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DopeIsBeautiful a écrit
Neuropsychological Consequences of Opiate Use https://link.springer.com/article/10.10 … 007-9041-y
Environ 3,7 millions de personnes ont consommé de l'héroïne et d'autres substances opiacées au cours de leur vie. Bien que les effets de l'héroïne soient de mieux en mieux connus, cette substance reste l'opiacé le plus consommé et sa consommation a récemment augmenté chez les adultes. La littérature empirique examinant les effets neurocognitifs de la consommation aiguë et chronique d'opiacés reste limitée ; cependant, les résultats obtenus à ce jour suggèrent que la consommation d'opiacés a des effets aigus et à long terme sur les performances cognitives. Les données neuropsychologiques indiquent des déficits d'attention, de concentration, de mémorisation, d'aptitudes visuospatiales et de vitesse psychomotrice en cas de consommation aiguë et chronique d'opiacés. Les effets à long terme de la consommation d'opiacés semblent avoir le plus grand impact sur les fonctions exécutives, y compris la capacité à modifier l'état cognitif et à inhiber les tendances à réagir de manière inappropriée. Les facteurs qui contribuent à la dépendance et au rétablissement sont également examinés, car il est difficile de distinguer les effets de la consommation d'opiacés sur les performances cognitives d'autres facteurs susceptibles d'affecter les mesures neurocomportementales.
Certes les opiaces sont peu toxiques compares a d'autres drogues. Mais ils ne sont pas exempts d'effets secondaires, notament au niveau cognitif.
Salut, salut ; alors je passe en coup de vent car je ne peux m'empecher de souligner que... l'étude que tu cites ne dit justement pas ça ; l'étude dit l'inverse.
Enfin pas l'inverse, mais ils disent explicitement qu'on ne peut rien en conclure car il faut prendre en compte d'autres facteurs qui peuvent affecter les mesures.
Cf la dernière phrase de l'étude que tu cites .
Bonne journée les psychos:P
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Si on parle de personnes qui ont besoin de se droguer pour travailler, ça veut dire qu'elles souffriraient d'aller travailler sans drogue. Or, la souffrance est tout à fait susceptible de diminuer les capacités cognitives, que cette souffrance soit physique ou psychique.
A moins que la perte de controle induite par la dependance force la personne a consommer quotidiennement, y compris au travail, la ou la consommation n'etais a la base que recreative. Par exemple.
Perso, j'ai l'impression de retrouver ce genre de biais dans une large majorité de tes posts. Je ne mets pas en cause ta sincérité, ni tes compétences scientifiques. Mais je pense que tu te fais des idées quand tu te crois objectif. Tu as un parti pris subjectif, comme chacun d'entre nous, et c'est bien normal.
Tu prends mon effort de mettre des choses concretes sur la table pour nourrir la discussion comme un verni pour assoir mes idees, je prends tes posts a ralonge comme de l'enfumage en regle reposant sur rien d'autre que ta subjectivite et tes idees preconcues. Differentes approches.
Ainsi quand tu dis que PA fait de la politique et de l'idéologie, tu as raison, mais tu ne vois pas que tu fais la même chose, en te retranchant derrière un verni scientifique et objectif, pour donner une autorité à tes opinions politiques, ce qui les rend incontestables.
Mon parti pris initial il est sujectif effectivement. J'ai tape des opiaces et essaye d'avancer dans mes etudes. Ca n'as pas eu zero impact, contrairement a ce qu'on peut lire ici ou le message principal est que l'on peut travailler sous produits. Il m'apparait important pour moi d'afficher un autre son de cloche que le votre sur le forum, et mon son de cloche ne sort pas que de ma subjectivite.
On peut distiller mon message de la sorte : Oui on peut compenser enormement de choses, on peut travailler sous dope par exemple, et plein de personnes ayant accompli de grandes choses etaient aussi consommatrices de drogues. Est-ce cependant la meme chose que le faire sobre ? Non. Il m'apparait important de faire la distinction.
Enfin pas l'inverse, mais ils disent explicitement qu'on ne peut rien en conclure car il faut prendre en compte d'autres facteurs qui peuvent affecter les mesures.
