Ai-je emprunté une route sans retour possible?
Publié par Spider_noaman,
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- Spider_noaman
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Bonjour à tous .
Je vais commencer par mettre mettre un peu de contexte dans mon passif puis poser ma question(désoler d’avance pour l’orthographe).
J’ai grandi au côté de ma mère mon frère et ma soeur au Maroc séparée de mon père j’étais heureux malgré un père assez absent , tout ça jusqu’à mes 12-13 ans ou j’ai rejoint mon frère chez mon père en France ,suite à ça j’ai vécu les pire année de ma vie suite à des violences physiques et psychique commis par mon père .(en très court résumés )
J’ai vite trouver refuge dans le cannabis vers mes 15ans puis la ketamine principalement ,en essayant en parallèle presque toute les drogue disponible sur le marché de la meth au lsd ou autre RC a 16ans ,ce qui m’a ouvert les porte des consommation mais sans vraiment accrocher très fort à toute c’est drogue . (apart cannabis et plus légèrement la ketamine que j’ai vite abondonner pour les opi )
Puis un jour j’ai découvert les opiacés j’ai commencé par la codéine puis rapidement je suis passée a l’héroïne à 17ans tout c’est fait très rapidement je suis directement tomber amoureux de cette substance qui anéantissait toute mes lacunes c’était le paradis j’ai vite enchainé dans la même année par m’injecter de loxy morphine et héroïne saupoudrée de benzo à très forte dose dont je suis devenu addict aussi à hauteur de 10mg de xannax en équivalences de benzo RC et autre j’ai commencer à dealer pour payer mes conso j’ai complètement lâcher l’école volée ma famille ect, le schéma classique d’un jeune qui lache tout pour son addiction tout ça jusqu’à mes 18ans (tout c’est passer très vite mais très intensément ).
Mon frère a appris que je consommer mais je lui avait toujours cacher les point inquiétant comme les IV ,les dose monstrueuses et les état dans lequel je finissais mais il a commencé par voir que je partais en cacahuète je me pointais complètement éteint devant lui il en a donc informé ma mère qui était au courant de rien contrairement à lui j’ai suite a ça essayer de me sevrer plusieurs fois physiquement et psychologiquement et échouer en rechutant plus fort à chaque fois .
(J’ai oublier de préciser mais je suis tdah dépressif avec trouble anxieux généraliser et ça a eu un gros impact sur les conso et comment je les gère )
Au jour d’aujourd’hui je suis sevré depuis 4mois j’ai l’intention de me sevrer réellement pour la première fois ,ou avant j’étais dans le déni je ne consomme plus rien apart de la nicotine même plus de cannabis .
Mais tout ça ma laisser un vide énorme pas tant des craving insurmontables mais le sentiment que je ne pourrai plus vivre aucun moment avec autant d’innocence qu’avant , tout est différent sans que je sache quoi exactement comme connaître la route du paradis mais être condamné à prendre une autre route .
Je ne pense pas que c’est un PAWS ni des symptômes du sevrage j’ai déjà vécu et passée ca, mais une sensation autre .
J’en viens à poser ma question au consommateur d’opiace ou de produit en générale
Es possible de revivre pleinement sans substance après les avoir connu?
Ou peut être la solution auquel j’ai pensée et d’avoir des plaisir occasionnel ? Pour ne jamais vraiment abondonner ce sentiment de plainitude?
Ou peut être un tso j’en avais un avant de me sevrer complètement , j’étais au subu 6mg/j alpraz 1mg/j et prazepam 40mg/j j’étais bien je me sentais pas comme aujourd’hui mais esque c’était juste une lune de miels et que ça aurais fini par devenir une norme ? ou es que ça peut vraiment palier à ce sentiment?
J’en appelé à vos témoignages , de conseils, d’expérience , de remontage de moral mdr ou tout ce qui vous paraît pertinent.
Merci de m’avoir lu jespere ne pas avoir été trop long . (si y’a des point où j’ai pas été clair je peux y répondre avec plaisir)
Je vais commencer par mettre mettre un peu de contexte dans mon passif puis poser ma question(désoler d’avance pour l’orthographe).
