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Dernière modification par AutumnBlur (11 mars 2019 à 03:55)
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AutumnBlur a écrit
j'avais l'intime conviction que j'allais me voir mourir, je sentais ma respiration s'arrêter, mon corps me lâcher, ma vision s'obscurcir, mon champ de vision se retrécir jusqu'à être dans un genre de flottement d'absence où je pensais à ma mère, je me disais ça y est là ton filet de sécurité c'est que tu vas te réveiller dans un camion de pompier, sans repère, ou peut être ne jamais te réveiller et c'est maintenant, mais c'est pas grave. Il y avait comme un déni de la mort, de la gravité, j'étais le seul à pouvoir faire quelque chose et j'étais impuissant, j'étais surtout triste pour ma mère, et pour moi, et mes études, et tout ce que j'avais gaché connement et à la fois j'acceptais. Et en même temps quelque chose est venu du fond de moi, je m'étais relever tout ça se déroulait alors que j'étais assis avec mes amis dans un tacos lumineux et eux souriaient, le contraste était terrifiant entre ce que je vivais et ce qu'ils percevaient. Surtout qu'ils m'auraient été d'aucune aide, c'était trop tard, le produit était en moi
Salut, c’est dingue comme tu me fais penser à moi. Tu peux voir sur mon blog j’ai posté aujourd’hui un mauvais badtrip que j’avais fait et il est en quelques peu semblable, ça peut surement t’intéresser.
J’ai aussi vécu la même chose avec un ex, ou on allait tjrs plus loin dans la drogue. Je voulais le suivre « par amour » mais au final c’est moi que j’ai abimé et l’amour que j’ai perdu également.
AutumnBlur a écrit
ma vie était passé de super intense et hyper active au renfermement total, plus aucun contact, plus aucun rapport avec le monde de la nuit, de la drague, j'avais changé du tout au tout, angoissé à l'idée même de me sentir constamment tombé quand je me lève ne serait ce que pour aller aux toilettes. Ça oscillait entre sur intensité (tout va vite, je me sens faible quand même et mal à l'aise, comme ailleurs, plus de repères, pensées très confuses, dehors je marchais vite les rares fois ou je sortais puis devait ralentir comme si mes pas me dépassaient, entre contrôle de mise à distance pour pas s'emballer et lâcher prise pour ne pas partir dans les vapes et essayer d'être un peu présent quand même) et chute de tension.
J’ai vécu, et vie tjrs à peu près la même chose et je vais te donner mes conseils, qui m’ont servi à moi en tout cas.
Après avoir pris des taz et de la mdma pendant 2 ans à hauteur de plusieurs fois par semaine, je n’avais plus notion du temps, de la vie, des relations sociales et même de mes émotions.
Au niveau de ton stock de sérotonine, bcp choses jouent.
Je suis passée d’un mode de vie ou je sortais tous les jours, n’allais plus en cours, j’avais pleins « d’amis », j’avais l’impression d’être aimée et entourée et je dépensais énormément d’argent (topic sur mon blog également). Une impression de bonheur et de contrôle. Jusqu’au jour ou c’était la fois de trop, très mauvais bad trip. J’ai plaqué mon ex, et je ne voulais plus sortir de chez moi. Je ne mangeais plus, j’avais perdu 10 kg en quelques semaines alors que j’étais déjà mince. J’avais l’impression que tout aller bcp trop vite et que j’étais juste en ralenti.
Je me trouvais bizarre, je voyais même la vie bizarrement. Comme si je ne pourrai jamais redevenir la vraie moi dans un monde cohérent.
Alors ce que je te conseille premièrement c’est de ne pas psychoter sur cette réalité qui est devenu la tienne depuis un moment. N’essaie pas d’intellectualiser toutes ses choses qui t’arrivent.
Déjà, prends le temps de te reposer ce qui implique si possible de ne pas prendre de drogues.
Tu ne resteras pas perché. Je pense qu’il faut que tu te « reconnectes » à ton corps. Ça parait con mais la méditation m’a bcp aidé à « voyager » mais également reprendre conscience de mon corps et de sa réalité.
Je connais cet état, et parfois tu rentres dans des phases ou tout va bien, puis mal. A creuser peut être sur un petit trouble psychologique. Personnellement je suis borderline.
Il me parait vraiment important que tu règles ce problème intérieur.
J’ai vécu ça aussi après la drogue. Je ne suis pas médecin mais je pense que ça a réveillé chez toi, soit un trouble que tu avais déjà soit tu as du mal à t’en remettre et c’est possible.
Dans ce cas là, essaie vraiment de te recentrer sur ce qui est important pour toi, et tes ambitions.
Fais attention à toi, je suis de tout coeur avec toi vraiment,
Donne de tes nouvelles et j’espère t’avoir aidé.
