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Chêne a écrit
Salut,
Félicitations pour ce sevrage et merci pour ce témoignage très complet.
Par contre je ne comprends pas pourquoi tu n'as pas essayée de passer à 0,2, puis baisser encore afin d'avoir une transition plus en douceur.
Salut,
Beh en fait j'ai eu une sorte de déclic, c'était le moment ou jamais, au niveau du boulot c'était le moment où je pouvais prendre qqs jours et surtout j'ai senti que je pouvais le faire. Mon mari m'avait dit de prendre un jour sur 2 ou sur 3 le traitement pour que ce soit moins douloureux mais je suis très têtue et je voulais vraiment faire comme ça. Mais effectivement je conseillerai aussi de passer à 0,2 avant le sevrage sec, c'est clair !
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Caïn a écrit
Salut à toi,
Ton témoignage m'a intéressé. Merci. Je suis 1,6 mg, que je prends en rail ou en spray. J'ai fait deux baisses de 0,2 mg, que je n'ai absolument pas senti. J'ai commencé à 2 mg de suboxone, il y a 7/8 ans. Je sais pas si j'ai envie de baisser ni même d'arrêter. Je me dis que la vie est mieux avec subu que sans. Mais bon d'un autre côté, c'est tentant de ne plus avoir ce fil à la patte, cette pensée permanente au traitement.
Salut Caïn,
Ecoute pour l’instant si tu n’es pas sûr d’avoir envie ne serait-ce que de baisser effectivement pourquoi se faire du mal ?!! Si c’est pas le moment pour toi de prendre un virage, c’est pas le moment. Il y a des choses qui s’imposent d’elles-mêmes, moi personnellement c’était le désir d’être mère et dans ma tête ça n’allait pas sans le fait de se sevrer d’abord. Pendant ces dernières années je fantasmais aussi sur le fait de ne plus avoir ces contraintes de traitement, et surtout de dissimulation. Mais à l’époque je pouvais gérer ces contraintes-là alors que celles d’un sevrage c’était même pas la peine d’y penser. On fait tous ce qu’on peut hein !
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Dernière modification par Caïn (17 juin 2019 à 14:57)
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Caïn a écrit
Oui c'est vrai, c'est pas si simple. De mon côté je n'ai pas trop de contraintes de dissimulation. Je bosse en indépendant, donc pas de problème pour dissimuler à qui que ce soit que je me fais un rail, je suis tout seul chez moi à mon bureau.
Côté familial, ma femme est au courant, elle a du mal à l'accepter mais respecte mes choix.
les visites a toubib se passent bien et je me dis que c'est plus une chance d'être suivi médicalement qu'une contrainte pénible.
Donc oui in fine je me dis qu'autant garder mon équilibre tel quel. Je vais quand même baisser à 1,4, histoire de ne pas me taper les 4 cachets de 0,4 à prendre tous les jours, ce qui incite aux prises multiples. Je prendrai un cachet de 1 mg le matin et un 0,4 le soir.
La raison d'arrêter pour moi, ce serait plus parce que le traitement ne me fait rien de vraiment sensible. A peine un petit coup de boost. En fait c'est plus "par défaut" : quand je n'ai pas pris mon sub, j'y pense et j'ai l'impression que je suis moins bien mais en fait, une fois que je l'ai pris il y a peu de différence notable. C'est plus par rapport au taf, j'ai l'impression que je fonctionne mieux avec.
Une petite question, comment se sont passés tes paliers ? J'imagine que tu baissais de 0,2 à chaque fois. D'ailleurs, c'est mal foutu pour ça, puisque tu ne peux passer de 0,8 à 0,6. Sauf en coupant un 0,4 en deux... C'est ce que tu as fait sans doute ?
Est-ce que c'était plus dur vers la fin ?
Ce qui serait logique quand tu es à 2 mg, tu enlèves 0,2, c'est pas grand chose (un dixième). Mais quand tu es à 0,4, si tu baisses de 0,2, c'est la moitié...
Merci encore pour ton témoignage.
Alors pour les paliers je faisais tout simplement des traces + petites, pour le palier de 1,2 à 0,8. En fait moi pour pas avoir à écraser mon sub toutes les 5 min je préparais mes petits paquets à l’avance. Je savais que j’avais « le droit » à 2 paquets par jour je dépassais pas. Après pour le palier de 0,8 à 0,4 j’ai préféré diminuer le nombre de prises, pour déjà casser cette routine car les prises se faisaient toujours aux mêmes horaires . Et j’essayais de repousser chaque fois un peu plus tard les prises. J’enlevais un demi cachet les 2 premières semaines puis un cachet entier de 0,4. Je pense qu’en trace on ressent moins la baisse en fait. Enfin pour ma part ça n’a pas été un si gros effort que ça de baisser, parce que je savais que j’aurai une trace de toutes façons un peu plus tard et que je me coucherai pas en chien. Et puis pour avoir connu le manque d’héro, le manque de sub c’est dur parce que c’est long à te lâcher, mais en terme d’intensité perso j’ai trouvé ça carrément plus gérable!
