Bon je suis pas expert mais j'ai j'espère au moins t'aider un peu,
Le problème de "l'
alcool m'angoisse" je pense que c'est du au fait que quand on boit on à l'impression de mieux comprendre les choses et aussi on tourne en rond sur une idée, donc si quand tu boit tu te sens mal et ben vu que l'
alcool ça te "focus" sur une idée et ben ça va empirer les choses tu aura du mal à te sortir de ce mal-être, à l'inverse par exemple là j'ai bu et je me sentais relatiuvement bien avant et ben là j'apprécie pas mal, ça me rappelle un peu les hallucinogènes (je n'en ai jamais consommé par contre) où les gens disent que si tu te sens mal qu'en t'en prend et ben ça empire les choses puisque tu va partir en
bad trip.
Après il ne faut pas oublier que l'
alcool je connais pas exactement le fonctionnement mais ça agit sur les recepteurs GABA et NDMA je crois, je pas sur, et en gros ce que je veux dire c'est que même si tu te sens mal et ben ça te met bien de boire ce n'est entièrement dépendant à ton état pré-conso, par exemple ya des fois où je buvait et j'avais encore plus d'idée noire quand je le faisais pas mais par contre bizarrement même si j'étais plus "déprimé" et ben je me sentait mieux quand même, après j'ai lus des
TR des gens qui par ex quand il fumait du
cannabis il avait des
bad trip et stresser et etc... et par contre j'ai aucune expérience avec ça et donc aucun conseil.
Et le deuxième problème de "quand je bois autant être bourré" moi je me dis ça souvant par que je vit encore avec mes parents donc je suis "limité" en quantité et donc si je bois un ou deux verre ça reduit mes "réserves" et je suis pas bourré donc je me sens un peu mieux que normal grand max, mais je me dit quitte à réduire mes "réserves" autant que je me bourre la gueule et je me sente vraiment bien.
Je pense pas vraiment que quand tu boit tu préfère te bourrer la gueule pour la même raison que moi, tu doit surement vivre sans tes parents et par conséquent tu te réapprovisionner sans problème, je pense qu'il pense qu'il faut essayer de comprendre pourquoi quand tu boit t'y vas à font, il faut essayer de comprendre d'un point de vu "philosophique" pourquoi tu fait ça, qu'est-ce que ton "corps/cerveau" veut te dire, par exemple ma psy ma dit qu'elle pensait que je suis déprimé du fait que je n'arriver pas à m'insérer à m'inclure dans la société et le social, et je n'y jamais pensé, j'ai un toujours mis ça sur quelque chose de different à chaque fois sans être jamais satisfait de la réponse car elle n'arrêtais pas de changer, mais ça fait énorment de sens même si ça change rien à ma vie de le savoir, au moins je comprend maintenant, l'idée c'est de faire pareille pour toi, en voyant un psy, ou en réfléchissant sur toi et ta vie très fort (ce qui est très dur, il est très difficile d'être à l'intérieur de qlq chose et d'en avoir un vu extérieur) et d'éssayant d'éviter ce qui te pousse à avoir ce problème avec l'
alcool.
Aussi Ocram le dit, à mon avis aussi, considérer l'
alcool comme une droge "douce" (déjà que dure/doux n'a aucun sens car on est tout différent et inégaux face aux drogues) c'est une grosse erreur, il y a un an j'étais en terminal, j'avais rien sur quoi je me reposer, et j'ai commencé à boire (un verre en moyenne pas grand chose) et me bourrer la gueule dans le dos de mes parents pour me changer les idées de ma vie, pendant les grandes vacances j'ai du arrêter, et puis à la fin des grandes vacances j'ai pris de la
codéine pour la première fois, et j'ai recommencé à boire cette fois beaucoup plus, je prenais de la
codéine toute les deux semaines pour éviter de développer un tolérance et en plus je rentrer dans un période encore pire que la terminal à ce moment là, du coup j'ai pas abusé de l'
alcool à plusieurs reprise, vers décemenbre j'ai décidé d'arrêter/d'espacer encore plus mes prises de
codéine, car elle devennait de plus en plus décevante, j'en en pris pour la dernière fois en févirier en janvier j'étais sobre, juste 2-3 verre par ci par là, et mais là je recommence à boire peut être moins que en fin d'année dernière mais aussi plus souvent.
Enfin bref tout ça pour dire que je considère et considérais que l'
alcool comparé à la
codéine avait un pouvoir d'addiction qui était beaucoup fort et plus court terme, bien sur j'espaçais mes prises de
codeines et je j'essayer de ne pas augmenter les doses, alors qu'avec l'
alcool à un moment je buvait 2 fois plus pour avoir les même effets qu'avant, aussi je n'avais aucune limite ou aucun planning. La
codéine pour moi ça était un substance vicieuse qui m'en lentement emprisonné alors que j'étais totalement conscient de ses effets et l'
alcool ça était la même histoire au début, mais quand je buvais trop c'était plus vicieux, le lendemain une fois je me suis dis que j'allais pas boire et j'ai finis par boire et je me sentais beaucoup mieux, finalement j'ais dut arrêter et c'était pas agréable, le risque d'addiction avec une substance ça dépend de beaucoup de choses, mais pour moi l'
alcool c'est autant voir plus vicieux que la
codéine.
Dernière modification par vaskez22 (27 avril 2019 à 02:39)