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Binsou a écrit
Cc oui c’est un bad pendant la montée tu t’es senti dépassé et après quand tu paniques ça part de + en + en couilles... ensuite normalement tu devrais redevenir comme avant au bout d’un moment même si c plusieurs mois ... est ce que tu fais des crises d’angoisses ? J’en fais et si c’est pendant une prise de drogue je bad énormément comme toi ... essaye de pas toucher aux taz pendant au moins 2 mois pour te reposer ...
Mélatonine2 a écrit
Salut, j'ai pas trop de conseils à te donner, d'autres le feront mieux que moi. J'en ai qu'un seul : arrêté de prendre de prod pour laisser le temps à ton cerveau de digérer et récupérer, ce genre de chose partent quand on laisse le corps souffler.
D'ailleurs le cannabis est anxiogène, je te conseille de ne plus fumer quand tu prends des prods ça se passera bcp mieux ! Et attention aux doses, peut être que ton corps n'a pas besoin de bcp :)
Salut, merci pour vos réponses ;D
En faite oui clairement, les prises que j'évoque dans mon post remontent à Avril 2018, depuis que mes troubles sont apparus fortement en Juin j'ai vécu reclus, il n'était plus question de sortir même faire des courses, tout était un combat une fois dehors, alors faire des soirées encore moins et boire à ces soirées encore moins : Récemment je suis parti en vrille pendant une journée simplement après avoir manger une patiserrie contenant du rhum... L'alcool c'est plus possible. Et alors pour les prods, je crois que je peux dire que c'est définitivement hors de question d'en reprendre un jour, j'avais arrêté d'en prendre définitivement avant même le début de mes symptômes mi Juin, je ne retoucherai plus à rien et sur ça je suis content c'est peut être le point positif de mon état c'est que c'est organiquement plus possible pour moi de toucher à quoique ce soit et je n'ai eu aucune difficulté à tout stopper.
Donc j'applique ces conseils je n'ai plus aucun lien avec quoique ce soit, en faite si on regarde ça a été très court la période où j'ai pris et c'était des faibles doses mais le contexte et la fréquence et mon terrain ont joué pour beaucoup je pense...
Pour les crises d'angoisses, oui j'en fais quand je sors, mais en faite je pense que c'est assez lié au chute de tension où pour garder le contrôle et éviter absolument toute crise où je perdrai à nouveau le contrôle, mon cerveau suractive le nerf vague (nerf de l'évasion, qui fait tomber dans les pommes et régule le rythme cardiaque) et évite toute crise potentielle même quand ça ressemble à une crise que de très très très loin. Au final donc c'est un état assez permanent avec une grosse composante d'évitement qui joue pas mal sur le coté absent et dissocié je pense.
PsychéLycia a écrit
Salut, c’est dingue comme tu me fais penser à moi. Tu peux voir sur mon blog j’ai posté aujourd’hui un mauvais badtrip que j’avais fait et il est en quelques peu semblable, ça peut surement t’intéresser.
J’ai aussi vécu la même chose avec un ex, ou on allait tjrs plus loin dans la drogue. Je voulais le suivre « par amour » mais au final c’est moi que j’ai abimé et l’amour que j’ai perdu également.
J’ai vécu, et vie tjrs à peu près la même chose et je vais te donner mes conseils, qui m’ont servi à moi en tout cas.
Après avoir pris des taz et de la mdma pendant 2 ans à hauteur de plusieurs fois par semaine, je n’avais plus notion du temps, de la vie, des relations sociales et même de mes émotions.
Au niveau de ton stock de sérotonine, bcp choses jouent.
Je suis passée d’un mode de vie ou je sortais tous les jours, n’allais plus en cours, j’avais pleins « d’amis », j’avais l’impression d’être aimée et entourée et je dépensais énormément d’argent (topic sur mon blog également). Une impression de bonheur et de contrôle. Jusqu’au jour ou c’était la fois de trop, très mauvais bad trip. J’ai plaqué mon ex, et je ne voulais plus sortir de chez moi. Je ne mangeais plus, j’avais perdu 10 kg en quelques semaines alors que j’étais déjà mince. J’avais l’impression que tout aller bcp trop vite et que j’étais juste en ralenti.
Je me trouvais bizarre, je voyais même la vie bizarrement. Comme si je ne pourrai jamais redevenir la vraie moi dans un monde cohérent.
Alors ce que je te conseille premièrement c’est de ne pas psychoter sur cette réalité qui est devenu la tienne depuis un moment. N’essaie pas d’intellectualiser toutes ses choses qui t’arrivent.
Déjà, prends le temps de te reposer ce qui implique si possible de ne pas prendre de drogues.
Tu ne resteras pas perché. Je pense qu’il faut que tu te « reconnectes » à ton corps. Ça parait con mais la méditation m’a bcp aidé à « voyager » mais également reprendre conscience de mon corps et de sa réalité.