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Dernière modification par Dounia (20 juin 2019 à 14:10)
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Dounia a écrit
Salut De Noche,
Salut à tous,
C'est toujours plaisant de voir du monde qui arrive à bien gérer ses TSO... que ce soit en continuant à en prendre ou en arrêtant avec succès. Toutes mes sincères félicitations à vous tous De Noche, Lila et Caïn, chacun à votre manière vous gérez!
Personnellement, je ne pense pas qu'une solution soit préférable à l'autre. Si on est bien avec son traitement, pourquoi changer?
Je sais que j'ai besoin de médicaments pour ma bipolarité et que ce sera toute ma vie et après des années de lutte, je vis maintenant très bien avec. Après, pour l'envie de bébé, je comprends, même si c'est super bien géré aujourd'hui, c'est sans doute plus simple sans.
Comme je me dis que ça peut être un encouragement, je me permets un petit témoignage sur mon vécu qui se rapproche pas mal de celui de De Noche (avec un sevrage un peu plus violent et un recul un peu plus long!).
J'ai vécu une belle histoire d'amour passionnelle avec l'héroïne, puis comme beaucoup d'entre nous ici, ça a fini par virer un peu au cauchemar. Crises de manque avec des enfants petits à gérer, pétage de plomb et séjour en HP, puis TSO béni qui m'a permis de trouver une certaine stabilité... mais pas d'arrêter l'héro...
En clair, sous bubu, j'avais toujours cette tentation des écarts, d'aller chercher mon petit paquet de bien-être en sachet... Celui qui n'est jamais à la hauteur de ce qu'on attend mais qu'on prend quand même, celui des cachettes et des mensonges à son conjoint, celui des promesses non-tenues et des lendemains qui déchantent.
Bref, je jouais en permanence avec le manque. Se mettre en manque pour sentir son extra, se mettre en manque avant de reprendre son sub... Étant déjà fragile psychologiquement à ce moment là après un gros burn out dépressif et une hospitalisation en psy, j'ai fini lessivée et j'ai décidé de tout arrêter une bonne fois pour toute.
Je me suis donc faite hospitaliser 3 semaines à la campagne, loin de chez moi et de toute tentation dans un service spécialisé hyper compétent.
Je passe rapidement sur la difficulté de passer de 10 mg de sub à plus rien du tout. C'est clair, c'était pas une partie de plaisir, mais pour moi, comme pour De Noche il y a six mois, c'était le bon moment.
Trois semaines d'hospitalisation à souffrir bien sur, mais aussi à reprendre un certain contrôle sur moi et sur ma vie...
J'ai encore mis de longs mois à retrouver mon énergie et mon cerveau. Pour tout dire, en sortant de l'hôpital (avec en plus ma bipolarité), j'avais l'impression que je n'arriverais plus jamais à faire un boulot avec ma tête, que je ne pouvais plus avoir une vie normale...
Et ben si!
J'ai repris des études avec succès et j'exerce aujourd'hui le boulot de mes rêves. J'ai une belle famille, mon couple a tenu le choc dans ces épreuves et je peux dire que je suis vraiment sans doute plus heureuse et bien dans ma tête que jamais.
Pour être totalement honnête, j'avoue quand même que j'ai basculé de l'héro à la cocaïne comme drogue de prédilection et qu'il m'est arrivé de déraper un peu (ouo beaucoup sur de très courtes périodes) avec cette dernière, mais ce serait encore un autre sujet
J'espère que ce petit témoignage t'encouragera De Noche et toi aussi Caïn, si tu décides un jour d'arrêter. J'ai envie de vous dire, ne vous en faite pas et donnez le temps au temps et ça passera comme tout passe dans la vie.
Je fais même de très belles nuits sans somnifères ces derniers temps et j'ai complètement arrêté les benzos :)
Des bisous!
Dounia
Dounia j'ai eu l'occasion de te lire sur d'autres posts et je te remercie pour tes encouragements et ton témoignage (que je trouve très fort), tu es souvent là pour accueillir et encourager les gens ici j'ai impression, merci pour ça!
Je viens seulement de voir toutes les dernières réponses à mon post, je n'ai pas eu l'occasion de revenir avant et ça fait du bien de parler de tout ça entre personnes qui savent de quoi on parle!