Tu conclue que l'on ne peut rien en conclure. Ils disent que c'est "difficile", specifiquement pour les personnes qui sont dependantes au long cours (notament a cause de la polytoxicomanie qui est souvent presente et rend difficile la conclusion au niveau des opiaces). Je te laisse le document si cela t'interesse.
s11065-007-9041-y.pdf
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DopeIsBeautiful a écrit
rien d'autre que ta subjectivite et tes idees preconcues.
C'est parfaitement assumé, si par "préconçues" tu m'accordes mes idées se basent sur mon expérience et celles des personnes que j'ai rencontrées au cours de ma vie.
C'est même le principe du forum, non ?
DopeIsBeautiful a écrit
A moins que la perte de controle induite par la dependance force la personne a consommer quotidiennement, y compris au travail, la ou la consommation n'etais a la base que recreative. Par exemple.
Pour moi, la dépendance n'induit aucune une perte de contrôle. Ca n'a rien à voir. De nombreux exemples cliniques le prouvent, et le forum en regorge. A mon avis, les pertes de contrôle s'expliquent mieux par la souffrance psychique que par la dépendance.
Pour moi, le danger se trouve quand une personne ne peut jamais se satisfaire de l'effet du produit, et qu'elle rentre dans le cercle vicieux d'une augmentation perpétuelle les doses. Pour une part, ça peut s'expliquer par la tolérance, mais pour une large part, il y a la souffrance psychique de la personne. Ca n'est que mon avis.
Amicalement.
EDIT :
DopeIsBeautiful a écrit
Mon parti pris initial il est sujectif effectivement. J'ai tape des opiaces et essaye d'avancer dans mes etudes. Ca n'as pas eu zero impact, contrairement a ce qu'on peut lire ici ou le message principal est que l'on peut travailler sous produits. Il m'apparait important pour moi d'afficher un autre son de cloche que le votre sur le forum, et mon son de cloche ne sort pas que de ma subjectivite.
Je ne fais pas partie de l'équipe, c'est pas "mon" forum, et je ne te reproche aucunement "d'afficher un autre son de cloche".
Je trouve seulement paradoxal que tu te bases sur ton parti pris et l'impact pour toi, pour conclure que ton "son de cloche" ne sort pas que de ta subjectivité.
Dernière modification par Pesteux (14 mai 2024 à 14:14)
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C'est parfaitement assumé, si par "préconçues" tu m'accordes mes idées se basent sur mon expérience et celles des personnes que j'ai rencontrées au cours de ma vie.
C'est même le principe du forum, non ?
Par "preconcues" je voulais dire, sans mon "verni scientifique". Mais je n'ai aucun probleme avec nos 2 points de vue qui different. C'est la richesse d'un forum d'avoir une pluralite d'avis.
Pour moi, la dépendance n'induit aucune une perte de contrôle. Ca n'a rien à voir. De nombreux exemples cliniques le prouvent, et le forum en regorge. A mon avis, les pertes de contrôle s'expliquent mieux par la souffrance psychique que par la dépendance.
Peut etre que j'ai utilise des mots de facon imprecise. Pour moi, lorsque la consommation augmente jusqu'a etre quotidienne sans quoi des souffrances physiques et psychiques arrivent, alors il y a eu perte de controle de la consommation. Perte de liberte de choisir de consommer ou non. Pourrais tu me diriger vers ces etudes cliniques pour que je comprenne mieux ce que tu avances ?
Je trouve seulement paradoxal que tu te bases sur ton parti pris et l'impact pour toi, pour conclure que ton "son de cloche" ne sort pas que de ta subjectivité.
Si j'arrive sur un sujet et tout le monde dit A lorsque personnellement j'ai ressenti B, alors soit je suis unique comme me disait ma maman, soit d'autres personnes ressentent la meme chose que moi. Je penche pour la seconde explication. Quand je recherche ce que la litterature dit a ce sujet, par exemple les opiaces c'est a dire un clair signal que les opiaces ne sont pas sans effets sur la cognition, alors je pense qu'il est important d'ajouter ce vernis a la discussion.
Oui on peut travailler sous drogue. Mais ca n'est pas sans un certain impact qui varie de produits a produits et de personnes a personnes.
