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tu peut dévelopé j'ai pas compris.
Ben en fait le tabac subit plusieurs bains de différentes substances pour être transformé et devenir le tabac commercial que l'on connaît. (Pas la feuille de tabac brute pour le cigare quoi)
Après une fois transformé le tabac subit une adjonction de substances de saveurs et de textures.
Pour les fameux "sans additifs" il n'y a pas cette adjonction d'agents de saveurs et de textures.
Par contre comme tous les tabacs ils auront subit la "transformation" chimique par bain.
Donc sans additifs ça veux juste dire sans agents de textures et de saveurs.
Rien de plus...
Édit j'ai pas de lien pour étayer mes dires.
J'ai juste bossé pour la SEITA deux étés d'affilés.
(Deux étés de merde d'ailleurs)
Dernière modification par RandallFlag (14 mars 2019 à 20:13)
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Par contre comme tous les tabacs ils auront subit la "transformation" chimique par bain.
Si tu peux développer ca m'interesse.
De mon côté j'ai vu que le tabac a besoin d'agent de texture pour ne pas secher trop vite soit disant. Et de saveur pour être meilleur (sucre ammoniac...) Et là oui il y a bain mais pas sur du 100%tabac.
Ceci dit quand je suis passé des camel (8% dadditifs) au dunhil (< 0.1) en 2008 jai eu un sevrage (jetais irritable et une clope ne me satisfaisait pas) . Quand je suis passé des dunhiln au manitou (100% tabac) j'ai pas eu trop de sevrage a chaque fois trois quatres semaines.
C'est lucky strick qui en premier a commencé a ajouter une chimie d'agent de saveur et de texture dans les années 60. Et les autres ont vite suivit en voyant les ventes augmenter.
C'est une affaire connue et certain cigarettiers nottament allemand sont allé contre cette mouvance.
Après c'est compliqué de tirer des conculsions et même aujourd'hui avec le passage a la e-cig je suis toujours bien addict à la nicotine.
A 4mg/ml c'est compliqué.
Je pense que le seul et meilleur moyen de se sevrer c'est d'arrêter parce que c'est le geste chez moi qui est compliqué a zapper.
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tu te trompe, le bain c'est des agents de textures et de saveurs!
ps si ta bosser à la seita je m'incline.
Anonyme3894 a écrit
tu te trompe, le bain c'est des agents de textures et de saveurs!
Non je suis sérieux.
En fait y'a les bains de "sauçage" pour la transformation du tabac.
Et les bains de "flavorisation" pour la saveur.
Et les agents de textures c'est encore autre chose.
C'est comme de la cellulose en poudre qui est rajoutée au dernier bain.
Après je suis pas un expert non plus.
C'était juste un job d'été. (De merde)
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Drim a écrit
Apparement ce sont les IMAO provoqué par la combution du sucre ajouté qui ont une synergie avec la nicotine. Ces imao restent 3 semaines dans le corps ça colle avec ton ressenti.
Mais jsuis pas un expert hein, c'était ce site ma source : http://additifstabac.free.fr/
Bref c'est loin tout ça.
ça colle avec les infos que j'avais. En gros, les effets du tabac sont liés à une synergie entre plusieurs molécules, dont, principalement, la nicotine et les IMAO. Le tabac "sauvage" (Nicotiana Rustica) contient de grandes quantités des deux, on sent clairement un effet en le fumant.
Le tabac blond utilisé pour les clopes manufacturées contiendrait très peu d'IMAO, ce qui le rendrait moins addictif (les études faites sur des rats montrent que la nicotine seule rend peu dépendant, par contre en ajoutant des IMAO, ça accroche sévère). Comme ça n'arrange pas beaucoup les affaires des industriels du tabac, ils se sont démerdés pour planquer des IMAO dans leur tabac. Il semble en effet que certains sucres ajoutés, en brûlant, dégagent des composés qui aient au final ce fameux effet d'inhibition de la monoamine oxydase, aidant ainsi à fidéliser la clientèle. Bon, au passage ces composés seraient aussi un peu cancérigènes mais les affaires sont les affaires, hein...
Pour creuser le sujet, un article assez complet, donnant un aperçu des recherches actuelles sur le potentiel addictif du tabac :
http://www.formindep.org/spip.php?page= … rticle=651
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Chêne a écrit
Je me demande pourquoi les indications relatives aux quantités de nicotine, de goudrons et aux additifs (agents de saveur et de texture) n'apparaissent plus depuis le passage au paquet neutre ?