Et je te rejoins aussi Dounia sur le suivi, mon mari a 2 fois par an au telephone l'infirmière qui le suivait au centre d'addicto, juste pour donner des nouvelles, comme une sorte de garde-fou. Ne pas être seul avec tout ça c'est clair que c'est très important! Encore merci, au plaisir d'échanger à nouveau avec toi !
<3
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Lilas24 a écrit
Merci de ce témoignage. Le sevrage n'est pas une chose facile et ce que tu as vécu en arrêtant ton TSO n'est pas éloigné de ce que j'ai connu avec mon sevrage dégressif de la codéine.
Personnellement, c'est sur le plan physique et nerveux que la tension a été énorme et puissante dans les 6 premiers mois. Ensuite, ça s'est peu à peu résorbé jusqu'à la disparition totale de la tension physique il y a 3 mois.
Sur le plan nerveux, je suis toujours un hamster dans sa roue mais au moins je n'ai plus l'impression que les gens autour de moi fonctionnent au ralenti (c'était plus qu'étrange).
Désormais je dors environ 5 ou 6 heures par nuit, pas plus mais je fais avec.
Je ne m'attendais pas à échapper totalement au craving pour être uniquement dévorée par cette tension physique et nerveuse.
Comme toi, le travail a été un bon exutoire, même si parfois j'ai fait simplement acte de présence parce que je grimpais aux rideaux ou que j'étais abattue après un épisode de forte tension dans les membres.
J'ai de la chance de travailler avec deux de mes amis les plus proches, je leur ai tout dit et ils ont été d'un grand secours dans les moments les plus durs. Les pauvres, ils doivent encore supporter mes sursauts nerveux de temps en temps, je gigote, je parle beaucoup, fort, je coupe la parole, je ris aux éclats, bref, je suis épuisante. Ils savent me dire de la fermer ou de me calmer avec le sourire et je leur en suis très reconnaissante.
Je suis certaine que tu as fait le plus dur et je te félicite pour ta ténacité. Je ne sais pas pour toi mais avant d'y passer, je ne savais pas que je ne lâcherais rien pendant ce sevrage et son après.
Aujourd'hui, je me dis que cette ténacité n'est pas du courage et que tout le monde peut suivre ce parcours une fois que la tête y est prête et qu'elle a renoncé à ses envies et ses croyances sur le produit consommé.
En tout cas, bravo car j'ai toujours entendu mon addicto dire qu'arrêter un TSO était très difficile et que si je devais en passer par là, peut être que je le prendrai toute ma vie. Je n'ai pas eu à le faire mais je mesure toute la difficulté de ce que tu as accomplie.
Merci Lilas24 pour ton message, tu n'as peut être pas eu à faire un sevrage de TSO à proprement parler, mais ce que tu décris s'en rapproche très très clairement! Cette tension nerveuse dans les membres... insupportable !!! le sommeil beaucoup plus restreint ben comme tu dis on fait avec, je m'en faisais toute une angoisse et finalement c'est gérable. Et puis j'ai repris la lecture grâce à ça !
En tous cas bravo à toi d'avoir su tenir sur la durée, c'est tellement difficile à gérer les problèmes de nerfs. Fuerza !
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Dounia a écrit
Coucou les filles et les gars!
Surtout coucou De Noche,
Alors quelles nouvelles???
Je fais ma curieuse mais c’est surtout pour vous dire que je pense à vous :)
Bel été!
Dounia
Salut Dounia!
Et beh j’en suis à 10 mois 1/2 de sevrage, bientôt le 1er anniversaire ! Physiquement J’ai bien meilleure mine, le sommeil est revenu à la normale (enfin) avec des épisodes de réveils nocturnes très occasionnels (comme tout à chacun en fait j’imagine). J’ai toujours de temps en temps des démangeaisons et tensions dans les jambes mais j’aurai un pbm de circulation sanguine qui était sûrement masqué par le TSO jusqu’à me là. Mon projet de devenir maman est toujours en route même si malheureusement il y a eu un faux départ cet été, la faute à pas de chance il parait.. j’ai connu également un drame dans ma famille mais toutes ces épreuves n’ont fait que me consolider et affûter encore davantage mon appétit de vivre.
Mon entourage m’est toujours aussi précieux, et avec mon mari on a décidé de déménager dans sa région d’origine, à 2h d’ici seulement mais ça veut dire trouver nouveau travail, maison etc. Du nouveau c’est ce dont j’ai envie maintenant !
Merci de prendre des nouvelles Dounia j’espère que tu vas bien toi aussi et que tu as passé un bel été!
