[ Aucun effet ]

MDMA sans réel effet après plusieurs essais

Finalement ça a peut être un peu fonctionné mais alors vraiment léger.
J'ai donc pris le para à 10H. Effet trop cool de 10H40 à 11H15.
Puis en mode déprime dans mon lit : mouais bon, super, encore une fois ça marche pas, génial, je vais jamais m'éclater de ma vie c'est pas possible autrement, je dois être tellement coincée que même la MD veut pas de moi. La musique me fait rien, ça me saoule.

Ensuite j'ai exigé que Mr s'occupe de moi sexuellement parlant.
C'était cool. J'étais un peu plus chaude que d'habitude faut l'avouer. Ça a bien duré 2H. + dans l'observation du plaisir de l'autre : d'hab on joue bcp, un peu chacun son tour, et la pénétration n'est pas notre partie préférée. Là c'était l'inverse, j'avais besoin que ce soit partagé, ensemble, et le voir prendre du plaisir. J'avais aussi la sensation que le toucher était plus doux, plus sensuel, comme des plumes.

(Lors de ma 2eme expérience, en avril, j'étais anesthésiée physiquement, c'était le contraire : l'impression de ne rien sentir)

J'ai essayé de manger vers 15-16H: beurk.

On est parti se promener pdt 1H. Corps mou, l'impression d'être à côté de mes pompes mais je me sentais normale. On a papoté de tout et rien, comme d'habitude.

On est rentré vers 17H : de nouveau envie de baiser, je lui ai sauté dessus. Lui qui disait qu'il ne pourrait pas après seulement 2-3H de pause ("j'ai plus 20 ans)... Bah tiens, il a terminé à la vitesse de l'éclair, parce que trop entreprenante (et donc excitante).
D'habitude pas de souci, c'est terminé ok, pas grave.
Là... J'ai exigé qu'il me regarde prendre mon pied toute seule. Chose qui n'est jamais arrivée en 20ans. Je lui disais des trucs coquins en même temps, ça aussi jamais fait en temps normal. C'était fun.

18H re douche. J'ai mis de la musique dans la salle de bain, et je me suis mise à danser en fermant les yeux, plus rien ne comptait. Je n'avais pas du tout ressenti ça plus tôt dans la journée. Là c'était comme si la musique s'adressait à mon corps.

MAIS il fallait récupérer nos enfants donc pas le choix, Mr était obligé de m'engueuler pour que je m'habille et de me trainer par le bras. J'en avais rien à faire, je voulais danser.

Dans la voiture j'ai mis la musique à fond et je dansais sur le siège en chantant, la fenêtre grande ouverte alors qu'il faisait 15°, j'avais chaud. L'impression d'être dans un de ces films de road trip.
J'avais tjr envie de baiser donc j'essayais de tripoter Mr qui n'était pas réceptif mais que ça faisait rire, c'est déjà ça.

19H on retrouve les enfants, je suis parfaitement normale, je donne le change, on doit dîner sur place. Tiens et si on mettait de la musique pour l'apéro ? Hop c'est reparti, enceinte à fond et on danse avec les enfants, morts de rire, on saute partout.
Mon conjoint arrête pas de me dire de me calmer. Je lui réponds que je suis normale, d'ailleurs je discute aussi en mode adulte, pourquoi on pourrait pas danser sans raison.

On mange, on rentre, encore de la musique sur le retour, je passe le trajet à me caresser les mains, c'est tout doux. Mais mentalement je suis normale, c'est simplement une constatation. J'endors le petit dernier. 23H u dodo et... Nuit de merde, pas envie de dormir, je tourne sans arrêt et je me suis réveillée 1000x je pense.

En prenant la MD le matin je pensais échapper à cet effet nuit blanche (que j'ai vécu à chaque fois), raté.

Le lendemain niquel, j'étais de bonne humeur, on a fait plein de trucs avec les enfants. Tjr une grosse envie de sexe mais Mr travaillait, pas le choix ah ah.

Donc ça a marché, mais lissé sur la journée, de manière très douce, et par période j'ai l'impression. Par ex pdt 2H je me sentais absolument normale, puis les 2H suivantes l'impression d'avoir 15 ans et d'être libre, de pouvoir tout faire.

