le cannabis médical sur la fonction exécutive de la cognition

1) L'apaisement des symptomes (douleur, anxiété, insomnie) favorise le fonctionnement cognitif.(rappelons que l'étude porte sur des malades).

Teste toi-même du CBD et de l'amisulpride en faisant des puzzle, tu auras des pistes pour d'autres études qui apporteront des réponses claires. (pas besoin joke )

Ata a révélé une diminution notable de l’utilisation hebdomadaire dans toutes les classes de médicaments, y compris la réduction de l’utilisation d’opiacés (-42,88 %), les antidépresseurs (-17,64 %), les stabilisateurs de l’humeur (-33,33 %) et les benzodiazépines (-38,89 %) » Ont déclaré les auteurs de l’étude- une constatation qui est compatible avec les études antérieures.

Du coup on rajoute une 4 ème hypothèse, certaines molécules pharmas affectent la cognition malgré le soulagement des symptomes...

3) Il n'y a pas, évidemment, d'adolescent parmi les malades (la plupart des études sur les dangers des MJ pointent sur les adolescents).

L'étude que j'ai citée est réalisée sur un micropanel d'hommes (6) et de femmes (5) âgées de 32 à 74 ans.
Big pharma a du data mais ne le communique pas.
Il suffirait pourtant d’observer les effets de l'epidiolex chez l'enfant et l'ado au moins pour le CBD.

Dernière modification par Mister No (20 décembre 2018 à  12:27)

Anonyme1756 a écrit

Bon...

Ce sont des résultats préliminaires d'une étude longitudinale en cours.

Petite population de patients, 24 seulement, pas de témoins ou de placebo auxquels les comparer.

Dommage parce que lorsqu'on passe 3 mois plus tard la même batterie de tests déjà passée, peut-être que typiquement on performe mieux...

Et puis dès lors qu'ils ont drastiquement réduit leurs prises de médicaments psychoactifs, est-ce que n'étaient pas ces médicaments qui induisaient une réduction des performances cognitives, partiellement résorbée 3 mois plus tard? (est-ce ce sque tu dis Mr No?)

Tu confonds avec une autre étude, du coup, je te laisse le soin de reposer ou repenser la question.
Il s'agit ici de patients et non de stoners qui ont pécho aux hells angels.

Seulement 11 et pas 24, à moins que tu n'aies été induit en erreur par ce graph, mais dans ce serait une erreur de calcul.
Malgré les apparences, ils ne sont que 11.




Prends-le temps de lire la bonne étude avant de commenter, sinon, je pourrais penser que tu as des a-prioiri...

Dernière modification par Mister No (20 décembre 2018 à  13:42)

De fait avec 11 seulement c'est encore moins significatif.

C'est la preuve qu'il faut d'autres études qui de fait sont interdites par les sceptiques favorables à la prohibition (académie de pharma et de médecine par exemple) au nom d'un improbable principe de précaution et d'une balance des risques faussée.
Cette étude va également dans le sens d'autres études qui démontrent plutôt que les résultats de certaines études sont à relativiser.

D'autre part, seuls les labos auraient les moyens de financer une étude d'envergure mais ils se tireraient une balle dans le pied pour des molécules dont ils n'auraient pas l'exclu et que l'on peut produire dans le jardin :

Ata a révélé une diminution notable de l’utilisation hebdomadaire dans toutes les classes de médicaments, y compris la réduction de l’utilisation d’opiacés (-42,88 %), les antidépresseurs (-17,64 %), les stabilisateurs de l’humeur (-33,33 %) et les benzodiazépines (-38,89 %) » Ont déclaré les auteurs de l’étude- une constatation qui est compatible avec les études antérieures.

Marrant, personne ne me taxe de complotisme^^.

Les effets cognitifs dépendent d'une myriade de facteurs, la tolérance  ou la composition différente de la weed pharma par rapport aux produits du marché noir sont des biais importants.
Jusqu'à présent, les études financées par big pharma ne montraient que des problèmes cognitifs.
La baisse du QI rapportée par certaines études ne fait plus consensus par exemple et ce grâce à des études affranchies des besoins économiques de big pharma.

Dernière modification par Mister No (20 décembre 2018 à  14:08)