Il me semble que c'est parce que cette valeur n'était pas très fiable car en réalité elles
dépendent de la façon dont on tire sur la clope.
Au boulot j'effectue des test de CO sur les personnes qui souhaitent arrêter de fumer, et je constate qu'il arrive que des personne qui fument moins de cigarettes que d'autres on plus de CO dans les poumons, ceci est dû à la manière d'aspirer la fumée, plus on tire fort dessus et que l'on fini vite la clope, plus nous absorbons de saloperies.
J'ai déjà vue des personnes passer de 1 paquet par jour à moins de 10 clopes et avoir plus de monoxyde. C'est parce que avant ils fumaient leurs cigarettes tranquillement et ne les finissaient pas toujours, alors qu'avec la diminution ils tiraient plus fort dessus et les fumaient jusqu'au boud et aspiraient donc plus de saloperies ajouter aux tabac industriel.
J'espère avoir été clair et ne pas (trop) m'être trompé...
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Dernière modification par supermoon11 (17 mars 2019 à 03:00)
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Certes la nicotine n’est pas exempte d’effets pharmacologiques, qui peuvent expliquer pourquoi elle est appréciée par certains fumeurs. Elle favorise la vigilance et la concentration, elle provoque une relaxation que les fumeurs interprètent comme une psychique, alors qu’elle ne témoigne que d’un relâchement du tonus musculaire par action directe de la nicotine sur la moelle épinière, et elle augmente rapidement la glycémie. Ces effets favorables ne peuvent cependant expliquer à eux seuls le phénomène de dépendance, mais peuvent pour une part rendre compte de l’attachement à la cigarette électronique..
Mais la nicotine peut avoir un effet à long terme tout à fait intéressant. Il est tout à fait lié à la dépendance. Il a été montré par une ancienne thésarde de mon laboratoire, travaillant dans un laboratoire pharmaceutique. Elle avait réussi, par les stratagèmes habituels, à ce que des rats s’auto-injectent de la nicotine par pression d’un levier. Mais, avant de conclure qu’ils en étaient dépendants, elle associa la pression du levier à un signal lumineux et sonore, tandis que pour la moitié des rats, les auto-injections n’apportaient plus de nicotine. Dans ce groupe, les pressions sur le levier cessèrent rapidement, montrant que ces signaux à eux seuls ne suffisaient pas à entretenir le comportement.
Chez les rats habitués à presser le levier pour recevoir à la fois nicotine et signaux, elle supprima la nicotine. Étonnamment, les rats continuèrent à le presser, augmentant même la fréquence de leurs appuis, pendant les 3 mois avant qu’elle mit fin à l’expérience, ce qui est considérable par rapport à la durée de vie des rats. Cette persistance du comportement alors qu’il n’y a plus de nicotine "récompensante" est passionnante et voici l’interprétation que je propose : Le stress, les émotions fortes font sécréter de la noradrénaline dans l’amygdale et l’hippocampe qui sont impliqués dans la mémoire. Or on sait que les situations émotionnellement chargées sont fortement mémorisées. Ce sont des évènements marquants. Or la nicotine a le même effet noradrénergique. Ainsi toute situation, même banale, répétée alors qu’on fume une cigarette sera marquée par la nicotine. La cigarette, les gestes de sa manipulation sont partie de l’image environnementale et des affects ainsi marqués. Mais après que la nicotine a fait son œuvre, elle ne fait pas strictement partie du besoin de cigarette, qui se trouve réveillé toutes les fois que se présente une situation où l’on fumait. Elle calme d’ailleurs beaucoup moins ce besoin qu’une cigarette sans nicotine.
[...]
L’exposition à la fumée n’induit pas de dépendance chez le rat. Nous avons testé 20 rats, 10 males et 10 femelles, qui avaient été soumis pendant 3 mois à un enfumage biquotidien dans une recherche sur les cancers respiratoires. Ayant le choix entre l’eau, une solution de nicotine ou une infusion de tabac, ils ont immédiatement abandonné la solution de nicotine, mais conservé une petite consommation significative d’infusion de tabac. Enfin, placés dans un boite circulaire d’où partent 6 tubes, cinq donnant à l’air libre et le dernier à de la fumée, tous les rats ont exploré tous les tubes, sauf celui conduisant à la fumée.