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Pesteux a écrit
Pour moi, la dépendance n'induit aucune une perte de contrôle. Ca n'a rien à voir. De nombreux exemples cliniques le prouvent, et le forum en regorge. A mon avis, les pertes de contrôle s'expliquent mieux par la souffrance psychique que par la dépendance.
DopeIsBeautiful a écrit
Pourrais tu me diriger vers ces études cliniques pour que je comprenne mieux ce que tu avances ?
Gros malentendu, c'est terrible de parler avec un scientifique Au moins, ça prouve ta sincérité.
Je te parle "d'exemples cliniques", et toi, tu comprends "études scientifiques" haha. T'es pas prêt de me voir sortir une étude dans un post qui parle du vécu des personnes ! Pour moi, une "étude clinique", c'est un oxymore !
La clinique, ça veut dire "qui observe directement les manifestations de la maladie (au lit des malades)". J'entend le mot clinique au sens de la "psychologie clinique". J'aime pas l'idée de maladie pour parler de la dépendance, de l'addiction, ou de la souffrance psychique, mais j'aime bien l'idée que pour parler de ces questions, il faut les observer directement, au contact des personnes. C'est à dire faire une observation subjective, à partir de la personne et de ce qu'elle nous raconte de son vécu. Donc, j'aime bien la clinique, et pour parler de la cognition, je trouve ça beaucoup plus riche et parlant qu'une IRM. C'est souvent très éloigné du discours scientifique, ce qui ne l'invalide pas pour autant. Enfin, pas toujours.
Pour moi, les témoignages des personnes sur le forum ont valeur clinique. Certains sont peut-être incomplets, ou partiaux, mais ce sont bien des éléments cliniques qui sont apportés. A chacun de les interpréter comme il l'entend.
Une personne qui témoigne consommer tous les jours et que ça l'aide à travailler, ben c'est un exemple clinique. Il y en a sur ce fil, et plein partout sur le forum !
Amicalement.
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Gros malentendu, c'est terrible de parler avec un scientifique big_smile Au moins, ça prouve ta sincérité.
Je suis sincere dans ma demarche, sinon pourquoi perdre mon temps avec des etrangers sur le net haha.
Je te parle "d'exemples cliniques", et toi, tu comprends "études scientifiques" haha. T'es pas prêt de me voir sortir une étude dans un post qui parle du vécu des personnes ! Pour moi, une "étude clinique", c'est un oxymore !
Ah ok, effectivement je n'avais pas compris. Une etude clinique pour moi c'est une etude qui evalue une nouvelle approche medicale de facon rationnelle. Et ca comprend les etudes sur les medicaments bien-sur, mais aussi sur les differentes approches psychologiques. Est-ce que l'intervention psychologique X presente des effets positifs superieur a l'intervention pharmacologique Y ? Est-ce que combiner X et Y provoque des effets positifs Z superieurs a la somme de X et Y ? Ok faut ecouter les personne, et apres ? Encore une fois c'est des belles idees, je percois la bonne intention derriere, mais ce que je te reprocherai est un manque de pragmatisme.
La clinique, ça veut dire "qui observe directement les manifestations de la maladie (au lit des malades)". J'entend le mot clinique au sens de la "psychologie clinique". J'aime pas l'idée de maladie pour parler de la dépendance, de l'addiction, ou de la souffrance psychique, mais j'aime bien l'idée que pour parler de ces questions, il faut les observer directement, au contact des personnes.
Le choix meme de ton language me herisse le poil si je dois etre honnete, dans le registre de l'emotion. "J'aime pas", "J'aime bien". Je peux aussi aller dans le registre de l'emotion : Moi ce que je vois c'est une realite crue. Combien de personne qui meurent d'OD par an ? Des traumatismes qui se transmettent de generations en generation, parce que la medecine n'as pas encore de solution reellement efficace a ce probleme. Une personne en manque, elle s'en fou de ta curiosite, elle veut un soulagement concret, aussi concret que son manque.
Donc, j'aime bien la clinique, et pour parler de la cognition, je trouve ça beaucoup plus riche et parlant qu'une IRM.