J'avais encore les pupilles dilatées le soir.
J'ai transpiré toute la journée, non stop, en alternant entre : j'ai chaud, j'ai froid (mais je transpirais quand même).

J'ai aussi regardé ma montre connectée et ça coïncide : coeur à 60-70 BPM au repos d'habitude.
Para de 100mg à 10H.
Sous MD je suis montée à 100 vers 10H30-11H30, sachant que je ne faisais RIEN à part observer les effets.
Puis le reste de la journée ça oscillait à 80-90, avec des pics à 110-120 (surtout pdt le sexe et quand je dansais).
C'est descendu à 80 vers 21H, puis 70 vers 22H puis 60 vers 23H.

Dernière modification par julietteNNN (12 mai 2024 à  11:15)

Tonpoteu a écrit

Appelle @sreconnor elle vas te réglé en conseil moi j’ai la flemme

Mdrrrr ça va y’a pas que moi

Ah et pour la saison des festivals, c'est réglé, la seule personne qui garde nos enfants (ou plutôt : qui accepte de le faire mdr) est leur grand mère.
Elle part en voyage à l'étranger pour 3 mois, de mi juin à mi septembre, c'est réglé !

Dernière modification par julietteNNN (12 mai 2024 à  15:45)

cllslght a écrit

Possible que la md ne "fonctionne pas" quand on a des tendances dépressives : on m'a déjà raconté des histoires comme la deuxième que tu mentionnes dans ton post original. Ça aurait tendance à prouver que ça marche ou que ça un effet mais pas de la façon dont on l'aimerait. En prendre chez soi plutôt que dans un contexte de fête accentue peut-être le phénomène.
Concernant le deuxième récit, il donne l'impression que ça a fonctionné du tonnerre, tu as l'air de t'être sentie surstimulée. Je ne vois pas vraiment d'autres effets que la md pourrait avoir.

En fait ça a l'air bcp plus fun et fort chez les autres, quand je lis les témoignages

La seule personne que je connais et qui m'a initié est une copine d'enfance, vivant à l'autre bout du pays (donc on se voit 1x par an) : elle en prend 1x par mois environ, depuis 1 an, en soirée chill, en festival, en couple, ou même toute seule chez elle, et elle me décrit des sensations de dingue à chaque fois. Des montées, des heures à planer, du bien être à l'état brut, de la connexion de dingue avec les autres, des sensations sexuelles de folie quand c'est en couple. Elle a même eu un orgasme juste en pensant, sans aucun contact
Elle dit même que ça a changé sa vision de la vie, grâce à la MD elle est bcp plus sereine au quotidien, elle ne s'énerve plus, elle voit le bon côté des choses (boulot stressant au contact étroit des gens).
Et zéro descente, aucun effet négatif, que du bonheur. Pour elle, la MD est comme une thérapie de la vie, en mode accéléré.

J'ai l'impression d'être à 1.000 lieux de ce qu'elle me décrit. J'ai envie de vivre la même chose, c'est assez frustrant

Et quand je lis les témoignages idem, je me reconnais pas. Un petit bien être en plus, mais allez... Ça pourrait carrément paraître inaperçu. Ça pourrait être mon état normal en fait, si je bois un verre par ex. Avec des effets bcp plus négatifs pour la MD avec la nuit blanche systématique par ex.

Dernière modification par julietteNNN (12 mai 2024 à  16:28)

C'est pas le style à s'enthousiasmer mdr. Très terre à terre (milieu hospitalier ). Avait du mal à exprimer ses sentiments.
Maintenant elle assume son côté fragile et est plus authentique : elle qui n'a jamais fait de "déclaration d'amour" va te dire à quel point tu es une personne importante dans sa vie et combien elle est reconnaissante de te connaître (sobre ça va de soi).
Ma copine d'enfance, la raleuse, celle qui était incapable de dire ce genre de trucs avant ! Qui est désormais ouverte au couple libre et à l'amour pluriel, qui est plus épanouie que jamais.
Quand je dis qu'elle rayonne... C'est un truc de dingue.