Aucun travail n’a publié de résultat positif. Tous ont constaté une aversion pour la fumée. Les animaux fuient en général son effet irritant. Sans doute ont-ils intégré au fil de l’évolution ce signal de danger. Seul l’Homme apparemment lui trouve un intérêt, ce qui suppose que la fumée de tabac lui apporte hormis la nicotine d’autres principes actifs éventuellement décelables chez l’animal.
Il faut noter qu’il est curieux de constater que les enfants élevés dans le café- bar de leurs parents, jadis considérablement enfumé, n’ont pas été signalés comme étant particulièrement devenus fumeurs. Mais la nicotine qu’ils inhalaient passivement n’était pas associée au geste de prendre une cigarette et avec les évènements affectifs éventuellement associés.
Il est difficile d’obtenir que la nicotine soit auto-administrée par les animaux. Ses effets pharmacologiques de stimulation, d’éveil, de relaxation et d’élévation glycémique peuvent être appréciés par les fumeurs, mais ne justifient pas la dépendance au tabac.
Cependant, elle peut comme le fait le stress fixer en mémoire aussi bien des situations environnementales et psychiques contemporaines de son administration que le comportement de fume associé. Comme le montre l’expérience des utilisateurs de cigarettes électroniques, le besoin de répétition de ce comportement gravé en mémoire peut être beaucoup plus important que la satisfaction d’un besoin en nicotine.
[...]
La répétition d’un geste est un facteur de stabilisation rassurant, face au temps qui passe et modifie inexorablement et irréversiblement les corps et l’environnement, face aux stress. On l’observe déjà chez les enfants, qui aiment répéter les mêmes jeux, et se faire répéter sans se lasser la même histoire. Répéter, c’est RE-VIVRE. Les gestes de fume, si souvent répétés se sont inscrits dans les structures de la mémoire par les contacts répétés avec la nicotine, qui n’est désormais plus nécessaire, comme le montre le travail de Caroline Cohen. C’est sans doute une des raisons du succès de la cigarette électronique. Un facteur important de l’accrochage au tabac est la diversité des situations apprises qui appellent à fumer, et particulièrement les situations sociales. Ainsi l’extension au vapotage des prohibitions de fumer dans des espaces publics interdit à la cigarette électronique de remplacer la fume dans des conditions où elle pourrait être un substitut efficace, en particulier sociales.
Mais hormis cette prégnance du geste qui fait de la cigarette un moyen de résoudre une foule de problèmes de l’existence, y-aurait-il dans le tabac d’autres raisons qui le rendent si accrocheur ?
En fait la cigarette serait un doudou!! Mon doudou!
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Hilde a écrit
En fait la cigarette serait un doudou!! Mon doudou!
ben c'est pas nouveau, la ciguarrete pour le fumeur le calme, a partir de la ont peut parler de doudou ect ect
c'est une autre paire de manche quand ont s'enlève le doudou, ou les bras du doudou, puis les jambes (additif, nicotine, ect ect)
enfin ce n'est que mon avis
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Drim a écrit
Après c'est compliqué de tirer des conculsions et même aujourd'hui avec le passage a la e-cig je suis toujours bien addict à la nicotine.
A 4mg/ml c'est compliqué.
Je pense que le seul et meilleur moyen de se sevrer c'est d'arrêter parce que c'est le geste chez moi qui est compliqué a zapper.
arrêter d'un coup = trop de chance de replonger et/ou de perdre du temps dans l'action de l'arrêt (ce qui donne + de chance de réattaquer la clope ect ect ect, et il en va j'imagine de même pour la e clop)
même si il y a des exceptions (gens qui stop directement et y parviennent)
je pense que ces gens la avait la vie extérieur pour combler ce manque.. (moyens, pas trop de problème, ect ect.. car cela aussi joue sur nos actes)
en revanche, j'ai ma technique perso qui je pense devrait fonctionner...
n'a tu jamais penser a te programmer un sevrage nicotinique (de ta vape) très progressivement ?
c'est a dire que si tu est a 4MG passe a 3.8MG durant 1 mois, le mois suivant tu passe a 3.6, le suivant a 3.4, le suivant a 3.2, et ainsi de suite... en prenant bien le temps de DUPER TON CERVEAU , et tu peut même décendre seulement de 0.1 a chaque fois (deux fois plus facile)
je pense que cette technique peut marcher avec la eclop, c'est d'ailleurs son tavantage, faire ses propres mélanges ect ...
