Un article documenté sur la detection du cannabis au volant

Bonjour, cannabis_impaired_driving_an_evaluation-1.pdf

On peut critiquer un peu neanmoins, l'evaluation par les experts (policiers sur le terrain) est évaluée par rapport à l'exietnce d'une consommation de drogue mais pas par rapport à la dangerosité reelle au volant. ie peux t on dire que lorsque les experts ne depistent pas d'emprise (malgré une consommation) cela signifie qu'il n' y a pas d'inaptitude à la conduite.
Il faudrait en effet evaluer tout ça. Mais malheureusement ça peut se faire au Canada mais en France on n'y est pas, loin de là.
Amicalement

Cannabis Impaired Driving: An Evaluation
of Current Modes of Detection1


Akwasi Owusu-Bempah*

Centre for Criminology and Sociolegal Studies, University of Toronto

De plus en plus préoccupé par la conduite avec facultés affaiblies, le gouverne-
ment canadien a récemment adopté une loi pour contrer le problème.
La nouvelle loi force les conducteurs à effectuer une série de tests menés par un
agent de police s’il sait/croit que la personne conduit avec des facultés affaiblies.

L’objectif de cette étude est de présenter un survol d’études scientifiques ayant
évalué l’efficacité de trois méthodes permettant de détecter la consommation de
cannabis chez les conducteurs.
Ces méthodes comprennent :
le programme d’évaluation et de classification de drogues (ECD), des appareils de détection dans la salive utilisés sur les lieux et des appareils de détection dans les urines utilisés sur les lieux.
Seules les études comprenant des mesures de fiabilité appropriées (c.-à-d. la sensibilité, la spécificité et l’exactitude) font partie de l’étude.
Compte tenu de leur fiabilité croissante, les appareils de détection dans
la salive semblent montrer les résultats les plus intéressants en matière de détection de la consommation de cannabis chez les conducteurs.
Malgré les résultats encourageants, il est nécessaire d’établir un taux maximal d’affaiblissement des facultés causé par le cannabis, semblable au taux d’alcoolémie maximal, avant que ces appareils ne soient valablement utilisés et mis en œuvre.

Conclusions (traduction google à la suite)
This paper has reviewed studies that have evaluated the various
techniques now available to the police to screen for cannabis impaired
drivers. This paper was unable to come to a firm conclusion as to which
technique is the most appropriate or effective because each has inherent
strengths and weaknesses. The different methods of detecting cannabis
in saliva and urine have problems with respect to the collection of
samples, handling, and transportation as well as the assays used in
toxicological analysis. The interpretation of drug levels detected is also
a major problem. For example, cannabis metabolites can be detected in
urine for days after use, indicating prior exposure and not current levels
of intoxication, which reduces the appropriateness of this type test for
roadside drug screening. Prevention and deterrent strategies to combat
DUID are largely constrained by scientific and technical parameters.
The development of strategic initiatives to deal with this problem are
further constrained by the significant gaps in what we know about the
manner in which cannabis use affects the ability to operate a motor
vehicle (Walsh, Verstraete, Christophersen, Mercier-Guyon, Kintz,
Oliver, Moeller, Compton, Sweedler, Potter, and de Gier 2000).

If on-site oral fluid tests had higher levels of device reliability, they
could be seen as the best technique, given that they have the ability to
detect the psychoactive cannabis compounds indicating recent use or
impairment and are less subjective than the DEC as performed by
police officers. Unfortunately, these devices have not yet achieved an
acceptable level of reliability. Therefore, there are still three components
of the debate on cannabis and DUID, in general, in Canada and other
countries, too. Effort is needed to establish standard levels of im-
pairment for drugs (similar to the 0.08 BAC for alcohol impairment),
determine whether drivers under the influence of drugs are an in-
creased traffic safety risk, and to develop a reliable test or technique
that accurately screens for the psychoactive chemicals in drugs that
may cause driving impairment

conclusion
Cet article a passé en revue les études qui ont évalué les différents
techniques maintenant à la disposition de la police pour dépister les facultés affaiblies par le cannabis
Conducteurs. Ce document n'a pas été en mesure d'arriver à une conclusion ferme quant à technique est la plus appropriée ou la plus efficace car chacune a ses propres
forces et faiblesses. Les différentes méthodes de détection du cannabis
dans la salive et l'urine ont des problèmes en ce qui concerne la collecte de
échantillons, la manipulation et le transport ainsi que les tests utilisés dans
analyse toxicologique. L'interprétation des niveaux de drogue détectés est également
un problème majeur. Par exemple, les métabolites du cannabis peuvent être détectés dans urine pendant des jours après utilisation, indiquant une exposition antérieure et non les niveaux actuels d'intoxication, ce qui réduit la pertinence de ce type de test pour
dépistage de drogue en bordure de route. Stratégies de prévention et de dissuasion pour combattre
Les DUID sont largement limités par des paramètres scientifiques et techniques.
Le développement d'initiatives stratégiques pour faire face à ce problème est
encore plus limité par les lacunes importantes dans ce que nous savons sur le
manière dont la consommation de cannabis affecte la capacité de faire fonctionner un moteur véhicule (Walsh, Verstraete, Christophersen, Mercier-Guyon, Kintz,
Oliver, Moeller, Compton, Sweedler, Potter et de Gier 2000).

Si les tests de salive sur place présentaient des niveaux de fiabilité de l'appareil plus élevés, ils pourrait être considérée comme la meilleure technique, étant donné qu'ils ont la capacité de détecter les composés psychoactifs du cannabis indiquant une consommation récente ou déficience et sont moins subjectifs que le DEC effectué par officiers de police. Malheureusement, ces dispositifs n'ont pas encore atteint un niveau de fiabilité acceptable.
Par conséquent, il y a encore trois composant du débat sur le cannabis et le DUID, en général, au Canada et ailleurs
pays aussi. Des efforts sont nécessaires pour établir des niveaux standard d'im-
appariement pour les drogues (similaire au taux d'alcoolémie de 0,08 pour les facultés affaiblies par l'alcool), déterminer si les conducteurs sous l'influence de drogues sont une risque accru pour la sécurité routière, et de développer un test ou une technique fiable qui dépiste avec précision les produits chimiques psychoactifs dans les médicaments qui peut entraîner des troubles de la conduite

Dernière modification par prescripteur (06 août 2023 à  11:21)