Besoin d'aide/conseils pour sevrage Laroxyl + bipolarité

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Kaszia femme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Salut,

J'ai besoin de votre aide et de vos conseils svp.

Je suis sous Laroxyl depuis 8 ans à 150mg/jour, pour douleurs chroniques. Cela ne me convient pas du tout, les effets secondaires sont trop importants par rapport au léger soulagement de la douleur que je pouvais constater au début de ce traitement.

J'ai souvent déménagé ces 10 dernières années, et c'est pas toujours évident de trouver un toubib à l'écoute quand je dis que je veux arrêter ce traitement. Aucun n'a voulu accepter ou m'accompagner dans cet arrêt.. Là je suis depuis 3 ans dans un coin pas mal paumé, et j'ai été ravie de rencontrer un toubib de village très à l'écoute et qui aime/cherche à comprendre le pourquoi du comment. Il m'a vu dans des états compliqués, SAMU plusieurs fois, et d'autres trucs. Toujours réactif et compétent.

Sauf que ça n'a duré que jusqu'au moment l'année dernière où j'ai un peu + insisté sur le fait que je voulais vraiment arrêter le Laroxyl et qu'en réponse il me dise "on va ajouter du Cymbalta pour voir". Je suis trimballée de partout depuis 20 ans : toubibs, spécialistes, CHU, anti-douleurs, examens, traitements-tests, effets secondaires, etc.., alors ne me demandez pas pourquoi, peut-être par habitude ou juste par manque de confiance, mais j'ai lâché en lui répondant un minable "ouais ok, comme vous voulez"..

Alors j'ai pris son Cymbalta, et je l'ai arrêté au bout de 2 semaines. Je crois que c'est à ce moment-là que tout est devenu sacrément la merde dans ma tronche. Marre d'être trimballée, marre de ne pas être entendue, marre d'avoir mal H24. Alors j'ai arrêté le Laroxyl, d'un coup et toute seule. Poubelle le stock. Et putain jamais je n'aurais dû sad
Très très vite je ne pouvais dormir que 2 à 3h par jour, vomissements et nausées, céphalées incroyablement douloureuses, impossible de manger quoique ce soit, je me suis même tapée la tronche contre les murs... Violent. Au bout d'un mois comme ça, j'ai craqué un soir à 1h du mat', j'ai pris la bagnole je ne sais même pas comment et je suis allée à la pharmacie de garde à 40 bornes. C'était reparti pour le Laroxyl....

Evidemment j'ai raconté cet épisode au toubib, dans un état lamentable, et j'étais vraiment très en colère. Beaucoup après moi, mais aussi après lui. Je lui ai expliqué cette fois de façon très ferme que je ne voulais plus continuer le Laroxyl, et que bordel j'étais encore maître de mon propre corps !! Il m'a simplement répondu que je devais aller trouver un autre médecin traitant.

Alors j'ai cherché un nouveau toubib, et je cherche encore........

En fin d'année j'ai tenté une nouvelle fois d'arrêter. Cette fois de façon plus réfléchie, et en prévenant ma famille, dont je suis très proche et qui m'aide énormément dans la vie quotidienne. Et en faisant les choses autrement : j'ai diminué le dosage très très lentement sur 5 mois en tout. Physiquement cela n'a pas été (trop) difficile, mais psychologiquement j'ai complètement craqué. Je n'avais jamais vécu ça. Une nuit je me réveille d'un coup, avec un énorme poids dans le bide, et j'ai illico vomi et vomi.. Des pleurs à sanglots sans aucune raison, une tristesse incroyable et ce poids là dans le bide quelle horreur. Et pour la première fois de ma vie j'ai eu envie de crever, pas de mourir, vraiment crever et en me faisant très très mal.
Ma famille a complètement paniqué, à raison je crois, et au bout d'une dizaine de jours j'ai fini aux urgences psy. Je ne me souviens pas de tout ce qu'il s'est passé pendant toute cette période, c'est vraiment très brumeux. Aux urgences ils m'ont tout de suite donné du Laroxyl à dose minime, et seulement 2 jours après cette boule de tristesse très douloureuse avait disparu..
Depuis c'est dur pour moi, vraiment. Ce n'est plus du tout de façon violente, mais j'ai l'impression d'être dans une sorte de spirale de douleur morale, en plus de toutes mes douleurs physiques. Comme si ma tête avait vrillé et que je n'avais plus aucun contrôle. Parfois je marche juste, et j'éclate en pleurs comme ça d'un coup. Je ne peux plus m'endormir, c'est même devenu une angoisse maintenant, mes yeux sont écarquillés et je vois des images dégueulasses et très violentes de mon passé. Ma famille ne me reconnait pas, je ne donne plus de nouvelles à mes amis.. Je n'arrive même plus à prendre une douche putain.
Le psychiatre des urgences qui me suit m'a expliqué que l'effet anti-dépresseur du Laroxyl m'avait aidé toutes ces années à "tenir" psychologiquement. Je ne le savais pas, ou plutôt je n'acceptais pas de le savoir, mais apparemment ça n'allait pas super-super dans ma tête depuis mon adolescence. Par-dessus tout ça est arrivé ma maladie et ses douleurs, mise en invalidité, séparation. Et ça a fait boum.
Il m'a diagnostiqué des troubles bipolaires, me conseille très fortement pour le moment de rester au Laroxyl, et je ne sais pas quoi faire de ça...

