Bonjour
Après avoir claqué la porte d'un service d'addictogie spécialisé dans le
sevrage de l
alcool, je me retrouve seule à combattre mon addiction médicamenteuse.
" Dans un premier temps,je fus refusée en psychiatrie, m entendant dire après un rdv, que mon cas relevait d'un service fermé, et cela après avis du second psychiatre du service que je n ai pas rencontré, et ce sur le pas de la porte du service dans la foulée ??, ce qui après renseignement pris n est pas vraiment légal.
Sur ce, l'addictologue, préalablement rencontrée, me contacte, et me demande d'arriver sevrée de l
alcool, soit sept jours après, et d accepter un suivi psychiatrique????.
Bref, accord tacite accepté par téléphone , j avais vraiment besoin d'aide!
Un lundi, j arrive donc avec plein d espoir, et beaucoup de maux.(il s'agit d'un SSR)
Puis les "ondes" négatives s'enchaînent: A ma droite,Une stagiaire tente de me faire un electrocardio avec un matériel obsolète, face à moi, une femme de service affalée sur un fauteuil me regarde, et à ma gauche une dernière me pose à toute allure une multitude de questions: vous voyez le tableau ?
( de plus je venais d avoir une infiltration à l épaule et dégustais).
Arrive donc le médecin généraliste qui me dit qu il est dangereux de tout arrêter rapidement , ce que je que je lui concède et me fait gentillement comprendre,qu elle n avait pas de temps pour des consultations car un service de dialyse etait à côté, et me flanque: doliprane et un atarax le soir.
Je tiens à préciser que je prenais environ 10 gélules de
lyrica 200mg/jours,
havlane le soir, entrecoupé de
seresta 50mg ...
Glycémie vérifiée à plusieurs reprises, en raison d un appareil incertain et idem pour le test d alcoolémie ?.
Bref, une nuit blanche sur un matelas dure comme de la pierre ( lit pour obèsité morbide).?
Le lendemain à bout, on m' ordonne d assister au cours promulgués à l hôpital de jour ( accès sur les problèmes d
alcool)
Et je constate que l addictologue était en vacances ??
J assite alors à ce premier cours sur les infections nosocomiales ayant à titre d exemple : infection nosocomiale après infiltration à l épaule....Là : je sors, refais ma valise et pars ( j étais venu en voiture - et heureusement que je n habitais pas loin!).
Du coup, je trouve la force de rentrer chez moi, lorsqu'on dit qu il ne faut pas laisser conduire une personne hyper anxieuse : je confirme et encore moins en manque.
Depuis bientôt 3 semaines je suis sobre, 15 jours ne prends plus de
lyrica.
Actuellement, depuis une semaine: j ai des symptômes comme: accouphènes, bourdonnements, crampes, contracture, sueur, chaud, froid, hypertension, sudation, picotement, sensation de brûlure, je suis hyper émotionnelle,je n ai plus de force, suis incapable de faire quoique que ce soit.
Je ne suis pas bien et m aide de : 6 décontractyls, 6 spafons,1 ou 2 dolipranes et 3
serestas 50mg.
Tout cela est hyper anxiogène....J ai le sentiment de ne pas en voir le bout....
Merci
Dernière modification par pierre (07 mars 2019 à 21:30)