et tu dis que c'est le geste qui est compliquer a zapper, mais tu peut vaper du 0mg en gardant le geste... faut juste te sevré en nicotine qui provoque le hit^^
je pense que tes tout de même accro au hit + nicotine
essaie si cela te pose problème de diminuer sur un ans même + si il faut
l'avantage c'est qu'une fois déscendus a 2mg par exemple sur la eclop, je te vois mal si sevré, rebourrer de nicotine ton e liquide.. (c'est un non sens, dans le cas ou tes bien sevré des 2mg d'avant qui formais les 4mg)
si je pouvais faire de même avec la clope combustible...
si tu fait comme j'ai dit, il ne faudra surtout pas changer de routine sur le coté nombre de taff sur la vape.. donc sa demande a connaitre les moment de vape habituel
et de se contrôler, un petit manque est alors la possible mais je pense qu'il sera ragnagna a coté d'un arrêt trop brutal...
se connaitre + cette technique (avec volonté) je suis sur qu'elle marche ^^
c'est ce que je compte faire peu a peu, mais avant je dois arrêter la clope
je connais un amis qui était sous benzo (suite a une depression chronique)
les benzo il aimait pas mais il en était un peu accros (en un ans de prise) et il a arnaquer son cerveau en baissant sur une + ou - longue periode les dose (de très peu)
aujourd'hui il ne prend plus aucun benzo, et sa dépression s'est un peu arrangée ..
je pense que l'addiction en générale (qu'elle qu'elle soie) c'est souvent pareil au niveau plaisir, cerveau, habitude, craving
le coté dépendance psychique joue un grand rôle, comme pour celui accro au chocolat, ou a la masturbation.. car oui il y en à qui une fois qu'ils arrête une dépendance annodine, sont pas bien du tout et ont presque les même symptôme que pour l'arrêt du tabac
sinon il y a un autre point important aussi, c'est que si tu pense que tu est prisonier de tes 4MG, ton cerveau va bien entendus créer cette réalité
croire en ma technique est donc dans notre intéret (sa rajoute des possibilité de facillité = accepter son sevrage en y croyant)
je suis pas addictologue, mais disons que ces mécanismes me fascine tout de même
Dernière modification par supermoon11 (17 mars 2019 à 12:36)
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supermoon11 a écrit
trop de chance de replonger et/ou de perdre du temps dans l'action de l'arrêt
C'est effectivement une chose qui me pose problème: à chaque tentative de sevrage, complet ou partiel en attendant mieux - mais complet je n'y arrive pas donc ça ne dure pas -, je suis obligée de fonctionner en mode spécial et d'éviter tout ce qui pourrait susciter un craving irrépressible, i.e., en général les activités intellectuelles les plus productives, de sorte qu'au final quand ça se conclut par un échec je ne peux que constater une perte de temps importante. En revanche ça ne joue pas sur les activités manuelles... mais ce ne sont pas elles qui me nourrissent.
Je cherche toujours une solution.
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Hilde a écrit
supermoon11 a écrit
trop de chance de replonger et/ou de perdre du temps dans l'action de l'arrêt
C'est effectivement une chose qui me pose problème: à chaque tentative de sevrage, complet ou partiel en attendant mieux - mais complet je n'y arrive pas donc ça ne dure pas -, je suis obligée de fonctionner en mode spécial et d'éviter tout ce qui pourrait susciter un craving irrépressible, i.e., en général les activités intellectuelles les plus productives, de sorte qu'au final quand ça se conclut par un échec je ne peux que constater une perte de temps importante. En revanche ça ne joue pas sur les activités manuelles... mais ce ne sont pas elles qui me nourrissent.
Je cherche toujours une solution.
malheureusement la technique que j'ai cité en haut, ne marchera pas pour la clop qu'on brule
mais cela n'empèche pas de tenté d'arnaquer notre cerveau, en fonction de nos capacités, mais surtout en fonction de notre dépendance
il faut savoir se remettre une dicipline de vie face a la clope
et si ont a rien a faire dans la vie pour l'instant (un peu comme moi) c'est d'autant plus dificile
car se forcer et s'occuper sa marche souvent que quelques jours, après ont veux une pause, et a ce moment la ya gros risque de rechutte
en avoir conscience (comme avoir conscience du moindre détails) est alors la un signe positif pour contré le craving (qui ne dure jamais trop longtemps)
je parle la dans le cas d'un arrêt progressif, sinon le craving il est hard quand tu te prive d'une drogue d'un coup
ya gros risque de rechutte
Dernière modification par supermoon11 (17 mars 2019 à 12:41)
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Cela m'a toujours outrée de lire qu'un craving de cigarette ne durait pas, qu'il suffisait de boire un verre d'eau ou de manger une pomme pour le faire passer... Le monde des bisounours de tabac-info-service et compagnie.