Ma situation d'aujourd'hui : 50mg/jour de Laroxyl au lieu de 150mg, les effets secondaires sont toujours là mais un peu moindres qu'avant (difficultés d'élocution, tremblements, concentration quasi-impossible : ça doit faire 2h que j'écris ce post); quand les douleurs sont trop fortes je prend un valium pour son côté myorelaxant et j'utilise aussi un vapo tous les soirs.

Je sais bien que nous ne sommes pas sur un forum psy, et pardon d'étaler à ce point ma vie.. mais pour vous lire presque tous les jours, je sais que beaucoup d'entre nous ici sont bipolaires et/ou sous traitement, ou encore en sevrage...
Honnêtement là je ne sais plus du tout où j'en suis et ce qu'il est bon de faire ou pas.

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champi vert85champijaune0cxhampi rouge0
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Honnêtement là je ne sais plus du tout où j'en suis et ce qu'il est bon de faire ou pas

Nous ne pouvons pas vraiment t'aider sur ce point. Ce serait de la pratique de la Médecine, a priori illégale et comportant des gros risques d'avis inappropriés.
Là où nous pouvons t'aider c'est à trouver une prise en charge adaptée, si c'est possible.

Le psychiatre des urgences qui me suit m'a expliqué que l'effet anti-dépresseur du Laroxyl m'avait aidé toutes ces années à "tenir" psychologiquement. Je ne le savais pas, ou plutôt je n'acceptais pas de le savoir, mais apparemment ça n'allait pas super-super dans ma tête depuis mon adolescence. Par-dessus tout ça est arrivé ma maladie et ses douleurs, mise en invalidité, séparation. Et ça a fait boum.
Il m'a diagnostiqué des troubles bipolaires, me conseille très fortement pour le moment de rester au Laroxyl, et je ne sais pas quoi faire de ça...

Les problèmes semblent anciens et, probablement, n'ont pas été totalement pris en charge. Il est donc difficile de "refaire le passé". Mais je pense que ce serait bien d'essayer, notamment avec un psychologue. Le moins cher serait de t'inscrire (demande de consultation et de prise en charge)  à un CMP Centre Médicopsychiatrique où il y a des psychiatres, des infirmiers spécialistes et des psychologues. Il y a aussi (avec le CMP ou independemment) des associations de soutien (psychiatrique ou généraliste)  à domicile avec notamment de l'aide sociale.
Avec tes douleurs chroniques, as tu vu un centre de traitement de la douleur ? Ce serait utile pour essayer d'avoir un traitement mieux adapté.
Et, évidemment, il faut avoir un médecin traitant. Essaie de prospecter dans ton environnement. Le tien avait l'air pas mal, peux etre tu peux essayer de recoller les morceaux en expliquant que tu étais confuse. D'ailleurs l'hospitalisation est là pour le "prouver".

Mais surtout dis toi bien que c'est une maladie chronique qui demande une stabilité de prise en charge. Et qui ne peut probablement pas être "effacée" par miracle mais qu'il faut apprendre à vivre avec. Amicalement


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Anonyme25
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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j'ai tester des traitement pour la bipolarité et j'avais des effets comme toi donc mon psy m'avait changer de traitement.

Tu peux pas rester avec un médicaments qui te donne de gros effets secondaires.

sinon change de psy. après y a des traitements que l'on peux pas arrêter moi j'ai du mal a quitté les anti dépresseurs mais pour le moment j'ai réussi avec réduction douce et longue.