Au plaisir de te lire
De noche
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Caïn a écrit
Pour ma part, je suis descendu à 1,2 mg. Je descends de 02 mg tous les trois mois. A vrai dire sans aucun souci pour l'instant. Je sais que ce sera peut-être plus difficile aux paliers bas mais si c'est trop dur je resterai au niveau où ça bloque le temps qu'il faudra. C'est vrai que je prends aussi on traitement en rail ou en spray mais bon d'un autre côté, je reste régulier, pas d'écart, pas d'extra.
Salut Caïn! Il y’a 10 mois tu ne savais pas vraiment si tu voulais arrêter ou même baisser, tu sembles avoir voulu amorcer un virage c’est bien ! Ça me semble raisonnable de baisser de 0,2 tous les 3 mois, peut être qu’effectivement les derniers paliers seront plus longs mais rien ne presse, tu as l’air d’avoir la tête bien sur les épaules et comme on dit rien ne sert de courir.. j’espère que tu continueras à nous tenir au courant, je n’osais pas demander car je ne suis pas adepte du « il faut arrêter à tout prix » perso je ne veux surtout pas fanfaronner sur mon parcours, certains ont besoin de garder leur TSO et vie et d’autres comme moi ne peuvent juste plus supporter cette chaîne. Je bonne continuation à toi dans ta démarche, au cas où je reste pas loin si tu veux en parler !
De noche
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Salut Caïn! Il y’a 10 mois tu ne savais pas vraiment si tu voulais arrêter ou même baisser, tu sembles avoir voulu amorcer un virage c’est bien ! Ça me semble raisonnable de baisser de 0,2 tous les 3 mois, peut être qu’effectivement les derniers paliers seront plus longs mais rien ne presse, tu as l’air d’avoir la tête bien sur les épaules et comme on dit rien ne sert de courir.. j’espère que tu continueras à nous tenir au courant, je n’osais pas demander car je ne suis pas adepte du « il faut arrêter à tout prix » perso je ne veux surtout pas fanfaronner sur mon parcours, certains ont besoin de garder leur TSO et vie et d’autres comme moi ne peuvent juste plus supporter cette chaîne. Je bonne continuation à toi dans ta démarche, au cas où je reste pas loin si tu veux en parler !
De noche
Merci !
En fait je ne suis pas non plus adepte du "Il faut arrêter à tout prix". Mais bon, c'est un point problématique dans mon couple... Alors je me suis dit OK essayons, on verra bien. J'ai un peu une pression aussi de la part de mon toubib, mais bon très raisonnable. Il ne me met pas dans l'obligation de le faire, il me dit que j'y arriverai si je le veux vraiment. C'est bien problème, je ne sais pas si je le veux vraiment. Mais vraiment le traitement est devenu une routine. Pas une routine désagréable mais j'ai l'impression que je pourrais m'en passer. Pour l'instant, je teste. Dans deux mois, je serai à 1 mg, et là ça m'obligera plus ou moins à passer à une prise plutôt que deux.Quoique dans un premier temps, je couperai sans doute le cachet en deux. Puisque j'en aurai qu'un alors qu'à 1,2, j'en ai trois (o,4 mg).
voili, voiloù,
Biz
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Dernière modification par Dounia (06 février 2020 à 16:11)
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Dernière modification par Caïn (06 février 2020 à 18:01)
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Dernière modification par Caïn (10 février 2020 à 14:57)
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Une étude publiée récemment affirmait que le cannabis soulageait les symptômes des six patients participants à l’étude et étant atteints de la maladie de Willis-Ekbom. Cinq de ces patients ont noté une disparition totale des symptômes après avoir suivis un traitement à base de cannabis. Un des patients a décrit un soulagement complet après avoir consommé du cannabidiol (CBD). Tous ont constaté des améliorations importantes dans la qualité de leur sommeil après avoir commencé un traitement à base de cannabinoïdes[3].
D’autres études suggèrent que les cannabinoïdes présents dans le cannabis interagissent avec les récepteurs CB1 et CB2 du système endocannabinoïde et module ainsi la libération de la dopamine qui joue un role très important dans le contrôle des impatiences. Cette régulation de la dopamine grâce au cannabis a servi à traiter d’autres symptômes de troubles du mouvements comme la maladie de Parkinson[4]. C’est pourquoi on peut penser que le cannabis médical pourrait aussi aider les patients atteints du symptôme de jambes sans repos.
Bon courage pour la suite, mais j'ai le sentiment que tu as tourné la page.
Si le retour de ton copain a la méthadone le met à l'abri, c'est un plus pour vous deux.
Une bonne chose que tu puisses prendre tes distances avec le produit même si il consomme.
La vibe.
Dernière modification par Mister No (22 juillet 2020 à 17:09)
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