J’ai grandi au côté de ma mère mon frère et ma soeur au Maroc séparée de mon père j’étais heureux malgré un père assez absent , tout ça jusqu’à mes 12-13 ans ou j’ai rejoint mon frère chez mon père en France ,suite à ça j’ai vécu les pire année de ma vie suite à des violences physiques et psychique commis par mon père .(en très court résumés )
J’ai vite trouver refuge dans le cannabis vers mes 15ans puis la ketamine principalement ,en essayant en parallèle presque toute les drogue disponible sur le marché de la meth au lsd ou autre RC a 16ans ,ce qui m’a ouvert les porte des consommation mais sans vraiment accrocher très fort à toute c’est drogue . (apart cannabis et plus légèrement la ketamine que j’ai vite abondonner pour les opi )
Puis un jour j’ai découvert les opiacés j’ai commencé par la codéine puis rapidement je suis passée a l’héroïne à 17ans tout c’est fait très rapidement je suis directement tomber amoureux de cette substance qui anéantissait toute mes lacunes c’était le paradis j’ai vite enchainé dans la même année par m’injecter de loxy morphine et héroïne saupoudrée de benzo à très forte dose dont je suis devenu addict aussi à hauteur de 10mg de xannax en équivalences de benzo RC et autre j’ai commencer à dealer pour payer mes conso j’ai complètement lâcher l’école volée ma famille ect, le schéma classique d’un jeune qui lache tout pour son addiction tout ça jusqu’à mes 18ans (tout c’est passer très vite mais très intensément ).
Mon frère a appris que je consommer mais je lui avait toujours cacher les point inquiétant comme les IV ,les dose monstrueuses et les état dans lequel je finissais mais il a commencé par voir que je partais en cacahuète je me pointais complètement éteint devant lui il en a donc informé ma mère qui était au courant de rien contrairement à lui j’ai suite a ça essayer de me sevrer plusieurs fois physiquement et psychologiquement et échouer en rechutant plus fort à chaque fois .
(J’ai oublier de préciser mais je suis tdah dépressif avec trouble anxieux généraliser et ça a eu un gros impact sur les conso et comment je les gère )
Au jour d’aujourd’hui je suis sevré depuis 4mois j’ai l’intention de me sevrer réellement pour la première fois ,ou avant j’étais dans le déni je ne consomme plus rien apart de la nicotine même plus de cannabis .
Mais tout ça ma laisser un vide énorme pas tant des craving insurmontables mais le sentiment que je ne pourrai plus vivre aucun moment avec autant d’innocence qu’avant , tout est différent sans que je sache quoi exactement comme connaître la route du paradis mais être condamné à prendre une autre route .
Je ne pense pas que c’est un PAWS ni des symptômes du sevrage j’ai déjà vécu et passée ca, mais une sensation autre .
J’en viens à poser ma question au consommateur d’opiace ou de produit en générale
Es possible de revivre pleinement sans substance après les avoir connu?
Ou peut être la solution auquel j’ai pensée et d’avoir des plaisir occasionnel ? Pour ne jamais vraiment abondonner ce sentiment de plainitude?
Ou peut être un tso j’en avais un avant de me sevrer complètement , j’étais au subu 6mg/j alpraz 1mg/j et prazepam 40mg/j j’étais bien je me sentais pas comme aujourd’hui mais esque c’était juste une lune de miels et que ça aurais fini par devenir une norme ? ou es que ça peut vraiment palier à ce sentiment?
J’en appelé à vos témoignages , de conseils, d’expérience , de remontage de moral mdr ou tout ce qui vous paraît pertinent.
Merci de m’avoir lu jespere ne pas avoir été trop long . (si y’a des point où j’ai pas été clair je peux y répondre avec plaisir)
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hello hello
Je me reconnais bien dans ton parcours. et même dans tes questionnements. Je vais te partager le point de vue que j'ai aujourd'hui sur tout ça, fruit des toutes mes expériences passées.
Je me souviens quand je me sevrais pour la première fois après ma plus grosse période de consommation d'opiacés, je me disais que si je n'avais pas en moi la volonté ferme de ne plus jamais consommer ça ne pourrait jamais fonctionner. Je me sentais complètement dépasser. Je voulais arrêter mais j'étais incapable de pouvoir me dire à l'intérieur de moi que je ne devrais plus du tout consommer. Je me souviens que je restais bloqué là dessus. Tout ça pour dire qu'on a tendance à se poser beaucoup de question, figer des choses parfois, mais que le chemin se fait avec le temps, et la relation avec le produit évolue.
A un moment donné dans ma construction, je mettais la responsabilité de mes problèmes sur la drogue. C'est pour ça que je voulais m'en éloigner le plus possible. Ca n'a pas été négatif de prendre de la distance. Mais avec le temps j'ai compris que le problème ce n'est pas la drogue. Et tant qu'on ne comprend pas ça je crois qu'on ne peut pas réellement avancer. C'est à dire qu'il faut chercher au bon endroit. La réelle cause de ce qui fout la merde dans notre vie. Et comme tu l'as mentionné déjà un petit peu, ca vient entre autres, de problème familiaux, de traumatismes d'enfance etc.