Je connais cet état, et parfois tu rentres dans des phases ou tout va bien, puis mal. A creuser peut être sur un petit trouble psychologique. Personnellement je suis borderline.
Il me parait vraiment important que tu règles ce problème intérieur.
J’ai vécu ça aussi après la drogue. Je ne suis pas médecin mais je pense que ça a réveillé chez toi, soit un trouble que tu avais déjà soit tu as du mal à t’en remettre et c’est possible.
Dans ce cas là, essaie vraiment de te recentrer sur ce qui est important pour toi, et tes ambitions.
Fais attention à toi, je suis de tout coeur avec toi vraiment,
Donne de tes nouvelles et j’espère t’avoir aidé.
Ow... C'est vrai que c'est grisant les similitudes dans notre histoire... Mais ça fait du bien de savoir quelque part qu'on est pas le seul à vivre des choses du genre sur du long terme
Pour le repos oui je fais mon max, d'ailleurs parenthèse perso je fais le minimum par contre pour mes études de médecine et ça c'est pas chouette je risque de pas avoir mon concours, surtout que je me laisse encore distraire par des promesses de personnes bien intentionnées mais dont le comportement révèle chaque jour que dès le départ j'avais juste en me disant qu'il ne fallait qu'une amitié entre nous, sachant comment fonctionne l'humain, surtout à nos âge et vu nos situations, bref c'est blessant quand l'autre s'astreint à se mentir à lui même en pensant me perdre alors que c'est en déniant ses actes qu'il me perd et ça niveau repos et travail c'est pas ouf... fin de la parenthèse ^^
Ensuite c'est vrai oui, je crois pas que je peux dire que je suis resté perché sachant que mes symptômes sont arrivés de manière massive bien après mes prises et qu'entre temps je faisais ma vie et me rendait compte de rien, j'allais au boulot, j'avais toujours les mêmes relations qu'avant ma dernière prise, elles continuaient de m'entrainer dans des soirées que je passais sous alcool uniquement puisqu'au final prendre des drogues ça m'a duré qu'une dizaine de soirée en Avril et 2 soirée fin Janvier (2018), bref rien de perceptible à ce moment là où j'étais surement redescendu même si voilà je pense que quand on a ce rythme de vie et je voyais autour de moi aussi, on est quand même dans un flou permanent mais qui ressemble pas aux perches hyper joyeuses hyper ouf, d'ailleurs mes dernières prises il n'y avait pas vraiment de montée, quand ça montait je me sentais juste d'un coup tout faible et pas bien, puis ça passait le lendemain... Donc rester perché après ça... Pas tellement. Par contre rester dans le mal oui
J'adore ce que tu dis sur le fait de se reconnecter au corps, et la méditation c'est totalement ça. D'ailleurs chaque fois que j'entreprends quelque chose qui me rapproche de mon corps (sortir, marcher, être dehors, avoir une activité physique) je me sens mal justement, comme plein d'angoisse et de mal être resurgisse donc pour répondre sur les troubles oui avant de prendre des drogues j'étais déjà suivi, on a jamais voulu me poser diagnostique estimant que vu mon histoire familiale.. C'était déjà bien que j'en sois là et en ai conscience... J'ai beaucoup questionné les psys sur des tendances à la psychose, surtout en Juin pour moi voir tout en accéléré alors là c'était sur que j'étais tomber dans un trouble de l'ordre psychose ou autre.. Même dans ces pires moments pour eux c'était pas choquant une somatisation si assommante vu apparement la tendance que j'ai à éviter toutes mes émotions, à l'hyper contrôle et à la façon dont je me suis coupé de moi même après une crise existentielle massive en 2010.. J'ai vécu mon adolescence et toute ma vie dans le mental parce que c'était le seul qui me sauvait de mon environnement et de moi même, il n'y avait personne d'autre en capacité de m'aider vu le degré où se situait le problème dans ma famille, personne. seulement moi. Alors forcément d'après le psychiatre tu rajoutes un peu de drogues (qui catalysent la somatisation en général) et là le pb éclate au grand jour, justement avec ce coté accéléré et ce sentiment d'absence c'est tout un problème autour du contrôle de soi et de la capacité à accueillir ses mémoires, à assumer toute la mémoire que peut porter le corps.
On a écarté l'idée de médoc évidement vu le contexte, puis j'ai eu beau insister il m'a dit que même si c'était une forme de décompensation ce qui m'arrivait, il ne voyait pas de signe allant dans le sens d'une décompensation d'une personne à structure psychotique majoritaire.
Bon, c'est ce qu'il dit lui et les deux thérapeutes que j'ai consulté après on en sait rien..