Par contre je supporte aucun traitement pour la bipolarité donc j'en prend pas j'ai appris a gérer tout seul mes phases.

Mais dans ton cas y a qu'un psy qui peut t'aider voire une hospitalisation pour trouver un traitement adapté.

Pour la douleurs y a des centres spécialisé renseigne toi.

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Kaszia femme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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prescripteur a écrit

Le moins cher serait de t'inscrire (demande de consultation et de prise en charge)  à un CMP Centre Médicopsychiatrique où il y a des psychiatres, des infirmiers spécialistes et des psychologues. Il y a aussi (avec le CMP ou independemment) des associations de soutien (psychiatrique ou généraliste)  à domicile avec notamment de l'aide sociale.
Avec tes douleurs chroniques, as tu vu un centre de traitement de la douleur ? Ce serait utile pour essayer d'avoir un traitement mieux adapté.

Merci prescripteur de ta réponse.

Oui je suis en contact avec le CMP, mais je ne pourrais y rencontrer le psychiatre que dans 4 mois. J'ai aussi vu une psychologue du privé, mais ça n'a pas matché du tout, alors je cherche ailleurs ! Je cherche aussi à trouver un thérapeute spécialiste de la gestion de la douleur.
Concernant les centres anti-douleurs, j'en ai fait 3 différents au gré de mes déménagements et j'ai toujours été très bien prise en charge, mais après plusieurs essais de traitements rien ne s'est avéré efficace sur le long terme et sur des douleurs permanentes. En début de prise et pendant 6/7 mois continus, le Laroxyl a grandement amélioré mon sommeil et apaisé les douleurs. Pour cette raison c'est devenu mon traitement de fond, mais ça fait des années que je n'ai plus d'effets positifs, bien au contraire. Avec les années, je comprends qu'aucun traitement efficace n'existe, en tout cas à l'heure actuelle.

prescripteur a écrit

Et, évidemment, il faut avoir un médecin traitant. Essaie de prospecter dans ton environnement. Le tien avait l'air pas mal, peux etre tu peux essayer de recoller les morceaux en expliquant que tu étais confuse. D'ailleurs l'hospitalisation est là pour le "prouver".

"avait l'air pas mal" est exactement le terme approprié. Je suis une patiente en souffrance H24 depuis 20 ans, qui a testé tout et n'importe quoi, des anti-TNF jusqu'à un chamane des Pyrénées. Mon traitement de fond n'agit plus du tout et les effets secondaires me font vivre un enfer au quotidien EN + de mes douleurs permanentes. Depuis le début je suis transparente et lui demande plusieurs fois de m'aider à arrêter et à faire un sevrage correct, et sa réponse est "non". Cette réaction me touche autant justement parce que ENFIN je tombais sur un toubib à l'écoute et qui cherche à comprendre/trouver quelque chose pour m'aider à soulager les douleurs, mais qui n'éprouve aucun problème à me laisser avec un traitement 100% inefficace mais blindé de toutes ces saloperies d'effets secondaires. Pour moi c'est de l'incompétence pure et simple.
Dis-moi prescripteur, honnêtement, tu ferais cela toi ? ..



Anonyme25 a écrit

Par contre je supporte aucun traitement pour la bipolarité donc j'en prend pas j'ai appris a gérer tout seul mes phases.

Mais dans ton cas y a qu'un psy qui peut t'aider voire une hospitalisation pour trouver un traitement adapté.

Salut et merci pour ton message.

Comment as-tu fait pour apprendre à gérer tout seul ? tu sens les phases arriver ?
J'ai une trouille incroyable de "replonger" dans du down très très down... ça ne te fait pas peur à toi ?

Oui le psychiatre des urgences m'a proposé une hospitalisation, mais j'avoue que pour le moment, je n'y suis pas prête du tout.. À l'heure actuelle les choses se sont apaisées en moi, je pense qu'il me faut juste un peu de temps en + pour digérer et assimiler ce qu'il se passe, avant de pouvoir accepter le concret et l'hospitalisation !

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Anonyme25
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Kaszia a écrit

prescripteur a écrit

Le moins cher serait de t'inscrire (demande de consultation et de prise en charge)  à un CMP Centre Médicopsychiatrique où il y a des psychiatres, des infirmiers spécialistes et des psychologues. Il y a aussi (avec le CMP ou independemment) des associations de soutien (psychiatrique ou généraliste)  à domicile avec notamment de l'aide sociale.
Avec tes douleurs chroniques, as tu vu un centre de traitement de la douleur ? Ce serait utile pour essayer d'avoir un traitement mieux adapté.

