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Êtes vous heureux(se) ?
Total : 49
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nofutureorriding85 a écrit
Reponse : Oui !!
depuis 1 mois et sans avoir ma methadone a prendre tous les jours je peux dire que je suis heureux !!
Sacré changement pour moi qui n'aurait pas écris cela 1 an auparavant ....comme quoi quand on es motivé rien est impossible meme si c'est pas évident loin de la en préparant ça au mieux cest faisable
Bravo, continue sur cette voie :)
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Timide Jovial a écrit
Je trouve la question un peu maladroite... on peut être heureux dans certains domaines, malheureux dans d'autres, ce qui est le cas - je pense - de pas mal de monde. Pour moi, une personne qui se considère pleinement (de façon permanente) "heureuse" en ces temps troubles ne peut qu'être un peu déconnectée de la réalité, et aussi un peu égoïste/égocentrique. Se prétendre intégralement "heureux/se" lorsque l'humanité se dirige lentement mais sûrement vers un désastre climatique remettant en question son existence, une 6ème extinction (animale et végétale) massive, une raréfaction irrémédiable de certaines ressources, une démographie incontrôlée, lorsque l'humanité a déjà un pied dans un désastre social fort avancé, quand en ces temps d'opulences apparentes une bonne partie de l'humanité n'a toujours pas de quoi ni boire ni manger à ses besoins, non, je ne crois pas qu'être "heureux" de façon inconditionnelle soit un signe de bonne santé mentale. En tous cas, pour moi, c'est la manifestation d'un certain manque d'empathie, au mieux.
Moi je serai profondément et intégralement heureux quand la société sera profondément et intégralement apaisée. Le bonheur béat et inconditionnel - sauf s'il est ponctuel - me semble quelque chose de malsain dans l'environnement actuel, à moins de ne considérer l'humanité que comme une somme d'individualités "heureuses" (ou pas) déconnectées les unes des autres, où chacun vit son bonheur de son côté et basta. Ce qu'elle n'est pas. L'humain est un animal social.
Pour répondre à ta question, je suis "heureux" au quotidien : j'ai une passion qui m'anime depuis fort longtemps, une femme idéale, un toit, à manger, à boire, etc. Mais sur le long cours je me sens profondément triste (=malheureux) du fait que l'humanité parte dans une logique (auto)destructrice. Peut-être faudrait-il distinguer le fait d'être épanoui et le fait d'être heureux, ça peut se recouper, mais pas toujours...
En réalité, la vie et tous ses aspects sont trop complexes pour qu'on puisse les résumer simplement à un notion de bonheur ou de malheur ressenti.
Bon, je suis peut-être un peu trop sensible et réceptif à la merde qui nous entoure, et peut-être devrais-je me contenter d'être juste heureux pour ma gueule et m'en foutre du reste. "Après moi, le déluge".
Je réagis aussi à ce post parce que ce sondage c'est exactement la question que tu m'avais posée il y a quelques temps sur un autre post, quand je donnais mon avis vis-à-vis des trucs autour du "bonheur personnel" que tu promouvais. Je ne voulais pas développer à ce moment-là, mais c'est désormais chose faite (enfin vite fait).
Peace
Your dream world is a very scary place
Your dream world is a very scary place
Your dream world is a very scary place
To be trapped
Your dream world is a very scary place
Your dream world is a very scary place
Your dream world is a very scary place
To be trapped inside
To be trapped inside
To be trapped inside
All your life
Shine in time
Shine in time
Shine in time
Until you find
You're closer
You're closer
To the truth
Within you
Within you
Within you
Is the truth
That your dream world is a very scary place
That your dream world is a very scary place
That your dream world is a very scary place
To be trapped inside
To be trapped inside
To be trapped inside
All your life
You're closer
You're closer
You're closer
To the truth
Within you
Within you
Within you
Is the truth
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Dernière modification par Acid Test (16 avril 2021 à 21:47)
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JellyFish's Dream a écrit
Je suis extrêmement heureux de participer à ce sondage. Cette donnée fait elle partie de l'équation ?
Ce questionnement me mets mal à l'aise, ça me rend triste.
Sinon ma couleur préférée est le violet
mauvaise foi off. désolé j'étais obligé.
JFD
Pourquoi le violet et pas une autre couleur ?
