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Dernière modification par Rick (08 janvier 2020 à 22:46)
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Vroum277 a écrit
Vroum277
Bonsoir Vroum,
Oui je pense que tu as mis le doigt sur le problème principale. C est l importance du set and setting.
Fatigue, bcp de questionnement pour savoir si tu dois dropper ou pas, prise une semaine auparavant etc, peut être une dose un peu plus forte que d habitude etc.
Avais tu bus de l’alcool ? C est assez souvent un très mauvais combo.
Enfin voilà quoi, ça arrive parfois de foirer une perche, c est le jeu.
Prend le temps de te reposer et de correctement espacer tes perches... normalement on a tendance à dire que le minimum c est 6 semaines entre deux roll de mdma.
Prend soins de toi,
Ocram
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Dernière modification par Agartha (10 janvier 2020 à 12:14)
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Vroum277 a écrit
Salut les gars je suis nouvelle sur le forum et j’aimer trouver la réponse à ma question « pourquoi j’ai fais un bad trip? »
Je vous explique le contexte :
C’était le 31 a un festival en Belgique et je décide de ramener 2 taz ( punisher violet) de France car j’adore les effets de ses bonbons !
J’en avais déjà prit 2 ou 3 fois auparavant toujours eu des bons trop !
Modo: titre /rick
Pour le reste, tu as déjà eu je crois réponse à ta question, mais je voulais revenir sur ce point précis : avoir deux pilules d'ecstasy identiques (même couleur, même logo...) ne signifie absolument pas qu'on peut être sûr qu'elles contiennent la même substance, ni en même quantité. De même le fait d'avoir déjà pris une pilule auparavant, ne garantit en rien qu'en reprenant une pilule de même aspect, on va tomber sur le même produit, la même substance, les mêmes effets. Ça peut même devenir dangereux, si par exemple, ayant fait l'expérience, par exemple, d'un "hibou orange" entier de puissance modérée, la fois suivante tu retombes sur un autre hibou orange et que tu le prends entier en pensant que "ceux là, tu les connais ils sont soft"...Parce que ça ne veut rien dire, et cette fois-ci le hibou peut très bien taper à 380mg de MDMA et te laisser sur le carreau.
Remets-toi bien de cette perche douloureuse en tout cas, espace les prise, fractionne par quarts, bois de l'eau
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steampunk a écrit
Après j'ai l'impression de lire un peu partout des gens qui disent qu'il est bien plus hard de bader sous taz que sous autres drogues, comme les psychés (perso j'en sais rien, j'en ai jamais pris). Mais je ne pense pas vraiment que ce soit le cas, en vrai c'est même plutôt simple quand on y pense : set-and-setting foireux, être témoin d'un événement déplaisant même si le set-and-setting de base était bon... ou juste se sentir dépassé par la puissance des effets !
Jamais entendu de bad qui serait aussi vener sous MDMA mais c'est intéressant comme retour.
En revanche, quand on a jamais atteint le stade ultime du SFST ou sur-flux-sérotinergique (ouais j'invente des mots à 3h du matin le samedi) j'ai déjà vu des potes faire soudainement 200x moins les fiers limite pensant qu'ils vont partir en overdose dans la soirée (regrettant le taz pris y a 5min).
Et c'est vrai que ce niveau ultime qui vous montre ce que vit un schizophrène en pleine crise délirogène (mais sans l'angoisse allant avec la pathologie) peut surprendre et faire s'assoir plus d'un. J'ai déjà vu des gars pourtant rodé, devenir blanc en concert et ne plus se relever d'une chaise trouvée de TOUTE la soirée tellement le changement d'effets vers un putain de feu d'artifice hallucinatoire incompréhensible et confusionnel soit puissant à vivre visuellement.
Mais je ne dirais pas qu'il parte en bad' même s'il regrette d'avoir consommer à ce moment là ou bien ils sont dans le niveau encore suivant, plus puissant, ne savent même plus qui ils sont pendant la phase hallucinatoire sérotinergique surpuissante et là bah y a plus de problème ! On s'en fou il est safe dans son coin hormis que je surveille vite fait quand même.
