Le Lorazépam m'a toujours "éveillé" et non "endormi"

Bonjour !
Voilà que je poste sur mon némésis : le Lorazépam.

Molécule que je prends depuis... 2017 environ, cela fait donc grosso modo 6 ans que j'en prends, devenu rapidement addicte, je m'étais rendu compte au bout de 3 ou 6 mois que l'arrêt brute me provoquer de sévères symptômes, dans le genre cauchemars très terrifiant la nuit (qui certains ont pu me traumatiser, mais bon, la mémoire s'en va vite......) et le jour grosse phobie et angoisse social : dans le genre je ne gère plus vraiment mes expressions sociales et ma façon de communiquer est marqué par une profonde gène : je me sens dévisagé comme si on pouvait voir mes pensées et bref...

Bon en fait je me demande, lors d'expérience récréatives sous cocaine et même sans cocaine lors d'insomnies : le lorazépam est la seule molécule qui m'a toujours éveillé et réveillé. J'en ai essayé d'autre a demi vie longue et courte qui elles m'endorment et m'hypnotisent et n'ont jamais pu me procurer "le même effet" que le lorazépam...

Est-ce normal ? Je dois peut être vivre dans un énorme paradoxe...
Il y a des périodes où je me sens vivre et vibrer la vie là j'en ressens pas le besoin ; car je sais ce qui est, je suis ce que je suis et je regarde plus les gens mais la Nature en respirant correctement...

En somme le Lorazépam à déjà pu me faire tenir une journée qui suit une nuit blanche par exemple...

Voilàa est-ce normal... Je suis suivis par mon addictologue dans un CSAPA.
J'en prenais des 2.5 mg les jaunes là y a 4 ans j'en prenais 5 .... 2 matin 1 après midi et 2 soirs... quel fou...

aujourd'hui après 5 ans environ j'ai réussi a descendre a 2 voir 3 comprimés de 1 mg.
et je bloque. ça devient difficile, mais j'y arriverais. grâce au vivant, la nature, son noyau et ses cycles de renaissances et de maturation (j'ai 24 ans) je finirais par y arriver...

Cordialement, Vincent.