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Sopphia a écrit
Your dream world is a very scary place
Your dream world is a very scary place
Your dream world is a very scary place
To be trapped
Your dream world is a very scary place
Your dream world is a very scary place
Your dream world is a very scary place
To be trapped inside
To be trapped inside
To be trapped inside
All your life
Shine in time
Shine in time
Shine in time
Until you find
You're closer
You're closer
To the truth
Within you
Within you
Within you
Is the truth
That your dream world is a very scary place
That your dream world is a very scary place
That your dream world is a very scary place
To be trapped inside
To be trapped inside
To be trapped inside
All your life
You're closer
You're closer
You're closer
To the truth
Within you
Within you
Within you
Is the truth
Mouais, tu sais une chanson ça fait pas une discussion hin. Belle pirouette ! Ça aurait été plus intéressant que tu développes la notion de "bonheur" que tu évoques. Tu préfères rester dans les cases prédéfinies d'un sondage à choix contraints ? Assez d'accord avec ce qui se dit plus haut, l'IFOP t'attend !
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Acid Test a écrit
Par contre , contrairement à cette personne ,je pense qu'on peut se sentir heureux ou malheureux à differents degrés dans sa vie .
Je ne sais pas si c'est à mon premier post que tu fais allusion, mais c'est exactement ce que je voulais dire. Désolé je suis peut-être parti dans un mode alambiqué pour exprimer ce que tu viens de dire simplement :)
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Timide Jovial a écrit
Mouais, tu sais une chanson ça fait pas une discussion hin. Belle pirouette ! Ça aurait été plus intéressant que tu développes la notion de "bonheur" que tu évoques. Tu préfères rester dans les cases prédéfinies d'un sondage à choix contraints ? Assez d'accord avec ce qui se dit plus haut, l'IFOP t'attend !
Eh ben tu as l'air d'être un optimiste toi dis donc :)
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Sopphia a écrit
Eh ben tu as l'air d'être un optimiste toi dis donc
Je le suis effectivement, doublé d'un réaliste-pragmatique. C'est pour ça que je trouve que les sondages de ce genre n'ont aucun sens, enfin je ne sais pas trop où tu veux en venir avec cette démarche. Développe ! Tu es homme/femme ? Heureux-se/malheureux-se ? Bordel, quelle approche codifiée et simpliste des choses.
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Timide Jovial a écrit
Sopphia a écrit
Eh ben tu as l'air d'être un optimiste toi dis donc
Je le suis effectivement, doublé d'un réaliste-pragmatique. C'est pour ça que je trouve que les sondages de ce genre n'ont aucun sens, enfin je ne sais pas trop où tu veux en venir avec cette démarche. Développe ! Tu es homme/femme ? Heureux-se/malheureux-se ? Bordel, quelle approche codifiée et simpliste des choses.
Oh la la ce que tu peux être grincheux...
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Sopphia a écrit
N'hésitez pas à expliquer votre choix
Ce que j'ai fait. Fort déçu de si peu de répartie par la suite je suis. Tu esquives tel le serpent entre les cailloux. Je dois mettre un smiley pour pas me faire traiter de janséniste, ou pas ?
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Dernière modification par supermario64 (16 avril 2021 à 22:47)
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Timide Jovial a écrit
Arf. À part la psychologisation à outrance, t'as pas des trucs plus intéressants à dire ? Je te rappelle quand même ça en passant :
Sopphia a écrit
N'hésitez pas à expliquer votre choix
Ce que j'ai fait. Fort déçu de si peu de répartie par la suite je suis. Tu esquives tel le serpent entre les cailloux. Je dois mettre un smiley pour pas me faire traiter de janséniste, ou pas ?
Pourquoi prend tu les choses aussi sérieusement, détend toi...
Laisse toi un peu respirer pour une fois, rien n'est sérieux, lâche prise t'a rien à perdre
bisous
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Sopphia a écrit
Pourquoi prend tu les choses aussi sérieusement, détend toi...
Laisse toi un peu respirer pour une fois, rien n'est sérieux, lâche prise t'a rien à perdre
Je suis ultra détendu, à un point que tu n'imagines peut-être pas. Juste, j'aime discuter, vraiment. La question n'est pas "moi", mais le sujet que tu lances et que tu n'assumes pas jusqu'au bout ! Tu es d'une telle légèreté... mais tu esquives...tu esquives quand il s'agit de développer des choses. Un sondage ça va bien un moment. Donne-nous donc une définition du "bonheur", et comment tu vois la chose, plutôt que d'essayer de me faire passer pour un austère personnage (smiley sincère offert par la boutique). Bref, rentre - vraiment - dans la discussion plutôt que nous balancer un QCM.