L'addiction est une maladie complexe et ne peux etre soignee que par une approche multidisciplinaire. On vois ca avec la prise de psychedeliques qui doit etre encadree pour que l'effet curatif maximal soit atteint. Pourquoi opposer approche clinique et IRM ? Exemple a la con : Si l'addiction est maintenue pour fuir la douleur provoquee par une tumeur ou je ne sais quoi dans le corps, ta clinique n'aidera pas le patient !
La consommation de drogue peut induire des souffrances mentales et physiques. Des souffrances mentales et physiques peuvent induire une consommation de drogue. Une prise recreative peut conduire a une addiction. La genetique et l'environnement influe sur l'evolution d'une addiction. Tous ces facteurs rentrent en jeu.
Pour moi, les témoignages des personnes sur le forum ont valeur clinique. Certains sont peut-être incomplets, ou partiaux, mais ce sont bien des éléments cliniques qui sont apportés. A chacun de les interpréter comme il l'entend.
Une personne qui témoigne consommer tous les jours et que ça l'aide à travailler, ben c'est un exemple clinique. Il y en a sur ce fil, et plein partout sur le forum !
Encore une fois, si je poste ici, ce n'est pas parce que j'invalide ces retours d'usagers, mais pour ajouter a mon tour mon propre retour d'usager (et de personnes que je connais, tout comme toi). Parce qu'une discussion ou il n'y a que des retours positifs sur le fait de travailler sous drogue, c'est aussi dangereux que de dire que la drogue c'est de la merde. La realite est plus complexe.
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Bah zut alors, vous l'avez ban trop vite, je ne saurai jamais si je peux lui faire admettre que son parti pris est tout aussi politique que le mien (mon coté Don Quichote). So frustrating...
J'éprouve toujours un certain malaise quand mon contradicteur est ban au beau milieu d'une discussion. J'ai l'impression de bénéficier d'un avantage indu, j'ai un peu honte, je culpabilise. C'est grave docteur ?
Va falloir que j'en parle à mon psy^^
EDIT : Pour celui qui m'a mis le champi rouge "Sauvé par le Gong, tu te prenais une veste", j'en suis pas si sûr, je lui avais préparé une réponse, mais maintenant qu'il est ban, ça n'est plus très loyal de la poster, alors je m'abstiens.
Dernière modification par Pesteux (15 mai 2024 à 07:37)
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Pesteux a écrit
Bah zut alors, vous l'avez ban trop vite, je ne saurai jamais si je peux lui faire admettre que son parti pris est tout aussi politique que le mien (mon coté Don Quichote). So frustrating...
J'éprouve toujours un certain malaise quand mon contradicteur est ban au beau milieu d'une discussion. J'ai l'impression de bénéficier d'un avantage indu, j'ai un peu honte, je culpabilise. C'est grave docteur ?
Va falloir que j'en parle à mon psy^^
EDIT : Pour celui qui m'a mis le champi rouge "Sauvé par le Gong, tu te prenais une veste", j'en suis pas si sûr, je lui avais préparé une réponse, mais maintenant qu'il est ban, ça n'est plus très loyal de la poster, alors je m'abstiens.
T'es sérieux ? Pour qui tu te prend pour manquer autant de respect à un autre membre? T'es en manque d'autorité ou de pouvoir ? Je pige pas bien ton projet là...
Que vous ne soyez pas d'accord est une chose, mais que tu te marre pour son ban et que tu avais prévu de le "descendre" juste pour une opinion divergente, là tu es malsain poto.
Ton post est juste dégueulasse.
C'est pas un fight club PA, moi qui croyait que vous pronez la tolérance et l'ouverture d'esprit, axé sur la RdR et le respect des opinions et croyances de chacuns... Et la modération qui te met des champis verts, on aura tout vu. Là pour le coup c'est toi qui aurait dû être ban.
Evites ce genre de délire à l'avenir stp.
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Non je ne suis pas sérieux, je déconne, c'est pour ça que je fais de l'autodérision et que j'ai mis des smileys. Je n'ai prévu de "descendre" personne, et je n'ai jamais employé ce mot. Si c'est ce que mon post laisse penser, alors c'est que je me suis très mal exprimé. Rectifions ça.