Le souci c'est que tant qu'on ne réussi pas à retrouver une certaine maitrise dans la consommation c'est sûr que la voie de l'abstinence est ce qui est le plus pertinent à mon sens. Et je crois que la maitrise peut venir à mesure qu'on avance sur nos causes profondes. En gros moins le démon en nous est puissant et plus on retrouve du contrôle sur ça. C'est un long chemin.
J'ai toujours rejeté l'utilisation de tso et honnêtement après des années à me battre contre le vent, pour la première fois je fais le choix de reprendre un traitement de métha. Enormément de consommateur d'opiacé qui ont vécu des périodes longues d'addiction préfèrent avoir un tso. Sans tso c'est assez infernal surtout si on continue d'avoir des conso même ponctuelles. Mon point de vue aujourd'hui est que le tso continue de combler quelque chose en nous qui a besoin d'être combler, tant qu'on en a besoin. Même au niveau physique ca continue de mettre le corps bien, pour l'humeur c'est un très gros atout. Pour les périodes de rechute également avec un tso c'est vécu de manière plus douce. Aujourd'hui je crois que le tso est vraiment indispensable jusqu'à ce que je sente dans ma vie que j'ai assez cheminé pour m'en passer.
Tu sais pendant plus de deux années après mon gros sevrage je n'ai pas consommé d'opiacés. A ce moment là je me sentais libre et guéri entre guillemets. Sauf que ce que j'avais laissé derrière moi a finir par resurgir un moment où les conditions étaient propices pour ça. C'est pour ça que à mon sens juste l'abstinence seule n'est pas ce qui est le mieux. Je crois que ca demande un gros travail sur soi. Qui peut se faire seul ou avec l'aide d'un professionnel.
Les questions que tu te posent sur vivre sans substances etc je crois que ce n'est pas une réponse qui peut t'être donné. Ca va dépendre de comment tu vas construire ton chemin, comment tu vas évoluer dans tout ça. Comme je disais la relation avec la drogue, les produits peut vraiment évoluer au fil du temps. Je dirais que le mieux est de toujours s'écouter. Il n'y a qu'en soi même qu'on peut savoir dans l'instant ce qui est préférable pour nous mêmes. Si à cet instant ca te dit à l'intérieur de toi que tu ne dois plus du tout consommer alors c'est ce qui est juste pour cette période de ta vie. Mais ça ne sera peut être pas comme ça pour toujours. Ou peut être que si on en sait rien. Mais voilà tu comprends ce que veux dire. Je dirais de ne pas trop te prendre la tête sur ces choses là.
Mais en tout cas oui j'ai le même sentiment après avoir vécu des épisodes comme ça ça marque. Je n'ai jamais réussi à retrouver l'innocence dont tu parles. Je ressens comme si j'avais perdu une part de moi. La part de moi qui est spontanée, qui est enjouée et légère. Je sais pas exactement la cause. Mais je crois que c'est beaucoup en lien avec le fait d'avoir dérèglé et pollué les hormones, le cerveau et le corps en général. Enfin bon à force on apprend à faire avec.
A toi de voir ce qui est le mieux pour toi pour la suite. C'est toi qui va devoir construire ton chemin. La question des plaisirs occasionnels par ex ce sera bon de savoir si c'est faisable pour toi de consommer juste un peu sans que ca ne prenne des proportions trop graves dans ta vie. Pour ce qui est du tso et bien pareillement ce sera à toi de voir si ca t'es bénéfique. J'espère que tu auras d'autres réponses pour t'apporter le maximum d'élément pour avancer au mieux dans ta réflexion. Le mieux pour savoir c'est toujours d'expérimenter. Et de s'écouter le plus possible.
Je te souhaite un bon cheminement et beaucoup de force ! Ne désespère pas, avec le temps et des efforts on peut réussir à construire son idéal. La drogue peut en faire partie sans que ce soit une ennemie :)
Je me reconnais bien dans ton parcours. et même dans tes questionnements. Je vais te partager le point de vue que j'ai aujourd'hui sur tout ça, fruit des toutes mes expériences passées.
Je me souviens quand je me sevrais pour la première fois après ma plus grosse période de consommation d'opiacés, je me disais que si je n'avais pas en moi la volonté ferme de ne plus jamais consommer ça ne pourrait jamais fonctionner. Je me sentais complètement dépasser. Je voulais arrêter mais j'étais incapable de pouvoir me dire à l'intérieur de moi que je ne devrais plus du tout consommer. Je me souviens que je restais bloqué là dessus. Tout ça pour dire qu'on a tendance à se poser beaucoup de question, figer des choses parfois, mais que le chemin se fait avec le temps, et la relation avec le produit évolue.