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Sopphia a écrit
Timide Jovial a écrit
Je le suis effectivement, doublé d'un réaliste-pragmatique. C'est pour ça que je trouve que les sondages de ce genre n'ont aucun sens, enfin je ne sais pas trop où tu veux en venir avec cette démarche. Développe ! Tu es homme/femme ? Heureux-se/malheureux-se ? Bordel, quelle approche codifiée et simpliste des choses.Oh la la ce que tu peux être grincheux...
Et toi tu fais surement une enquête sociologique déguisée en agent secrète pour le compte d une groupe aliens.
Les multiples personnalites qui m habitent se déclarent heureuses et malheureuses en même temps.
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Dernière modification par Rick (16 avril 2021 à 23:27)
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Janis a écrit
Les multiples personnalites qui m habitent se déclarent heureuses et malheureuses en même temps.
Mamamia tu vas trop loin là. Je suis navré de te le dire, mais tu ne pourras répondre à ce sondage.
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Timide Jovial a écrit
Pour moi, une personne qui se considère pleinement (de façon permanente) "heureuse" en ces temps troubles ne peut qu'être un peu déconnectée de la réalité, et aussi un peu égoïste/égocentrique.
Et oui, pourtant quand on voit les élites psychopathes qui continuent à festoyer (sans aucun risque de verbalisation eux) alors qu'ils sont en partie responsables des morts du covid (pas de stock de masques donc n'en portez pas c'est pas nécessaire, démembrements depuis des années du budget des hôpitaux, etc.), de l'augmentation de la précarité (estimation de presque 15 millions de français sous le seuil de pauvreté en 2020), notamment suite aux confinements à répétition et de la dégradation de la santé mentale (l'augmentation des addictions en témoigne, avec 1 tiers d'usagers de psychotropes qui ont augmenté leurs consos en 2020 et 1 français sur 10 qui s'est mis aux antidép' ou aux benzos)...
Timide Jovial a écrit
Moi je serai profondément et intégralement heureux quand la société sera profondément et intégralement apaisée.
Bon courage ! Remarque, le couvercle de la cocotte minute ne peut pas être maintenu éternellement...là comme par hasard le confinement se prolonge après le 1er mai (et l'interdiction de bouger entre régions c'est pratique pour stopper la "marche des oubliés") mais tôt ou tard...
Dernière modification par Anonyme2021 (17 avril 2021 à 00:52)
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Timide Jovial a écrit
Je suis ultra détendu, à un point que tu n'imagines peut-être pas. Juste, j'aime discuter, vraiment. La question n'est pas "moi", mais le sujet que tu lances et que tu n'assumes pas jusqu'au bout ! Tu es d'une telle légèreté... mais tu esquives...tu esquives quand il s'agit de développer des choses. Un sondage ça va bien un moment. Donne-nous donc une définition du "bonheur", et comment tu vois la chose, plutôt que d'essayer de me faire passer pour un austère personnage smile (smiley sincère offert par la boutique). Bref, rentre - vraiment - dans la discussion plutôt que nous balancer un QCM.
Si mon sondage ne te plaît pas n'y participe pas et ne vient pas te plaindre qu'il existe.
En plus j'ai bien précisément "expliquer votre choix".
PS: pour répondre à ta question, s'il te faut une définition au bonheur je t'invite à regarder dans le dico ou ailleurs, il existe pleins de définitions et elles se rejoignent toutes +- sur le fond. Je ne vais pas te donner la mienne car tu ne seras sûrement pas d'accord avec, tandis que avec une définition plus universelle/officiel tu seras moins tenté de t'y opposer.
Bisous
Dernière modification par Sopphia (17 avril 2021 à 09:20)
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Se prétendre intégralement "heureux/se" lorsque l'humanité se dirige lentement mais sûrement vers un désastre climatique remettant en question son existence, une 6ème extinction (animale et végétale) massive, une raréfaction irrémédiable de certaines ressources, une démographie incontrôlée, lorsque l'humanité a déjà un pied dans un désastre social fort avancé, quand en ces temps d'opulences apparentes une bonne partie de l'humanité n'a toujours pas de quoi ni boire ni manger à ses besoins, non, je ne crois pas qu'être "heureux" de façon inconditionnelle soit un signe de bonne santé mentale.
