Merci de vos réponses , je vais essayer de répondre correctement aux questions d'ajamanice: comment je me sent vis à vis de ma dépression : je ne l'ai pas vu venir, elle a du commencer très certainement avec le décès de mon père il y a un an. Mais je suis battu , j'ai Clivé et je le suis dit que je n'étais pas le seul à avoir vécu ça et qu'en homme j'allais la surmonter. D'abord il y a eu le choc émotionnel de le voir à terre , avec les reanimateurs qui tentaient tout, ma mère qui pleuraient , mon jeune frère aussi. J'ai Clivé en me disant que je devais être fort pour pouvoir aider tout le monde , que si je m'effondais , tte la vie allait s'effondrer aussi. Et j'ai bossé , j'ai accumulé la pression au niveau du boulot car je suis délégué syndical avec une sale merde de directeur tt puissant . Je me suis interdit de pleurer car des personnes comptaient sur moi.
En mai , j'ai eu quelques soucis de santé. Une drôle d'amydalite qui ne passaient pas et où un orl à suspecté un cancer. J'ai passé un tas d'examen, j'étais dans le stress total. J'ai tenu ,mais j'ai commencé à pleurer régulièrement où tout se mélangeait. J'ai quand même eu un scanner des poumons qui a indiqué un début d'emphyseme. Et une claque de plus. La je me suis dit que je ne pouvais plus fumer.
Avec ma compagne avec qui je venais d'habiter juste 1 mois avant le décès de mon père, des tensions ont commencé à apparaître : je ne faisais plus grand chose à la maison et à part travailler je ne minvestissait dans rien.
Puis je suis parti à l'hôpital me sevrer su
cannabis. 10 jours. J'avais d'énorme inquiétudes pour le sommeil et l'énervement que cela allait engendrer. Bizarrement j'ai dormi vomme un bébé et j'étais tt calme. Je suis donc parti continuer ma vie et reprendre le travail.
Après 1 semaines , les troubles du sommeil sont apparus, ne résistant à aucun traitement. J'ai donc pris du
theralene en goutte (5) . Je dormais bien mais j'avais l'impression d'être éteint intérieurement. Plus le vide intérieur qui apparaissait , je ne fumais pas de la
weed pour rien depuis 25 ans. J'ai jamais réussi à vivre sans cette béquille. Je me suis donc réfugié dans l'action : j'ai.pris un cahier , j'ai noté tt ce qu'il y avait à faire à la maison et je suis devenu hyperactif, me disant que ça me permettrait peut être de dormir. Mais j'étais encore infect avec ma compagne : manque d'attention, difficulté d'exprimer mes sentiments alors que je l'aime, pas investi avec ses enfants (moi je n'en ai pas). Et intérieurement ça commençait à ruminer. Puis je suis parti en camp avec le travail ( je m'occupe de jeune). Je suis revenu, j'ai passé une semaine agréable tt en.me disant comment je vais organiser ma vie sans le pet ? Comment vais je trouver du plaisir à vivre sans cette merde? Comment vais trouver du plaisir à faire des choses sans ça ?
Tt ça sur un fond d'inquiétude par rapport aux antidepresseur vu que je sais que je ne plus traîner à arrêter sous peine d'action irréversible sur le cerveau . ( ça s'appelle la.tolerance oppositionelle, le cerveau se remodele pour répondre au surplus de
serotonine en diminuant les recepteurs serotoninergique post synaptique) .la ou les
Ad sont censé améliorer la depression , il y contribue quand la.prise dépasse une bonne dizaine d'année. J'ai lu de la littérature dessus.
Bien sur j'ai un tas de question sur comment réorganiser ma vie, la peur du vide intérieur à toujours été question ante chez moi , le pétard venait répondre à ce vide. C'était ma récompense, celui qui ne m'abanderait jamais, mon reconfort. Tte ma vie était misee sur le pétard. J'ai cultivé des années, je vendais à donf. La je n'ai plus d'echapppatoire, c'est pour ça que je pense tt le temps. Et je pense que je n'ai pas encore fait le deuil de mon père.
A l'heure actuelle , je pleure plus souvent, j'ai peur de plein de choses , j'ai.limpression que je m'enfonce. Peut être faut il que je touche le fond pour mieux me reconstruire.
Clairement je n'ai aucune raison d'être en depression, j'ai des raisons d'être triste mais pas que ça prenne une telle.proportion surtout que je gagne bien ma vie et que j'aime ma compagne. Quand ça n'allait pas avant , j'identifiait ce qui n'allait pas et je travaillais dessus.
La je n'arrive pas a identifier les causes. Parcequelles viennent de l'intérieur. C'est un changement de moi même que je dois faire. Me libérer de ce vide et apprendre à prendre du plaisir sans béquille. Toute la question de mon existence. Et régler cette question d'anti depresseur. Et ça'obsede.
Je dois apprendre à lâcher prise et accepter que je ne vais pas bien. Ma compagne me le di, ma psy et mes amis qui sont esucateur comme moi. Pour laparoxetine c'est une substance très additictive qui peut parfois endormir. Certaines personnes ont une réponse positive immédiate avec les
Ad. D' autres passent par des effets secondaires et après ça fonctionne. Et chez d'autres ça ne fonctionne pas. Si ça ne fonctionne pas après 1 mois et demi , il faudra changer.
Effexor est stimulant motivant et très anxiolitique. C'est une molecule miracle. Mais à ne pas.prendre sur Le long terme comme tt les
Ad. Les symptômes de
sevrage sont atroces. Max 3 ans. A une dose modérée de
base. La tu sais te sevrer en 3 semaines. A condition que tu sois stabilisé. Il faut faire une thérapie avec les antidepresseur. C'est un boost pour te permettre de mettre les changements nécessaires à ta guérison.
Par rapport a mon
bad trip, je ne sais pas si c'est lui qui a déclenché ou réveillé quelque chose qui était en moi. Ce
bad trip a fait tomber tte mes défenses mentales de mon moi. Tt ce que je n'acceptait pas comme part d'ombre de ma psyché à été mis au grand jour. Ce serait donc un peu des deux. Voilà. Merci de me m'avoir lu et répondu.