Et elle pense vraiment que c'est grâce à la MD, que ça lui a ouvert d'esprit et fait voir les choses autrement. C'est pour ça qu'elle voulait que je teste, au départ, par rapport à ma dépression, pensant que ça pouvait débloquer qq chose chez moi et me changer la vie

julietteNNN a écrit

NoéLaf a écrit

Hello

Je te fait une petite réponse rapide, dimanche on a les enfants tu sais ce que c’est ^^

Pour moi c’est le set and setting qui fait que ça ne prends pas comme tu le souhaiterais (en plus des période trop courtes entre chaque prise)

Après c’est personnel mais pour moi la MDMA c’est pas du quotidien, c’est un moment festif. Une grosse soirée entre ami avec de la musique plein les enceintes, ou un festival.

Comme tu la remarqué quand tu as mis la musique, elle t’a transporté, tu vis la musique, elle vibre à travers toi.

Encore une fois personnellement, le type de journée que tu as faite, c’est à dire journée normale avec ton chéri à la maison et surtout avec l’idée de récupérer les enfants le soir (donc inconsciemment faut que je m’éclate mais pas trop pour être en forme le soir) je ne pourrais pas, je me freinerais mentalement.

Et pour le moment où tu t’es sentie normale, ça me fait pareil. En gros j’ai une montée, l’effet plateau et puis hop je redescend, à ce moment là j’en reprends une dose et la c’est parti pour des heures.

Ce ne sera peut être pas facile pour toi je sais que c’est compliqué avec des enfants, mais la saison des festival commence, essaye de voir si tu peux en trouver un d’ici 6 semaines, confier les enfants et te faire une soirée/nuit de folie :)

Pour la pause, il y a eu 2 mois entre prise 1 et prise 2. Puis 3 semaines entre prise 2 et prise 3 (je savais pour les 6 semaines mini de pause).

Je n'ai pas l'occasion de faire la fête depuis de très longues années - excepté les mariages : 3x dans ma vie.
Nos amis sont planplans, avec des enfants, bref comme nous : on va se voir pour boire un verre, ou diner, chez les un les autres. Personne ne prend de substances. D'ailleurs y'a rarement de la musique.

Je ne connais pas les concerts ou festivals mais ça n'a pas l'air d'exister en version pop commerciale ? Ce que j'écoute et sur quoi je danse : Moi mon délire c'est Taylor Swift, Litle Mix, Britney Spears, par ex.
Je n'aime pas l'électro - techno. Mr a essayé de m'en faire écouter lors des prises n°2 et 3, ben non, pas moyen.
Donc je pense vraiment pas m'éclater dans un endroit où passe de la musique que j'apprécie pas.
C'est pas mon monde.

Est tu sûre de la qualité de la MDMA en question ? J’entends que ton conjoint a lair d’être plus réceptif mais toi avec les problème d’état dépressif il est possible que tu ait aussi besoin d’une MDMA plus « pure », plus puissante.
En terme de dosage aussi, alors sans te dire de forcer la dose mais moi qui suis pourtant menue (1m50 pour 45kg) mes amis on été choquée de la quantité que j’ai du prendre pour réussir à monter et à être aussi bien qu’eux (ce qui est toujours le cas, comme si j’avais un organisme plus résistant va savoir pourquoi).

Concernant les festival en effet ça sera difficilement ton style de musique mais tu peux te tourner vers un club, une boîte de nuit si tu as ça par chez toi ?
Alors boîte de nuit on pense souvent à des petits jeune de 17/18 ans mais dans les villes où j’ai vécu on avait toujours une boîte généralement le rétro ou l’entrée est réservée aux plus de 25 ans et où il y a tous les âges et où tu t’y retrouvera mieux dans le style musical.

Ou alors si la visite de ton amie du milieu hospitalier est bientôt essaye de voir pour organiser une soirée avec elle ?

Dernière modification par NoéLaf (12 mai 2024 à  19:05)

Hello c’était quoi tes dosages ?

Perso, en parallèle la découverte de la MDMA s'inscrit justement dans un contexte de : plus rien à foutre, je veux m'amuser, savourer la vie.

Vie rangée parfaite à 35 ans, Maman aux petits soins pour ses oisillons, disons que je suis en mode rébellion.