Merci prescripteur de ta réponse.

Oui je suis en contact avec le CMP, mais je ne pourrais y rencontrer le psychiatre que dans 4 mois. J'ai aussi vu une psychologue du privé, mais ça n'a pas matché du tout, alors je cherche ailleurs ! Je cherche aussi à trouver un thérapeute spécialiste de la gestion de la douleur.
Concernant les centres anti-douleurs, j'en ai fait 3 différents au gré de mes déménagements et j'ai toujours été très bien prise en charge, mais après plusieurs essais de traitements rien ne s'est avéré efficace sur le long terme et sur des douleurs permanentes. En début de prise et pendant 6/7 mois continus, le Laroxyl a grandement amélioré mon sommeil et apaisé les douleurs. Pour cette raison c'est devenu mon traitement de fond, mais ça fait des années que je n'ai plus d'effets positifs, bien au contraire. Avec les années, je comprends qu'aucun traitement efficace n'existe, en tout cas à l'heure actuelle.

prescripteur a écrit

Et, évidemment, il faut avoir un médecin traitant. Essaie de prospecter dans ton environnement. Le tien avait l'air pas mal, peux etre tu peux essayer de recoller les morceaux en expliquant que tu étais confuse. D'ailleurs l'hospitalisation est là pour le "prouver".

"avait l'air pas mal" est exactement le terme approprié. Je suis une patiente en souffrance H24 depuis 20 ans, qui a testé tout et n'importe quoi, des anti-TNF jusqu'à un chamane des Pyrénées. Mon traitement de fond n'agit plus du tout et les effets secondaires me font vivre un enfer au quotidien EN + de mes douleurs permanentes. Depuis le début je suis transparente et lui demande plusieurs fois de m'aider à arrêter et à faire un sevrage correct, et sa réponse est "non". Cette réaction me touche autant justement parce que ENFIN je tombais sur un toubib à l'écoute et qui cherche à comprendre/trouver quelque chose pour m'aider à soulager les douleurs, mais qui n'éprouve aucun problème à me laisser avec un traitement 100% inefficace mais blindé de toutes ces saloperies d'effets secondaires. Pour moi c'est de l'incompétence pure et simple.
Dis-moi prescripteur, honnêtement, tu ferais cela toi ? ..



Anonyme25 a écrit

Par contre je supporte aucun traitement pour la bipolarité donc j'en prend pas j'ai appris a gérer tout seul mes phases.

Mais dans ton cas y a qu'un psy qui peut t'aider voire une hospitalisation pour trouver un traitement adapté.

Salut et merci pour ton message.

Comment as-tu fait pour apprendre à gérer tout seul ? tu sens les phases arriver ?
J'ai une trouille incroyable de "replonger" dans du down très très down... ça ne te fait pas peur à toi ?

Oui le psychiatre des urgences m'a proposé une hospitalisation, mais j'avoue que pour le moment, je n'y suis pas prête du tout.. À l'heure actuelle les choses se sont apaisées en moi, je pense qu'il me faut juste un peu de temps en + pour digérer et assimiler ce qu'il se passe, avant de pouvoir accepter le concret et l'hospitalisation !

Maintenant je repère bien mes phases hautes et basse, pour les phases haute je me répète que je dois pas m'excité c'est qu'un passage, par contre les phases basses c'est un peu plus dur car c'est dur de controler la déprime le manque de motivation mais je me suis habitué en plus je suis TDAH mais pas encore sous traitement donc je prend du ritaline et sa m'aide bcp a me canaliser et c'est un peu anti-dépresseur et du coup j'arrive a m'occuper.
Comme toi ma psy actuel ne veux pas toucher a mon traitement donc j'ai arrêter sans lui dire mais là elle galère a me prescrire du concerta.
Bref faut faire comme elle veux mais moi je suis pas un mouton du coup je gère mon traitement.
Les medecin parfois veulent rien savoir.
Perso je trouve plus simple de trouver le bon traitement en hospi que a la maison.