Alors oui, si on veut être positif, qui sait, peut être que tout ça est beaucoup lié à un problème que je me devais de toute façon de résoudre sans savoir faire, et ma situation fait que là même si je sais pas je suis obligé de faire ça, je ne peux plus constuire autant que j'étais en train de construire sans en tenir compte, sinon tout s'écroule et ne se relèvera pas sans avoir régler ce pb.
Je tiens à préciser que j'avais été dans un état vaguement similaire après une anesthésie générale de 15 min (petite opération dermato) et que ça avait duré une semaine, ensuite j'avais mis plusieurs mois à retrouver conscience mais je pouvais quand même vivre, aller en cours, et ça m'a aidé, j'ai reconstruit comme ça. Après je me sentais détruit, j'avais quand même le sentiment d'avoir laissé une part de moi là dedans mais ça m'a pas empêché d'essayer d'avancer. Et la patatra à nouveau mais pas sur quelques mois, sur surement plus d'un an...
Pour terminer, à travers mes relations c'est vrai que je m'accroche beaucoup trop justement par peur de me recentrer sur moi, je suis centré sur l'autre, ce qui est pénible pour moi, et ça m'évité déjà de laisser partir l'autre de moi même, et ensuite surtout de me retourner vers moi et tout ce que j'ai foutu en l'air l'an dernier comme argent, temps, et de ma personne.
D'ailleurs j'ai vécu sur mon prêt étudiant et d'ici Juin je n'aurai plus de filet de sécurité, je serai obligé d'avoir un job, si encore j'ai mon concours, et donc de faire avec mes malaises...
Détail de fin, je fais de l'acupuncture, de l'ayurveda et j'y crois pas trop mais j'ai rdv avec une magnétiseuse fin Mars, qui a l'air pleine d'amour au vu des commentaires sur son site, et assez clean niveau croyances et trucs qui nous dépasse (je crains ces choses là, j'aime l'idée que tout n'est que matière et énergie c'est rassurant ^^)
Nous verrons bien si ça aide aussi... Quand on est désespéré qu'est ce qu'on testerait pas (enfin de non médicamenteux)...
En tout cas ton message me fait vraiment du bien, je te remercie ;3
Bon courage à toi également !
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AutumnBlur a écrit
En tout cas ton message me fait vraiment du bien, je te remercie ;3
Bon courage à toi également !
Ça m'a fait bcp de bien à moi aussi de te lire. De se sentir un peu moins seul dans cet état qui perdure.
Je te souhaite bcp de courage à toi et pour les études de médecine.
Moi perso j'ai déjà vu un hypnotiseur c'est pas mal aussi mais faut se laisser faire et c'est un peu dur au début.
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PsychéLycia a écrit
AutumnBlur a écrit
En tout cas ton message me fait vraiment du bien, je te remercie ;3
Bon courage à toi également !Ça m'a fait bcp de bien à moi aussi de te lire. De se sentir un peu moins seul dans cet état qui perdure.
Je te souhaite bcp de courage à toi et pour les études de médecine.
Moi perso j'ai déjà vu un hypnotiseur c'est pas mal aussi mais faut se laisser faire et c'est un peu dur au début.
Merci ! Oui c'est sur, comme tout ce qu'on doit affronter en soi même il faut accepter de rester avec la douleur de certaines choses pour faire face et revenir à soi
D'un point de vue mental je me pose quelques questions d'autres parts pour comprendre : Par exemple, j'ai lu que ces états rémanents sur de longs mois étaient lié à un état de trauma du cerveau au moment de la consommation, on lit aussi que les prises doivent s'espacer de 3 mois pour renouveler le stock de sérotonine, on voit aussi au niveau visuel on a parfois un Syndrome PHallucinatoire Persistant... Quid de tout ça ?
D'ailleurs au début de mon mal être, je n'étais même pas sûr que c'était lié aux drogues, comment être sur de ça ? alors vos témoignages vont dans le sens que oui évidement c'est lié mon cerveau ne s'est pas fragilisé comme ça tout seul sans lien avec les consos de 2 mois auparavant...
Et enfin au niveau de la sérotonine, nous sommes 9 mois plus tard, le stock est plus que refait normalement ? ^^
J'avais lu que c'était aussi question de la multiplication des récepteurs qui rendaient hypersensible aux neurotransmetteurs, s'étant adapté pour répondre à la surcharge de stimulant (dangereux) à laquelle la cellule a fait face lors de la prise, ce qui corrèle avec du coup un ralentissement général et une impression d'accéléré à l'extérieur puisque les cellules se sont désensibiliser pour ne plus courir de risques...
Voilà, si certains ont des pistes de réflexion ou des articles qui parlent de ça, c'est vrai que ça revient à intellectualiser tout ça mais des fois mettre du sens ça aide un peu, même si ça résout pas
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Dernière modification par Épinéphrine (14 mars 2019 à 21:49)
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