J'ai perdu mon boulot passion (d'où la dépression qui s'en est suivie), et je me suis rendue compte que je ne m'amusais pas... En dehors de mon job que j'adorais.

Donc je me suis mise à courir, à manger mieux, et à prendre de la MD pour la 1ere fois avec cette fameuse amie qui me disait que ça allait me détendre et me faire voir la vie autrement : bref kiffer.

En qq mois je veux tout changer : allez hop on sort en club libertin, et puis merde on se fait un weekend en amoureux, on sort en boite, moi je veux danser, baiser à tout va, et arrêter de m'emmerder.

Mais la MD a pas l'air d'être faite pour moi du coup Ou je suis pas faite pour elle.

Dernière modification par julietteNNN (16 mai 2024 à  10:09)

Finalement, après 10 semaines de pause, et de multiples expériences variant le set & setting, je conclue plutôt à une sensibilité différente à la molécule. Disons même : des effets contraires à ceux de la majorité.

Quand tout le monde ressent :
- Une énergie décuplée
- de l'empathie
- un sens du toucher accru de
- une sensibilité particulière à la musique

Moi c'est l'inverse mdr :
- sensation d'anesthésie, molle, fatiguée, difficulté à bouger
plutôt repliée sur moi même, pas de connexion aux autre, je suis un peu ailleurs. Si on entame une conversation profonde, ça va vite me saouler, j'ai pas envie. En gros : laissez moi tranquille.
- anesthésie physique, comme si j'avais une couche de vêtement supplémentaire. C'est encore plus le cas sexuellement : zéro excitation, comme si j'étais chez le gyneco. Plus froide tu meurs !
- j'apprécie plus la musique quand je suis "normale". Étant à l'ouest, la musique me touche pas.

Je ressens du bien être par contre. Pas de l'extase ou du bonheur brut comme bcp peuvent le décrire. Mais ça va, je suis bien, cool. Rien de transcendant.

Comme bcp, j'ai les pupilles dilatées, le coeur qui s'emballe, le corps fébrile pdt la montée. Je n'ai jamais eu les mâchoires serrées. Mais au lieu d'avoir chaud, j'ai plutôt froid mdr.

Comme je le disais, après 10 semaines de pause, j'ai pris 150mg en 1x en festival, en présence de mon conjoint qui n'a rien pris.
On passe les 2 premières heures à écouter divers groupes, j'ai dansé, j'étais super heureuse de voir l'énergie de la foule, j'étais souriante, pleine d'énergie. Ambiance familiale. Je n'ai donc rien pris à ce moment là.

20H je prends le para de 150mg, en me disant "puisque 100mg ne m'a jamais fait décoller, on va voir avec cette dose".

21H je commence à avoir sérieusement froid, à me sentir fébrile, légères nausées. Je m'assieds au sol, emmitouflée dans mon manteau, repliée sur moi même pour tenter de me réchauffer. Le goût terreux dans la bouche arrive (signe systématique chez moi). Mon coeur est passé de 80-90 à 120-130 BPM. Certaines personnes autour sont encore en T-shirt, je me dis qu'ils sont fous. Mon conjoint me confirme qu'il ne fait pas spécialement froid, juste plus frais vu que le soleil se couche. Ah, ben moi je tremble de froid. J'ai envie de rentrer pour me mettre sous la couette.
Le set en cours est plutôt rap, j'aime pas. Je passe mon temps sur mon tél. 10min après mon conjoint me fait me lever pour aller ailleurs : en réalité ça fait 45min que je suis prostrée par terre.

Je marche devant, lui dans mon dos. Soudain je me retourne, mon conjoint a disparu, je regarde partout en cherchant des yeux. Soudain il est devant moi, il me tire par le bras et rouspète parce que je n'avance pas. Je ne comprends pas, il était derrière. Il me répond oui, puis je me suis arrêtée et il a dû me tirer à plusieurs reprises pour avancer et à chaque fois je restais sur place, l'air ailleurs. Je rigole, il raconte n'importe quoi, je lui raconte ma version... Non non il est très sérieux. Étrange.
On continue de marcher. Il doit jeter ça à la poubelle, je le regarde s'eloigner, la poubelle est à quelques mètres seulement. Pendant une demi seconde, je regarde ailleurs : il a de nouveau disparu. Soudainement il est derrière moi et m'attrape par le bras en me disant d'arrêter de partir et de l'attendre. Non mais c'est une blague ?! Je n'ai pas bougé. Il m'assure que si, que j'ai continué à marcher droit devant quand il est parti à la poubelle. Je décide d'en rire en me disant qu'il se fiche vraiment de moi.

