne peut vous exposé car je ne lui est pas demandé si elle m'autorisé d"en parlé ici , cela dit elle et fatiguée des hôpitaux medecins ect ... je la comprend mais je me doit de faire bouger les choses je pense qu'elle a plus la force de le faire seule ce que je comprend bien je lui ai toujours apporté mon soutiens moral mais maintenant je suis obligé par amour pour elle de mettre le nez dedans le soutiens moral ne suffit plus , surtout que ça complique notre vie de couple .
Est ce qui faut dire surtout c'est que malgré l'hospitalisation de septembre pour des douleurs ( désolé je peut pas tout expliqué ici moi même j'ignore des choses certainement je pense qu'elle en sait plus que moi enfin je sait pas trop je suis un peut perdu a ce niveau la , enfin bref ... )
Tout ça pour dire que en plus des douleurs ( évaluation au quotidien de ses douleurs 7 sur 10 ( c'est une moyenne ) aujourd'huit la voila sous BHD .
Moi je trouve que ça craint comme situation ça me déstabilise pas mal !!!
Voila le fond du problème , si vous trouvé quelque chose a dire je vous lirais avec attention , je vous remercie déjà d'avoir répondus et d'avoir pris le temps de lire ce poste jusqu'au bout .
Namasté les ami(e)s :)
Paul
Être homme de bien et ne pas chercher à le paraître, c'est le vrai chemin de la gloire
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