Salut Akiko
tu veux dire quoi à propose de ton cousin qui n'a jamais travaillé?
N' at-il jamais eu à s'assumer? A se démerder pour faire bouillir la marmite, payer un loyer, voire le dope.
A 36 ans ça risque d'être dur. J'ai un copain comme ça. Mais lui c'était un enfant gâté. Ses parents on toujours assuré en desespoir de cause. eh bien figure toi que c'est un séjour en prison au japon qui lui appris la discipline, la rigueur et l'estime de soi... et à avoir une atitude zen devant la vie... Il n'avait jamais rien fait. Il a appris la plomberie à 40 ans et maintenant il a une petite boîte avec 4 personnes.
Je suis un peu ironique là et c'est toujours un peu facile de proposer des solutions extrêmes quand on est du bon côté dun manche... mais c'est juste pour dire que la vie est malheureusement dure. Et que pour y faire face il faut être fort où à défaut acquérir une habileté où être travailleur ou courageux....
Y a pas d'échappatoire en dehors de la dope qui permet de se dire : "je verrais plus tard"... et à force de se dire plus tard en s'anesthésiant avec la dope, on peut arriver à 50 piges sans le remarquer et de, toute façon....il arrive un moment où on ne supporte plus de s'anesthésier le sentiment d'échec... mais quand on n'a plsu de chicots, un VIH, des hépatites et d'autres souvenirs des années rebelles, (prison, hopital, OD...) c'est encore plus dur.
Meiux vaut réagir avant.
Ne jamais se décourager. Se relever chaque fois qu'on trèbuche...
Gaffe quand même aux cures :
J'en connais qui on dégoûté des mecs. Je connais aussi des mecs qui s'en sont super bien sorti en jouant le jeu et qui y sont devenus universitaires de haut niveau... C'est souvent une question de rencontre. Tomber sur un éduc, un psy.... qui a l'intelligence de la pédagogie et de la vieet qui sait extraire "la substantifique moelle " des personnes... Mais il sont malheureusement aps très nombreux...
Vaut mieux bien se renseigner avant . Quitte à aller à un entretien aprofondi.
En tout cas, une fois qu'on y est vaut mieux jouer le jeu et profiter à fonds, se fixer un objectif et se donner les moyens pour l'atteindre....
Personnellement , j'ai connu des gens qui ont su trouver des trucs bien partout: même chez le patriarche -au départ à la Boère- j'en connais aussi que des potes ont été cherché enfouraillé là bas pour les sortir de ce cauchemar concentrationnaire..
J'en conansi qui s'en sont sorti grâce à NA (Norcotiques anonymes, des thérapmies comportementatistes et à certaines communautés religieuses...
J'en connais d'autres qui vomissent ce genre de truc.
J'en connais d'autres qui partent au bled... et reveinent 3 ans après , métamorphosés, parfois en bien, parfois en fanatiques du Coran
Mais j'ai jamais connu personne qui s'en soit sorti grâce à Narconon (scientologie)...
ni d'ailleurs quelqu'un qui s'en soit sorti grâce à juste un
sevrage en hosto.....
Y a vraiment intérêt à organiser l'après
Ne aps oublier que la
came a pas mal contribué dilué la volonté la volonté dans la petite cuillère... donc à l'entourage d'avoir la volonté à la place du sevré...
Et quoi qu'on en dise: le
sevrage physique n'est pas fini au bout d'un e semaine. Il subsiste (parfois durant des mois et des mois) des symptomes somatiques évidents tels que : troubles du sommeil, insomnie, fatigue récurente, asthénie, confusion, troubles de la concentration, troubles sexuels, cyclothymie ( humeur évoluant par phases entre la gaieté et la tristesse) , hypomanie : (euphorie, excitation intellectuelle logorrhée et activité exagérée et mal contrôlée )...
Tout ça ça dépend bien sûr de la durée de sa dépendance, des quantités prises, mélanges, qualité et variété des drogues, tempérament.... âge et couluer du canari, numéro de sécu de la grand mère et de la somme du carré de l'hypothénuse;-))
Juste pour t'informer que si tu veux aider ton cousin, il faudra parfois que t'aies de la volonté et de la pêche pour deux ...
en sortant de la cure: il est impératif de quitter le milieu où les drogues sont disponibles, de s'occuper, de s'activer et d'avoir une hygiène de vie (exercice, se lever le matin...)
Et peut être attendre qu'il se sente un peu équilibré dans sa tête pour faire des projets de boulot, d'avenir..
Y a rien de pire que de s'entendre dire tout de suite au sortir du
sevrage physique dur : allez faut que t'aprenne un métier...
Et surout, surtout, qu'il sache qu'il sache qu'il puisse compter sur quelqu'un... qui l'aidera à se relever encore et toujours....mais ne se relèvera pas à sa place....