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Dernière modification par elonnx (12 mars 2024 à 00:23)
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Dernière modification par Cycle (12 mars 2024 à 00:35)
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Volante a écrit
Si l'un d'entre vous a connu l'expérience, ou bien la vit actuellement, de ne plus pouvoir travailler sans consommer de coke, je serai prête à échanger sur ce sujet.
Salut !
Ce que tu écris me fait beaucoup penser à ce podcast que j’ai écouté il n’y a pas longtemps, il t’intéressera peut-être :
Sniffer en travaillant
Bon courage et force à toi
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Pour la première citation, pourquoi faire un sevrage quand diminuer suffit ?? Un sevrage, c'est du stress inutile alors que sur moi, un arrêt de deux jours me file la pêche et je reprends à faible dose pour ne pas perturber mon alimentation et mon sommeil qui sont indispensables pour bien étudier. Je suis passé de 3 g d'herbe à un demi g en une semaine sans souffrir de quoi que ce soit et avec un gros regain d'énergie. L'arrêt net par contre, je l'ai fait dans ma jeunesse et l'insomnie qui a suivi m'a fortement déplu.
Deuxième citation, c'est la première fois que je lis le terme de craving concernant le cannabis. Le craving , c'est le besoin irrésistible de re-consommer de suite, copain assez connu de la coke.
Amicalement
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Streetardimfs a écrit
Compte tenu de ceci, avoir recours à une drogue pour compenser un état de faiblesse ne fera que créer un nouveau cycle d'addiction. Et comme vous avez un potentiel terrain addictif, je ne peux pas vous conseiller de pratiquer une forme d'auto-médication à risques.
Bonjour,
cette réponse est pleine de préjugés et de "conseils" normatifs, et en plus ne répond pas à la question de base. Et puis ca déprécie l'auto-medication, qui est une des libertés qu'il nous reste, sans avoir a passé par un médecin.
Il y a beaucoup d'exemple de personnes qui arrivent à gérer une drogue en en prenant une autre :
https://www.psychoactif.org/forum/2024/ … 759_1.html
Pour répondre : travailler sous coke, est un apprentissage. Les première fois, tu risques surtout soit de ne rien ressentir, soit d'etre pris par l'effet. Ca va pas forcément te servir à t'avancer dans le boulot ni rattraper ton retard.
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Dernière modification par Gastox (21 octobre 2024 à 14:18)
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Dernière modification par prescripteur (24 octobre 2024 à 08:28)
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Dernière modification par Macallan16 (16 décembre 2024 à 14:32)
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Cycle a écrit
Par contre cela me surprends un peu que tu ne ressentes pas de descente horrible avec la c quand t'as finit le G.
Cela dépend de la qualité de la coke , qui est plutôt soft et propre de mon point de vue , quand tu as accès a une bonne coke sans lidocaine ou autre adulterants, j'en ai eu via un reseau pendant une dizaine d'année ( il y a logntemps ) et je n'ai jamais eu d'effets secondaires, mise à part des cravings mais pas trop intenses.. d'ailleurs je trouve étrange cette histoire de gout et d'odeur de metal ^^
Amicalement
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Dernière modification par meumeuh (Hier à 08:34)
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Adriannn45 a écrit
A oui et quant aux hommes d'affaires, on est pas dans loup de wall street là, je suis dans les affaires, je suis dirigeant de plusieurs entreprises et crois moi personne n'en prends, et encore moins pour travailler efficacement.
Effectivement dans les soirées de quarantenaire aisés ça tourne, mais pas au travail. Une sorte de légende haha
Non c'est FAUX ce que tu dis, car cela existe réellement, moi le premier j'ai étais commercial, et avant meme j'ai travaillé comme vendeur dans la fournitures industrielles, également dans les metiers de bouches et la plupart des collègues de travails, ben ça taper, de la cocaine et certains de la rabla et meme fumer un bedo avant d'aller bosser
Et bien sûr que dans le milieu de la finance, dans la restauration, mais ce
Pas vraiment les chefs d'entreprises mais plus ceux qui travaillent dans les cuisines ou en salle, idem pour ceux qui partent plusieurs semaines ou mois travailler sur des thoniers ou des chalutiers, souvent certains d'entre eux ont des dizaine de grammes de coke et aussi parfois d'héroïne pour pouvoir tenir !
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(pages 34,35)
Diversification sociale des usagers de cocaïne
Depuis les années 2000, le profil socioprofessionnel de la population adulte concernée par l’usage de cocaïne s’est largement modifié : si l’usage de la cocaïne culmine toujours parmi les chômeurs
(l’expérimentation passant de 5,6 % en 2005 à 8,7 % en 2017, et l’usage dans l’année de 1,8 % à 2,7 %), la proportion d’usagers s’est stabilisée dans ce groupe alors qu’ellea augmenté de façon significative parmi les actifs occupés (passant, entre 2005 et 2017, de 2,5 % à 5,6 % d’expérimentateurs et de 0,4 % à 1,6 % d’usagers dans l’année23). Ainsi, cette consommation apparaît moins clivée entre, d’une part, des initiés au pouvoir d’achat élevé et, d’autre part, des usagers marginalisés : elle
concerne désormais tous les groupes professionnels, et notamment les professions intermédiaires(6,2 % d’expérimentateurs en 2017 et 2,0 % d’usage dans l’année), les employés (3,9 % et 1,1 %) et les ouvriers (6,2 % et 1,8 %).
Une pratique qui touche tous les secteurs professionnels
L’expérimentation de cocaïne touche désormais des personnes travaillant dans tous les secteurs professionnels. Contrairement aux années 2000, plus aucun secteur d’activité ne se distingue par une proportion significativement inférieure à la moyenne (Andler et al., 2021). La diffusion de cocaïne reste toutefois plus répandue dans certains secteurs d’activité : hébergement et restauration (près d’un expérimentateur sur dix dans ce groupe professionnel, soit trois fois plus que la moyenne, avec 16 % d’initiés parmi les hommes et 7 % parmi les femmes) ; arts, spectacles et services récréatifs (18 % d’expérimentateurs, jusqu’à 26 % parmi les hommes) ; information et communication (9,7 % d’expérimentateurs) (Andler et al., 2021 ; Beck et al., 2016).
Les stats d'Andler 2021 ont été obtenues par sondage telephonique aleatoire.
Il est donc possible que le nombre d'usagers de substances illégales soit sous estimé par mefiance, auto-stigmatisation etc..
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405359_spf00002978.pdf
Dernière modification par prescripteur (Hier à 11:46)
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[ Forum ] Dépistage - Visite médicale et positivité a la Cocaïne (Conso court terme/intensif)
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