On s'installe sur des transats le temps que la prochaine scène démarre. Je comate à moitié. Ça commence. Set électro sympa, je tente de danser d'un pied sur l'autre, je bouge pas des masses mais je suis au max. Ça se termine.
Ensuite on retourne sur un transat. Nouvelle absence. Je suis devant un nouvel artiste, le son est fort. Bah merde... Comment je me suis retrouvée là ?! Je suis pas mal sur mon tél, je discute avec ma meilleure amie par message, je fais des vidéos, tout en suivant le concert. A la fin, mon conjoint râle parce qu'il en a marre d'entendre hurler une femme juste derrière nous. Je réponds que c'est pas grave, elle crie juste parce que l'artiste s'en va, pas de quoi en faire un drame. Non elle hurle non stop depuis 1H, ça lui casse les oreilles.
Mais non elle hurle depuis 1 minute... Et ça fait que 10 min qu'on est là, ça va. Non ça fait 1H. Je regarde les échanges de messages avec ma pote : effectivement on a débuté à 23H, il est minuit. Et j'ai fait une vidéo par chanson. L'impression qu'il a chanté 3 chansons, en réalité il y en a eu une bonne 10aine. OK... Bon. Admettons. Vraiment chelou tout ça.

On file vers une scène DJ mais la musique est naze (DJ Gégé 50 ans est aux platines à passer du Black Eyed Peas), on décide de rentrer.
0H45 à la maison, je mets de l'électro chill, lumière tamisée, pour finir la soirée tranquillou. On regarde vite fait les vidéos qu'on a faite, je ne me souviens pas de 3/4 des sons. Je lui demande si j'ai été normale ce soir, ou à l'ouest (parce qu'avec le recul j'ai l'impression d'avoir tout raté et de pas avoir profité du tout) : non non j'étais parfaitement normale, à part les 2x où on s'est perdu, sinon comportement banal, j'applaudissais à la fin de chaque chanson, on parlait de temps en temps pour commenter telle chanson ou tel artiste. Il m'a dit qu'il m'avait demandé plusieurs fois si je me sentais défoncée, j'ai répondu non à chaque fois. M'en souviens pas.

Bon. Il décide de me faire des papouilles, avec le but évident de baiser. Je suis bien, j'entends rien, je sens pas vraiment les papouilles, et je m'endors comme une masse jusqu'au lendemain 10H mdr. Visiblement il s'est débrouillé seul avec sa gaule.

Conclusion : on est vraiment tous différent face à la MD. Quand on dit que prendre de grosses doses ne rend pas les effets meilleurs, je trouve que ça se vérifie vraiment me concernant.

C'est resté très léger et surtout plus proche de ce qu'on me décrivait, en en prenant très peu. Alors qu'en prendre plus m'anesthésie bcp trop pour profiter, mon corps est à côté de mes pompes, je n'apprécie pas l'état dans lequel je suis, d'ailleurs je suis pas particulièrement "joyeuse" puisque je me sens normale côté humeur. Pas d'euphorie quoi.

A force de "tester" j'ai finalement trouvé ce qui pouvait me convenir, à la fois côté set&setting, mais aussi dosage, et ça c'est cool.

Salut,

Moi je dois dire qu'inexplicablement, mes premières prises m'ont fait des effets très semblables à ceux que tu racontais : froid, envie de m'isoler, ne pas supporter le contact physique, tension...

Depuis, j'ai passé quelques années sans en prendre et puis un jour j'ai voulu re-essayer et là j'ai eu les effets attendus !
Depuis, en général je ressentis plutôt les effets typiques... Sauf une fois où j'étais adonf de taz, bien dans le moove, looove –voire orgie–, sons et couleurs, je prend une trace de MD et là tout descend en mode froid, pas envie qu'on me touche etc (pourtant le même s&s !).

J'avoue ça reste un mystère pour moi