A un moment donné dans ma construction, je mettais la responsabilité de mes problèmes sur la drogue. C'est pour ça que je voulais m'en éloigner le plus possible. Ca n'a pas été négatif de prendre de la distance. Mais avec le temps j'ai compris que le problème ce n'est pas la drogue. Et tant qu'on ne comprend pas ça je crois qu'on ne peut pas réellement avancer. C'est à dire qu'il faut chercher au bon endroit. La réelle cause de ce qui fout la merde dans notre vie. Et comme tu l'as mentionné déjà un petit peu, ca vient entre autres, de problème familiaux, de traumatismes d'enfance etc.
Le souci c'est que tant qu'on ne réussi pas à retrouver une certaine maitrise dans la consommation c'est sûr que la voie de l'abstinence est ce qui est le plus pertinent à mon sens. Et je crois que la maitrise peut venir à mesure qu'on avance sur nos causes profondes. En gros moins le démon en nous est puissant et plus on retrouve du contrôle sur ça. C'est un long chemin.
J'ai toujours rejeté l'utilisation de tso et honnêtement après des années à me battre contre le vent, pour la première fois je fais le choix de reprendre un traitement de métha. Enormément de consommateur d'opiacé qui ont vécu des périodes longues d'addiction préfèrent avoir un tso. Sans tso c'est assez infernal surtout si on continue d'avoir des conso même ponctuelles. Mon point de vue aujourd'hui est que le tso continue de combler quelque chose en nous qui a besoin d'être combler, tant qu'on en a besoin. Même au niveau physique ca continue de mettre le corps bien, pour l'humeur c'est un très gros atout. Pour les périodes de rechute également avec un tso c'est vécu de manière plus douce. Aujourd'hui je crois que le tso est vraiment indispensable jusqu'à ce que je sente dans ma vie que j'ai assez cheminé pour m'en passer.
Tu sais pendant plus de deux années après mon gros sevrage je n'ai pas consommé d'opiacés. A ce moment là je me sentais libre et guéri entre guillemets. Sauf que ce que j'avais laissé derrière moi a finir par resurgir un moment où les conditions étaient propices pour ça. C'est pour ça que à mon sens juste l'abstinence seule n'est pas ce qui est le mieux. Je crois que ca demande un gros travail sur soi. Qui peut se faire seul ou avec l'aide d'un professionnel.
Les questions que tu te posent sur vivre sans substances etc je crois que ce n'est pas une réponse qui peut t'être donné. Ca va dépendre de comment tu vas construire ton chemin, comment tu vas évoluer dans tout ça. Comme je disais la relation avec la drogue, les produits peut vraiment évoluer au fil du temps. Je dirais que le mieux est de toujours s'écouter. Il n'y a qu'en soi même qu'on peut savoir dans l'instant ce qui est préférable pour nous mêmes. Si à cet instant ca te dit à l'intérieur de toi que tu ne dois plus du tout consommer alors c'est ce qui est juste pour cette période de ta vie. Mais ça ne sera peut être pas comme ça pour toujours. Ou peut être que si on en sait rien. Mais voilà tu comprends ce que veux dire. Je dirais de ne pas trop te prendre la tête sur ces choses là.
Mais en tout cas oui j'ai le même sentiment après avoir vécu des épisodes comme ça ça marque. Je n'ai jamais réussi à retrouver l'innocence dont tu parles. Je ressens comme si j'avais perdu une part de moi. La part de moi qui est spontanée, qui est enjouée et légère. Je sais pas exactement la cause. Mais je crois que c'est beaucoup en lien avec le fait d'avoir dérèglé et pollué les hormones, le cerveau et le corps en général. Enfin bon à force on apprend à faire avec.
A toi de voir ce qui est le mieux pour toi pour la suite. C'est toi qui va devoir construire ton chemin. La question des plaisirs occasionnels par ex ce sera bon de savoir si c'est faisable pour toi de consommer juste un peu sans que ca ne prenne des proportions trop graves dans ta vie. Pour ce qui est du tso et bien pareillement ce sera à toi de voir si ca t'es bénéfique. J'espère que tu auras d'autres réponses pour t'apporter le maximum d'élément pour avancer au mieux dans ta réflexion. Le mieux pour savoir c'est toujours d'expérimenter. Et de s'écouter le plus possible.
Je te souhaite un bon cheminement et beaucoup de force ! Ne désespère pas, avec le temps et des efforts on peut réussir à construire son idéal. La drogue peut en faire partie sans que ce soit une ennemie :)
Dernière modification par Gastox (17 mars 2025 à 18:55)
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- Spider_noaman
- Nouveau membre
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- Inscrit le 28 Aug 2023
- 29 messages
Merci pour ta réponse plus que complète Gastox .
Pas mal de chose se sont clarifiées dans ma tête en te lisant tu a été d’une grande aide encore merci ❤️
Pas mal de chose se sont clarifiées dans ma tête en te lisant tu a été d’une grande aide encore merci ❤️
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