Bonjour, permets à quelqu'un de plus âgé de te rassurer un peu. Quand j'étais jeune nous étions 1 milliards et demi et les experts disaient que quand nous serions 3 milliards ce serait la famine et la guerre civile.
Nous sommes plus de 7 milliards et la famine et la pauvreté avait un peu reculé (avant le COVID), même si elles sont encore inacceptables.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Population_mondiale
https://news.un.org/fr/story/2020/09/1076302
Ma conclusion est qu'il faut croire en l'homme. Même si certains dirigeants mondiaux font tout pour nous plonger dans le desespoir, il y a des milliards de femmes et d'hommes qui méritent notre sympathie, notre respect et notre admiration.
Sur le bonheur voir
c298.pdf
La mesure du bien-être, un exercice impossible mais indispensable
« Dès qu'un homme cherche le bonheur il est condamné à ne pas le trouver. »1
Comment mesurer ce qui paraît, par essence, si insaisissable ? Comment quantifier ou jauger un sentiment ou une émotion, un état que chacun peine à définir, à comprendre et qui n’apparaît si clairement que lorsqu’il fait défaut ? Est-il possible de trouver des étalons de mesure qui s’appliquent quelles que soient les cultures, qui résistent au temps et arrivent à rendre compte des multitudes d’individualités avec leurs aspirations propres ?
Et pourtant l’exercice apparait de plus en plus nécessaire. Longtemps la mesure du progrès des sociétés a été dévolue à la science économique. Sur un plan macro-économique, le Produit intérieur brut a ainsi focalisé une grande partie de l’attention.
Outil de mesure stabilisé, il devait témoigner de l’opulence des sociétés, permettre des comparaisons dans le temps, ou dans l’espace dans un univers mondialisé.
Au niveau individuel, le revenu moyen devait pouvoir rendre compte du bien-être de chacun. Mais depuis quelques années, le besoin de compléter ces approches est devenu indispensable.
Tout d’abord car ces indicateurs économiques n’intègrent pas des dimensions non marchandes pourtant génératrices de bien-être comme le travail domestique ou les soins aux enfants, le temps passé avec ses amis, l’investissement associatif, ou tout simplement le temps libre. Des caractéristiques propres aux sociétés qui ont pourtant un impact sur le bien-être de chacun échappent aussi à ces indicateurs : le pays est-il démocratique ? les individus se sentent-ils libres ? ont-ils accès à une justice efficace et non corrompue ? les citoyens ont-ils accès à une protection sociale en cas de coup dur ?
Les infrastructures, les services publics sont par ailleurs valorisés en fonction des dépenses occasionnées et non pas des bienfaits qu’ils peuvent procurer. La mesure du PIB n’intègre pas non plus les effets des modes de production sur les générations futures (les investissements réalisés ou au contraire les ressources surexploitées, etc.).
Enfin, une dernière critique vise surtout le PIB, qui ne permet pas de donner une image de la répartition des richesses au sein de la société. La mesure des différentes composantes du bien-être s’impose de plus en plus à l’appareil statistique, selon les recommandations — entre autres — de la commission Stiglitz-Sen-Fitoussi2 : les politiques publiques doivent disposer d’indicateurs plus fins leur permettant de percevoir quels sont les besoins et les aspirations de la population, d’identifier les priorités et de réorienter leurs actions.
Le présent document vise donc à apporter quelques éléments de réponse à cette ambitieuse question :
Des Français heureux
Les Français sont souvent décrits comme un peuple maussade et grognon, perpétuellement insatisfaits de leur situation. Pourtant, lorsqu’on les interroge, 33% se disent « très souvent » heureux, 47% « souvent heureux ».