Avec Dope, on avait commencé d'échanger en MP sur nos points de vue très divergents. Pour moi, sa position était tout à fait à l'opposé du projet de l'association. On n'était pas du tout d'accord, mais on n'était pas fâché non plus, et on se respectait.
C'est justement pour ça que j'ai écrit ce dernier post. Je ne voulais pas commenter le travail bénévole de la modération, ce n’est pas à moi de dire si il doit être ban ou pas, ni quand il doit l'être.
Tout ce que je voulais exprimer, maladroitement sans doute, c'est que j'étais gêné par cette concordance des temps malheureuse : son ban intervient en pleine discussion publique, et dans le sens de ce que je disais. Ca lui cloue le bec en plein débat, ce qui me met dans une position difficile.
Pour dire les choses clairement, ça me donne raison, mais ça me fait passer pour un con qui ne supporte pas la contradiction. De plus, je ne peux pas poster le message que j'avais écrit en réponse à son dernier post, sans contre argumenter face à quelqu'un qui ne peut plus rien répondre. Je suis donc obligé de lui laisser le dernier mot, sinon je ne trouverai pas ça fairplay. Dans cette situation, quoi que je fasse, c'est inconfortable pour moi.
A propos de fairplay, si on y accorde un peu de valeur, il est possible de signer ses champignons.
Dernière modification par Pesteux (16 mai 2024 à 17:39)
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KOTS Fighter a écrit
T'es sérieux ? Pour qui tu te prend pour manquer autant de respect à un autre membre.
Et la modération qui te met des champis verts, on aura tout vu. Là pour le coup c'est toi qui aurait dû être ban.
Evites ce genre de délire à l'avenir stp.
Déjà on se calme, avec tes propos. Restons courtois!
L'autre membre comme tu dis, est un ex membre banni, qui ne fait que revenir avec ses multicomptes. Ce qui est interdit sur psychoactif.org.
Qui ne respecte donc pas la charte dans les CGU, meme lorsqu'il fait appel à l'autorité scientifique, comme si ce n'était qu'une vérité absolue.
Pesteux à bien identifier les biais et Anonlect aussi ...
Charte PA a écrit
Pour citer une étude scientifique dans une discussion, il faut : - que ca réponde à un besoin exprimé de la personne qui a posé la question dans la discussion - que ce soit traduit en français - que les limites et biais de l'étude soient clairement identifiés
Dernière modification par meumeuh (16 mai 2024 à 17:54)
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meumeuh a écrit
KOTS Fighter a écrit
T'es sérieux ? Pour qui tu te prend pour manquer autant de respect à un autre membre.
Et la modération qui te met des champis verts, on aura tout vu. Là pour le coup c'est toi qui aurait dû être ban.
Evites ce genre de délire à l'avenir stp.Déjà on se calme, avec tes propos. Restons courtois!
L'autre membre comme tu dis, est un ex membre banni, qui ne fait que revenir avec ses multicomptes. Ce qui est interdit sur psychoactif.org.
Qui ne respecte donc pas la charte dans les CGU, meme lorsqu'il fait appel à l'autorité scientifique, comme si ce n'était qu'une vérité absolue.
Pesteux à bien identifier les biais et Anonlect aussi ...Charte PA a écrit
Pour citer une étude scientifique dans une discussion, il faut : - que ca réponde à un besoin exprimé de la personne qui a posé la question dans la discussion - que ce soit traduit en français - que les limites et biais de l'étude soient clairement identifiés
Dac! Je suis un peu nouveau, je dois prendre le pli
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KOTS Fighter a écrit
Il vient de moi.
Désolé mais je t'ai trouvé assez brutal dans les derniers posts, c'étais plus du débat mais plutôt du clash.
Merci pour le fairplay.
Si le coeur t'en dit, je veux bien un retour en MP sur ma "brutalité". En dehors de l'expression "verni scientifique" dont j'assume la dureté, je ne m'en rends pas compte. Ca peut toujours me servir tes critiques. Mais en privé stp, parce qu'à part moi, je crois que tout le monde s'en fout.
KOTS Fighter a écrit
Si tu n'es pas d'accord avec ton meilleur pote, tu vas pas le bully et le sortir de ta vie je suppose.