L'avantage de l'arrêt progressif c'est de non pas mettre fin au craving, mais de savoir qu'on y mettra fin plus tard, qu'il ne va pas durer indéfiniment.
Bien entendu poursuivre une certaine consommation prolonge la dépendance mais permet aussi de supporter les cravings jusqu'à ce qu'ils s'espacent de plus en plus ou se fassent de moins en moins impérieux.
Ok ce n'est pas simple parce qu'au bout de 48-96h tu peux avoir des cravings de malade + un ressenti de manque physique impossible à juguler, c'est donc difficile de ne pas céder de façon compulsive, mais savoir que tu vas limiter ton craving à quelques heures et qu'entre temps il a des chances de s'apaiser, rend la chose plus supportable ou maîtrisable. Du moins dans mon expérience.
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Hilde a écrit
Cela m'a toujours outrée de lire qu'un craving de cigarette ne durait pas, qu'il suffisait de boire un verre d'eau ou de manger une pomme pour le faire passer... Le monde des bisounours de tabac-info-service et compagnie.
L'avantage de l'arrêt progressif c'est de non pas mettre fin au craving, mais de savoir qu'on y mettra fin plus tard, qu'il ne va pas durer indéfiniment.
Bien entendu poursuivre une certaine consommation prolonge la dépendance mais permet aussi de supporter les cravings jusqu'à ce qu'ils s'espacent de plus en plus ou se fassent de moins en moins impérieux.
Ok ce n'est pas simple parce qu'au bout de 48-96h tu peux avoir des cravings de malade + un ressenti de manque physique impossible à juguler, c'est donc difficile de ne pas céder de façon compulsive, mais savoir que tu vas limiter ton craving à quelques heures et qu'entre temps il a des chances de s'apaiser, rend la chose plus supportable ou maîtrisable. Du moins dans mon expérience.
tout a fait d'accord avec ce qui est dit
et je reste persuader, que toutes les addiction se ressemble (selon les intencité)
mais derrière il y a la même chimie j'ai l'impression, (par exprérence, en me voyant diminuer et ressombrer x fois sur divers produit différent, il y a toujours cette très très grande similitude de la dépendence psychique)
et je le redis : vaut mieux avoir une vie assez arrangée, assez d'argent, d'échapatoire naturel, société ou nature, ou encore passion ect ect si ont veux arrêter une quelqu'onque dépendance, sinon c'est en 3 quart foutus je pense
il faut de la compréhension aussi
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supermoon11 a écrit
du coup.. retour et continuité sur le sans additif !
C'est chelou ton histoire, on dirait de l'auto-suggestion, mais tant que ça marche
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Drim a écrit
Hey bonjour,
supermoon je suis d'accord avec toi sur le côté dépendance psychique, c'est vraiment des processus qui se mettent en place dans le cerveau et qui s'auto-entretiennent et se renforcent du simple fait d'y penser, qui m'angoissent quand je pense a arrêter et qui rendent le truc vraiment compliqué. Après si j'avais la maitrise total de mon mental on m’appellerais Gandhi et j'aurais jamais eu de soucis avec les drogues.
Dans une analyse pragmatique ça semble simple d'arrêter et la méthode chinoise appliqué a la e-cig parait parfaite pour arrêter sans problème. Mais perso la réalité est quand même éloigné de ces calculs simple.
Clairement je suis addict à la nicotine et je pense que pour arrêter la meilleur solution est de stopper, parce que je recherche toujours la montée de nicotine même quand j'étais descendu à 1mg/ml.
c'est clair qu'on est pas ghandi héhé
mais Je pense qu'il est important dans une cure de comprendre effectivement comment le mental (le coté psyché) agis face au produit et sans produit, les habitudes, ce qui crée le craving ect
de façon a comprendre comment duper son propre subconscient (plus facile a écrire qu'a faire effectivement)
pour stopper cash il faut vraiment avoir fait le point sur pas mal de ses détail je pense (= toute la motivation et le max de contrôle sur nos envie, car ont comprendrais dans ce cas)
beaucoup d'élements a prendre en compte
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Dernière modification par supermoon11 (30 mars 2019 à 14:15)
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