En tous cas je comprends ta souffrance, il m'avait donner de l'abilify et boom j'arrivais plus a parler j'étais dans le mal le psy de l'hosto s'en foutait alors j'ai taper une gueulante et j'ai eu une autre psy qui a tester des médicaments pour trouver le bon.
Au final j'ai fini au lithium mais avec le prosac sa me cassait donc j'ai diminuer puis arreter le lithium c'est pour ça que je suis sans traitement pour la bipolarité.

Bon je t'avoue que quand j'ai arrêter le prosac en douceur au début c'était dur car le corps est habitué et d'un coup plus rien il a fallu que mon corps s'habitue.

Maintenant que j'ai arrêter tout j'ai mon TDAH qui est revenu en flèche et ma psy n'est pas pour la ritaline ou le concerta elle m'as dit jsuis pas votre dealer pour te dire a quel point elle est fermé.
accroche toi et telaisse pas faire.
et c'est quoi le laroxyl ?

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Kaszia femme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Anonyme25 a écrit

Maintenant je repère bien mes phases hautes et basse, pour les phases haute je me répète que je dois pas m'excité c'est qu'un passage, par contre les phases basses c'est un peu plus dur car c'est dur de controler la déprime le manque de motivation mais je me suis habitué

D'accord... Je suppose que c'est comme tout, et qu'avec "l'expérience" c'est plus facile de sentir les phases arriver. Pour l'instant je n'en suis pas là du tout ! C'est sympa à toi de m'en parler, merci.


Bref faut faire comme elle veux mais moi je suis pas un mouton du coup je gère mon traitement.
Les medecin parfois veulent rien savoir.

Ne veulent rien savoir, et surtout sont persuadés d'avoir raison et qui du coup n'écoutent même plus les ressentis (négatifs ou positifs) du patient. Heureusement, ils ne sont pas légion ceux-là..


accroche toi et telaisse pas faire.

Yes !!!! wink


et c'est quoi le laroxyl ?

C'est un antidépresseur imipraminique mais qui est le + généralement prescrit en cas de douleurs neuropathiques et chroniques, c'est dans ce cadre là que j'ai commencé à le prendre.
Je suis dans un cas un peu différent du tien, c'est seulement lorsque j'ai voulu me sevrer seule du Laroxyl que ma tête a "vrillé" pour la première fois. J'utilise ce mot parce que vraiment je n'en trouve pas d'autre, et il reflète exactement ce que j'ai ressenti.. Le psychiatre m'a expliqué que de prendre le Laroxyl pendant des années m'a aider à contrôler la venue des phases, à l'heure actuelle c'est pour ça qu'il me déconseille de tenter de l'arrêter à nouveau..


Prends soin de toi.

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Anonyme25
Psycho junior
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Pourtant et c'est un professionnel qui me l'avais dit.

Un AD sa peut s'arrêter en faisant des diminution de dose etaler sur une période par exemple mois je baissait un peux toute les deux semaines.

Ensuite j'ai arrêter mais il a fallu une période plus ou moins longue pour que mon cerveau s'habitue a plus avoir l' AD..

Je peux comprendre qu'il te conseil de pas arrrêter mais il pourrait au moins te faire essayer un autre médicament bien sur faut qu'il y en ai un.

J'ai eu des changement d'AD donc sa se fait et idem pour la bipolarité.
Je pense qu'il ne connait pas d'autre alternative a ce cachet.

Mais normalement tu es en droit de demander une diminution pour envisager un arrêt et de plus avec une diminution tu pourrais trouver un dosage qui te laisse bien mais avec moins d'effets indésirable.

Là si il veux rien savoir faut aller voir un autre psy voire si il connait pas une alternative a ce médoc. En générale dans une catégorie d'AD y en a plusieurs fait une recherche de ton côté sur la famille de ton AD voire si il en existe d'autre.

C'est vrai que nos cas sont différent mais j'ai eu le problème d'élocution et de concentration donc pour ça je te comprends après pour le faites de vriller ça c'est propre à toi.

As-tu essayer de baisser ton traitement petit a petit en prenant le temps de t'adapter a chaque baisse.
Quand t'arrive au moment de l'arrêt enfin pour moi au début j'avais quand même comme un manque psychologiquement, il m'a fallu un certain temps pour que le cerveau s'adapte au fait de plus avoir d'AD.

Perso j'ai jamais pus rester avec un medoc aux forts effets secondaires. Je demandais le changement a chaque fois et si le psy voulais pas j'allais en voire un autre.

Dernière modification par Anonyme25 (14 mars 2022 à  20:49)

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