C'est un peu le cas ici
Mais enfin, en quelle langue faut-il te l'écrire :
Je n'ai aucun pouvoir de ban, JE NE SUIS PAS MODERATEUR !!
Si il se fait ban juste à ce moment-là, c'est une coïncidence malheureuse !
Je n'y peux rien.
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Pesteux a écrit
KOTS Fighter a écrit
Il vient de moi.
Désolé mais je t'ai trouvé assez brutal dans les derniers posts, c'étais plus du débat mais plutôt du clash.Merci pour le fairplay.
Si le coeur t'en dit, je veux bien un retour en MP sur ma "brutalité". En dehors de l'expression "verni scientifique" dont j'assume la dureté, je ne m'en rends pas compte. Ca peut toujours me servir tes critiques. Mais en privé stp, parce qu'à part moi, je crois que tout le monde s'en fout.
KOTS Fighter a écrit
Si tu n'es pas d'accord avec ton meilleur pote, tu vas pas le bully et le sortir de ta vie je suppose.
C'est un peu le cas iciMais enfin, en quelle langue faut-il te l'écrire :
Je n'ai aucun pouvoir de ban, JE NE SUIS PAS MODERATEUR !!
Si il se fait ban juste à ce moment-là, c'est une coïncidence malheureuse !
Je n'y peux rien.
Je ne te met pas en cause, je fais une généralité c'est tout. Un raccourci si tu préfère.
Ça sert à rien d'en débattre en mp, j'ai rien à dire sur la discussion, j'ai juste fais remarquer que je trouvais le tout ( donc pas que tes posts, ceux de Dope aussi ) un peu vénère.
Je n'ai pas d'avis tranché, surtout que sur ce sujet j'ai pas d'opinion perso.
Je voulais juste faire remarquer que le tout est plutôt violent quand même, pour un site comme PA.
Dernière modification par KOTS Fighter (16 mai 2024 à 18:37)
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KOTS Fighter a écrit
Comme tu voudras. Mais juste pour préciser, je ne te proposais pas de débattre, mais seulement de me dire ce que tu trouvais de violent. Je ne compte pas te répondre un truc du genre "nan, je suis pas d'accord, une discussion animée ça n'est pas forcément violent", mais plutôt quelque chose comme "merci de ta contribution". Et peut-être quelques demandes de précisions supplémentaires. Je suis seulement curieux de ton opinion.
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Pesteux a écrit
KOTS Fighter a écrit
Comme tu voudras. Mais juste pour préciser, je ne te proposais pas de débattre, mais seulement de me dire ce que tu trouvais de violent. Je ne compte pas te répondre un truc du genre "nan, je suis pas d'accord, une discussion animée ça n'est pas forcément violent", mais plutôt quelque chose comme "merci de ta contribution". Et peut-être quelques demandes de précisions supplémentaires. Je suis seulement curieux de ton opinion.
Pour l'instant j'ai pas encore accès aux MP, pas assez de posts.
Je te fais signe dès que j'y ai accès.
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KOTS Fighter a écrit
Limite si c'est quand j'ai pas fumé le matin avant de travailler que ça va pas. Je pense être fortement accro au THC, malgré de nombreuses pauses, c'est mon antidote, mon remède à tous mes maux.
Je me sens bien plus détendu et pas stressé, ce qui me permet de travailler ou réviser calmement sans être obnubilé par l'attente infernale de mon premier joint de la journée.
Avant je le faisais dès le réveil au saut du lit, mais là ça me cartonne pour la matinée...
C'est comme moi, si je n'ai pas prit "mon" tramadol le matin, je suis pas bien (c'est d'ailleurs comme ça que je me suis rendu compte que j'avais un problème de dépendance). J'en ai besoin pour être fonctionnel et donc travailler. Quand j'en prends, je suis animée par une motivation faisant que je peux tout faire sans trop me poser de questions. Mais c'est aussi un problème puisque sous tramadol, je me retrouve à aimer un travail que de manière ordinaire me plait que moyennement. Quand je m'en suis rendue compte, j'ai quitté mon travail. Et la je suis en reconversion professionnelle. En espérant que mes goûts ne soient pas faussés par le tramadol...
