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La qu'est ce posse donc: "Le sevrage de benzo rend il alcoolique ?"
J'attend vos réponse.
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Le sevrage est très difficile j y suis passé déjà
Je crois que les benzo et l alcool agissent sur les récepteurs gaba donc tu remplaces une dépendance par une autre
Si tu es suivi par un addicto il serait judicieux de lui en parlé
Moi j ai réussi à éviter l alcool, j aime pas vraiment ça mais les rares occasions ou j en consomme , je sens bien que mon tempérament addictif pourrait vite se laisser prendre au jeu
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Garsduso a écrit
Hello
Le sevrage est très difficile j y suis passé déjà
Je crois que les benzo et l alcool agissent sur les récepteurs gaba donc tu remplaces une dépendance par une autre
Si tu es suivi par un addicto il serait judicieux de lui en parlé
Moi j ai réussi à éviter l alcool, j aime pas vraiment ça mais les rares occasions ou j en consomme , je sens bien que mon tempérament addictif pourrait vite se laisser prendre au jeu
Je vais justement être suivie en addicto suite à mon overdose. Voilà
Comment t'en est tu sortie ?
Dernière modification par Ab55 (19 février 2023 à 13:19)
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Ab55 a écrit
La qu'est ce posse donc: "Le sevrage de benzo rend il alcoolique ?"
J'attend vos réponse.
C'est un raccourci rapide mais pertinent. Je ne saurais répondre avec une généralité, mais me réfère à ma propre expérience suite à un sevrage sec de très grosse dose de benzodiazépines (300 mg de Tranxène/jour).
Le niveau d'angoisses générées par cet arrêt sec était tellement élevé et incontrôlable que j'ai foncé vers l'alcool qui me soulageait de cette angoisse immonde. Du coup, plus de benzos jusqu'au processus de sevrage alcool pendant lequel les premiers jours doivent être couverts par du Valium.
Aujourdhui, soit trente deux ans après, je prends toujours du Valium mais au dosage de 5 ou 10 mg le soir, pour pouvoir diminuer et arrêter en quelques semaines sans avoir d'appétence quelconque pour l'alcool que je ne consomme plus depuis 33 ans par non envie, pas par religion, promesse sectaire ou autre obligation de soins, mais juste je n'aime plus du tout l'ivresse procurée par l'alcool.
Comme tu ne donnes quasiment aucun détail sur ce sevrage de benzodiazépines (laquelle, à quel dosage au moment du sevrage et pendant combien de temps de consommation).
Je ne peux pas plus. 
Dernière modification par filousky (19 février 2023 à 13:25)
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filousky a écrit
Ab55 a écrit
La qu'est ce posse donc: "Le sevrage de benzo rend il alcoolique ?"
J'attend vos réponse.C'est un raccourci rapide mais pertinent. Je ne saurais répondre avec une généralité, mais me réfère à ma propre expérience suite à un sevrage sec de très grosse dose de benzodiazépines (300 mg de Tranxène/jour).
Le niveau d'angoisses générées par cet arrêt sec était tellement élevé et incontrôlable que j'ai foncé vers l'alcool qui me soulageait de cette angoisse immonde. Du coup, plus de benzos jusqu'au processus de sevrage alcool pendant lequel les premiers jours doivent être couverts par du Valium.
Aujourdhui, soit trente deux ans après, je prends toujours du Valium mais au dosage de 5 ou 10 mg le soir, pour pouvoir diminuer et arrêter en quelques semaines sans avoir d'appétence quelconque pour l'alcool que je ne consomme plus depuis 33 ans par non envie, pas par religion, promesse sectaire ou autre obligation de soins, mais juste je n'aime plus du tout l'ivresse procurée par l'alcool.
Comme tu ne donnes quasiment aucun détail sur ce sevrage de benzodiazépines (laquelle, à quel dosage au moment du sevrage et pendant combien de temps de consommation).
Je ne peux pas plus.
Merci pour ce partage d'expériences, honnêtement pour répondre à ta question je ne me souviens plus du dosage (assez pour assommer un cheval) mais ma consommation à du duré plus d'un mois.
PS: veux tu mon contact pour discuter ?
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J ai consommé pendant 8 mois de l etilzolam entre 4 et 8 mg/ jour
A l époque, il y a 14 ans , je n avais pas conscience de la prise en charge médicale dont j aurai pu bénéficier donc j ai fais ça seul , grave erreur j en ai bavé , rien que de l écrire , je ressens un noeud dans l estomac
Il m a fallu 2 bons mois pour voir le bout du tunnel , j ai des souvenirs vraiment affreux
Par moment une incapacité à rester à la même place tellement les sensations physiques du manque étaient désagréables
Un état dépressif extrême
Et , surtout les premières nuits , au moment où j arrivais à m endormir , mon corps était pris de spasmes si violents que je me suis à plusieurs reprises , mordu la langue
Si c était à refaire, jamais je re tenterai d arrêter seul
Aujourd’hui, très occasionnellement, je consomme un stim ou des champi et pour la redescente je m accorde un ou deux lexo qu une amie a toujours chez elle
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Ab55 a écrit
PS: veux tu mon contact pour discuter ?
Non je préfère les discussions sur le forum, elles profitent alors à tous.
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