Quand je consomme du
Zolpidem en tant que tel (la distinction que je pose vous sera claire plus avant) je commence par prendre par voie nasale un cachet, pour en reprendre directement après un par voie orale. Cela me permet d'avoir la petite et rapidissime montée du
Zolpidem par voie nasale qui va se fondre dans l'effet de celui pris par voie orale. Ensuite, minimum une heure après, j'en reprends une trace et de là j'enchaîne sur les
joints d'
hashish pour bien me mettre dans le coton avant de m'endormir. Par chaque session je fais très attention, depuis un épisode inquiétant (gros black out, réveil avec du vomi partout dans ma salle de bain et la moitié d'une boîte de
Zolpidem disparue), à ne superer jamais la quantité de ce schéma (donc 1 en
sniff + 1 en oral, une heure mais plus souvent une heure et demie + 1 en
sniff). Les
alcools sont à proscrire, moi je me concède un verre de bière très légère (genre classique lager blonde) au début juste après le premier
sniff pour faire passer le goût au fond de la bouche. En général, en tout cas, faut vraiment éviter, surtout les
alcools forts et surtout si vous subissez déjà en plein les effets du Zolpi: le risque c'est de ne pas se contrôler à cause justement des ses effets, et on revient à la case black-out avec toutes les merdes qui peut comporter. Au contraire aucun problème à signaler pour moi, au moins, pour la synergie avec le
thc.
De plus, ma règle d'or est de ne jamais répéter ces sessions de Zolpi récréatif plus d'une fois par mois (et encore), car avec ce produit la tolérance grimpe très vite... vu que je le consomme aussi (ça arrive plus souvent) par voie orale pour m'aider à raccourcir mes
descentes de
cocaïne et pouvoir m'endormir plus vite quand je dois me réveiller tôt le lendemain (surtout dans le cas d'une petite séance qui se termine à 1h-2h du matin en semaine et que je travaille le lendemain.)
Voilà tout est dit pour ce qui de ma consommation de Zolpi qui finalement n'est que de nature récréative. C'est une molécule que j'aime bien mais que je crains un peu aussi, j'ai eu plus de problème par elle que par une consommation de
cocaïne beaucoup plus réguliere, une de
hashish quotidienne et une d'
héroïne très épisodique. Ne sous-estime pas son potentiel de nuisance.