KOTS Fighter a écrit
Je pense que ça dépent de chacun, de la relation avec un produit, et la facon de le consommer.
Quand c'est une addiction, il y a toujours comme une souffrance derrière, et je pense que là c'est vraiment au cas par cas.
Tout à fait. On ne le répétera jamais assez. :)
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Mlle*Ordinaire a écrit
KOTS Fighter a écrit
Limite si c'est quand j'ai pas fumé le matin avant de travailler que ça va pas. Je pense être fortement accro au THC, malgré de nombreuses pauses, c'est mon antidote, mon remède à tous mes maux.
Je me sens bien plus détendu et pas stressé, ce qui me permet de travailler ou réviser calmement sans être obnubilé par l'attente infernale de mon premier joint de la journée.
Avant je le faisais dès le réveil au saut du lit, mais là ça me cartonne pour la matinée...C'est comme moi, si je n'ai pas prit "mon" tramadol le matin, je suis pas bien (c'est d'ailleurs comme ça que je me suis rendu compte que j'avais un problème de dépendance). J'en ai besoin pour être fonctionnel et donc travailler. Quand j'en prends, je suis animée par une motivation faisant que je peux tout faire sans trop me poser de questions. Mais c'est aussi un problème puisque sous tramadol, je me retrouve à aimer un travail que de manière ordinaire me plait que moyennement. Quand je m'en suis rendue compte, j'ai quitté mon travail. Et la je suis en reconversion professionnelle. En espérant que mes goûts ne soient pas faussés par le tramadol...
KOTS Fighter a écrit
Je pense que ça dépent de chacun, de la relation avec un produit, et la facon de le consommer.
Quand c'est une addiction, il y a toujours comme une souffrance derrière, et je pense que là c'est vraiment au cas par cas.Tout à fait. On ne le répétera jamais assez. :)
Mon mode de fonctionnement n'est donc pas applicable qu'à moi même :)
Par contre sous crack ou psyché ça doit être compliqué pour beaucoup de monde.
Aller bosser sous trip ça doit pas être confortable ^^'
Mais il y en a sûrement à qui ça arrive, doit y avoir des exceptions
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Echeboria a écrit
Salut !
Tu parle du Méthylphénidate, non ?
Ps : Rien a voir mais j'ai bien lu ton message privé mais je ne peux pas y répondre pour l'instant, je n'ai pas assez participé au forum je crois. Je te répond dès que j'en ai la possibilité
Exactement :)
Ok pour le MP pas de soucis !
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cependant a écrit
Pourquoi tu affirmes ça de façon si perentoire ?
C’était, à moitié, une tentative d’humour mais j’ai pas mis de smiley et c’est pas drôle. J’ai pas pensé que ça puisse être pris au premier degré mais c’est parce que je suis très con.
Aucun problème, chacun consomme comme il l’entend. Plus sérieusement je suis d’accord avec toi et je pense aussi que c’est quand on en souffre qu’il faut faire la démarche de demander de l’aide. Quand on en a l’envie, qu’on en ressent le besoin quoi.
>Mais pourquoi ça serait un problème ?
Dans le sens que ça pourrait (àma) être le signe que le boulot nous fait carrément souffrir, au point de ne pas le supporter net. Je voulais bien dire : se droguer pour travailler. C’est à dire se sentir incapable de bosser sans consommer, ou consommer dans le but de travailler mieux, se doper pour le travail. Je fais la différence avec : se droguer au travail à l’occasion (ce qui m’est déjà arrivé et m’arrivera certainement encore), c’est à dire se droguer pour se droguer, pas dans le but de travailler, ou de travailler « mieux ».
Je reconnais que c’était pas clair, et que la nuance est assez fine entre les deux concepts dans tous les cas. Par ailleurs, c’est vraiment comme ça que je le ressens personnellement, je vois d’un mauvais œil d’associer ce qui est pour moi une activité purement récréative, avec une activité qui, même quand on a un boulot plutôt sympa, ne l’est pas vraiment. Mais bien on peut penser différemment.
Merci à toi de me rappeler que je dis un peu trop souvent des conneries qui sont, au mieux, inutiles.