Au total, c’est donc huit Français sur dix qui s’estiment satisfaits de leur vie.Nous avions dans cette formulation opté pour une échelle de fréquence, pensant qu’il serait peut-être plus aisé pour les interviewés de se déclarer seulement « occasionnellement » heureux que « pas très heureux ». En réalité, la formulation proposée ne semble pas réellement changer la répartition des réponses obtenues. D’une enquête à l’autre, selon les questions posées et notions abordées, les méthodes utilisées, ou même les années d’observation, la balance penche toujours clairement du côté positif et les proportions de Français « satisfaits de la vie qu’ils mènent », « satisfaits de leur vie ces temps-ci », « très ou assez heureux », ne descendent jamais en dessous de la barre des 70% (Eurobaromètre, satisfaction par rapport à la vie que l’on mène en 1991) et
Etre entouré et se sentir libre de mener sa vie les facteurs clés du bonheur
Pour se faire une idée des facteurs les plus déterminants du bien-être, nous nous sommes appuyés sur une analyse statistique visant à repérer les caractéristiques des personnes qui se disent « très souvent » heureuses. Mais il nous a semblé également intéressant de donner la parole aux interviewés, à qui nous avons posé quatre questions, dites « ouvertes », c’est à dire sans aucune réponse prévue, leur permettant de s’exprimer librement : « Qu’est-ce qui vous rend heureux dans votre vie actuelle ? », « Qu’est-ce qui vous rend malheureux dans votre vie actuelle ? » « En dehors de la période actuelle, qu’est-ce qui, dans votre vie, est susceptible de contribuer à vous rendre heureux ? » et « En dehors de la période actuelle, qu’est-ce qui, dans votre vie, est susceptible de contribuer à vous rendre malheureux ? »
L’éventail des raisons d’être heureux évoquées par les Français est très large et pas moins d’une trentaine de motifs sont mentionnés spontanément par les interviewés, allant du « soleil », à la « nature », en passant par la « retraite » ou encore la « liberté », etc. Mais trois des principales raisons évoquées spontanément tournent autour des liens affectifs: les enfants (36%), la famille (30%) ou le couple (17%) rassemblent 66% des interviewés.
Les registres évoluent avec le cycle de vie : les plus jeunes trouvent le bonheur dans un cercle relationnel élargi (qui intègre aussi les amis), et au fil du temps, le bonheur trouve sa source de plus en plus au sein de la famille nucléaire. Notons au passage que les enfants constituent une sorte de « valeur refuge », et sont plus souvent cités par les personnes qui se disent occasionnellement heureuses que par celles qui s’estiment pleinement épanouies.
Autre motif récurrent dans les mots des interviewés : le travail constitue une source du bonheur pour 22% de la population dans son ensemble. Chez les actifs occupés, le taux s’élève même à 37%, plaçant la vie professionnelle en tête des motifs les plus cités, juste devant la famille (36%) et les enfants (32%). Les loisirs, hobbys sont ensuite cités par 13%
Si la situation financière ou la santé sont assez peu évoquées comme des raisons d’être heureux aujourd’hui, ils semblent en revanche davantage perçus comme des moyens d’améliorer le bien-être. Réciproquement, précarité financière et mauvaise santé sont les deux principaux vecteurs du malheur. Autrement dit, dans la bouche des interviewés, les problèmes d’argent ou les difficultés de santé constituent un obstacle sérieux au bonheur mais avoir des revenus ou une bonne santé ne peuvent, seuls, être la source du bonheur.
Au total, les Français se situent toujours à un niveau proche de la moyenne européenne, et se situent à un rang médian dans les différents palmarès. Et finalement, les chercheurs ont du mal à s’accorder sur l’existence, ou l’absence, de traits culturels hexagonaux qui pousseraient nos concitoyens à un certain pessimisme ou optimisme.
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (17 avril 2021 à 09:09)
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KetozoreDTR a écrit
Oui, toujours ! Je m'impose cette philosophie car je suis entouré de gens malheureux qui n'ont de cesse de se plaindre de leur vie ou du monde...
Néanmoins, certaines périodes sont teintées de tristesse ou de difficulté diverses mais je reste positif
Je suis jeune, en forme, sans difficulté, donc j'ai pas à me plaindre et si je peux aider ceux qui sont dans le mal je le fais !
Très bon soudage soit dit en passant !
Merci C'est très bien.
Une fois qu'on comprend que ça ne sert a strictement rien de se plaindre de choses sur lesquelles ont n'a aucun contrôle (90% des choses qui arrivent ou le passé), on commence à être de plus en plus heureux.
C'est assez simple à intégrer, ça demande juste de la conscience, être plus conscient de nos pensées et repérer dès qu'on reprend l'habitude de se plaindre d'une chose sur laquelle on n'a aucun contrôle ou encore regretter le passé alors qu'il est inchangeable.
Ca change vraiment la vie car une fois que tu sais faire la différence sur les choses sur lesquelles tu as le contrôle et les choses sur lesquelles tu n'en a pas, tu fais de ton mieux et presque plus rien ne peux déranger ta paix intérieur ou ton "bonheur".
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Bambou91 a écrit
Heureuse ? C quoi être heureux ? Jme pose pas la question. Un jour après l autre... Je pense pas que l'on puisse être heureux en permanence. Est ce que le bonheur dépend de l humeur ? Sûrement.