A ce dernier stade, le machin (votre pote beeeeh oui votre pote souvenez-vous) devient un légume innofensif plein de sueur allongé à toucher toutes les textures possibles mdr
Mais voilà on peut plus bader, du moins j'en ai jamais vu de ma vie et ça me semble empiriquement logique, encore faut-il avoir conscience de soi pour s'affoler qu'on contrôle plus rien et qu'on est devenu fou. Donc à mon sens ce stade est très safe et y a 0 bad puisqu'il y a dissolution de la conscience (d'ailleurs qui serait capable de rappeler un souvenir type MLT épisodique ou sémantique, un truc bien détaillée hormis votre moment de lucidité) je parierais personne tellement la confusion mentale et l'amnésie antérograde est impressionnante. En tout cas ce fut toujours le cas pour moi de toutes mes soirées passées. Une ou trois images marquantes, une hallucination mais sinon AUCUN souvenir.
Dernière modification par Heashka (11 janvier 2020 à 03:29)
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Heashka a écrit
steampunk a écrit
Après j'ai l'impression de lire un peu partout des gens qui disent qu'il est bien plus hard de bader sous taz que sous autres drogues, comme les psychés (perso j'en sais rien, j'en ai jamais pris). Mais je ne pense pas vraiment que ce soit le cas, en vrai c'est même plutôt simple quand on y pense : set-and-setting foireux, être témoin d'un événement déplaisant même si le set-and-setting de base était bon... ou juste se sentir dépassé par la puissance des effets !
Jamais entendu de bad qui serait aussi vener sous MDMA mais c'est intéressant comme retour.
Ah excuse-moi, je me suis mal exprimé ! Ce que je voulais dire par "bien plus hard", c'est que le bad sous MDMA serait, si l'on en croit les témoignages, bien plus difficile à atteindre que le bad sous psychés par exemple. Mais du coup selon moi, c'est un peu une idée reçue, vu qu'il y a tout plein de facteurs susceptibles de déclencher un bad, en plus la MDMA amplifie un peu tous les sentiments donc ça me parait même plutôt simple...
Heashka a écrit
En revanche, quand on a jamais atteint le stade ultime du SFST ou sur-flux-sérotinergique (ouais j'invente des mots à 3h du matin le samedi) j'ai déjà vu des potes faire soudainement 200x moins les fiers limite pensant qu'ils vont partir en overdose dans la soirée (regrettant le taz pris y a 5min).
Oui ! Le terme est bien trouvé :) Je n'ai jamais atteint ce stade, mais j'ai déjà vécu des états qui peuvent s'en rapprocher de loin (cœur qui s'emballe de manière un peu flippante ; hallus du genre se sentir dupère, marcher vers la sortie et puis se rendre compte qu'on va dans la direction opposée alors que deux secondes avant on allait bel et bien vers la sortie, voir des objets/gens qui n'existent pas pendant deux/trois secondes...).
Et ça, il est vrai que c'est souvent arrivé avec des doses assez élevées, et des prises trop rapprochées dans le temps (donc pas suffisamment de sérotonine je pense, et puis, dites-moi si je me trompe, les hallus sont souvent le signe d'un surdosage. Pour ma part, je pèse 55 kg, et je tape à chaque prise entre 300 et 400 mg, apparemment c'est pas très intelligent comme dosage). Après c'est peut-être dû à la prise d'autres prods (mais en quantité "négligeable", genre une petite trace de ké prise deux ou trois heures avant la phase d'hallus).
Heashka a écrit
Mais je ne dirais pas qu'il parte en bad' même s'il regrette d'avoir consommer à ce moment là ou bien ils sont dans le niveau encore suivant, plus puissant, ne savent même plus qui ils sont pendant la phase hallucinatoire sérotinergique surpuissante et là bah y a plus de problème ! On s'en fou il est safe dans son coin hormis que je surveille vite fait quand même.
A ce dernier stade, le machin (votre pote beeeeh oui votre pote souvenez-vous) devient un légume innofensif plein de sueur allongé à toucher toutes les textures possibles mdr
Hmm c'est bien flippant quand même ! T'es sûr que ce soit si safe ? Le cœur doit vraiment morfler, sans parler du cerveau et des neurones je me demande, il y a peut-être des risques d'AVC ou de ruptures d'anévrismes dans ce genre de situations ? Ou autre...
Heashka a écrit
Donc à mon sens ce stade est très safe et y a 0 bad puisqu'il y a dissolution de la conscience (d'ailleurs qui serait capable de rappeler un souvenir type MLT épisodique ou sémantique, un truc bien détaillée hormis votre moment de lucidité) je parierais personne tellement la confusion mentale et l'amnésie antérograde est impressionnante.
Mais même si il y a une amnésie, ça doit être traumatisant, inconsciemment du moins ? Je veux dire qu'on pousse quand même son corps et son cerveau dans leurs derniers retranchements, non ? Les séquelles doivent être bien présentes
Dernière modification par steampunk (11 janvier 2020 à 12:58)
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