Dernière modification par AmyW (24 juin 2024 à 04:09)
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AmyW a écrit
Dans le sens que ça pourrait (àma) être le signe que le boulot nous fait carrément souffrir, au point de ne pas le supporter net. Je voulais bien dire : se droguer pour travailler. C’est à dire se sentir incapable de bosser sans consommer, ou consommer dans le but de travailler mieux, se doper pour le travail. Je fais la différence avec : se droguer au travail à l’occasion (ce qui m’est déjà arrivé et m’arrivera certainement encore), c’est à dire se droguer pour se droguer, pas dans le but de travailler, ou de travailler « mieux ».
c'est une question de cerveau
perso je m'en suis pas rendu compte de suite, j'avais un equilibre , puis dans cette equilibre j'ai perdu les plus gros maintiens quand le boulot me gonflait de plus en plus, ca ete le debut de la catastrophe (je suis partis dans un meilleur endroit mais je suis pas repare)
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Dernière modification par Tantine (03 juillet 2024 à 21:43)
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xorxe a écrit
AmyW a écrit
Dans le sens que ça pourrait (àma) être le signe que le boulot nous fait carrément souffrir, au point de ne pas le supporter net. Je voulais bien dire : se droguer pour travailler. C’est à dire se sentir incapable de bosser sans consommer, ou consommer dans le but de travailler mieux, se doper pour le travail. Je fais la différence avec : se droguer au travail à l’occasion (ce qui m’est déjà arrivé et m’arrivera certainement encore), c’est à dire se droguer pour se droguer, pas dans le but de travailler, ou de travailler « mieux ».
c'est une question de cerveau
perso je m'en suis pas rendu compte de suite, j'avais un equilibre , puis dans cette equilibre j'ai perdu les plus gros maintiens quand le boulot me gonflait de plus en plus, ca ete le debut de la catastrophe (je suis partis dans un meilleur endroit mais je suis pas repare)
Je compatis, j’espère que t’as retrouvé un boulot mieux, ou des conditions moins stressantes même sans emploi, et en tous cas que t’as pu achever tous les travaux de réparation. Enfin la plus grosse partie, je crois qu’on laisse toujours une petite partie en plan, peut-être pour pas oublier…
C’est juste d’après ma propre expérience que je dis ce qui suit, donc c’est un avis qui s’il pourrait être éclairé, le serait au mieux à la lampe frontale à bout de piles. Je le donne quand même, puisque, étant le mien, je le respecte et approuve sa pertinence en tant qu’hypothèse. _o_
J’ai l’impression que la drogue, chaque substance un peu sa manière, possiblement très différente, a tendance à amplifier autant l’intensité des émotions que la complexité/difficulté des raisonnements logiques. Du coup, des contrariétés (qui peuvent aller de la plus insignifiante à la plus traumatisante…), qui, en l’absence de consommation d’une substance, auraient pu être annulées/atténuées par la résilience (ie: qui auraient pu être supportables/supportées), dépassent le point de craquage. En outre, la consommation peut bien souvent d’abord avoir un effet à priori positif en augmentant la résilience à cette contrariété (en permettant de mieux supporter telle ou telle condition), mais c’est très souvent temporaire. Alors fatalement, quand ça arrive au niveau de rupture, on tombe d’encore plus haut (et la présence d’un quelconque élément amortisseur est en parallèle possiblement rendue moins probable de par l’usage même de la substance en question…).
Évidemment parfois, le plus souvent même heureusement ! Il n’y a que l’aspect positif sans que le négatif ne survienne.
Sinon personne ne prendrait aucune drogue, enfin me semble-t-il.
Un équilibre c’est par définition destiné à cesser, rompre, à la moindre occasion. Sinon ce n’est pas un équilibre, c’est un repos. Je crois que l’humain ne connaît qu’un seul et unique véritable état de repos de toute son existence, le seul qui doive être souhaité, accepté du moins, et qui soit strictement inévitable, c’est à la toute fin de celle-ci.
Et toute valorisation, ou simplement existence, d’un quelconque retour d’expérience, semble totalement exclue.
Ce qui est peut-être ce que je trouve le plus triste au final ! ^^
Dernière modification par AmyW (04 juillet 2024 à 22:40)
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