Heureuse ? Je sais pas
Va voir des définitions ou lis des livres sur le sujet...
Sinon assied toi et pose toi la question "c'est quoi être heureuse" et attend d'avoir tes réponses.
Si t'es honnête avec toi-même il y a bien des moments ou tu t'es sentie heureuse ou encore ou tu t'es dis quelque chose dans le style "je suis heureuse la"
Tout le monde à connu ça au moins une fois dans sa vie, même quelques secondes.
Une fois que tu sais c'est quoi être heureuse, demande toi comment tu pourrais faire pour le devenir plus souvent. Qu'est-ce-que tu dois changer dans tes pensées, ta vie etc... ça vaut la peine tout le monde veut vivre heureux, je ne connais pas une personne sur terre qui dise "ah non moi je veux être malheureux toute ma vie".
Evidement c'est important d'avoir nos moments de douleurs et tristesse car ça peut apporter des choses si on sait quoi en faire. Mais ça n'empêche pas d'être heureux(se) 90% du temps si on le choisit
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Sopphia a écrit
KetozoreDTR a écrit
Oui, toujours ! Je m'impose cette philosophie car je suis entouré de gens malheureux qui n'ont de cesse de se plaindre de leur vie ou du monde...
Néanmoins, certaines périodes sont teintées de tristesse ou de difficulté diverses mais je reste positif
Je suis jeune, en forme, sans difficulté, donc j'ai pas à me plaindre et si je peux aider ceux qui sont dans le mal je le fais !
Très bon soudage soit dit en passant !Merci C'est très bien.
Une fois qu'on comprend que ça ne sert a strictement rien de se plaindre de choses sur lesquelles ont n'a aucun contrôle (90% des choses qui arrivent ou le passé), on commence à être de plus en plus heureux.
C'est assez simple à intégrer, ça demande juste de la conscience, être plus conscient de nos pensées et repérer dès qu'on reprend l'habitude de se plaindre d'une chose sur laquelle on n'a aucun contrôle ou encore regretter le passé alors qu'il est inchangeable.
Ca change vraiment la vie car une fois que tu sais faire la différence sur les choses sur lesquelles tu as le contrôle et les choses sur lesquelles tu n'en a pas, tu fais de ton mieux et presque plus rien ne peux déranger ta paix intérieur ou ton "bonheur".
Exactement, ça s'apparente à ce qu'on appelle l'ataraxie il me semble (si seulement j'avais écouté en philo ?
Tu penses que les drogues aident à atteindre ce niveau de conscience ou pas ? Je m'interroge sur la place de genre de substances dans la vie c'est pour ça que je te demande ton avis
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KetozoreDTR a écrit
Exactement, ça s'apparente à ce qu'on appelle l'ataraxie il me semble (si seulement j'avais écouté en philo lol ?
Tu penses que les drogues aident à atteindre ce niveau de conscience ou pas ? Je m'interroge sur la place de genre de substances dans la vie c'est pour ça que je te demande ton avis
Ah d'accord je savais pas, moi j'ai retrouvé ça dans le stoïcisme, le taoïsme et le bouddhisme et je suppose que il y a ce message dans pleins d'autres philosophies / religions car c'est une façon censé et sage de vivre.
Se plaindre des choses sur lesquels on n'a aucun contrôle, une fois qu'on ne fonctionne plus de cette manière et qu'on à assez de recul s'apparente à de la folie.
Quand tu fonctionnes toute ta vie comme ça parce-que tout le monde autour de toi fait pareil et que tu ne connais rien d'autre, tu trouves ça normal.
Mais oui avec assez de recul je me suis aperçue que c'était un comportement mauvais et totalement inutile.
Alors pour les substances et la conscience je sais pas du tout mais j'aurai tendance à dire que ça peut aider car pendant certains trips introspectif on peux parfois se rendre compte qu'on a des fausses croyances ou des comportements destructeurs.
Et pleins d'autres choses évidemment...
Moi je parlais pas d'état de conscience modifié ou élevé, je parlais simplement d'être plus conscient de nos pensées et mécanismes de pensées tout au long de la journée pour pouvoir nous améliorer et ne pas répéter les schémas négatifs qu'on veut justement modifier
La méditation et la pleine conscience aident beaucoup pour ça ^^ mais je crois qu'il existe d'autres techniques qui fonctionnent tout aussi bien!
Dernière modification par Sopphia (17 avril 2021 à 11:57)
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